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Critiques de Lu Fraser (25)
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Le bébé yack

Les tons de bleus glaciers utilisés par Kate Hindley donnent l'atmosphère de cette jolie petite histoire de Yack.

La maman de Gertie annonce la venue d'un bébé dans la famille. Gertie décide de l'accueillir dignement avec banderole et bavoirs tricotés. Cependant sa mamie lui fait remarquer le rôle principal d'une fratrie: le partage.

Gertie accepte volontiers de prêter ses objets mais quand est-il de l'amour de sa maman?



Cet album jeunesse raconte une histoire émouvante pour des enfants.

J'ai beaucoup apprécié les drôles de bouilles des yacks ainsi que les couleurs froides réchauffées par des bonnets colorés et des plaids portés sur le dos des animaux.



C'est donc la valeur du partage et de l'amour qui donne un coté humain à ces yacks bienveillants.

Un hic cependant: le livre doit être retourné pour le lire, défaut d'impression de taille qui surprend mais qui n'enlève rien au contenu.

A partir de 4 ans et possibilité de lire à voix haute..

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Le plus petit yack

Qu'ils sont choux ces yacks avec leur longs poils et leur bonnet péruvien !

L'histoire est plutôt attendue : Gertie, la plus petite des yacks du titre veut grandir maintenant-tout-de-suite. Évidemment, sa petite taille lui permettra de réaliser un exploit. Dans le même temps, elle se rendra compte que l'enfance a du bon et qu'elle a bien le temps de grandir.

Rien de bien neuf, donc. Mais la neige en fait un album de saison et les yacks ont un fort potentiel de séduction auprès des enfants !
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Merveilleusement moi

Quand je cherche des albums drôles et décalés, je me tourne souvent vers Little Urban. Je m'amuse ainsi beaucoup avec l'humour so british d'une autrice comme Kate Hindley, que j'adore, et c'est à ses côtés que j'ai découvert Lu Fraser, que je retrouve ici !





Il y a quelques années, j'avais en effet découvert : Le plus petit yack du monde, une histoire à la fois tendre et savoureuse où le duo précité avait fait des merveilles. Alors mêmes si ce n'est pas ensemble, j'ai été ravie de retrouver au moins l'autrice pour une nouvelle aventure avec un animal atypique.



Un peu sur le même modèle que son aîné, Lu Fraser nous emmène à la rencontre non pas d'un Yack dans un paysage hivernal, été oblige, nous allons plutôt découvrir un dromadaire dans un paysage désertique, mais l'idée est la même ! Ouvrir les yeux au lecteur sur le quotidien de celui-ci et le lui rendre bien plus attractif. Mission réussie.



J'ai beaucoup aimé l'humour mettant en scène la rencontre de ce premier dromadaire avec tout plein d'autres, lui apprenant qu'ainsi la vie était bien plus amusante à plusieurs même si on peut également aimer avoir des moments de solitude. Cependant, c'est à plusieurs qu'on peut faire certaines choses et non tout seul, donc ça aide beaucoup de s'ouvrir aux autres.



Tout cela est raconté avec un grand humour pince sans rire porté aussi bien par la narration de Lu Fraser que les dessins drôlatiques de Sarah Warburton que je découvre ici. J'ai adoré ses têtes de dromadaires un peu bébêtes qu'elle nous a imaginées. C'était désopilant. Son dessin est simple mais particulièrement efficace pour nous faire comprendre l'humour des situations et le plaisir que les héros prennent ensemble. C'est parfait !



Ne révolutionnant pas les thématiques des livres pour enfants où il est de bon ton de dire que c'est plus chouette de s'amuser à plusieurs que seul, Merveilleusement moi ouvre tout de même une jolie porte sur l'altérité et le plaisir qu'on peut prendre à être plusieurs ou seul. J'ai adoré voir un héros dromadaire, c'est tellement rare et j'ai apprécié de retrouver une ambiance so british portée par un nouveau duo à suivre pour moi.
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La Maison des Yacks

Merci aux éditions Little Urban pour cet envoi me permettant de retrouver l’amusante Gertie !



Je commence à prendre l’habitude chaque année de retrouver notre chère Gertie, cette petite yack, et sa famille pour de nouvelles aventures et c’est toujours avec bonheur que j’y replonge, partageant ce plaisir avec mes jeunes lecteurs, fan d’elle de génération en génération.



