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Citations de Liv Stone (146)


Une souffrance apporte toujours quelque chose, qu’elle soit voulue ou non.
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- Un hasard ?! Tu me prends pour qui au juste ? s’emporte-t-elle, furieuse. Pour la plus ravissante des sorcières que j’aie jamais connue ? Mmh. Pas sûre que cette réponse lui convienne.
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- Tu es prête ? me demande sans préambule Deimos, vêtu du même caban que la veille.
- On va faire quoi au juste ? La nuit est en train de tomber. Une soirée pyjama ?
- Je ne porte pas de pyjama, se contente-t-il de dire en haussant les épaules.
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Ella est une jeune sorcière sans don, qui se retrouve mariée malgré elle, pour sauver sa soeur au dieu de la terreur Deimos. Afin de sceller la paix entre les dieux et les sorcières.
Pourquoi l’a-t-il choisit, une sorcière sans don ? Cette union va t-elle suffire pour maintenir la paix entre les deux clans ?

Une romance sur base de mythologie grecque. L’attache aux personnages est quasiment immédiate, ils sont simples, sensibles et ont chacun des combats à mener de leurs coté.
Le personnage d’Ella est doux, simple naïf, un peu déçue au début du roman face à son manque de caractère au vu de la situation.
Le personnage de Deimos est plus énigmatique, fermé aux sentiments, mais il est également patient, à l’écoute de sa femme Ella.

