«Tous les petits mécanismes mis au point par ton grand-oncle au début de sa carrière : la cage aux oiseaux, la tirelire, le piège à doigts, ne faisaient rien d'autre que prendre la poussière sur la table de son salon. Des objets superbes, ingénieux, abandonnés là sans que personne ne pense à les breveter… Je suis une femme d'affaires, Lucas. Si je vois une opportunité commerciale, je la saisis. » (p.202)
« La vie serait tellement plus agréable, tellement plus facile s'il faisait la même taille que les autres enfants de dix ans. Personne ne pourrait plus le faire passer pour son frère cadet, personne ne pourrait plus jamais l'appeler « mon petit bonhomme ». Personne ne lui tapoterait plus l'épaule, ni ne lui offrirait d'album d'autocollants ou de sacs pour bébés, afin qu'il se tienne calme dans les musées. Il n'aurait plus besoin d'éviter de dire son nom de famille ; jamais plus personne ne le traiterait de « Hutin le Lutin » ... » (p. 248)
C'était vraiment une drôle de branche. Elle formait une sorte d'arceau. Lucas se releva et s'avança à travers la végétation marécageuse pour s'en approcher. Il tendit la main et toucha la surface rougeâtre, rugueuse. Ce n'était pas du bois mort, mais du métal. Il écarta l'enchevêtrement de tiges qui entouraient le cerceau de fer et comprit qu'il avait un tourniquet sous les yeux. Il était rouillé et déformé. Sur l'un des côtés, on voyait une petite boîte. Elle était percée d'une fente.
Lentement, il sortit une des pièces de sa poche et l'inséra dedans. Puis il se pencha sur l'arceau et poussa. Rien. Il poussa plus fort. Il y eut un horrible grincement suivi d'un tintamarre de la pièce dégringolant dans les entrailles du mécanisme. L'arceau se mit à bouger. Lucas perdit l'équilibre, trébucha sur une racine et tomba tête la première.
Des graines de panique commençaient à germer dans sa tête et elle savait que le seul moyen de les arrêter était de les ensevelir sous une montagne de faits. "Plus tu en sais, moins tu as peur", disait son père en parlant des incendies, du temps où il était pompier. (...)
- Fait numéro un , dit-elle à voix haute. Je suis dans Le Monde des Doubidous.
C'était très étrange, pensa Fidge alors qu'elle traversait le pré en direction du Bosquet Mystique, que la présence d'un éléphant en tissu (et en jupe) de près de deux mètres de haut, qui marchait un peu devant elle, la rassure et la fasse se sentir plus elle-même.
La silhouette monstrueuse et terrifiante ouvrit son énorme gueule sanguinaire, aux crocs pareils à des sabres, et poussa un couinement fluet.
"Mais la seule fenêtre des toilettes était placée très en hauteur, hors de sa portée.", cette citation montre que Lucas est petit, plus loin encore on peut voir qu'il dit en s'adressant à Violette : "La fenêtre était trop haute pour moi, mais toi, je pense que tu devrais l'atteindre sans problèmes.", ce qui montre encore une fois qu'il est petit.
Romane M 5e4
- Z'en ai assez ! J'esquize que mes ordres soient esguécutés sur le samp !!! Et ze ne plaissante zamais !!!