Laurence Baldetti

Uns suite (ou une fin) est très attendue!!!

Gwendalavir est sauvée grâce à Ewilan et ses amis. la paix retrouvée, il est désormais l'heure pour la jeune fille de chercher ses parents et pour cela il va devoir se confronter à la sentinelle renégate.



Nous poursuivons l'adaptation du roman jeunesse de Pierre Bottero de manière plutôt fidèle et plaisante. Les péripéties s'enchainent assez rapidement, avec certaines résolutions parfois un peu faciles. Camille et Salim sont de jeunes gens sympathiques bien qu'un peu cucul sur les bords! On se laisse prendre facilement dans la découverte de ce monde plein de magie.

Le dessin est léger, un peu enfantin et coloré. Quelques proportions approximatives me gênent de temps à autre mais rien qui ne gâche la lecture.

La quête d’Ewilan touche presque à son but. En attendant, même si l’on ne se souvient pas en détails de ce qui a pu se passer avant, on arrive très rapidement à se resituer dans l’histoire. En effet, la narration est très importante et très présente dans ces bandes-dessinées puisque les univers et le scénario sont extrêmement riches et foisonnants et le fait de découvrir cette histoire à travers les BD plutôt qu’à travers les romans me soulage ! Les illustrations et la coloration se prêtent à merveille dans cette histoire dense. J’ai été surprise de voir l’apparition de Merlin et j’ai été ravie de revoir le frère de Camille, et d’en apprendre encore davantage sur leur enfance au moment de leur séparation avec leurs parents et de leur adoption respective. Ravie donc de voir Mathieu prendre part à la fin de leurs aventures pour retrouver leurs parents et hâte de connaître la fin de cette saga !
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Ewilan finit dans ce tome par retrouver Elea Ril Morienval et l'un de ses acolytes dans la cité des frontaliers. Elle doit alors se battre en duel et finit par remporter ce combat.



Elle fait aussi une rencontre pour le moins extraordinaire dans cette cité et l'histoire se rapproche des légendes arthurienne.



Il reste ensuite à notre héroïne à retrouver ses parents et dans cette dernière quête, elle reste accompagnée par d'anciens compagnons et de nouveaux.



Salim quant à lui montre une nouvelle facette de son talent en fin d'album.



Au final : encore un très bon tome avec un excellent graphisme.

Ce tome 6 voit l’arrivée de nouveaux personnages dans la troupe d’Ewilan : son frère ainé Akiro et Siam, la petite sœur d’Edwin. Ensemble ils vont partir à la recherche des dernières sentinelles retenues prisonnières à savoir les parents de la jeune fille. Ce tome est également l’occasion de découvrir comment Ewilan/Camille et Akiro/Matthieu se sont retrouvés dans le monde des humains ainsi que d’approfondir les dons de chacun en Gwendalavir. Le tome se finit sur un rebondissement étonnant et on a forcément envie de connaître la suite.
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Toujours aussi fan de cette série.... Alternance de lecture avec les tomes d'Ellana... Parfait, Ellana en avril et Ewilan à l'automne. Que demander de mieux.



Tome riche en avancées dans sa quête pour Ewilan. J'ai été ravie et triste à la fois de savoir qu'il s'agit de l'avant dernier tome...

Encore un très bon moment passé avec Ewilan et ses amis! Un tome dans lequel il y a moins de combats mais où les pages défilent à toute vitesse!



J'ai aimé la tranquillité qui règne dans la citadelle des frontaliers, malgré les tentions avec Eléa Ril'Morienval... Nos compagnons y trouve un petit moment de répit et Ewilan continue a y faire des découvertes sur ce monde merveilleux et sa quête vers ses parents.

Les dessins nous font vraiment rêver et voyager vers ce lieu magnifique!



On parle beaucoup famille dans ce tome! On découvre les proches d'Edwin, ce qui le rend un peu plus humain. Mais on en apprend surtout plus sur les parents d'Ewilan et ce tome voit le grand retour de son frère!

Un vrai plaisir de le retrouver car sa première apparition m'avais laissé une mauvaise impression de lui! Ici, il s'engage réellement et nous révèle ses dons.



Le dernier album promet d'être très chargé en actions et en émotions! Je me demande comment tout le dénouement va tenir dans quelques planches!
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Résumé : Ewilan a réussi sa mission, mais ne sait toujours pas où sont ses parents. Accompagnée de ses fidèles amis, elle arrive à la Citadelle des Frontaliers pour recevoir les honneurs, mais elle sait aussi qu’Eléa Ril’Morienval souhaite toujours sa perte…



Mon avis : J’ai retrouvé avec beaucoup de plaisir les paysages fabuleux du monde d’Ewilan, ainsi que notre héroïne et ses amis.

