Lionel Camy

TOME 2 :

Dans ce deuxième tome de Disparus dans la nature – USA, Camy nous raconte 20 autres histoires de disparition. Le principe reste le même, l’auteur nous raconte d’abord les faits, de façon très précise et détaillée, puis il conclut par une portion commentaires et analyse. Camy est un conteur. Il rassemble tous les éléments pertinents et nous les narre ensuite à la manière d’un bon thriller. Chaque histoire devient donc excessivement captivante. Certaines ont une issue positive, d’autres moins, mais toutes sont véridiques. C’est quelques fois à faire froid dans le dos. Contrairement au premier tome, ce document est moins orienté vers les thèses irrationnelles (OVNI, Bigfoot, etc). Bref, une lecture très intéressante, et j’ai bien de me lancer dans ces autres bouquins Disparus…



TOME 1 :

Chaque année des milliers de personne disparaissent. Difficile de les raconter toutes, de raconter l'horreur des familles qui attendent des nouvelles. Camy, qui possède une chaîne YouTube, a pris le parti d'en raconter quelques-unes. Dans ce livre, il se concentre sur 20 disparitions qui ont eu lieu dans des parcs nationaux américains. Un sentiment de frustration à la fin de chaque histoire, puisqu'elles n'ont jamais été élucidées. Mais très intéressant à lire pour la fan de mystère en moi. Et Camy propose, à la fin de son ouvrage, des pistes de solutions non conventionnelles. Il nous parle de créatures des bois, de portail dimensionnel, d'expériences et même d'ET. Il faut garde l'esprit ouvert, mais c'est pas si fou quand nous y pensons bien… On en connaît encore très peu sur notre univers. Bref, une bonne lecture, comme je les aime, et Camy a autant de talent à l'oral qu'à l'écrit… Bien hâte de me plonger dans ces autres ouvrages.

Hank Graffin est policier à la criminelle de Christchurch, ville de Nouvelle-Zélande qui vient de connaître un tremblement de terre qui a détruit une grande partie de la ville.

C’est dans ces conditions qu’un tueur en série va venir interférer dans la vie privée de Graffin.

Polar de bonne facture avec un ultime rebondissement auquel je ne m’attendais pas, le job est rempli.

Le style est un peu facile voire agaçant car l’auteur, français, ne peut s’empêcher d’insérer trop souvent des expressions anglophones qui se veulent branchées mais qui sont surtout pathétiques.

Néanmoins, une lecture agréable bien adaptée aux transports en commun.

Un jour, quelqu'un m'a raconté quelques histoires très intrigantes de gens qui semblaient disparaître d'un coup de baguette magique (maléfique plutôt).

Comme beaucoup d'êtres humains, j'aime bien les potins et les faits divers. Aussi, lorsque, par hasard, le premier livre de Lionel Camy m'a été suggéré par ma liseuse, je n'ai pas hésité.

Cet auteur me semble passionné par les cas de disparitions inexpliquées et inexplicables, puisque, depuis ce premier volume paru en 2016, il en a publié toute une série d'autres qui se passent partout dans le monde, en mer, en ville... partout enfin.

Bien entendu, le style n'a rien de particulier. Il ne faut pas s'attendre à de grandes envolées lyriques ou à des procédés remarquables. Mais si on veut simplement se distraire, se faire peur, s'amuser à essayer de percer le mystère, alors on se satisfera de cette relation journalistique.

On commence évidemment par l'introduction dans laquelle Lionel Camy explique de quoi il sera question : des disparitions mystérieuses et inexpliquées de personnes « dans les parcs nationaux et les forêts aux États-Unis ». Elles n'ont rien du banal accident ou des gens qui se sont tout simplement perdus. « Des personnes disparaissent en un instant, parfois sous le nez de leurs proches, sans laisser de traces, et on n'entend plus jamais parler d'elles. »

Dans ce livre, on traversera « une surface totale de 34 millions d'hectares », car il existe cinquante-neuf parcs nationaux tels le Grand Canyon, Yosemite, Yellowstone, pour ne citer que les plus connus. »

Dès que quelqu'un appelle les secours, « de gros moyens sont rapidement déployés », comme « Search and rescue » qui envoie sur le terrain un bataillon de rangers très expérimentés et très bien équipés. Mais il y a également des drones, hélicoptères, chiens pisteurs ou de cadavres... lorsque la personne n'est pas retrouvée, c'est vraiment incompréhensible.

