Critiques de Kyung-II Yang (196)
Episode 8, "frère tigre"
Il était une fois un jeune montagnard qui rencontra un tigre-fée, et qui pour sauver sa vie tenta de lui faire croire qu’il était son grand frère maudit transformé en animal par une méchante sorcière… Pour l’animal qui avait accédé à l’humanité et qui n’a aucun souvenir de sa vie d’avant, c’était l’explication la plus logique qui soit… La famille du jeune montagnard trouva ainsi un protecteur et leur nouveau protecteur une nouvelle famille… Mais quand la mère du jeune montagnard mourut, le tigre-fée sombra dans la dépression et ne désira plus que mourir pour rejoindre sa « mère » : il se mit alors à défier les chasseurs renommés puis les guerriers estimés pour trouver celui qui lui aurait permis de rejoindre l’autre monde et sa mère bien-aimée… C’est à ce moment que la team Mun-su arrive et le tigre-fée jette son dévolu son Sando : le tigre-fée fait tout pour perdre la vie, Sando fait tout pour sauver sa vie, Mun-su fait tout que ni l’un ni l’autre ne perde la vie, et le jeune montagnard doit faire un choix entre la vérité et le mensonge, entre la vie de son « frère » et sa propre vie, autrement dit entre l’humanité et la crevardise…
Nous sommes dans la magnifique réappropriation de l’un des plus célèbres contes coréens, qui illustre à merveille toute la dialectique des beaux mensonges platoniciens… Mais je vous préviens, préparez à l’avance vos mouchoirs !
Episode 9, "le lombric dansant"
Nous sommes dans un gros délire dans la lignée des gros délires des franchises télévisées "Hercule" et "Xéna", qui ici fait office de comic relief entre deux rafales de chapitres ô combien tragiques… En bref Mun-su mange des champignons hallucinogènes et pète carrément un câble, ce qui oblige Sando à le protéger de lui-même tandis que l’Ecuyer déjà mis à mal par son affrontement avec un daim récalcitrant part en quête d’un antidote pour sauver celui qu’il a choisi comme maître… Au final nous sommes dans un conte voltairien : sur terre aucune créature sur terre n’est inutile car chacun a besoin d’un plus petit que soi ! (ah, j’entends déjà tous les intellos aristos s’étrangler de rage… et bien qu’ils aillent au Diable qui se fera une joie d’entendre leurs délires élitistes et suprématistes ^^)
Episode 10, "Nonge"
En route vers la forge du magicien qui pourrait réparer son mahai à trois chevaux, Mun-su se console et s’oublie dans les bras d’une belle courtisane à l’âme aussi tourmentée que la sienne… Et quand il apprend ultérieurement que cette dernière a échoué dans sa quête de vengeance, c’est pour finir le boulot qu’il devient Colère ! Jamais homme ne fut aussi faible et femme aussi forte…
Nous sommes dans la réappropriation de la légende de Chu Nonge la chanteuse coréenne qui assassina le général japonais qui avait fait exécuter les 6000 patriotes de Séoul après qu’ils se fussent rendus, mais nous sommes aussi dans un récit qui ressemble furieusement à du Buichi Terasawa en mode serious business !
Episode 11, "Neige Fondue"
Dans ce récit, Mago le sando d’Ajite tombe à bras raccourcis sur nos héros, et Chun-Hyang le sando de Mun-su se fait un devoir de l’affronter dans un duel sans merci… Je me suis longtemps demandé comment Sando pouvait tenir tête voire damner le pion à la panthère-garoue du messie des ténèbres, mais effectivement à aucun moment de la saga il n’est précisé que Sando est humaine… blink
Et pendant ce temps, cette ordure d’Ajite qui tout ce temps n’a cessé de se loler décide que les astres sont propices pour tous les amener et dans les ténèbres les lier… Connard va !
Il était une fois un jeune montagnard qui rencontra un tigre-fée, et qui pour sauver sa vie tenta de lui faire croire qu’il était son grand frère maudit transformé en animal par une méchante sorcière… Pour l’animal qui avait accédé à l’humanité et qui n’a aucun souvenir de sa vie d’avant, c’était l’explication la plus logique qui soit… La famille du jeune montagnard trouva ainsi un protecteur et leur nouveau protecteur une nouvelle famille… Mais quand la mère du jeune montagnard mourut, le tigre-fée sombra dans la dépression et ne désira plus que mourir pour rejoindre sa « mère » : il se mit alors à défier les chasseurs renommés puis les guerriers estimés pour trouver celui qui lui aurait permis de rejoindre l’autre monde et sa mère bien-aimée… C’est à ce moment que la team Mun-su arrive et le tigre-fée jette son dévolu son Sando : le tigre-fée fait tout pour perdre la vie, Sando fait tout pour sauver sa vie, Mun-su fait tout que ni l’un ni l’autre ne perde la vie, et le jeune montagnard doit faire un choix entre la vérité et le mensonge, entre la vie de son « frère » et sa propre vie, autrement dit entre l’humanité et la crevardise…
Nous sommes dans la magnifique réappropriation de l’un des plus célèbres contes coréens, qui illustre à merveille toute la dialectique des beaux mensonges platoniciens… Mais je vous préviens, préparez à l’avance vos mouchoirs !
Episode 9, "le lombric dansant"
Nous sommes dans un gros délire dans la lignée des gros délires des franchises télévisées "Hercule" et "Xéna", qui ici fait office de comic relief entre deux rafales de chapitres ô combien tragiques… En bref Mun-su mange des champignons hallucinogènes et pète carrément un câble, ce qui oblige Sando à le protéger de lui-même tandis que l’Ecuyer déjà mis à mal par son affrontement avec un daim récalcitrant part en quête d’un antidote pour sauver celui qu’il a choisi comme maître… Au final nous sommes dans un conte voltairien : sur terre aucune créature sur terre n’est inutile car chacun a besoin d’un plus petit que soi ! (ah, j’entends déjà tous les intellos aristos s’étrangler de rage… et bien qu’ils aillent au Diable qui se fera une joie d’entendre leurs délires élitistes et suprématistes ^^)
Episode 10, "Nonge"
En route vers la forge du magicien qui pourrait réparer son mahai à trois chevaux, Mun-su se console et s’oublie dans les bras d’une belle courtisane à l’âme aussi tourmentée que la sienne… Et quand il apprend ultérieurement que cette dernière a échoué dans sa quête de vengeance, c’est pour finir le boulot qu’il devient Colère ! Jamais homme ne fut aussi faible et femme aussi forte…
Nous sommes dans la réappropriation de la légende de Chu Nonge la chanteuse coréenne qui assassina le général japonais qui avait fait exécuter les 6000 patriotes de Séoul après qu’ils se fussent rendus, mais nous sommes aussi dans un récit qui ressemble furieusement à du Buichi Terasawa en mode serious business !