La quête d’Ewilan n’est pas terminée, car elle recherche toujours ses parents, et elle doit se méfier d’Eléa qui lui veut toujours du mal.

Dans cet avant dernier tome, Ewilan va faire de nombreuses découvertes sur la mythologie de Gwendalavir et comprendre un peu mieux comment fonctionne ce monde et ses mystères, même s’il reste encore beaucoup de zones d’ombres.

Elle va faire appel à son frère pour l’accompagner sur le chemin menant à ses parents.



Les dessins sont toujours aussi magnifiques, l’histoire toujours aussi bien interprétée, et je suis avec autant de plaisir ces aventures, qui sont un vrai régal pour les yeux et pour l’esprit !
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c'est exactement comme je l'avais imaginé (j'ai lu les livres)

J'avais pas voulu lire ce 6eme tome de suite car j'avais envie de garder encore la magie d'Ewilan et de Pierre Bottero avec moi. Ce 6eme tome, qui marque également l'avant dernier tome de la quête d'Ewilan est à nouveau une réussite à mon goût. Les dessins sont envoutant et nous sommes plongée dans cet univers riche en couleurs. La rencontre entre Merlin et Ewilan est magnifique. C'était rempli de tendresse, de beauté et de bonté. J'ai beaucoup aimé le rendu qu'ils ont donné à ce passage. J'ai eu l'impression que dans ce tome on prenait un peu plus le temps et que cela suivait un peu plus l'histoire d'origine. J'ai hâte de voir Ewilan retrouver ses parents.
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Ewilan a réussi l'exploit de sauvé Gwendalavir, seulement sa quête n'est pas terminée. Elle veut maintenant retrouvé ses parents. Seulement pour pouvoir les retrouver, elle aura besoin de son frère. Mais comment faire ? Lui qui avait refuser par le passé de la suivre dans ce monde parallèle. Ewilan va encore une fois lever le mystère sur bien des événements de son passé. Toute la troupe prend une nouvelle route pour retrouver les parents d'Ewilan, mais que leur réserve ce chemin ?

Il faut toujours garder à l'esprit qu'il s'agit d'une bande dessinée jeunesse, je le trouve parfaitement adaptée pour l'âge visé. L'histoire est quelques peu complexe mais facilement compréhensible et l’intérêt de la BD est qu'on peut la relire facilement !



C'est toujours un plaisir de retrouver cette jolie troupe et ces jolies images.

Voilà une histoire de pirates bien sympathique à suivre. Sébastien Floc’h ne s’enlise pas dans le genre flibustier mais innove en prenant des femmes comme héroïnes et en saupoudrant son récit de vaudou. Les deux filles pirates, Perle et Blanche, sortent de l’ordinaire, même si leur opposition au Gouverneur et les valeurs qu’elles incarnent ne sont pas sans rappeler celles d’un dénommé Zorro. De plus, le cadre africain, berceau de la magie noire et de l’esclavage, sied parfaitement au récit imaginé par Sébastien Floc’h. Certes, cela demeure assez léger, mais l’aventure et l’humour sont au rendez-vous et le divertissement est garanti. De plus, comme cette histoire est annoncée en format diptyque, le lecteur est certain de ne pas se faire mener par le bout du nez pendant x tomes.



Mais ce qu’il faut surtout saluer dans cet album, c’est la première réalisation de Laurence Baldetti au dessin. C’est par la grande porte qu’elle s’invite au sein d’un monde du neuvième art dominé par la gente masculine. Proposant une galerie de personnages hauts en couleurs, un graphisme très dynamique et une ambiance chaleureuse, l’artiste parvient à se hisser au diapason du scénario et contribue à rendre cette lecture des plus agréables.



A découvrir !

William, jeune scientifique, arrive en Afrique. A la différence de ses sontemporains, il pense que les indigènes ont une culture riche, que nous pouvons apprendre d'eux. Son arrivée le pose comme celui qui va mettre le feu aux poudres.

En effet, Perle et Blanche sont deux jeunes femmes qui font la justice. Elles la manient par l'épée mais aussi par leurs langues agiles. En face, le gouverneur et son âme damnée, Anton. Si l'un est flegmatique, cynique, et ne pense qu'aux produits anglais, l'autre est plus terre à terre. L'esclavagisme rapporte de l'argent, mais Perle et Blanche font perdre des bénéfices. Il faut mettre fin à leurs exactions, et récupérer des esclaves, coûte que coûte.