J’ai adoré ce premier tome, c’est typiquement le genre de romans qui me plait, la romance nous transporte, m’a conquise. Il me tarde de replonger la suite de cette saga.
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- Non, attends, me retient Athéna. Nous avons l'avantage avec la baguette et Héphaïstos. Il nous faut une stratégie, et donner du temps aux autres. Zeus a Médée, Ella et Deimos viendront la chercher, c'est certain. Et avec eux, toute la fronde. Il faut détourner Zeus de sa préparation à la bataille.
- Ça, je peux m'en charger, déclaré-je alors.
Je m'attire aussitôt les regards inquiets de ma mère et d'Héphaïstos.
- Je suis là pour ça, ajouté-je en haussant les épaules. Il veut m'épouser, je peux l'occuper autant de temps qu'il le faudra.
- Et en faisant quoi ? grogne Héphaïstos avec jalousie.
- Me jeter à son cou, à poil, bien sûr, répliqué-je d'un ton ironique.
Ça n'agace pas qu'Héphaïstos d'ailleurs, Athéna me regarde de travers et ma mère rouspète.
- Je t'ai élevé autrement, Méroé !
- Rho mais je plaisante, maman, dis-je en levant les yeux au ciel.
- Ne t'avise pas de le faire, grommelle Héphaïstos, les pommettes cuivrées.
Je lui souris, amusée.
- Une minute, remarque alors ma mère. Écartez-vous, tous les deux !
- Mamaaan, la grondé-je en écarquillant les yeux.
- Ah non, hein ! D'abord Ella, ensuite Circé, pas toi !
- Mais arrête, prié-je, livide.
- Et Jon Junior alors ? Il est si gentil, ce garçon !
- Hé, interpelle Athéna. Gardez votre querelle pour une prochaine fois.
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C’est un peu le destin de l’enfant du milieu, je suppose. L’aînée sert de modèle, la dernière est chérie. Moi, je suis la sœur de remplacement.
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— Je dois partir, au cas où, enchaîne-t-il en jetant un œil sur moi par-dessus son épaule. Je sais que tu as du mal à me résister, mais il va falloir que tu te contiennes, Circé. Cela dit, tu as parfaitement le droit de penser à moi pour te toucher.
Un clin d’œil d’or complice et il s’évapore. Je tombe en arrière en gémissant.
— Mais c’est déjà ce que je fais, idiot d’Hermès beaucoup trop canon…
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— Quiconque mange la nourriture des Enfers, reste aux Enfers. C’est sans appel.
Il a l’air bourré de résolutions et de détermination alors que moi, je ne suis sûre de rien.
— À quoi bon, Hermès ? lui demandé-je. Aucun mort n’est jamais revenu des Enfers.
— Jusqu’à nous, réplique-t-il.
La certitude dans sa voix devrait me rebooster, mais elle me bouleverse et me met en colère bien malgré moi.
— Ne joue pas à ça avec moi. Je ne suis pas ton expérience du moment, et je ne suis pas là pour mettre à l’épreuve ton ambition !
Son expression se fige.
— Ce n’est pas du tout ce que je veux.
— Alors quoi ?! éclaté-je. Pourquoi tu fais ça ?
J’ai peur, j’ai si peur que je n’arrive plus à me contrôler. Hermès ferme les yeux un court instant, nerveux. C’est encore un nouveau visage qu’il me montre, celui de l’incertitude. Lui qui est toujours si plein d’assurance.
— Tu ne fais que retarder l’inévitable ! ajouté-je.
— Tu ne comprends pas ! réplique-t-il durement.
— Quoi ? Qu’est-ce que je ne comprends pas ?
— Je n’ai jamais eu envie de te voir disparaître ! s’exclame-t-il en ouvrant ses yeux gris.
La limpidité de ses paroles suspend les battements de mon cœur. Il comptait me sauver depuis le début ? Je me sens paralysée et incrédule. Lui qui est toujours si posé, le voilà plein de détresse. Ses mots retentissent en échos dans ma tête.
— Me retrouver devant ton ombre chez toi… C’est trop tôt et inacceptable, Circé. Mon plan était d’intervenir devant le juge, c’est le meilleur moyen d’avoir accès à Hadès pour plaider ton cas.
Abasourdie, j’ouvre la bouche en espérant que des paroles sensées en sortent, mais Hermès ne m’en laisse pas le temps.
— Je ne pouvais rien te dire avant pour que tu arrives jusqu’ici, m’assure-t-il. Chaque ombre doit accepter son sort pour prendre la barque de Charon, sinon elle termine parmi les orgai. Et je dois avouer que j’ai peur de te donner de faux espoirs, mais je ferai tout pour te sortir de là parce que… pour une raison qui me dépasse, je tiens à toi.
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— Une seconde, Minos, s’excuse Hermès en me faisant reculer.
— Qu’est-ce que…
Le dieu messager interrompt le juge d’un doigt levé que n’importe qui prendrait mal. Et autant le dire : je n’ai pas du tout envie que le juge me fasse payer l’impertinence d’Hermès !
— Quoi ? m’agacé-je.
— Tu me balances que tu voulais ce baiser, que tu craquais pour moi quand tu avais quinze ans, qu’en plus tu ne m’as jamais considéré comme un ami, et je devrais me contenter de tout ça sans avoir mon mot à dire ?
Je croise les bras, le cœur cognant ma poitrine à vive allure.