Découverte en 2021 avec Le Plus Petit Yack, c’était l’occasion de parler de la place de l’enfant et de l’envie parfois trop rapide de grandir. Assise avec Le bébé Yack l’année suivante, nous avons parlé grâce à ça de l’arrivée d’un autre bébé dans le foyer. Cette année avec La maison des Yacks, il est l’heure de parler d’un autre sujet important dans la vie des enfants touchés : le déménagement.



A chaque fois, notre duo d’autrices prend ainsi plaisir d’inscrire leur histoire dans le quotidien des jeunes lecteurs et avec un texte court et simple, des dessins pétillants et plein de malice, elle gagne le lectorat à leur cause. Cela n’a pas changé cette fois encore. C’est avec un vif plaisir qu’on a retrouvé les paysages enneigés de Gertie et sa horde qui, un peu à contre-courant pour nous, vont chercher un endroit plus froid tandis que le réchauffement les gagne. Mais déménager n’a rien de facile et les autrices adressent un message aux plus petits comme aux plus grands.



Étant moi-même comme Gertie une collectionneuse de collections, notamment du côté des livres, j’ai parfaitement compris son envie de tout garder, tout emporter pour ne pas perdre ses souvenirs et ses biens. J’ai donc souri de l’humour de la situation à voir ce petit yack tout empiler sur son traîneau. Pour cela le trait de Kate Hindley est parfait ! C’est savoureux et truculent avec ces dessins pétillants et comiques qu’on lui connaît bien. Mais le plus important est le message qui vient après bien sûr où on découvre, bien évidemment, que les biens matériels ne font pas tout et qu’un foyer, c’est avant tout les gens qui vivent dedans. Le message est bien passé !



Petite aventure philosophique, doux paysages enneigés, charmante héroïne à hauteur d’enfant éveillé et belle morale, les ingrédients de cette lecture jeunesse étaient savoureux et comme à chaque fois j’ai beaucoup aimé le message délivré et la façon rassurante, drôle et douce avec laquelle il est passé. Voici une série avec laquelle je continue à aimer dialoguer avec les enfants sur leur quotidien et les valeurs de la vie.
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Opération poule mouillée

Est-ce que vous aussi quand vous voyez une poule en littérature jeunesse, vous avez directement le sentiment que vous allez passer un moment des plus truculents ? C’est peut-être l’influence de Chicken Run mais ici, j’ai tapé en plein dedans !



Je ne présente plus Lu Fraser, découverte avec bonheur en 2021 sur Le Plus Petit Yack, j’adore aussi la suivre dans les aventures d’autres animaux tout aussi amusant que notre mignon petit yack. Ainsi après les chameaux de Merveilleusement moi, place à la basse-cour d’Opération Poule mouillée ! Vous n’allez pas être déçu du voyage.



Nous rencontrons ici Marge, une matrone poule, plutôt poltronne qui aime sa petite vie tranquille mais est pétrie de peurs en tout genre. Sauf qu’un soir, un incident l’oblige à sortir de sa zone de confort et à dépasser ses peurs. Une aventure savoureuse et rocambolesque s’engage sous nos yeux avec un dynamisme et un répondant digne des meilleurs cartoons !



J’ai toujours eu un faible pour les histoires dans les basses-cours, sûrement un reste de mon enfance à la campagne, et encore plus quand on est sur des histoires avec une ambiance comme dans Chicken Run, Wallace & Groomit ou l’épisode à la campagne des Aristochats. Je trouve ça tendrement rétro et follement amusant. Ici la science de la mise en scène des autrices est évidente. L’aventure proposée avec cette Marge bondissante qui prend son courage à deux mains pour s’attaquer à ce voleur de mouton est pétillante. C’est drôle, c’est fun, c’est rythmé. Les dialogues sont savoureux. La mise en page invite au rebondissement et à l’aventure débridée et rocambolesque. C’est excellent !



En plus, il y a ici une fort jolie palette graphique revisitant la rétro – ambiance de la ferme avec des couleurs rappelant ce qui se fait dans Les petites poules. J’ai adoré cette ambiance nocturne qui permet à la lumière de percer et de dépasser ses peurs. Le dessin en lui-même est simple mais tellement rigolo, vraiment cartoonesque avec en même temps une belle épaisseur donnée à notre petite poule. Alors l’aventure est peut-être un peu courte mais parfaitement écrite pour voir Marge faire de son mieux et sauver tout le monde. C’est ce qu’on attendait.