Perle blanche aurait pu être un tome d'introduction efficace, sans plus. Mais Sébastien Floc'h manie la plume, comme ses héroïnes manient l'épée : Avec talent. Du début à la fin vous découvrirez des personnages tortueux, qui ont quelque chose à cacher. L'écriture est très dense pour un premier volume, mais la fluidité de l'action, les dialogues ciselés feront défiler les pages. Nous abordons l'esclavage sans s'alourdir dessus, nous cotoyons le Vaudou comme quelque chose de quotidien.

Le dessin n'est pas en reste. Laurence Baldetti a su affiner ses crayons pour mettre en images cette histoire. un dessin minutieux qui dévoile les courbes de nos héroïnes, met en valeurs les "gueules" du gouvernement. Les batiments européens semblent lourds face à la nature sauvage et mystérieuse de l'Afrique



Ces deux artistes nous font voyager dans un univers coloré, mais ils nous font réfléchir aussi aux conditions des esclaves, des européens qui s'embarquaient pour de lointaines contrées.

Je ne regrette qu'une chose, ne pas avoir le second tome entre les mains.



Perle blanche tome 1 : Filles du Vaudou

Laurence Baldetti

Sébastien Floc'h

Collection Grafica

Editions Glénat


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À force de dévorer des pavés, j’ai eu envie de faire une petite cure BD cet été. Or, mon choix s’est porté sur « Perle Blanche » dont la couverture semblait belle et prometteuse… De plus, la saga est en fait une duologie, ce que je trouvais vraiment chouette, car je commence à me lasser des sagas BD dont on ne connaît pas le nombre de tomes et où l’on doit attendre des années pour lire le dénouement. J’ai donc emprunté les deux volumes en espérant me régaler avec cette ambiance de piraterie et de magie vaudou…



Pour un premier opus, j’ai trouvé que les auteurs plantaient bien le décor et proposaient un bon nombre de scènes d’actions ! Attaque de navire, sauvetage d’esclaves, assassinats infiltration, etc. Il y a de quoi faire ! J’ai particulièrement adhéré au tandem Perle et Blanche, deux jeunes filles sexy, dangereuses, déterminées et combattantes. Blanche, – curieusement celle qui a la peau noire – est ma favorite. Véritable bout en train, elle fonce et se donne corps et âme dans ce combat quotidien. Perle est plus terre-à-terre et ne supporte pas que l’on prenne des risques inconsidérés, toutefois elle vaut également le détour. Les deux demoiselles ont pour objectif de faire régner la justice en intervenant lors des ventes aux esclaves et souhaitent chambouler le petit marché du Gouverneur. Un projet noble et courageux, surtout en cette période de colonisation… Le contexte m’a d’ailleurs conquise ! Je trouve que l’on voit bien le clivage entre les peuples africains libres qui vivent en paix et les colons, croulant dans le luxe, la violence et les dîners mondains. Certains passages comme la rafle d’un village sont percutants.



Au milieu de tous ces rebondissements, on distingue William, un passionné du vaudou et des coutumes locales. Il est là comme un véritable scientifique et non un tyran afin d’observer et de récolter le plus d’informations possibles. C’est un personnage assez manichéen en qui j’ai beaucoup d’espoirs… Le style de dessin est assez particulier : il n’est pas toujours beau, mais il est dynamique et coloré. Connaissant la patte de l’illustratrice grâce à la saga en bande dessinée d’Ewilan, j’avoue n’avoir pas mis trop longtemps à m’habituer… Cela dit, je pense qu’il faut quand même un temps d’adaptation, notamment à cause de certains visages qui se ressemblent… Je pense en particulier aux deux personnages visibles pages 45, 46 et 47 ! Honnêtement, si la tenue n’était pas différente, j’aurais cru que ce n’était qu’un seul et même protagoniste !



Globalement, la BD est distrayante et entraîne le lecteur dans une lutte acharnée contre les colons, les pirates et les esclaves. Cela se lit bien sans être un coup de cœur… En revanche, j’ai peur qu’avec un univers aussi riche et original, deux tomes ne soient pas suffisants ! J’espère que les auteurs sauront développer leurs personnages, la magie vaudou ainsi que le scénario…
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Ce dernier opus m'a, hélas, laissé un sentiment mitigé. Ma principale frustration vient du fait que deux tomes ne suffisent pas. Autant j'étais contente de découvrir une saga qui ne soit pas à rallonge, autant je me doutais que certains éléments seraient peu développés afin de pouvoir tenir en une cinquantaine de pages. Seulement voilà, je m'étais assez attachée au tandem Perle et Blanche. le contexte était intéressant, il y avait matière à creuser du côté de la magie vaudou et on pouvait encore donner de la consistance aux protagonistes ! de plus, à mes yeux, la fin est plus ou moins ouverte… On pourrait très bien envisager une suite… Il y avait beaucoup de pistes avec le personnage d'Anton qui a réussi à me surprendre au cours de ma lecture. Hélas, l'éditeur a estampillé la couverture d'un « Dernier opus », ce qui signifie que l'on ne verra pas d'autres tomes un jour. Dommage ! Je suis certaine que cela aurait pu plaire. Je referme donc cette saga avec un goût d'inachevé…