Episode 11, "Neige Fondue"
Dans ce récit, Mago le sando d’Ajite tombe à bras raccourcis sur nos héros, et Chun-Hyang le sando de Mun-su se fait un devoir de l’affronter dans un duel sans merci… Je me suis longtemps demandé comment Sando pouvait tenir tête voire damner le pion à la panthère-garoue du messie des ténèbres, mais effectivement à aucun moment de la saga il n’est précisé que Sando est humaine… blink
Et pendant ce temps, cette ordure d’Ajite qui tout ce temps n’a cessé de se loler décide que les astres sont propices pour tous les amener et dans les ténèbres les lier… Connard va !
Or donc, mon tome 3 "double volume" recouvre le 5 et le 6 de l'ancienne édition.
C'est juste encore magnifique, j'adore vraiment cette série. Les histoires sont toujours inspirées d'histoires et contes coréens et japonais, c'est un pur plaisir de lecture, tant sur les scénarios que sur les dessins, comme d'habitude, je peux le dire, maintenant.
C'est une série totalement addictive, et bien évidemment, le découpage fait qu'on n'a pas la fin de "Neige Fondue", la dernière histoire du recueil (une très belle histoire), et que je lorgne déjà sur le double tome 4, forcément.
C'est scandaleux de faire des choses aussi belles et aussi prenantes... Je proteste (mollement, oui, c'est vrai...) !
C'est juste encore magnifique, j'adore vraiment cette série. Les histoires sont toujours inspirées d'histoires et contes coréens et japonais, c'est un pur plaisir de lecture, tant sur les scénarios que sur les dessins, comme d'habitude, je peux le dire, maintenant.
C'est une série totalement addictive, et bien évidemment, le découpage fait qu'on n'a pas la fin de "Neige Fondue", la dernière histoire du recueil (une très belle histoire), et que je lorgne déjà sur le double tome 4, forcément.
C'est scandaleux de faire des choses aussi belles et aussi prenantes... Je proteste (mollement, oui, c'est vrai...) !
Episode 12, "Ondal et Pyong Gan"
Malgré les indications foireuses données par Miss Fang, la team Mun-su parvient enfin à destination et fait la rencontre d’un magicien-forgeron croisement improbable mais supracool entre le Vieux Maître de Saint Seiya et le Gandalf du SdA ! Celui-ci, qui en sait bien plus long qu’il ne veut bien en dire, se charge de réaliser un nouveau mahai à trois chevaux à condition que Mun-su trouve une solution au mal qui ronge Pyong Gan la fille du seigneur des sept pics.
Nous suivons donc les investigations de Mun-su qui se fait passer pour un chroniqueur mondain (on dirait une parodie d’Ulpaso ^^), et nous découvrons la joyeuse princesse Gan, l’ombrageux prince He, le soucieux seigneur Won, et Ondal l’Idiot, un simple d’esprit qui s’est mis en tête de devenir un artiste martial de renom pour intégrer l’armée et pour être digne de sa bien-aimée… Au fur et à mesure que les pages défilent, on se doute bien que l’enfant sauvage au cœur pur et l’aristocrate au cœur noir cachent de lourds secrets, mais je n’ai rien vu venir… Nous sommes dans un thriller psychologique et l’auteur nous balade de A à Z de la première à la dernière page ! J’ai rarement vu cela : c’est du grand art !!!
Elevée dans une cage dorée la jeune fille voit les murs de la réalité s’effondrer partout autour d’elle, alors qu’une armée coloniale occidentale vient s’emparer de son pays et de son peuple… Au cœur du chaos Pyong Gan doit prendre des décisions cruciales : l’enfant devient une adulte, la fille devient une femme, et la femme devient une reine… Dans cette saga les femmes sont décidément bien plus fortes que les hommes !
Malgré les indications foireuses données par Miss Fang, la team Mun-su parvient enfin à destination et fait la rencontre d’un magicien-forgeron croisement improbable mais supracool entre le Vieux Maître de Saint Seiya et le Gandalf du SdA ! Celui-ci, qui en sait bien plus long qu’il ne veut bien en dire, se charge de réaliser un nouveau mahai à trois chevaux à condition que Mun-su trouve une solution au mal qui ronge Pyong Gan la fille du seigneur des sept pics.
Nous suivons donc les investigations de Mun-su qui se fait passer pour un chroniqueur mondain (on dirait une parodie d’Ulpaso ^^), et nous découvrons la joyeuse princesse Gan, l’ombrageux prince He, le soucieux seigneur Won, et Ondal l’Idiot, un simple d’esprit qui s’est mis en tête de devenir un artiste martial de renom pour intégrer l’armée et pour être digne de sa bien-aimée… Au fur et à mesure que les pages défilent, on se doute bien que l’enfant sauvage au cœur pur et l’aristocrate au cœur noir cachent de lourds secrets, mais je n’ai rien vu venir… Nous sommes dans un thriller psychologique et l’auteur nous balade de A à Z de la première à la dernière page ! J’ai rarement vu cela : c’est du grand art !!!
Elevée dans une cage dorée la jeune fille voit les murs de la réalité s’effondrer partout autour d’elle, alors qu’une armée coloniale occidentale vient s’emparer de son pays et de son peuple… Au cœur du chaos Pyong Gan doit prendre des décisions cruciales : l’enfant devient une adulte, la fille devient une femme, et la femme devient une reine… Dans cette saga les femmes sont décidément bien plus fortes que les hommes !