— T’es sérieux, là ? Je n’ai pas tellement l’habitude de me montrer aussi sentimentale, n’en rajoute pas.
— Moi non plus, figure-toi, rétorque-t-il.
— Il n’y a rien à dire de plus de toute façon.
Ce n’est pas comme si lui éprouvait quoi que ce soit en retour, il m’a déjà bien assez dit que ce n’était pas le cas. Je retourne vers Minos qui a écarquillé les yeux, soufflé par mon comportement. Je baisse le regard, confuse. Allez, qu’on en finisse !
— Désolée.
Mais c’est sans compter Hermès qui revient à la charge.
— Ça ne prendra qu’une minute, promis, assure Hermès en m’attirant à nouveau en arrière.
— Tu crois que c’est une bonne idée de me mettre le juge à dos ?
— Pourquoi tu as toujours cherché à me transformer en cochon nain ? Et ne me ressors pas cette histoire de bronzage dans la Clairière, je ne suis pas arrivé avec l’intention de te mater, c’était un pur hasard.
Je croise les bras avec un œil critique.
— Mais bien sûr. Il n’y a aucun antécédent dans ta famille. Les Olympiens sont tous réglos et respectueux.
Ah, ça me fait plaisir de retrouver ses lèvres twistées d’agacement !
— Je n’ai pas dit ça, mais ce n’est pas mon cas.
— OK, très bien. Alors on aura réglé cette question avant la fin.
— OH ! s’écrie Minos. Non mais vous vous croyez où ?!
J’y retourne, remontée. Minos termine sa lecture, les sourcils froncés au point de former un V. Le calame se pose sur sa table et le papyrus s’enroule avant de se glisser dans la main du juge.
— Bon ! Circé, une âme de sorcière, catégorie IDR, ce n’est pas anodin, dit-il en écartant la feuille d’un geste sec.
Je frémis sur le coup. Je fixe ses iris qui parcourent les lignes et me mordille la lèvre.
Pas le Tartare, pas le Tartare…
Il ouvre la bouche et au même instant, je sens la présence d’Hermès à côté de moi. Il ne va pas remettre ça !
— Objection ! s’exclame-t-il, coupant à nouveau le juge dans son travail.
— Mais quoi, encore ? soupire Minos.
— Je peux savoir ce que tu fais ? interrogé-je. Je me fais une raison, je suis prête et toi, tu retardes encore ?
— Ne fais pas capoter mon plan en discutant tout comme ça !
— Hermès ! rugit le juge.
— Quoi ? rétorque le dieu messager.
— Écoute ton ombre ! Par Leurs Grandeurs, je n’ai jamais vu ça !
— Je clame un vice de forme, poursuit Hermès sans prendre en compte mon avis et encore moins le conseil de Minos. La mort de Circé est discutable. En tant que psychopompe, j’ai relevé plusieurs anomalies.
Mais de quoi il parle ? Quel plan pourrais-je faire capoter au fait ?
— Tu ne pouvais pas dire ça, avant ? Ou me prévenir ? sifflé-je.
— Non, je ne pouvais pas et ne discute pas, m’assène-t-il, les yeux brûlant de détermination.
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— Mets ta ceinture, conseillé-je mécaniquement à mon passager.
— Pourquoi ? Tu as l’intention de me tuer ?
— T’es en train de me dire qu’il est possible de tuer un dieu dans un accident de voiture ?
À l’évidence, j’ai un ton blagueur, mais l’info m’intéresse pour de vrai. Comment on tue un dieu ? Est-ce que c’est même possible ? Et j’espère ne pas éveiller de soupçons. Alors je lui jette un regard de côté railleur avec un sourire innocent. Mon meilleur. Je ne souris pas avec amabilité très souvent, ni à beaucoup d’élus.
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— Allez, viens, je veux bien t’emmener dans la boutique de Springfall, dis-je en feintant un ton blasé et résigné.
Hermès acquiesce et me tend aussitôt la main. J’ai un brusque mouvement de recul. Je suis encore nerveuse après ce baiser honteux-à-ne-plus-jamais-évoquer. Je l’ai suffisamment incendié lorsque nos chemins se sont à nouveau croisés, après cette soirée-là. Et depuis, il a pour interdiction totale de me toucher. Son contact me perturbe trop. Je ne vois pas pourquoi je devrais l’endurer. Du coup, j’en suis à ma troisième tentative de transformation d’Hermès en cochon nain.
— C’est juste pour qu’on se téléporte, précise-t-il.
— Pas question. La dernière fois, tu t’es éclipsé chez toi sans me ramener et j’ai dû rentrer à pied. On prend ma voiture.
Hermès a un minuscule sourire crispé avant de secouer la tête.
— Non, non. Le dieu des voyageurs ne monte pas dans ces machines.
— Le dieu des voyageurs n’a pas le choix. Soit il accepte, soit il se démerde avec la liste de naissance, imposé-je.
— Tu es dure, Circé.
— Je sais, on me le dit souvent.
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J'avais déjà l'impression que mon coeur n'était plus qu'une chose en verre, fêlé par endroit. À présent, il se fend en deux. Une brisure nette et irréparable.
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Athéna et Aphrodite, c'est un peu la raison contre le coeur. La pensée contre la passion. Tout ne peut que les séparer.
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 – T’as oublié mon nom ?
Son ton plus sérieux me serre le cœur.

