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Citations de Louisa May Alcott (205)


« L’ambition de Jo était d’accomplir quelque chose d’absolument merveilleux ; quoi, elle n’en avait pas la moindre idée, mais elle comptait sur le temps pour l’apprendre. » (p. 69)
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« Je vais vieillir et devenir affreuse et aigrie parce que je suis pauvre et que je peux pas profiter de la vie comme les autres filles. » (p. 64)
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Ne te désespère pas ; il y a toujours du soleil derrière les nuages
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Beth est du Ciel plus que de la Terre, s’écria Jo. Sa place est avec les anges, et non avec les créatures imparfaites comme nous
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Écoute, Laurie, ne sois pas si tatillon et matérialiste. S'ils s'aiment, l'âge n'a pas la moindre importance, ni la pauvreté. Les femmes ne devraient jamais se marier pour l'argent....
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Amy, qui adorait les desserts, enfourna une grosse cuillerée, s’étrangla, cacha son visage dans sa serviette et quitta précipitamment la table.
- Oh, mais qu’est-ce que c’est encore ? s’exclama Jo, tremblante
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Elle n'avait pas encore compris qu'elle était riche des biens qui seuls rendent la vie heureuse.
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Les enfants doivent rester enfants le plus longtemps possible.
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Nous ne pouvons pas faire beaucoup, c'est vrai, mais nos petits sacrifices doivent être faits de bon cœur.
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Si nous ne sommes plus riches, nous avons encore un bon père et une chère maman et nous sommes quatre sœurs unies.
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"Margaret, l'aînée, avait seize ans et était fort jolie avec son teint clair et sa silhouette potelée, ses grands yeux, son abondante chevelure brune et disciplinée, ses lèvres pleines et ses mains blanches, dont elle tirait une certaine vanité. Très grande pour ses quinze ans, maigre et hâlée, Jo faisait penser à un poulain tant elle semblait ne jamais savoir quoi faire de ses longs membres. Elle avait une bouche décidée, un drôle de nez et des yeux gris perçants auxquels rien n'échappait, tantôt farouches, tantôt malicieux ou encore pensifs. Ses longs cheveux épais étaient sa seule beauté, mais elle les retenait le plus souvent dans une résille, afin qu'ils ne la gênent pas. Elle avait des épaules rondes, de grandes mains et de grands pieds, un dédain manifeste pour ses tenues et l'embarras visible d'une jeune fille qui grandissait trop vite et détestait cela. Elisabeth ou Beth, ainsi que tous l'appelaient, était une blondinette de treize ans, aux joues roses, aux cheveux lisses et aux yeux vifs, qui se comportait avec modestie, s'exprimait d'une voix timide et affichait une expression paisible difficile à troubler. Son père la surnommait "Mademoiselle Tranquillité", ce qui lui allait comme un gant : elle semblait en effet vivre dans son monde à elle, ne se risquant à le quitter que pour retrouver les rares personnes auxquelles accorder sa confiance et son affection. Bien qu'elle fût la benjamine, Amy occupait une place prépondérante, du moins à ses yeux. Véritable princesse des neiges aux prunelles bleues et aux boucles dorées lui tombant sur les épaules, pâle, svelte, et toujours soucieux de se comporter en demoiselle bien élevée". pg 10
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Je ne souhaite donc pas d'habiter jamais quelqu'une de ces maisons fastueuses qui ne sont pas des chez-soi, d'où le luxe chasse si souvent la paix, la bonne humeur, la santé, le bonheur et même les vrais plaisirs. Un bon, un courageux et laborieux mari comme le mien, des enfants comme vous, avec un peu plus d'aisance, si c'est possible, voilà ce que je voudrais vous assurer à chacune, mes chéries.
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Beth, dont l'ambition désintéressé était de vivre pour les autres et de rendre sa famille heureuse.
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Il existe de nombreuses Beth de par le monde, calmes et timides, qui restent dans leur coin tant que l'on a pas besoin d'elles et qui se dévouent si naturellement pour les autres que nul ne remarque les sacrifices qu'elles font jusqu'à ce que le petit grillon du foyer cesse de chanter et que la douce présence solaire s'évanouisse, ne laissant qu'ombre et silence derrière elle.
P.60
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Elles se retournaient toujours lorsqu’elles arrivaient au coin de la rue et leur mère n’oubliait jamais de se mettre à la fenêtre pour leur faire un petit signe de tête et leur envoyer un sourire. Il semblait que les deux petites filles n’auraient pas pu passer la journée si elles n’avaient pas eu ce dernier regard d ‘adieu de leur mère, et quelque ennuyées qu’elles pussent être, ce sourire qui les suivait les ranimait comme un rayon de soleil.
[...]
Il y a dans le monde beaucoup de petites Beth timides et tranquilles qui ont l’air de ne tenir aucune place, qui restent dans l’ombre jusqu’à ce qu’on ait besoin d’elles, et qui vivent si gaiement pour les autres, que personne ne voit leurs sacrifices. On les reconnaîtrait bien vite le jour où elles disparaîtraient, laissant derrière elle la tristesse et le vide !
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Elle fouilla (Jo) les journaux à la recherche de crimes et d’accidents, éveilla la suspicion des libraires en demandant des ouvrages sur les poisons, étudia le visage des passants dans la rue et les caractères de tous ceux qu’elle pouvait approcher sans se rendre compte que ces fréquentations néfastes – même limité au seul domaine de l’imagination – l’entraînerait sur une mauvaise pente.
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Il lui semblait que ni son père, ni sa mère n’approuveraient ce genre de littérature. Mais, poussée par son caractère indépendant, Jo entendait bien gagner son argent comme elle le pouvait, quitte à demander ensuite éventuellement son pardon pour les erreurs commises.
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Ni vous ni moi n’y pouvons rie, ma chère maman, repris Jo. Il faut que vos petits quittent le nid les uns après les autres. Mais n’en ayez aucune peine, mère chérie. Il y en a au moins une qui restera auprès de vous et ce sera moi. Si vous avez besoin d’aide, je serai toujours « votre homme. »
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(Laurie) J’aimerais faire le tour du monde et après m’établir en Allemagne et faire autant de musique que je le voudrais. Je serais un musicien célèbre, ne serais jamais troublé par des questions d’argent ou d’affaires, je ferais ce que j’aime. Voilà mon rêve préféré.
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Beth cessa de le craindre (Mr Laurence) dès cet instant, et resta parler avec lui comme si elle l’avait toujours connu, car l’amour fait fuir la crainte et la gratitude peut prendre le pas sur la fierté.
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