L'auteur expose différentes causes de disparitions avant de nous raconter les vingt histoires. Elles s'échelonnent chronologiquement depuis la fin du XIXe siècle (1868) jusqu'à nos jours, en 2015, moment où Lionel Camy a écrit son livre. Elles se présentent toutes de la même manière : nom de la personne et endroit de la disparition, dans « les faits », il nous raconte ce qui s'est passé, puis, dans « commentaires », il approfondit certains aspects, évoque des explications ou donne son avis.

Ce qui surprend, c'est, non seulement que les anecdotes se situent dans tous les coins du pays (Michigan, Californie, Oregon...), mais aussi touchent des individus de tous les âges (le plus jeune a deux ans et demi, le plus âgé quatre-vingt-quatre ans). Ce sont des hommes ou des femmes. Certains, c'est vrai, sont des casse-cou, comme celui qui, « un jour (…) a attrapé à mains nues un serpent à sonnettes (…) raffole des treks dans le désert, et (…) a tellement forcé lors d'une randonnée qu'il a perdu ses ongles de doigts de pied. » Mais d'autres sont des enfants qui jouaient sagement sous le regard des parents, de paisibles retraités, ou des spécialistes du stress et du danger, comme un médecin urgentiste.

L'auteur consacre la fin de son volume à imaginer des causes assez irrationnelles, puisque tous les raisonnements cartésiens n'ont abouti à rien.

Il est vrai que j'ai pris cette partie avec scepticisme, mais il faut bien avouer que, dans certains cas, on a l'impression que la victime s'est tout bonnement dématérialisée. Et que dire du sportif de haut niveau, parti faire une petite partie de pêche et qui téléphone à sa femme, complètement paniqué parce qu'il a l'impression d'être suivi, puis, dont l'appareil borne à quantité d'endroits différents, ce qui voudrait dire qu'il « s'est déplacé à une grande vitesse entre ces points, et surtout, qu'il a obligatoirement croisé une route dans le secteur. Il ne peut donc en aucun cas s'être perdu dans la nature. » Ou encore ce bébé de deux ans retrouvé « à 19 kilomètres de chez lui ! » Car, heureusement, de temps à autre, on retrouve le disparu.

J'ai passé un bon moment avec cette lecture et je ne pense pas m'arrêter là. A l'occasion, je partirai certainement à la recherche de gens qui se sont égarés dans d'autres régions.

C'est l'histoire d'un jeune homme d'une trentaine d'année , vendeur de téléphones portables désabusé qui décide de partir à Noël se ressourcer quelques semaines en Thaïlande , dans l'ile paradisiaque de Ko Adang .

Oui mais les circonstances vont en décider autrement : Eliot va finalement échouer , avec plusieurs autres congénères sur une vieille plateforme pétrolière abandonnée en pleine mer . Ce ne sera que le début d'un long cauchemar qui ne laissera aucun répit à notre héros malchanceux .et ses acolytes .

"Passage vers l'enfer " est un très bon premier roman . L'auteur arrive parfaitement à transmettre cette atmosphère malsaine , à nous faire suivre , captivés , et témoins impuissants , les évènements qui entrainent inexorablement ces personnages maudits vers l'enfer .

Je ne vous dirais rien de l'incroyable rebondissement qui vous attend au tournant des derniers chapitres .

