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Citations de Les Inrockuptibles (20)


Les Inrockuptibles
■ Banksy s'attaque au 'système blanc' et rend hommage à George Floyd.
-- article de Mathieu Dejean, 08/06/2020 --

L'artiste anonyme a publié un nouveau dessin rendant hommage à George Floyd, et prenant position contre le “système blanc” et ses violences racistes.

Banksy a fait de son art ultra-reconnaissable du pochoir et de la peinture murale une arme politique qui frappe les esprits à chaque occasion : en soutien au personnel soignant, aux sans-abri, à la cause palestinienne, pour dénoncer l'inaction climatique, la situation des exilés ou encore pour se faire le relais d'une jeunesse révoltée. En plein soulèvement mondial contre le racisme, parti des Etats-Unis après la mort de George Floyd, étouffé par un policier à Minneapolis le 25 mai, l'artiste a donc pris une nouvelle fois position. Il a publié sur Instagram (où son compte est suivi par 9,3 millions d'abonnés), le 7 juin, une peinture murale représentant un mémorial, et une bougie en train d'incendier le drapeau américain.

Le texte qui accompagne le dessin est tout aussi dénué d'ambiguïté : “Au début je me suis dit que je devrais juste me taire et écouter les Noirs parler de ce problème. Mais pourquoi ferais-je cela ? Ce n'est pas leur problème. C'est le mien”, déclare d'abord Banksy. Il poursuit en attaquant de front le “système blanc” à l'origine des violences racistes : “Les personnes de couleur sont trahies par le système. Le système blanc. Comme une canalisation cassée qui inonde l’appartement des voisins du dessous. Ce système défaillant rend leur vie impossible, mais ce n’est pas à eux de le réparer. Ils ne peuvent pas, parce que personne ne les laissera vivre dans l’appartement du dessus”.

Il conclut par cet appel à la mobilisation : “C’est un problème blanc. Et si les Blancs ne le réparent pas, il faudra que quelqu’un monte et défonce la porte”. Sur son post, l'acteur Mark Ruffalo a commenté : “Oui. C'est notre problème. Nous sommes ceux qui tiennent le privilège et le pouvoir. Il est temps d'avoir une discussion difficile”.
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>> https://www.lesinrocks.com/2020/06/08/arts/arts/banksy-sattaque-au-systeme-blanc-et-rend-hommage-a-george-floyd/
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Les Inrockuptibles
■ 'Clara Luciani interpelle Roselyne Bachelot dans un texte enflammé sur Instagram', article de Briac Julliand (18/08/2020)
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La chanteuse a mentionné la ministre de la Culture dans une story Instagram lundi 17 août, dénonçant la différence de traitement entre le Puy du Fou, qui a obtenu une dérogation samedi 15 août, et le reste de la branche évènementielle du secteur culturel, extrêmement fragilisée en ces temps de crise sanitaire.
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“Vous passez de bonnes vacances madame Roselyne Bachelot ? Parce que nous on a mal au bide et au cœur et on attend des réponses qui n’arrivent pas.” Voilà comment Clara Luciani a interpellé, lundi 17 août dans une story postée sur Instagram, la ministre de la Culture. Dénonçant l'absence de mesures prises pour permettre à la branche culturelle du secteur de reprendre ses activités en ces temps de crise sanitaire - et ce alors même que le Puy du Fou a récemment obtenu une dérogation pour accueillir 9000 personnes le 15 août -, la chanteuse s'inscrit dans la vague d'artistes qui s'indignent de la situation (d'autres avant elle l'ont fait, à travers des lettres ouvertes notamment).

Une déclaration qui arrive alors que débute ce 18 août la rencontre, promise par l'exécutif, entre les professionel·les de la culture et le ministère de la Culture. Cela étant, les premiers retours sont plutôt froids : alors qu'une table ronde avait été annoncée, la rencontre prendra finalement la forme de “rendez-vous successifs au ministère de la Culture”, comme le rapporte le journaliste Yann Bertrand, spécialisé en musique pour France Info.
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>> https://www.lesinrocks.com/2020/08/18/musique
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Les Inrockuptibles
■ Jérôme Garcin démissionne du Prix Renaudot.
Trois mois après 'l’affaire' Vanessa Springora et son livre 'Le Consentement', récit de sa liaison à 14 ans avec le pédocriminel Gabriel Matzneff, qui avait dévoilé la complicité du milieu littéraire (dont du jury Renaudot) avec l’auteur des 'Moins de seize ans', Jérôme Garcin a décidé de démissionner du jury de ce Prix qu’il avait intégré en 2011.
Matzneff avait en effet reçu le Renaudot essai en 2013 pour son livre 'Séraphin c’est la fin', ce qui a été rappelé, et reproché, à la sortie du livre de Springora. Le journaliste de L’Obs, animateur du 'Masque et la Plume' sur France Inter et écrivain, qui n’avait pas alors voté pour Matzneff, a jugé impossible de faire comme s’il ne s’était rien passé.
Espérons qu’il sera remplacé par une femme - le jury Renaudot ne comptant qu’une seule jurée pour neuf hommes.