Episode 12, Ondal et Pyong Gan (suite et fin)
Dans le rêve He menace d’exécuter Ondal, et dans la réalité le général occidental menace d’exécuter le peuple des sept pics… Pyong Gan supplie Mun-su de l’aider, mais ce dernier a déjà tout donné pour la sauver et est désormais complètement désemparé… Les forces obscures de la crevardise vont-elles triompher ???
Toujours est-il que c’est une nouvelle Pyong Gan qui décide d’aller de l’avant en fondant le nouveau royaume de Corée, appelé à une grande destinée, mais ceci est autre histoire…
Episode 13, "la spirale"
Nous faisons connaissance avec l’apprenti de Mito, Yonshil le champion de taekwendo féru d’ingénierie occidentale… Lui aussi est un ancien compagnon d’arme de Mun-su ayant passé du Côté Obscur de la Force sous l’influence néfaste d’Ajite, mais n’ayant pas sombré aussi profond que Wonsul et Wonhyo il est parvenu à retrouver la lumière en lui. C’est alors qu’Ulpaso déboule de nulle part pour demander leur aide : il est le nouvel Ecuyer de Miss Fang, enlevée par les super-bandits Walbin qui maîtrisent l’apki (la Force quoi ! ^^) : la team Mun-su renforcée par Gandalf, Legolas et Gimli se fightent alors avec un artiste martial teubé mais surpuissant et un BG intello maître de l’épée qui sont venus lancer un défi à notre antihéros au nom de leur leader… Kewil Hyang, le défunt amour de Mun-su ! To Be Continued !!!
Dans le rêve He menace d’exécuter Ondal, et dans la réalité le général occidental menace d’exécuter le peuple des sept pics… Pyong Gan supplie Mun-su de l’aider, mais ce dernier a déjà tout donné pour la sauver et est désormais complètement désemparé… Les forces obscures de la crevardise vont-elles triompher ???
Toujours est-il que c’est une nouvelle Pyong Gan qui décide d’aller de l’avant en fondant le nouveau royaume de Corée, appelé à une grande destinée, mais ceci est autre histoire…
Episode 13, "la spirale"
Nous faisons connaissance avec l’apprenti de Mito, Yonshil le champion de taekwendo féru d’ingénierie occidentale… Lui aussi est un ancien compagnon d’arme de Mun-su ayant passé du Côté Obscur de la Force sous l’influence néfaste d’Ajite, mais n’ayant pas sombré aussi profond que Wonsul et Wonhyo il est parvenu à retrouver la lumière en lui. C’est alors qu’Ulpaso déboule de nulle part pour demander leur aide : il est le nouvel Ecuyer de Miss Fang, enlevée par les super-bandits Walbin qui maîtrisent l’apki (la Force quoi ! ^^) : la team Mun-su renforcée par Gandalf, Legolas et Gimli se fightent alors avec un artiste martial teubé mais surpuissant et un BG intello maître de l’épée qui sont venus lancer un défi à notre antihéros au nom de leur leader… Kewil Hyang, le défunt amour de Mun-su ! To Be Continued !!!
Episode 14, "combattant perdu"
Sando qui ne s'est pas remise d'avoir été surclassée par les Walbin part en quête de Lucida von Marlène pour effectuer un power-up en l'affrontant… Sauf que la Lady Oscar anglaise n'est pas née de la dernière pluie, elle qui il y a longtemps a eu comme professeur un grand général oriental nommé Mun-su… le duel est graphiquement dantesque et les dessins sont du bonbon pour les yeux… Quel niveau de détails ! Quel souffle épique ! Décidément Yang Kung-Il est en grande forme !!!
Une nouvelle fois vaincue, Sando se met en quête d'un mentor pour devenir plus forte, beaucoup plus forte… Et là, Ajite/Sauron se met à se loler et car il est fin prêt pour l'amener et dans les ténèbres la lier… Connard va !
Episode 15, "une équipe mal assortie"
Sando partie, Mun-su se trouve un bien encombrant nouveau garde du corps
Les deux compères se connaissent par coeur, et sont aussi cyniques, dépressifs et suicidaires l'un que l'autre… Ce qui ne les empêche pas de faire le ménage parmi des renégats ex-Walbin ! Mais l'Ecuyer en bien mauvaise compagnie se met alors à douter…
Episode 16, la légende de Hongil Dong
A Kimhe, les Walbin, des super-bandits qui volent aux riches pour donner aux pauvres (DC/Marvel Comics, prenez des notes ça pourra vous être utile ^^), lancent un ultimatum au gouvernement local : la bourse ou la vie… Faute de réponse, ils kidnappent le jeune gouverneur avant de doubler leurs exigences… Tandis que Wonsul s'enferme dans la réserve d'or en attendant les voleurs de pied ferme, Mun-su se lance à leur poursuite pour démasquer celle qui prétend être sa bien-aimée ressuscitée. Et l'Ecuyer découvre la lettre d'adieu de son maître Angyo Onshi qui n'a pas l'intention d'en revenir vivant : To Be Continued !
IRL Hongil Dong était le bâtard d'un haut fonctionnaire… Par esprit de révolte il a pris le parti du peuple contre l'aristocratie, et ce bandit redresseur de torts au grand coeur fini traqué par toutes les autorités de son pays avant de prendre la route de l'exil et finir roi de ses propres mains à Okinawa… Ici la réappropriation de la légende aboutit à un mélange entre Robin des Bois et Star Wars, le tout à la sauce Buichi Terasawa : qu'est-ce c'est cool, sinon supracool !!! ^^
Sando qui ne s'est pas remise d'avoir été surclassée par les Walbin part en quête de Lucida von Marlène pour effectuer un power-up en l'affrontant… Sauf que la Lady Oscar anglaise n'est pas née de la dernière pluie, elle qui il y a longtemps a eu comme professeur un grand général oriental nommé Mun-su… le duel est graphiquement dantesque et les dessins sont du bonbon pour les yeux… Quel niveau de détails ! Quel souffle épique ! Décidément Yang Kung-Il est en grande forme !!!
Une nouvelle fois vaincue, Sando se met en quête d'un mentor pour devenir plus forte, beaucoup plus forte… Et là, Ajite/Sauron se met à se loler et car il est fin prêt pour l'amener et dans les ténèbres la lier… Connard va !