Aujourd’hui, pas de fiction, mais des histoires vraies qui font froid dans le dos. De la France aux États-Unis en passant par le Canada ou la Bulgarie, Lionel Camy évoque vingt disparitions irrésolues qu’on pourrait croire tout droit sorties des « meilleurs » polars. Si vous ne le connaissez pas encore, Lionel Camy est écrivain et propose plusieurs dizaines de vidéos sur YouTube (sur Lionel Camy Disparus et Nurea TV). Je les ai presque toutes vues et je le considère, à l’heure actuelle, comme LA référence en la matière.



J’ai été tellement captivée pour les histoires qu’il présente sur sa chaîne que j’ai eu très envie de les lire — on n’assimile pas les informations de la même façon selon le média. Certains cas, comme ceux de Maura Murray et Elisa Lam, ont été largement abordés dans la presse, tandis que d’autres, comme la famille Méchinaud, un couple et leurs deux enfants qui se sont volatilisés à la veille de Noël, sont moins connus du public. Je me suis creusé les méninges avec l’affaire Lars Mittank et j’ai été choquée par le kidnapping de Jennifer Kesse, dont les images de télésurveillance sont inexploitables…



Il y a beaucoup à dire sur ces nombreux drames et Lionel Camy le fait très bien. Outre le style clair et concis – il est aussi à l’aise à l’oral qu’à l’écrit – qui rend la lecture très agréable, chaque récit est structuré, étayé des connaissances de l’auteur quant aux techniques d’investigation des autorités (et leurs manquements), le tout sans omettre aucun détail important, sans digressions et avec un réel respect pour les victimes et leurs proches. Un point essentiel dont on peut le remercier : il part des faits et s'y tient, sans chercher à faire du spectacle. Ses commentaires en conclusion sont excellents, et il y a fort à parier qu’il est souvent près de la vérité. Une vérité difficile et perturbante, car on parle là de gens comme vous et moi, sans profil type, qui avaient la vie devant eux et dont la disparition laisse des familles dévastées, dans le flou et confrontées à l'incompréhension.



Amateurs de romans policiers ou d’actualités, Disparus en ville risque de vous passionner ! Pour ma part, je vais me plonger dans Disparus en mer (l'affaire Amy Bradley a de quoi vous empêcher de dormir) et poursuivrai avec les Disparus dans la nature : États-Unis, monde, et le très récent spécial Asie.

J'ai bien aimé l'univers de ce polar qui se déroule à l'autre bout du monde. Le personnage principal Hank est un flic comme on les aime : torturé et déterminé. Une intrigue bien ficelé pour une roman de qualité ! A découvrir !

Je connaissais déjà quelques-unes des affaires décrites dans ce livre, mais c’est toujours intéressant de s’y replonger, question de voir si des détails nous auraient échappés. Dans le cas présent, pas tant, bien que quelques théories sur ces affaires n’avaient jamais été évoquées, du moins, dans les vidéos vues ou lectures que j’avais faites. C’est donc 20 histoires de disparations mystérieuses que nous narrent Camy, dans une précision déconcertante. Différentes en longueur, mais pas en intérêt, ces histoires nous amènent un peu partout dans le monde. Bref, encore une lecture très intéressante.

Christchurch, Nouvelle-Zélande, le corps d'une femme sauvagement assassinée est retrouvée dans les bois. Un second corps est retrouvé très rapidement après. Le sergent-détective Graffin, mis au placard suite à la mort accidentelle de son fils qui jouait avec son arme de service, reçoit la visite inattendue de sa nièce. Cette dernière à reçue du tueur un email contenant un poème, un lien vers l'article paru dans la presse et un fichier MP3 contenant un extrait des Quatre Saisons de Vivaldi. Malgré qu'il vient tout juste d'être réintégré aux archives son oncle se lance dans l'enquête.



L'auteur place son récit dans la ville de Christchurch qui a subi un séisme, mais la toile de fond est insuffisamment décrite. Hormis quelques lignes rappelant simplement le séisme, le lecteur n'est pas projeté dans le décor. Le scénario aurait pu être placé n'importe où dans le monde.