>> https://www.lesinrocks.com/2020/03/10/livres/livres/jerome-garcin-demissionne-du-prix-renaudot/
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Les Inrockuptibles
■ Le journaliste judiciaire Dimitri Rouchon-Borie convoque le démon de l’inceste et donne voix à ceux·celles qui n’ont pas les mots pour dire. Un coup d’essai déstabilisant.
- par Léonard Billot - Publié le 15 mars 2021.
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“Si je devais taire tout ça à jamais j’aurais l’impression qu’il a volé mon âme pour de bon et bien plus encore mon histoire.”
Comme un écho à 'La Familia Grande' de Camille Kouchner et à la vague MeTooInceste que sa publication a provoquée, le reporter Dimitri Rouchon-Borie signe 'Le Démon de la Colline aux Loups', premier roman sidérant, nourri de dix ans de fréquentation des prétoires, pour dire – sous la forme fictionnelle cette fois-ci – les stigmates de l’indicible et le pouvoir rédempteur de la voix (...)

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Les Inrockuptibles
■ Quand David Bowie dénonçait la sous-représentation des artistes noirs chez MTV, en 1983.

Alors que l'industrie de la musique fait face à des accusations de racisme de la part des militant·es du mouvement Black Lives Matter, qui somment les dirigeant·es de prendre des mesures concrètes pour endiguer un problème systémique, d'anciens documents font doucement surface et prouvent, s'il le fallait, que les inégalités et discriminations selon la couleur de peau sont bien réelles et ne datent pas d'aujourd'hui (ni même d'hier).

Dans ce contexte, Rolling Stone a retrouvé une interview de David Bowie réalisée chez MTV en 1983, où le chanteur anglais dénonce la sous-représentation des artistes noir·es sur la chaîne.

Face à Mark Goodman, un des présentateurs de la chaîne, Bowie explique être “terrassé par le fait qu'aussi peu d'artistes noirs” soient diffusés sur MTV, ajoutant que les rares à avoir cette chance sont diffusés entre deux et six heures du matin. Confronté, son interlocuteur se montre particulièrement gêné, expliquant timidement que “la chaîne essaye de ne pas s'adapter qu'à ce qui plaît à New-York et Los Angeles, mais aussi à Poughkeepsie ou dans le Midwest, dont certaines villes pourraient être terrorisées par Prince – qui est d'ailleurs diffusé – ou d'autres artistes noirs.”

Une réponse qui choque d'autant plus dans le contexte actuel, légitimant toutefois l'engagement des militant·es en faveur d'une dénonciation du racisme structurel dans l'industrie musicale.
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• article de Briac Julliand, 15 juin 2020
>> https://www.lesinrocks.com/2020/06/15/musique
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Les Inrockuptibles
[#CannesForever] L'année où Françoise Sagan a dénoncé la palme d'or truquée donnée à “Apocalypse Now” - article de Bruno Deruisseau, 22 mai 2020
(...)
L'accueil du film est catastrophique pour la presse américaine et plutôt bon pour la presse européenne. Les critiques portent surtout sur la fin et l'apparition de Marlon Brando, énigmatiques, sublimes et hallucinées, mais perçues à l'époque par une partie de la presse comme brouillonnes et frustrantes. La présidente du jury [Françoise Sagan] déteste le film et veut remettre la palme au Tambour de Volker Schlôndorff, adapté du roman de Gunter Grass. Elle parvient à convaincre les autres membres du jury mais le soir précédant la remise des prix, Robert Favre Le Bret aurait usé de son influence pour renverser la vapeur en faveur du film de Coppola. Maurice Bessy ex-délégué général du festival, est cette année-là membre du jury. Furieuse, Sagan menace de faire ses valises le soir même pour rentrer à Paris. Un compromis sera finalement trouvé : un prix ex aequo sera remis aux deux films.
(...)
Le festival y trouvait un intérêt en termes d'image de marque et afin de s'assurer une visibilité planétaire renforcée. En donnant la palme à Apocalypse Now, Cannes prouve au monde entier (et surtout aux Américains) qu'un grand film d'auteur doublé d'une superproduction (le film aura coûté au final 30 millions de dollars) peut utiliser le festival comme une rampe de lancement.
Elle fonctionnera à plein régime : deux oscars (meilleure photographie et meilleur son), trois Golden Globes (meilleure réalisation, meilleur second rôle et meilleur bande originale) et surtout 150 millions de dollars de recettes dans le monde.
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>> https://www.lesinrocks.com
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Les Inrockuptibles
■ Qu'est-ce que la crise du “quart de vie” qui touche de plus en plus de jeunes ? - article de Guillaume Narduzzi-Londinsky (13 mars 2018).
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Deux tiers des 25-33 ans seraient touchés par ce que l'on appelle la crise du "quart de vie". Une période marquée par le doute, la déception et une pression permanente.
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S'il est communément admis que, une fois la vingtaine passée, cette décennie représente les plus belles années de l'existence, la réalité pourrait en fait être tout autre. C'est du moins ce qu'affirme Oliver Robinson, professeur britannique de l'université de Greenwich à Londres. Grâce à une étude réalisée avec des données recueillies sur le réseau professionnel LinkedIn, le scientifique dresse le bilan d'une génération bien plus mal à l'aise qu'il n'y paraît.