Episode 15, "une équipe mal assortie"
Sando partie, Mun-su se trouve un bien encombrant nouveau garde du corps
Les deux compères se connaissent par coeur, et sont aussi cyniques, dépressifs et suicidaires l'un que l'autre… Ce qui ne les empêche pas de faire le ménage parmi des renégats ex-Walbin ! Mais l'Ecuyer en bien mauvaise compagnie se met alors à douter…
Episode 16, la légende de Hongil Dong
A Kimhe, les Walbin, des super-bandits qui volent aux riches pour donner aux pauvres (DC/Marvel Comics, prenez des notes ça pourra vous être utile ^^), lancent un ultimatum au gouvernement local : la bourse ou la vie… Faute de réponse, ils kidnappent le jeune gouverneur avant de doubler leurs exigences… Tandis que Wonsul s'enferme dans la réserve d'or en attendant les voleurs de pied ferme, Mun-su se lance à leur poursuite pour démasquer celle qui prétend être sa bien-aimée ressuscitée. Et l'Ecuyer découvre la lettre d'adieu de son maître Angyo Onshi qui n'a pas l'intention d'en revenir vivant : To Be Continued !
IRL Hongil Dong était le bâtard d'un haut fonctionnaire… Par esprit de révolte il a pris le parti du peuple contre l'aristocratie, et ce bandit redresseur de torts au grand coeur fini traqué par toutes les autorités de son pays avant de prendre la route de l'exil et finir roi de ses propres mains à Okinawa… Ici la réappropriation de la légende aboutit à un mélange entre Robin des Bois et Star Wars, le tout à la sauce Buichi Terasawa : qu'est-ce c'est cool, sinon supracool !!! ^^
Celui qui est en train de mettre les couvertures des doubles tomes sur les premiers tomes simples de ce manga n'y a simplement et strictement RIEN COMPRIS !
Et ça m'induit en erreur, et ça m'énerve.... Grmblblblb....
Tomes 9 et 10 lus en double tome, le 5.
Mon "vrai" avis :
Et aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Pourquoi aaaaaaaaaaaaah, me direz-vous ? Et bien parce que je n'ai pas le double tome 6 ! Et là, ça craint carrément... J'ai lu ce double tome en deux fois, autant dire quasi d'une traite, j'ai pas pu le lâcher !
En fait, je crois que plus j'avance dans cette série, plus je l'apprécie, ce qui n'est quand même pas courant (sauf pour Terra formars, aussi, bon, d'accord !). La légende de Hongil Dong était juste une pure merveille scénaristique et les dessins sont toujours aussi magnifiques, j'étais émue.
Je le suis encore plus en finissant le tome 10, parce que là, les athéniens s'atteignirent (ou s'éteignirent, plutôt), et Ajite revient en force, le salopiau ! Et nous laisse avec un Mun-Su en mauvais (très mauvais) état. Et il est un milliard de fois plus diabolique qu'on ne le subodorait, et je peux vous dire que ça lui laissait pourtant pas beaucoup de marge, ébé il arrive à être bien plus pire ! C'est affreux, horrible, je ne vais pas tenir, il me faut le suivant ! Toussuite !
Et je précise au passage que ce double tome est beaucoup plus épais que les précédents, il fait bien plus que les 384 pages indiquées. Et chaque tome (le 9 et le 10) ayant respectivement 25 et 35 pages de plus que les autres tomes simples, je pense qu'il y a une erreur quelque part...
Et ça m'induit en erreur, et ça m'énerve.... Grmblblblb....
Tomes 9 et 10 lus en double tome, le 5.
Mon "vrai" avis :
Et aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Pourquoi aaaaaaaaaaaaah, me direz-vous ? Et bien parce que je n'ai pas le double tome 6 ! Et là, ça craint carrément... J'ai lu ce double tome en deux fois, autant dire quasi d'une traite, j'ai pas pu le lâcher !
En fait, je crois que plus j'avance dans cette série, plus je l'apprécie, ce qui n'est quand même pas courant (sauf pour Terra formars, aussi, bon, d'accord !). La légende de Hongil Dong était juste une pure merveille scénaristique et les dessins sont toujours aussi magnifiques, j'étais émue.
Je le suis encore plus en finissant le tome 10, parce que là, les athéniens s'atteignirent (ou s'éteignirent, plutôt), et Ajite revient en force, le salopiau ! Et nous laisse avec un Mun-Su en mauvais (très mauvais) état. Et il est un milliard de fois plus diabolique qu'on ne le subodorait, et je peux vous dire que ça lui laissait pourtant pas beaucoup de marge, ébé il arrive à être bien plus pire ! C'est affreux, horrible, je ne vais pas tenir, il me faut le suivant ! Toussuite !
Et je précise au passage que ce double tome est beaucoup plus épais que les précédents, il fait bien plus que les 384 pages indiquées. Et chaque tome (le 9 et le 10) ayant respectivement 25 et 35 pages de plus que les autres tomes simples, je pense qu'il y a une erreur quelque part...