L'enquête est prenante avec de nombreux rebondissements, même si elle reste sur la forme tout ce qu'il y a de plus classique avec plusieurs fausses pistes.



Les personnages sont bien travaillés et chaque personnage mis en scène, avec ses qualités et défauts est utile au scénario.



Le style de l'auteur est direct, avec des chapitres courts qui toutefois s'enchaînent un peu trop vite. Il est aussi à noter l'emploi de termes anglo-saxons qui reviennent trop souvent ce qui à la lecture est un peu pénible.



Une atmosphère assez prenante malgré que le décor ne soit pas exploité, une bonne dynamique de lecture et un final inattendu, ce polar est d'assez bonne qualité.
Lien : http://imaginaire-chronique...

Nouvelle- Zélande - Après un terrible séisme, le corps d'une joggeuse est retrouvé, sauvagement assassinée.

Henry Graffin, mis au placard après un drame personnel, décide d'enquêter quand une autre jeune femme disparaît.

Voilà un thriller qui ne m'a pas du tout convaincue.

Le résumé est attirant et dépaysant, les chapitres sont courts comme je les aime et pourtant pas moyen d'entrer dans l'histoire.

Il y a une multitude de personnages et j'ai trouvé le récit trop décousu et brouillon au point de m'y perdre.

Peut-être est-ce moi qui n'ai pas été réceptive, je vous laisse seuls juges.

Le sergent détective Graffin a été mis sur la touche suite à un drame familial. Lorsque sa nièce vient le voir pour lui expliquer qu'elle reçoit de mystérieux poèmes, il fait rapidement le lien avec deux meurtres survenus récemment.

J'ai adoré lire ce livre !!! Le suspend m'a tenue en haleine de bout en bout et j'ai dévoré l'ouvrage. Le style de l'auteur est très agréable, l'histoire est bien menée, les personnages ont des caractères bien trempés et le retournement final m'a laissée sans voix. Du coup, j'ai bien envie de lire le premier ouvrage écrit par l'auteur avant celui-ci.

En bref : à lire de toute urgence !

L'auto-édition est un long chemin sinueux que les auteurs d'aujourd'hui et de demain empruntent avec force et courage. Lionel Camy fait partie de ceux là.



C'est au détour d'une allée du salon du livre de Paris que j'ai eu le plaisir de le rencontrer en bonne compagnie. Pour tout vous avouer, il était en pleine conversation avec Bernard Minier. Une chose en entraînant une autre, j'ai eu le grand plaisir de m'entretenir avec lui et de repartir avec son livre dédicacé dont il m'a très gentillement fait cadeau. J'étais donc devenue l'heureuse propriétaire de Klimax, son thriller.



Klimax est le titre de la première enquête de Henry «Hank » Graffin, sergent détective à la police-criminelle de Christchurch, Nouvelle-Zélande.



Mis en arrêt forcé suite à un drame qui a ravagé sa vie, Hank va laisser son âme de flic reprendre le dessus suite à la découverte d'un corps atrocement mutilé, puis d'un second. La visite inattendue de sa nièce qui semble détenir des données en rapport avec les meurtres va le convaincre de ne pas se laisser mettre au placard.



Si Klimax a tout pour être un très bon thriller, je n'ai pas été totalement séduite. L'écriture fluide et maîtrisée ne pallie malheureusement pas aux petites fausses notes qui ont entachées ma lecture.



La Nouvelle-Zélande pour toile de fond, si elle m'a beaucoup plu, aurait méritée à mon sens d'être un peu plus détaillée. Victime d'un séisme, Christchurch est décrit trop sommairement pour que j'ai pu m'immerger dans l'environnement de Graffin et des autres personnages. Lionel Camy a fait le choix d'utiliser comme support à son roman une ville ravagée par une catastrophe naturelle mais je n'ai pas trouvé que ça ait apporté quelque chose de plus à ma lecture.