• Stress, doute et remise en question.
"Ce n'est pas facile d'être un jeune adulte en 2018. Le marché de l'emploi est assez inaccessible pour la plupart d'entre eux, les prix des locations et des logements sont élevés. Il y a également une contradiction très forte entre toutes les choses 'qu'il faut réaliser' au moins une fois dans sa vie, et les pressions plus raisonnables qui poussent à être calme et heureux", explique aux Inrocks Oliver Robinson.
Selon son étude, 69% des jeunes (25-33 ans) connaissent une crise du "quart de vie", appelée également "crise des 25". Une période faite de doutes face à la complexité du monde professionnel, qu'il ne faut pas prendre à la légère.
D'autant plus pour cette fameuse génération Y, trop souvent fantasmée, qui a connu de nombreux bouleversements technologiques particulièrement déstabilisants. "Toutes les nouvelles inventions qui devaient nous permettre de gagner du temps - courriers électroniques, téléphones mobiles et autres - ont en fait accéléré la vie, au point que nous semblons constamment pressés. Désormais, nous sommes rarement dans le moment présent, sans une forme de distraction quelconque", poursuit-il.

• Une véritable crise existentielle.
Une angoisse de réussir, renforcée selon lui par les différents codes sociaux numériques. "Pendant ce temps, les réseaux sociaux alimentent un concours constant de popularité, et créent une distorsion sur la réalité de la vie des autres, de ce qu'ils sont vraiment. Et cela peut créer une sorte de complexe d'infériorité."
Déboussolés, les jeunes traversent une sorte de crise existentielle, plus caractérisée par l'époque que par un âge bien précis. "Les jeunes adultes traversent une crise qui leur fait réfléchir sur de nombreux sujets. Ils réévaluent ce qui compte vraiment dans leur vie, et tentent de trouver comment vivre sainement dans un monde qu'ils perçoivent désormais comme insensé", développe le professeur londonien.

• Une excellente occasion de se réveiller.
Une perte continue de repères qui engendre une grande remise en question. "Cela implique de s'interroger sur soi-même, sa culture et les conventions qui définissent la vie qu'on peut considérer comme 'normale'." Cela peut se traduire par des angoisses, des dépressions, ou encore des reconversions professionnelles plus ou moins prévisibles.
C'est dans cette tranche d'âge bien précise que certains décident de faire le tour du monde, d'arrêter de fumer, ou bien d'ouvrir un restaurant en bord de plage. Pas moins de 43% des 25-33 ans disent ne pas être sûrs de savoir quoi faire de leur vie et de leur carrière, 30% d'entre eux estiment qu'ils n'ont pas assez voyagé au cours de leur vie.
Mais ce passage, certes difficile, se révèle souvent bénéfique. "Une crise comme celle-ci est une excellente occasion de se réveiller, et de devenir plus complet et mature. Mais cela demeure aussi une expérience difficile à vivre, et émotionnellement très instable", conclut Oliver Robinson. Selon l'étude, cette crise du "quart de vie" durerait près de 11 mois et intervient le plus souvent à l'âge de 26 ans.
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>> https://www.lesinrocks.com/2018/03/13/actualite/societe/quest-ce-que-la-crise-du-quart-de-vie-qui-touche-de-plus-en-plus-de-jeunes/
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Malin, Noel Gallagher avait fait promettre à Alan McGee, boss du label Creation qui avait signé Oasis, de lui acheter une Rolls-Royce en cas de succès. Chose promise, chose due : le guitariste se voit offrir une Rolls de 1978 tandis que Liam obtient une Rolex. Les cadeaux vaudront au grand frère cette magnifique déclaration : "J'ai eu une Rolls, Liam une Rolex. C'est super car je ne sais pas conduire et Liam ne sait pas lire l'heure."
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Le mythe des beautiful losers, en revanche, on le renvoie aux lycéens fragiles et de noir vêtu : on n'a jamais marché dans le romantisme sordide du mort jeune, du génie écrasé par le malheur. Un musicien mort n'enregistre plus de chansons.
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C'est "Pet Sounds" qui m'a dessillé les yeux. J'aime tellement ce disque...Je viens juste d'en offrir un exemplaire à chacun de mes enfants pour les éduquer à la vie. Je considère que personne n'est accompli musicalement tant qu'il n'a pas écouté cet album...On jugera peut-être exagéré de dire qu'il s'agit du classique du siècle mais, pour moi, c'est un classique absolu, insurpassable à bien des niveaux...J'ai souvent écouté "Pet Sounds" et pleuré.