Episode 16, "la légende de Hongil Dong" (suite)
Dans la réserve d’or de Kimhe le combat est sans merci entre Wonsul, Dorso, Inshu et Joy, et sur mer le combat est sans merci entre Mun-su, Teyu, Cho et Beryo… Les deux antihéros sont violents et impitoyables, et rapidement on se met à douter sur la cause que défendent les uns et les autres… Mun-su qui a annulé temporairement sa malédiction avec des expédients interdits joue contre la montre et multiplie les ruses toutes plus vachardes et déloyales les unes que les autres pour vaincre les Walbin détenteurs du Hapki (la Force quoi ! ^^)…
En parallèle de ce déchaînement de violence sur fond de tragédies antiques, nous suivons en interlude Chun-Hyang qui pour devenir plus forte, beaucoup plus forte, est en quête de Mujan le surhomme égoïste et prétentieux maître du Hapki, et nous suivons en flashback la triste histoire d’une pauvresse bâtarde qui n’a rien, demi-sœur d’une princesse aristocrate qui a tout, et qui a tout perdu y compris la seule amie et la seule famille de sa vie le jour où Kewil Hyang a péri… avant de se trouver de nouveaux amis et de se bâtir une nouvelle famille avec ses joyeux compagnons de Sherwood tous réunis autour de l’idée de bâtir un monde nouveau sans haine ni violence, ni mépris ni indifférence (bon il y a aussi tout un truc autour de son pouvoir d’annulation des super pouvoirs, mais c’est hyper mal expliqué et exploité)
Tout le monde se retrouve sur la terre ferme, et l’Ecuyer qui a juré qu’il ne revivrait plus jamais la tragédie qui l’a changé à jamais ramène des renforts armés en grand nombre… Hongil Dong a certes menti sur son identité mais pas sur sa cause, car c’est à la surprise de tout le monde y compris d’elle-même qu’elle parvient à invoquer l’unité de l’ombre… Mun-su, sauvé de la noyade par Miss Fang et son Sando démoniaque / féérique qui ont échappés à leurs geôliers, n’a plus le choix : pour sauver les défenseurs de Kimhe, il doit invoquer à son tour ses guerriers fantômes… Nous assistons ainsi à une lutte fratricide entre deux visions de la justice (c’est le seul moment de la série qui n’utilise pas la phrase d’invocation rituelle « voici venir l’Angyo Onshi ! », donc l’heure est grave, très grave même !) : la justice est-elle l’ordre (la lettre de la loi), ou la liberté, l’égalité et la fraternité (l’esprit de la loi) ? Miss Fang qui n’a aucune réponse à cette question abandonne la lutte, mais aveuglés par leurs sentiments pour la défunte Kewil Hyang ni Hongil Dong ni Mun-su ne veulent céder… Quand l’Ecuyer s’interpose entre eux deux au péril de sa vie, c’est l’un et l’autre qui s’effondrent moralement et psychologiquement… To Be Continued, et préparez à l’avance vos mouchoirs car le tome suivant est pire encore avec une avalanche de morts tragiques et de massacres iniques : les auteurs n’épargnent personne, à commencer par les lecteurs/lectrices !
Dans la réserve d’or de Kimhe le combat est sans merci entre Wonsul, Dorso, Inshu et Joy, et sur mer le combat est sans merci entre Mun-su, Teyu, Cho et Beryo… Les deux antihéros sont violents et impitoyables, et rapidement on se met à douter sur la cause que défendent les uns et les autres… Mun-su qui a annulé temporairement sa malédiction avec des expédients interdits joue contre la montre et multiplie les ruses toutes plus vachardes et déloyales les unes que les autres pour vaincre les Walbin détenteurs du Hapki (la Force quoi ! ^^)…
En parallèle de ce déchaînement de violence sur fond de tragédies antiques, nous suivons en interlude Chun-Hyang qui pour devenir plus forte, beaucoup plus forte, est en quête de Mujan le surhomme égoïste et prétentieux maître du Hapki, et nous suivons en flashback la triste histoire d’une pauvresse bâtarde qui n’a rien, demi-sœur d’une princesse aristocrate qui a tout, et qui a tout perdu y compris la seule amie et la seule famille de sa vie le jour où Kewil Hyang a péri… avant de se trouver de nouveaux amis et de se bâtir une nouvelle famille avec ses joyeux compagnons de Sherwood tous réunis autour de l’idée de bâtir un monde nouveau sans haine ni violence, ni mépris ni indifférence (bon il y a aussi tout un truc autour de son pouvoir d’annulation des super pouvoirs, mais c’est hyper mal expliqué et exploité)
Tout le monde se retrouve sur la terre ferme, et l’Ecuyer qui a juré qu’il ne revivrait plus jamais la tragédie qui l’a changé à jamais ramène des renforts armés en grand nombre… Hongil Dong a certes menti sur son identité mais pas sur sa cause, car c’est à la surprise de tout le monde y compris d’elle-même qu’elle parvient à invoquer l’unité de l’ombre… Mun-su, sauvé de la noyade par Miss Fang et son Sando démoniaque / féérique qui ont échappés à leurs geôliers, n’a plus le choix : pour sauver les défenseurs de Kimhe, il doit invoquer à son tour ses guerriers fantômes… Nous assistons ainsi à une lutte fratricide entre deux visions de la justice (c’est le seul moment de la série qui n’utilise pas la phrase d’invocation rituelle « voici venir l’Angyo Onshi ! », donc l’heure est grave, très grave même !) : la justice est-elle l’ordre (la lettre de la loi), ou la liberté, l’égalité et la fraternité (l’esprit de la loi) ? Miss Fang qui n’a aucune réponse à cette question abandonne la lutte, mais aveuglés par leurs sentiments pour la défunte Kewil Hyang ni Hongil Dong ni Mun-su ne veulent céder… Quand l’Ecuyer s’interpose entre eux deux au péril de sa vie, c’est l’un et l’autre qui s’effondrent moralement et psychologiquement… To Be Continued, et préparez à l’avance vos mouchoirs car le tome suivant est pire encore avec une avalanche de morts tragiques et de massacres iniques : les auteurs n’épargnent personne, à commencer par les lecteurs/lectrices !
Il existe des esprits malfaisants qui possèdent de superbes objets, et qui, une fois qu'ils sont touchés par une personne emplie de sentiments très forts, prennent possession du corps de celui qui les a touché. Ces créatures sont des Ils.
March est un Shisté Bihaad, une personne ayant le pouvoir de combattre les Ils.
Son quotidien est fait de voyages et de rencontres, mais également de tristesse, de destruction, de meurtres, de sang.
March a une existence assez solitaire du à sa conditi
on, et il se prend parfois à rêver d'une autre destinée. Mais, si il ne se charge pas de détruire ces puissants esprits, qui le fera ? Qui sauvera toutes ces personnes possédées ?
Mais, surtout, qui sauvera le coeur de March, sur lequel pèse une horrible malédiction que rien ne peut briser ?
Ce manga est un coup de coeur. Oui, encore !
Les dessins sont tout simplement à couper le souffle, d'une beauté incroyable, le trait est fin et on passe de personnages à l'esthétique féminine, presque androgyne, à d'autres presque complètement déformés, un peu comme la Reine de Coeur, dans Alice au Pays des Merveilles, de Tim Burton. Vous voyez ?