– Tu crois vraiment que j’aurais pu t’oublier, Sasha ? répliqué-je immédiatement.
Je ne la quitte pas des yeux. OK. Je vais être incapable de la repousser. Elle semble émue que je prononce son prénom, même moi ça m’ébranle. On dirait un charme.
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Je le déteste parce qu’il m’a blessée comme jamais personne ne m’avait blessée. Je le déteste suffisamment pour le rayer de ma vie et espérer qu’il sorte définitivement de ma mémoire et de mes sentiments. Il a peuplé à lui seul mon âme si longtemps, il y a édicté ses lois et les a maintenues même après avoir transformé mon cœur en terre brûlée…
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Lorsqu’elle s’immobilise, on est enlacés. Elle pose mollement sa joue sur mon épaule alors que je caresse son dos tout en ramenant ses cheveux derrière son oreille. Je plonge mon nez dans sa nuque et m’enivre de son odeur.

Putain, rien n’a jamais été aussi bon ni vrai qu’à cet instant.
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Peut-être que c’était une erreur de venir ici. Peut-être que je viens de réveiller ce fantôme alors que je n’ai aucune envie d’être hantée par lui. 
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Je le braque et lui balance une paire de menottes. La vache ! J’ai l’impression d’être moi aussi un gangster avec mon flingue, mes menaces et ma volonté tenace : contenir le puissant War et par tous les moyens !
– Mets-les, ordonné-je, les bras tendus devant moi, d’une voix déterminée mais aussi tremblante.
– Parce que tu crois vraiment que tu vas me tirer dessus ? se moque-t-il sèchement, pas du tout apeuré par la situation.
Il a même retrouvé cet air si arrogant et fouteur de merde qu’il m’a parfois servi par le passé ! Rha ! J’ai toujours eu envie de lui rentrer dedans quand il fait cette tête ! Et aussi de lui sauter dessus, mais ça, c’était avant.
Maintenant que j’ai dérapé, autant tout donner.
– Ne me tente pas, craché-je.
Il acquiesce, attrape les menottes, les passe dans le radiateur alors que je n’avais pas pensé à ce point d’ancrage évident, et s’attache.
– Contente ? grogne-t-il en brandissant ses poignets liés.
À vrai dire, à le voir assis par terre dans ma chambre, avec ces menottes en fourrure rose dont se sert Bianca pour ses jeux sexuels, je sens surtout un rire nerveux me secouer l’estomac et je n’ai pas tellement envie qu’il en soit témoin. Alors je fais demi-tour, claque la porte derrière moi et me mets à tourner en rond dans le salon pour faire passer ma fièvre et mes rictus crispés.
Bordel ! J’ai maîtrisé War, leader des Horsemen of the Apocalypse ! Bordel de merde ! Si les Horsemen l’apprennent et viennent le reprendre, je suis foutue ! Et en même temps, c’est l’homme que Morgen veut abattre, qu’Enoch veut abattre, que les Circles veulent abattre et je viens de l’attacher dans ma chambre avec des menottes roses !
Je m’immobilise, prends le temps de respirer profondément et tente de me détendre. OK. Je vais revenir dans la chambre et… faire quoi bon sang ?! Oh je ne peux pas lui faire à nouveau face, je perds les pédales !
– Sash !
Sursaut !
– Tu sais, si tu veux coucher avec moi, tu n’es pas obligée de m’attacher !
Connard !
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Chapitre 8 :

War

«… J’ai exploré les sentiments qui me tombaient dessus, j’ai profité de mon temps avec elle, d’une tendresse que je n’avais jamais connue auparavant, de cette chose la plus paisible et normale de toute ma vie. Passer des après-midi entiers, Sasha sur mes genoux, dans un coin perdu près du lac, à s’embrasser, à se caresser, à discuter de tout et de rien… Cette parenthèse enchantée dans ma vie ne pouvait être qu’une « parenthèse ». Elle se referme fatalement, un jour ou l’autre.


Rien n’est plus pareil aujourd’hui, je ne peux pas forcer l’ouverture d’une nouvelle histoire avec elle. Et je sais que, tant qu’elle n’est pas là, sous mes yeux, j’ai encore une chance de me raisonner. De trouver un hôtel pour la nuit, de me rendre à la vente d’armes et de rentrer à Lafayette en oubliant tout ça.
J’écrase mon mégot, les yeux rivés sur la porte du club, avant de m’en détourner. J’ai mieux à faire. C’est pourtant à cet instant, alors que je me mets finalement en route, que le battant vole brutalement, me faisant pivoter.
La danseuse surgit, pressée, et s’arrête d’un seul coup en m’apercevant.
Plus de masque, plus de doute. Je m’approche.
– Sasha ? C’est bien toi ? »
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- Je n’arrive pas à le croire, souffle Sara en prenant sa tête entre ses mains. Je pensais que tu étais mon amie, mais une amie n’agit pas ainsi.
- Je sui désolée. Dis-moi ce que je peux faire…
- Ah mais rien ! Tu en as suffisamment fait !
Son téléphone vibre sur la table. Elle l’attrape et grommelle avant même de décrocher.
- … Non ! Nous ne faisons pas ce genre de prestation ! Merci de ne plus rappeler !
Elle jette son portable près de son café, exaspérée.
- J’espère que ça en valait la peine.
Dit sur un autre ton, cela aurait pu passer pour un commentaire complice, qui me ferait comprendre qu’elle va me pardonner. Mais non. Je vois sa bouche se tordre pour éviter de trop hurler. Je n’ose pas lui dire que ça n’a mené à rien. Je suis en train de perdre ma meilleure amie et je ne sais pas quoi faire pour contrer ce courant. Je finis par plonger ma main dans mon sac pour en sortir l’enveloppe qui contient ma démission. Je la fais glisser sur la table. Sara sait très bien à quoi s’attendre. Elle la saisit, se lève, jette des billets sur la table et se rhabille.
- Ne m’appelle plus, ne m’approche plus, c’est terminé.
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