Paul McCartney
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En juillet 1966, de passage à Manille pour une série de deux concerts devant 50 000 fans, John, Paul, George et Ringo snobent involontairement (?) la réception donnée en leur honneur par Imelda Marcos, épouse du potentat local, le redoutable Ferdinand Marcos. A leur départ, vilipendés par la presse, pris à partie par la foule, molestés par les policiers, ils évitent de peu le lynchage ; leur avion est longuement immobilisé sur le tarmac, le temps de délester Brian Epstein de la recette des deux concerts.
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J'était autant fasciné par les films que par la machine qui les faisait advenir. Ce projecteur était pour moi source de féerie.
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Je me suis dit que j’allais essayer de raconter des histoires du monde réel, en dessinant le plus vite et expressif possible – que mon dessin soit des mots.
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En quarante ans, le mythique lieutenant antihéros aux faux airs de Belmondo aura beaucoup grogné, chevauché, été chassé par la poisse et surtout pris de l’épaisseur. Sur plusieurs séries parallèles (La Jeunesse
de Blueberry et Marshall Blueberry), différents auteurs (dont William Vance) se succéderont pour affiner, retoucher le portrait d’un héros qui, contrairement à nombre de ses collègues, vieillit – et dont la fin a déjà été programmée (le 5 décembre 1933, le soir de l’abolition de la Prohibition américaine). Après la mort de Charlier, Giraud fera de Blueberry un personnage plus méditatif, porté sur l’introspection. Mais à l’époque de Chihuahua Pearl (1973) – et de sa superbe et mémorable couverture, presque photoréaliste –, l’heure est encore à l’intrigue, à l’humour et à la violence, début d’une trilogie se poursuivant avec L’homme qui valait 500 000 $ et Ballade pour un cercueil. Le cowboy y fait la rencontre d’une garce qui le laissera sur le carreau et le sauvera bien sûr.
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Comme je ne suis pas danseur, j’ai essayé dans mes bandes dessinées de faire de la danse ; comme je ne suis pas acteur, j’ai essayé de jouer ; comme je ne suis pas écrivain, j’ai essayé de faire de la littérature.
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Un dessinateur passe tellement de temps tout seul, comme un forçat à casser des cailloux. S’il se confronte aux autres et vit un peu en société, ce n’est pas si mal, c’est un bon décrassage. Le retour à la table de travail est d’autant plus satisfaisant.
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Tardi dit apprécier la solitude de son métier, mais il aime surtout accompagner des écrivains, jetant des ponts avec un 9e art qu’il juge trop méprisé : Vautrin, Manchette, Verne et Céline bien sûr, dont il a notamment – et magnifiquement – illustré Voyage au bout de la nuit. (Premier) Sommet des aventures graphiques de Nestor Burma, Brouillard au pont de Tolbiac est un beau roman noir, cafardeux et suintant. Où le nom de l’agence du privé à la pipe (Fiat Lux, “que la lumière soit”) est bien entendu absurde.
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Longtemps chanteur d’opéra, Jacobs a abordé la bande dessinée après avoir mis fin à sa première carrière, alors qu’il approchait de la quarantaine. Cette maturité rejaillit sur ses ambitions de narrateur, et on sent combien à l’époque il prend déjà au sérieux ce médium encore jeune et décrié. Avec La Marque jaune, il va lui donner pour l’éternité ses lettres de noblesse. Bien que Londres, le monde et les modes de narration aient été bouleversés, ce chef-d’oeuvre atmosphérique et nourri d’esprit anglais reste un monument incontournable et a gardé le goût inimitable d’un brandy vieux de plusieurs décennies.
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Je me suis toujours appliqué à détruire le mouvement dans la bande dessinée. Je déteste l’aventure. J’ai toujours pensé qu’un gentleman doit faire le moins de gestes possible.
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We looked around at each other and said « This is a pile of s***, so let’s have a good time. »
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