L'histoire est prenante dès le début, et on sent déjà que l'on va avoir à un récit extrêmement bien travaillé, mêlant aventures, combats courts aux graphismes époustouflants, ainsi qu'une mélancolie et une tristesse qui, j'en suis sûre, va me fendre le coeur.
Si si, je le sens déjà s'émietter, alors qu'un seul tome est sorti !
Seulement deux tomes sont sortis au Japon, il faudra donc prendre son mal en patience pour avoir la suite *va pleurer dans un coin*
Un manga complet, d'une très grande qualité, aussi bien graphique, scénaristique que dans le travail des personnages et de leur psychologie.
En un tome, on a déjà eu droit à quelques histoires nous expliquant ce que sont les Ils, à une énorme révélation, à une grosse partie de l'histoire de March et à un clin d'oeil de ce qui serait peut-être bien le prémice d'une romance déchirante.
Je ne peux que le conseiller, vraiment. Je pense qu'il peut toucher un public très vaste, et il va conquérir une tonne de lecteurs !
March est un Shisté Bihaad, une personne ayant le pouvoir de combattre les Ils.
Son quotidien est fait de voyages et de rencontres, mais également de tristesse, de destruction, de meurtres, de sang.
March a une existence assez solitaire du à sa conditi
on, et il se prend parfois à rêver d'une autre destinée. Mais, si il ne se charge pas de détruire ces puissants esprits, qui le fera ? Qui sauvera toutes ces personnes possédées ?
Mais, surtout, qui sauvera le coeur de March, sur lequel pèse une horrible malédiction que rien ne peut briser ?
Ce manga est un coup de coeur. Oui, encore !
Les dessins sont tout simplement à couper le souffle, d'une beauté incroyable, le trait est fin et on passe de personnages à l'esthétique féminine, presque androgyne, à d'autres presque complètement déformés, un peu comme la Reine de Coeur, dans Alice au Pays des Merveilles, de Tim Burton. Vous voyez ?
L'histoire est prenante dès le début, et on sent déjà que l'on va avoir à un récit extrêmement bien travaillé, mêlant aventures, combats courts aux graphismes époustouflants, ainsi qu'une mélancolie et une tristesse qui, j'en suis sûre, va me fendre le coeur.
Si si, je le sens déjà s'émietter, alors qu'un seul tome est sorti !
Seulement deux tomes sont sortis au Japon, il faudra donc prendre son mal en patience pour avoir la suite *va pleurer dans un coin*
Un manga complet, d'une très grande qualité, aussi bien graphique, scénaristique que dans le travail des personnages et de leur psychologie.
En un tome, on a déjà eu droit à quelques histoires nous expliquant ce que sont les Ils, à une énorme révélation, à une grosse partie de l'histoire de March et à un clin d'oeil de ce qui serait peut-être bien le prémice d'une romance déchirante.
Je ne peux que le conseiller, vraiment. Je pense qu'il peut toucher un public très vaste, et il va conquérir une tonne de lecteurs !
Un sympathique manwha, qui m'a fait penser aux premiers abords à D.Gray Man (il faut avouer que le topo présente des similitudes).
Toutefois, l'histoire se complexifie rapidement, et dès ce tome 1, nous faisons face à des découvertes que nous n'avions pas forcément anticipées !!
Le dessin est agréable, mais j'avoue que je connaissais le trait de Kyung-II Yang depuis Island et Le Nouvel Angyo Onshi, et j'y allais les yeux fermés. J'y retrouve la même précision, et une petite touche un peu plus fantaisiste qui me plait beaucoup.
Pour l'instant l'histoire semble assez classique, mais ce n'est pas rédhibitoire ; je vais me laisser tenter à lire la suite !
Toutefois, l'histoire se complexifie rapidement, et dès ce tome 1, nous faisons face à des découvertes que nous n'avions pas forcément anticipées !!
Le dessin est agréable, mais j'avoue que je connaissais le trait de Kyung-II Yang depuis Island et Le Nouvel Angyo Onshi, et j'y allais les yeux fermés. J'y retrouve la même précision, et une petite touche un peu plus fantaisiste qui me plait beaucoup.
Pour l'instant l'histoire semble assez classique, mais ce n'est pas rédhibitoire ; je vais me laisser tenter à lire la suite !
Alors dans ce premier tome on découvre March et le début de son histoire. On ne connait pas bien son passé donc je ne me suis pas attaché au personnage, mais à par ça l'histoire est bien. Néanmoins le scénario manque d'originalité, mais reste dans un sérieux qui prête à rire par moment.
En commençant ce manga, j'ai eu l'impression de me retrouver dans l'univers de King of Bandit Jing (Pika) pour la simple et bonne raison que l'histoire est coupée en plusieurs tableaux. Dans le tome 1, mis à part la recherche des Ils on ne voit pas de fil conducteur. Ce qui relève l'intérêt du manga c'est le dernier chapitre puisqu'on y découvre le passé terrible de March. C'est à ce moment là que la série a suscité chez moi un réel intérêt.
J'aime particulièrement le personnage de Jack, la voyante guerrière au cœur tendre qui possède énormément de ressemblances physiques avec Yubaba la sorcière.
Le dessin est superbe, en ce sens je trouve que la couverture ne rend pas hommage aux talents du dessinateur. J'ai aimé le côté magie/horreur.
March Story est en définitive une série intrigante et atypique, à découvrir sans nul doute.
J'aime particulièrement le personnage de Jack, la voyante guerrière au cœur tendre qui possède énormément de ressemblances physiques avec Yubaba la sorcière.
Le dessin est superbe, en ce sens je trouve que la couverture ne rend pas hommage aux talents du dessinateur. J'ai aimé le côté magie/horreur.
March Story est en définitive une série intrigante et atypique, à découvrir sans nul doute.
Ce second volume offre davantage de détails concernant les personnages et la malédiction qui pèse sur le cœur de March.
On peut déjà je pense anticiper ce qui va se produire dans les tomes à venir. Mais je reste intriguée par la nature profonde des Ils.