L'ouvrage démarrait plutôt bien, puisqu'il y avait de suite de l'action avec des personnages qui font tomber leur masque ainsi que la capture des deux héroïnes ! Il y avait donc une certaine tension. Les deux soeurs étaient en difficulté, ce qui a permis aux personnages secondaires d'entrer en jeu. À leur tour d'avoir enfin un rôle correct et de dévoiler leur personnalité via leurs actes ! de leur côté, Perle et Blanche dévoilent enfin au lecteur leurs origines. de ce fait, j'ai pu comprendre pourquoi elles avaient hérité de tels prénoms et pourquoi elles étaient aussi liées l'une à l'autre. La magie vaudou va avoir une grande importance dans le dernier tiers de la bande dessinée. J'avoue que de ce côté-là, je n'ai vraiment pas été déçue ! On est loin des simples poupées dans lesquelles on plante des aiguilles pour faire souffrir une personne ! Attendez-vous à quelque chose d'impressionnant et de chaotique !



Le rythme est encore une fois très bien dosé. En soit, je ne vois rien à redire sur la construction de ce second volume. Les planches sont dynamiques, les cases retranscrivent bien les scènes et les couleurs apportent de belles ambiances. du côté des dialogues, j'ai particulièrement aimé l'une des répliques de Parfait, l'esclave et ami de William, qui a fait écho à l'une de mes lectures : « The Hate U Give » d'Angie Thomas. En effet, l'enfant affirme avec peine que la parole d'un noir/un esclave vaut moins que celle d'un blanc. Heureusement, William est un homme intelligent : il va écouter son petit protégé et va essayer d'agir en conséquence… D'autres thématiques sont légèrement soulevées : la famille, la transmission de connaissance, l'égalité et la politique durant la période dans laquelle se déroule l'histoire. Il y a donc de belles choses dans cette BD que ce soit au niveau des réflexions, des rebondissements ou de l'ambiance. C'est regrettable de s'arrêter ici… L'aventure aurait pu repartir de plus belle !
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Ce deuxième tome propose la suite et fin de cette histoire de pirates bien sympathique, dont les personnages principaux sont des femmes. En prenant deux filles pirates pour héroïnes, Sébastien Floc’h tente de sortir ce récit flibustier de l’ordinaire, même si l’opposition de Perle et Blanche au Gouverneur et les valeurs qu’elles incarnent ne sont pas sans rappeler celles d’un dénommé Zorro.



C’est avec grand plaisir que le lecteur retrouve ce cadre africain, berceau de la magie noire et de l’esclavage, qui sied si bien à cette histoire saupoudrée de vaudou. La sorcellerie gagne d’ailleurs en importance et apporte une touche de fantastique qui alimente constamment cette histoire riche en rebondissements. Au fil des pages, Sébastien Floc’h lève le voile sur cette intrigue assez légère et sur le passé des jeunes héroïnes. Le scénario ne déborde certes pas d’originalité, mais l’aventure, l’humour et le divertissement sont au rendez-vous et l’ensemble s’avère parfaitement rythmé et narré.



Si le scénario ne marquera pas forcément les mémoires, la première réalisation de Laurence Baldetti au dessin ne passe cependant pas inaperçu. C’est par la grande porte qu’elle s’invite au sein d’un monde du neuvième art dominé par la gent masculine. Proposant une galerie de personnages hauts en couleurs, un graphisme très dynamique et une ambiance chaleureuse, l’artiste parvient à se hisser au diapason du scénario et contribue à rendre cette lecture des plus agréables.
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Je suis tombée un peu par hasard sur cette série dans la collection de mon père. Les dessins m'ont attirés tout de suite, agréables, colorés... Et puis le vaudou a une aura mystique qu'on a toujours envie d'explorer.

L'histoire est sympathique, qui se lit très bien, mais manquant un peu d'envergure, de détails. Ca passe trop vite, les évènements s'enchainent, un peu trop vite, on voudrait en savoir plus. De même sur nos personnages très intéressants et attachants, que ça soit Perle, Blanche, William ou Parfait. On n'en sait trop peu.

C'est l'impression globale de cette série. Une bonne histoire avec de très bonnes idées, de bons personnages, un contexte intéressant mais tout n'est pas assez creusé. C'est dommage.