Chaque fois que l’on produit un effet, on se crée un ennemi. Il faut rester médiocre pour être populaire.
Oscar Wilde.
Le monde contient bien assez pour les besoins de chacun, mais pas assez pour la cupidité de tous.
Gandhi.
La propagande est aux démocraties ce que la violence est aux dictatures.
Noam Chomsky.
Rien ne peut arrêter une idée dont le temps est venu.
Victor Hugo.
Donc oui, nous sommes tous hypocrites, tout le monde est écologiste jusqu’à ce que cela implique de sacrifier quelque chose qui relève du superflu ; là, il n’y a plus personne.
Le souci, c’est que l’écologie est une question de survie, donc on ne peut pas se permettre de rester stupide dans ce domaine plus longtemps.
S’affranchir du désir de faire l’unanimité est la seule façon d’accomplir quoi que ce soit de significatif. C’est une liberté qui renforce.
À propos du développement durable
Aujourd’hui, c’est devenu synonyme de « business comme d’habitude ». C’est un mythe inventé pour justifier plus d’exploitation - la bonne conscience en sus.
Les causes perdues, plus que toutes les autres, valent la peine que l’on se batte pour elles.
Paul Watson.
Il est des coutumes qu’il est plus honorable d’enfreindre que de suivre.
William Shakespeare, Hamlet.
Notre mission consiste à naviguer en eaux troubles pour défendre ceux qui sont sans défense contre ceux qui sont sans scrupule.
Paul Watson.
Perdus dans ce tumulte, la tâche peut nous sembler insurmontable : remettre le Vivant au cœur de nos vies au lieu de mettre un prix sur tout. Et il est vrai que nous pouvons très vite avoir l'impression de nager à contre-courant d’une société boulimique et aveugle alors que, pourtant, nous sommes nombreux à vouloir enclencher cette révolution. Mieux encore, la voix de quelques précurseurs nous guide vers ces futurs souhaitables tout en s’appliquant à dénoncer sans relâche les dérives de l’humanité. Paul Watson en fait partie.
Julien Vidal.
Mais par-dessus tout, ce dont nous avons besoin, c’est une nouvelle vision. Il nous faut la volonté et la motivation de nous libérer de notre dépendance mortifère au pétrole.
La charité a toujours soulagé la conscience des riches, bien avant de soulager l’estomac du pauvre.
Alfred Sauvy.
Je ne fais pas de distinction entre les différents groupes d’humains - l’espèce humaine est extrêmement destructrice et a le potentiel d’anéantir le système qui rend sa propre survie possible.
Dans un article publié dans le journal Science en 1968 intitulé « La Tragédie des communs », l’écologiste Garrett Hardin a décrit de manière non équivoque le processus vicieux et suicidaire qui mène l’humanité à surpêcher, au point que nous pourrions littéralement vider les océans. Il explique que lorsqu’une ressource commune limitée est exploitée par des entités multiples qui poursuivent chacune leur intérêt personnel, toutes tendront vers la maximisation de leur profit, avec peu d’intérêt pour la durabilité, et ce jusqu’à la destruction totale de la ressource commune, selon la logique que « tout ce qui n’est pas pris par moi sera pris par les autres ». C’est exactement ce qui se passe avec la vie marine, particulièrement en haute mer…
Le vrai problème, c’est que nous vivons dans une société qui sacralise la propriété privée plus que la vie.
Paul Watson.
Celui qui contrôle les médias contrôle les esprits.
Jim Morrison.
Celui qui pille avec un petit vaisseau se nomme pirate ; celui qui pille avec un grand navire s’appelle conquérant.
Proverbe grec.
Il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut l’action.
Victor Hugo, Les Misérables.