March Story continue de fonctionner sous forme d'histoires courtes dont le seul lien reste nos héros : Rodin, Jack, March et Belma. Concrètement il n'y a pas de réel avancée dans la trame de l'histoire principale. Suis-je trop impatiente ? Sans nul doute.
On peut déjà je pense anticiper ce qui va se produire dans les tomes à venir. Mais je reste intriguée par la nature profonde des Ils.
March Story continue de fonctionner sous forme d'histoires courtes dont le seul lien reste nos héros : Rodin, Jack, March et Belma. Concrètement il n'y a pas de réel avancée dans la trame de l'histoire principale. Suis-je trop impatiente ? Sans nul doute.
Une nouvelle mission attend March.
Cette fois-ci, toute une forêt devient entièrement blanche, et le majordome qui a demandé de l'aide ne semble pas tout à fait innocent par rapport à ce qu'il se trame dans les alentours ...
Mais au fond, aucune possession de Il n'est impossible à défaire pour March.
par contre, elle ne s'attendait pas à voir le spectre de sa soeur en se rendant sur place.
Un choc qui va profondément perturber la jeune fille.
Hiiii, ça faisait longtemps !
Ca valait le coup d'attendre, même si j'avais un peu oublié à quel point ce manga est un bijou.
Les dessins bien entendu sont toujours aussi sublimes, vraiment, je n'exagère pas.
Mais les histoires ... pfffff.
Je suis passée du rire aux larmes au moins 3 fois pendant cette lecture.
Les histoires de possession étant vraiment très touchantes, toutes sans exceptions, et les petits passages entre elles étaient souvent super drôles.
Elles sont un parfait équilibre entre la beauté des sentiments qu'elles peuvent dégager, et souvent une grande violence, qu'elle soit physique ou morale.
L'arrivée d'un nouveau personnage donne un coup de peps et de bonne humeur à la série !
Il est juste excellent. Qu'est ce qu'il m'a fait rire celui-là !
Bon, il est un peu con, ça joue beaucoup =D mais du genre très entraînant, et on part très vite dans ses délires.
Comme March, c'est un Shisté Bihaad, et bien qu'au début j'avais un peu "peur" de lui, de voir débarquer un personnage violent et mauvais, j'ai vite été rassurée quand j'ai vu qu'il commençait à avoir le béguin pour March ! Mais ça, vous le découvrirez bien assez vite dans ce tome.
Un point que j'ai fortement apprécié dans ce volume, c'est que l'on a droit à tout un pan du passé de Robin.
Une partie traumatisante de son enfance nous est révélée, ce qui nous permets de le connaître un peu mieux, et de s'attacher à lui encore plus.
March, quant à elle, montre de plus en plus une facette très noire de sa personnalité, se laissant submerger par la colère ou le désire de vengeance.
Arrivera t-elle à se contenir en toute circonstance ?
March Story est définitivement un manga coup de coeur qui enchante par ses histoires fortes et émouvantes, ses dessins extrêmement travaillés, ses personnages très attachants et ses gags qui font mouche.
A lire absolument ♥
Lien : http://archessia.over-blog.c..
Cette fois-ci, toute une forêt devient entièrement blanche, et le majordome qui a demandé de l'aide ne semble pas tout à fait innocent par rapport à ce qu'il se trame dans les alentours ...
Mais au fond, aucune possession de Il n'est impossible à défaire pour March.
par contre, elle ne s'attendait pas à voir le spectre de sa soeur en se rendant sur place.
Un choc qui va profondément perturber la jeune fille.
Hiiii, ça faisait longtemps !
Ca valait le coup d'attendre, même si j'avais un peu oublié à quel point ce manga est un bijou.
Les dessins bien entendu sont toujours aussi sublimes, vraiment, je n'exagère pas.
Mais les histoires ... pfffff.
Je suis passée du rire aux larmes au moins 3 fois pendant cette lecture.
Les histoires de possession étant vraiment très touchantes, toutes sans exceptions, et les petits passages entre elles étaient souvent super drôles.
Elles sont un parfait équilibre entre la beauté des sentiments qu'elles peuvent dégager, et souvent une grande violence, qu'elle soit physique ou morale.
L'arrivée d'un nouveau personnage donne un coup de peps et de bonne humeur à la série !
Il est juste excellent. Qu'est ce qu'il m'a fait rire celui-là !
Bon, il est un peu con, ça joue beaucoup =D mais du genre très entraînant, et on part très vite dans ses délires.
Comme March, c'est un Shisté Bihaad, et bien qu'au début j'avais un peu "peur" de lui, de voir débarquer un personnage violent et mauvais, j'ai vite été rassurée quand j'ai vu qu'il commençait à avoir le béguin pour March ! Mais ça, vous le découvrirez bien assez vite dans ce tome.
Un point que j'ai fortement apprécié dans ce volume, c'est que l'on a droit à tout un pan du passé de Robin.
Une partie traumatisante de son enfance nous est révélée, ce qui nous permets de le connaître un peu mieux, et de s'attacher à lui encore plus.
March, quant à elle, montre de plus en plus une facette très noire de sa personnalité, se laissant submerger par la colère ou le désire de vengeance.
Arrivera t-elle à se contenir en toute circonstance ?
March Story est définitivement un manga coup de coeur qui enchante par ses histoires fortes et émouvantes, ses dessins extrêmement travaillés, ses personnages très attachants et ses gags qui font mouche.
A lire absolument ♥
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Un deuxième tome que j'ai lu avec autant de plaisir que le premier. J'ai l'impression qu'on est encore dans une introduction, avec présentation des personnages, découverte de leurs personnalité (et les aspects sombres de celle-ci !) et des liens qui les lient entre eux. Si on devine quel sera l'intrigue principale, elle n'est pas encore réellement mise en avant. Toutefois, on lit avec plaisir les missions de notre Shisté Bihaad, qui sont plutôt touchantes, voir bouleversantes - et on s'aperçoit que rien n'est ni noir, ni blanc !
Bref, un très bon manga, aux dessins toujours aussi sublimes, et une histoire qui donne envie de lire la suite !
Bref, un très bon manga, aux dessins toujours aussi sublimes, et une histoire qui donne envie de lire la suite !