Si j'ai très vite été prise par l'histoire en elle-même, il m'a fallu un certain temps d'adaptation face à la multitude de personnages. Principaux ou secondaires, je ne le savais pas avant de progresser dans ma lecture mais mon avancement était perturbé par mes questionnements sur l'identité de chacun.



Si l'intrigue rondement menée et ses personnages avaient tout pour me plaire, je n'ai pas pu m'y attacher parce que l'auteur ne m'en a pas laissé l'occasion. Beaucoup de questions n'ont pas trouvé de réponses, ce qui m'a laissée un goût de trop peu. J'aurais apprécié plus de profondeur dans les descriptions et les histoires de chacun.

En refermant Klimax, j'ai eu l'impression qu'il avait pioché des idées dans d'autres livres du genre et qu'il avait mélangé le tout pour écrire son roman. Au final, le manque de cohésion a rendu ma lecture brouillonne. Brouillonne ne signifie pas désagréable. Si Klimax n'a pas su me convaincre totalement, je suis persuadée que le prochain roman de Lionel Camy ravira l'amatrice de thriller que je suis.



Le personnage de Hank m'a rendu curieuse et je veux vraiment en apprendre sur lui, son passé, son avenir et la fin de Klimax m'a agréablement surprise. Je n'avais rien vu venir. Là encore, j'aurais apprécié que ça soit un peu plus étoffé mais ça ne fait que me tenir en haleine un peu plus.



En somme, Lionel Camy signe un bon thriller qui n'a rien à envier à ceux publiés par les « grandes » maisons d'édition mais quelques détails et descriptions le rendraient encore meilleur à mes yeux de simple lectrice.
Lien : http://lepuydeslivres.blogsp..

J'ai découvert les vidéos YouTube de Lionel Camy il y a quelques mois et sans hésiter, je me suis abonnée pour suivre la plupart des faits de disparitions présentes. J'ai même eu envie de lire un de ses livres et les histoires énoncées sont passionnantes et très mystérieuses. Chaque année des milliers de personnes disparaissent un peu partout, sans qu'il n'y ait d'explication plausible. Ce livre là traite des disparitions dans la nature aux États-Unis et plus exactement dans l'ensemble des parcs nationaux américains. Tout au long de ce chapitre, l'auteur relate les faits et essaye d'en tirer des explications tout en restant le plus neutre possible. La dernière partie du livre évoque des hypothèses sortant un peu des sentiers battus et c'est ça qui est vraiment intéressant surtout lorsque l'on est face à des cas de disparitions inattendues et incompréhensibles. Accident, attaque d'animal sauvage, thèse criminelle ou encore au-delà du réel, toutes les possibilités sont passées au peigne fin. Je pense lire sûrement un autre de ces ouvrages prenants par la suite😊

Un polar très prenant, où le suspense dure jusqu'au bout. Le style est un peu à l'américaine, très rythmé. [Dommage qu'il y ait du fantastique pour expliquer l'histoire]

À faire dresser les cheveux sur la tête, pour la simple raison que tout cela est vrai. Aucune fiction (à mon avis) ne pourra jamais égaler l'émotion poignante qui vous prend à la découverte d'une histoire au début toute simple, et en fait abyssale d'horreur dans son déroulement, quand cette histoire est vraie. C'est toute la force de l'enquête, du réel, du concret, opposé à l'imaginaire. Vous êtes prévenu.
Lien : https://www.amazon.fr/DISPAR..

Un ouvrage très intéressant sur la possible existence du dogman. Les nombreux témoignages apportent un vrai plus! Ce livre complète parfaitement celui de Bragi Bellovaque sur le sujet. Les théories sont intéressantes. Espérons que nous sauront un jour ce qu'il en est réellement!

Me Revoili revoilà pour une analyse sur le petit dernier qui est sorti fin avril de mon auteur préféré.  