Alors qu'elle fête les fiançailles de Powell et Mälsche, March se fait enlever par un Il qui passait par là. Celui-ci, sous forme de mère castor protectrice, a vu en March la future femme de son enfant, un jeune homme qu'elle a élevé comme son fils depuis qu'elle la trouvé, bébé, abandonné dans la neige.
Loin d'être ravie par la situation, March se voit obligée de suivre un entraînement pour être l'épouse parfaite. Entre la fatigue et le côté incongru de la situation, il faut bien avouer que, faire face à son statut de femme, si ouvertement, ne lui déplait pas vraiment ...
Mais trêve de rêveries ! Car Rodin a également été enlevé, en tant qu'otage et moyen de pression, et la jeune fille ressent des émotions de plus en plus fortes concernant celui-ci ...
Je ne vois pas trop ce que je pourrais dire sur ce tome que je n'ai pas encore dit à propos des précédants.
Ce manga est parfait, tout simplement.
Que ce soit dans l'ambiance, les dessins, les personnes (leur caractère et leur développement), le scénario et les petites histoires que l'on nous présente au fur et à mesure.
Ce n'est que du bonheur, et la lecture de chaque volume est un enchantement.
Dans ce troisième tome, March a l'occasion de regarder en face sa féminité, et même de l'assumer ... un court instant.
Mais ce n'est pas facile d'être une jolie jeune fille alors que cette condition pourrait nous détruire.
Pour elle, cet épisode chez la Il castor réveille en elle des envies dont elle ne soupçonnait pas l'existence, comme celle de pomponner, de porter une jolie robe et de se mettre en valeur.
Mais le danger ne s'écarte pas pour autant, que du contraire, car en se sentant femme, elle ne peut que penser à Rodin, et les palpitations qu'il déclenche de plus en plus chez March sont une belle mélodie pour le Il qui dort en elle ...
Malgré les menaces qui planent au-dessus d'elle, c'est tellement agréable de la voir profiter, même un seul moment, du fait de se sentir jolie.
On voit vraiment la fille qu'elle est, qu'elle cache au fond d'elle, et elle est tellement adorable qu'on ne peut que craquer !
Un autre personnage qui est fortement mis en avant ici, c'est Jake.
En effet, une bonne partie de ce volume lui est consacrée. On y voit sa jeunesse, comment elle a voulu laisser en arrière sa carrière de mercenaire pour vivre dans un beau chateau de princesse, et comment un Il a gâché ce bonheur qui la faisait rêver.
On voit une autre facette de cette étrange femme, et on découvre des côtés tendres, fragiles et très drôles qu'elle ne montre pas spécialement aux autres.
Comme les autres histoires qui peuples cette série, elle est un magnifique mélange de sourires et de larmes, avec des émotions intenses dans une ambiance douce et tamisée.
Une sublime façon d'en savoir plus sur Jake, femme mystérieuse pleine de caractère mais qui soulève des tonnes de questions. Certaines de celles-ci trouveront réponse en ces pages.
Comme d'habitude, ce manga m'a transportée et m'a fait vivre des moments d'une grande intensité. Il fait partie de ces mangas d'une rare qualité que j'aimerais trouvé bien plus souvent au milieu des shônen qui se ressemblent et des shôjo répétitifs.
Une vraie perle à lire et relire sans modération ♥
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Loin d'être ravie par la situation, March se voit obligée de suivre un entraînement pour être l'épouse parfaite. Entre la fatigue et le côté incongru de la situation, il faut bien avouer que, faire face à son statut de femme, si ouvertement, ne lui déplait pas vraiment ...
Mais trêve de rêveries ! Car Rodin a également été enlevé, en tant qu'otage et moyen de pression, et la jeune fille ressent des émotions de plus en plus fortes concernant celui-ci ...
Je ne vois pas trop ce que je pourrais dire sur ce tome que je n'ai pas encore dit à propos des précédants.
Ce manga est parfait, tout simplement.
Que ce soit dans l'ambiance, les dessins, les personnes (leur caractère et leur développement), le scénario et les petites histoires que l'on nous présente au fur et à mesure.
Ce n'est que du bonheur, et la lecture de chaque volume est un enchantement.
Dans ce troisième tome, March a l'occasion de regarder en face sa féminité, et même de l'assumer ... un court instant.
Mais ce n'est pas facile d'être une jolie jeune fille alors que cette condition pourrait nous détruire.
Pour elle, cet épisode chez la Il castor réveille en elle des envies dont elle ne soupçonnait pas l'existence, comme celle de pomponner, de porter une jolie robe et de se mettre en valeur.
Mais le danger ne s'écarte pas pour autant, que du contraire, car en se sentant femme, elle ne peut que penser à Rodin, et les palpitations qu'il déclenche de plus en plus chez March sont une belle mélodie pour le Il qui dort en elle ...
Malgré les menaces qui planent au-dessus d'elle, c'est tellement agréable de la voir profiter, même un seul moment, du fait de se sentir jolie.
On voit vraiment la fille qu'elle est, qu'elle cache au fond d'elle, et elle est tellement adorable qu'on ne peut que craquer !
Un autre personnage qui est fortement mis en avant ici, c'est Jake.
En effet, une bonne partie de ce volume lui est consacrée. On y voit sa jeunesse, comment elle a voulu laisser en arrière sa carrière de mercenaire pour vivre dans un beau chateau de princesse, et comment un Il a gâché ce bonheur qui la faisait rêver.
On voit une autre facette de cette étrange femme, et on découvre des côtés tendres, fragiles et très drôles qu'elle ne montre pas spécialement aux autres.
Comme les autres histoires qui peuples cette série, elle est un magnifique mélange de sourires et de larmes, avec des émotions intenses dans une ambiance douce et tamisée.
Une sublime façon d'en savoir plus sur Jake, femme mystérieuse pleine de caractère mais qui soulève des tonnes de questions. Certaines de celles-ci trouveront réponse en ces pages.
Comme d'habitude, ce manga m'a transportée et m'a fait vivre des moments d'une grande intensité. Il fait partie de ces mangas d'une rare qualité que j'aimerais trouvé bien plus souvent au milieu des shônen qui se ressemblent et des shôjo répétitifs.
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