C'est le premier ouvrage que je lis sur le sujet de la mystérieuse affaire de la bête du Gevaudan. Ici, le livre traite plusieurs aspects de cette énigme de l'histoire de France passée au rang de mythe aujourd'hui qui a passionné des générations depuis plus de 250 ans.

Ce que j'ai particulièrement apprécié lors de cette lecture, c'est l'organisation par thèmes et chapitres, cela permet de bien distinguer les aspects et donne une meilleure compréhension de l'affaire en elle même. Tout est basé sur un travail de recherche solide, avec une large bibliographie datant décrits anciens à des récits plus récents, mais surtout des faits, qui rappelons le sont réels. J'ai d'ailleurs une petite pensée pour toutes les victimes de cette bête en écrivant ces lignes.



Ce livre était sorti dans une version ebook en 2016, mais depuis l'auteur l'a méticuleusement et merveilleusement bien retravaillé et corrigé.



Préférant le papier, j'attendais donc cette sortie en broché pour le lire et me faire ma propre opinion sur le sujet. J'ai beaucoup apprécié cette fluidité et cette synthèse dans la plume de Lionel Camy, j'ai eu l'impression de voyager en 1764 dans la France rurale du 18 ème siècle, où les conditions de vie étaient plus que difficiles, loin de Versailles et de sa cour. Les théories abordées permettent à chaque lecteur de se faire un point de vue.



Bilan, ce livre est une petite pépite pour les passionnés comme les amateurs d'histoire. Je ne peux que conseiller cette lecture 👍&#xNaN&#xNaN&#xNaN&#xNaN&#xNaN

Christchurch, Nouvelle-Zélande. Une joggeuse est retrouvée sauvagement assassinée dans les bois. Quelques temps plus tard, une autre jeune femme disparaît. L'inspecteur de la criminelle, Hank Graffin, au placard en raison d'un drame personnel, ne peut s'empêcher de se lancer dans l'enquête quand il apprend que sa nièce pourrait bien être liée aux meurtres.



Klimax est un thriller très très classique qui se déroule à travers des chapitres très courts (une page ou deux maximum). Le rythme est donc haletant, la lecture est rapide et les rebondissements s'enchaînent. Mention spéciale pour la toute fin du roman que je ne dévoilerai pas ici.



Une lecture sympa mais qui ne restera pas dans mes souvenirs.

« Klimax » est le premier roman mettant en scène le personnage de Henry Graffin, un policier tourmenté par un drame personnel.



L’intrigue se déroule en Nouvelle-Zélande, après une catastrophe naturelle très importante. Les décors sont d’ailleurs terriblement bien décris et servent à maintenir une ambiance assez tendu.



Pour ce qui est des personnages, j’ai adoré Hank qui a un sacré caractère ! J’ai trouvé que chaque personnage mis en scène était vraiment travaillé et utile à la tenu de l’histoire. Un bon point !



Côté intrigue, j’ai été tenu en halène d’un bout à l’autre de ce thriller pour finir sur une fin complètement inattendue ! Le déroulement est très crédible et les événements cohérents.



Vous l’aurez compris, j’ai été totalement séduite par ce thriller et je vous le conseille vivement.
Lien : https://labulledechristl.wor..

L’image qui nous vient bien souvent à l’esprit lorsque l’on évoque la Thaïlande est celle d’une destination touristique paradisiaque aux plages de sable blanc et aux lagons turquoise. Eliot Bellay, un trentenaire français employé en télécommunications ne fait pas exception à la règle : il souhaite y passer ses vacances pour se remettre en forme après une période difficile de sa vie. Pourtant, à peine est-il arrivé à destination que les malheurs s’enchaînent et, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Eliot survit à un naufrage et se retrouve sur une plate-forme pétrolière perdue en mer d’Andaman. Avec sept autres survivants, il se voit obligé de se débrouiller dans ce lieu hostile où les événements étranges se succèdent avec une rapidité déconcertante.

Passager vers l’enfer est un premier roman qui fait de l’effet, et on voit que l’auteur sait de quoi il parle. Tout le monde a déjà entendu parler de la Thaïlande, mais on en connaît généralement surtout les clichés. Quelle désillusion de découvrir un côté plutôt sombre de cette société : de la pollution aux problèmes sociaux en passant par l’inefficacité de la police, l’image décrite n’est pas des plus flatteuses. Pourtant, on se sent happé par ce monde si différent du nôtre, dans lequel on survit comme on peut. Loin de se perdre dans les détails, Lionel Camy nous suggère les traits principaux de l’endroit, nous laissant ensuite le soin d’en faire nos propres déductions.

Rapidement, l’univers du roman se retrouve limité à un seul endroit : la plate-forme pétrolière sur laquelle Eliot a échoué avec ses compagnons de fortune. Un lieu restreint, parfait pour un huis-clos... mais qui se révèle finalement bien plus inquiétant qu’on ne pourrait le penser : des bâtiments désaffectés aux salles de production, tout est sinistre et dangereux. On dirait que la plate-forme est hostile et ne veut pas des naufragés... qui doivent, malgré leurs différences de culture, cohabiter pour survivre.

Les personnages, justement, sont un point central de l’intrigue. Pas facile de cohabiter quand on a des habitudes et des intérêts tout à fait différents. L’auteur nous offre un panorama de cultures très diversifié: deux moines thaïs, une océanographe canadienne, un jeune allemand, un footballer albanais, un chef d’entreprise français et un vieil homme japonais et Eliot... qui se retrouvent forcés de cohabiter pour survivre ; la barrière de la langue ne leur facilite pas la tâche. Bien que parfois un peu stéréotypés, les personnages sont intéressants. Certains sont plus développés que d’autres, en fonction des affinités d’Eliot avec eux. Charlène, la scientifique, est un choix particulièrement intéressant car elle permet à l’auteur de donner, de manière fluide et naturelle, des informations utiles sur le milieu dans lequel se déroule l’histoire.

L’intrigue est relativement simple, mais la tension augmente au fil des évènements. Tout paraît s’acharner contre les personnages... si bien qu’on en vient à se demander s’il n’y a pas quelque chose de plus que le manque de chance dont ils ont été victimes au début. Bien que les scènes tragiques s’enchaînent parfois un peu trop rapidement à mon goût pour être tout à fait réalistes, on se laisse entraîner par le mystère.

Ce n’est qu’à la fin qu’une clef nous est livrée... et encore, ce n’est pas une solution absolue, mais plutôt une suggestion qui laisse de nombreux détails inexpliqués. Au lecteur, ensuite, de faire preuve d’imagination pour expliquer le mystère de la plate-forme ! La résolution, mélangeant légendes thaïlandaises, histoires politiques et sociales, donne matière à réfléchir... Et bien qu’il manque quelques contrastes, c’est un premier roman prometteur qui nous emmène en terre inconnue.

Je remercie Pascal Galodé Éditeurs pour la confiance qui m’a été accordée et le forum A&M pour l’organisation de ce partenariat. Passager vers l’enfer est un bon roman qui m’a fait passer un moment très agréable... et qui pourrait même donner des cauchemars !

J’aime déjà beaucoup les vidéos de Lionel Camy, j’ai donc été ravie de le retrouver pour cette anthologie de cas de disparitions.



Le style se lit bien, et les chapitres s’enchaînent en suivant la même ligne que le reste de son travail.

Deux ou trois petits bémols cependant. L’ordre chronologique suivi fait s’enchaîner beaucoup de petites histoires courtes, puis une succession de longues, ce qui casse un peu le rythme quand on enchaîne les pages. J’aurais aimé aussi voir un vrai travail sur les sources, qui ne sont citées le plus souvent que rapidement entre parenthèses. Quelques fautes d’orthographe aussi et des incohérences de date parfois, mais rien comparé à ce que laissaient entendre certaines critiques.



Pour moi, un bon entre deux, à lire entre deux romans plus prenants.