Classique récit d’un dépassement de ses peurs parfaitement exécuté par deux autrices qui savent transcender une histoire écrite d’avance pour en faire une aventure rebondissante et amusante qui revisite les codes rétro du récit à la ferme. Un récit tellement drôle et mignon.



Merci aux éditions Little Urban pour cet envoi me permettant de retrouver la rocambolesque Lu Fraser !
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La Maison des Yacks

La maison des yacks est le troisième album mettant en scène la petite yack Gertie qui est si attendrissante ! Comme toujours aux manettes de cette histoire : Lu Fraser au scénario et Kate Hindley aux illustrations. Mon admiration pour cette dernière n’est plus un secret, c’est bien simple, je me jette sur tout ce qu’elle dessine.



Nous retrouvons donc Gertie, sa petite soeur Dottie, sa maman et sa mamie Hilda. Le printemps arrivant, notre troupeau de yacks doit déménager dans un endroit beaucoup plus frais, ce qui va beaucoup angoisser Gertie qui collectionne les livres, les photos, les cahiers, les pommes de pin…



Gertie fait face à sa plus GRANDE peur : déménager dans une nouvelle maison ! Les questions se bousculent dans sa tête.



Aimera-t-elle cet endroit ? Pourra-t-elle emmener TOUTES ses affaires ? Y aura-t-il assez de place ? Comment va-t-elle faire pour tout déménager ?



Prise de panique, elle finit par oublier l’essentiel…



Lu Fraser nous propose une histoire axée sur le déménagement et l’acceptation de cet événement par les enfants concernés. Un changement de foyer est souvent source de stress pour les enfants qui vont devoir s’approprier un nouveau cadre de vie, une nouvelle chambre…



Avec une bonne dose d’humour et de bienveillance, l’autrice démontre à ses jeunes lecteurs que peu importe l’endroit, l’important est d’être entouré de ceux qu’on aime !



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Le plus petit yack

C'est encore une fois un bien joli titre que nous proposent les éditions Little Urban ! J'ai retrouvé avec bonheur les craquantes illustrations de Kate Hindley (dont j'avais apprécié l'album "N'oublie pas ton rêve", lui aussi publié chez Little Urban). Ses personnages, des yacks en veux-tu en voilà, sont tout en rondeur. On a envie de les câliner tant ils ont l'air sympathiques ! La colorisation est également ravissante, contribuant à construire une ambiance pleine de douceur. En ce qui concerne l'histoire, elle aborde à travers les interrogations et frustrations de Gertie le thème de la différence. Le texte est tout aussi joli que les illustrations, et surtout, plein de bienveillance.
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Le bébé yack

Du même auteur, j'avais eu l'occasion de lire le tout premier album dédié à Gertie la petite yack. J'avais beaucoup aimé les illustrations très mignonnes et l'histoire à la fois tendre et drôle. Ce nouvel album est tout aussi réussi. A travers le personnage de Gertie, l'auteur se met à hauteur d'enfant pour aborder le sujet de l'arrivée d'un nouvel enfant au sein d'une famille. Il aborde également la construction de la relation entre frère/sœur et surtout, de l'amour que porte un parent pour ses enfants. L'histoire est touchante et illustre avec justesse la joie mais aussi les doutes que peut ressentir l'enfant qui va devenir grand-frère ou grande-soeur comme Gertie.
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Le plus petit yack

En peu de livres Kate Hindley est devenue pour moi une valeur sûre en matière d'albums jeunesses humoristiques et caustiques, j'ai donc été ravie de la retrouver au programme de Little Urban pour la nouvelle année !



Le Plus Petit Yack, qui sera disponible en librairie le 8 janvier, est à nouveau un album à l'histoire savoureuse avec lequel on sourit autant qu'on rit, le temps d'une aventure loufoque à souhait comme elle si bien les mettre en scène. Après la rencontre entre le Père Noël et une drôle de Reine de coeur dans La veille de Noël au pays des merveilles, place cette fois à une petite Yack, qui aimerait bien devenir grande.



Notre héroïne, cette fois, est parfaitement de saison, Gertie vit au sommet de monts enneigés parmi un troupeau de yacks, mais...  c'est la plus petite des yacks et elle en a marre. Avec elle, les auteurs s'amusent à mettre en scène ces enfants qui sont tellement impatients de grandir et qui ne voient pas les avantages dus à leur âge. Ils traitent également de la question de la différence physique et des complexes que l'on peut éprouver à cause d'elle, mais ils prennent le parti de montrer au contraire toute la richesse de cette situation.



Pour mettre en scène, ces belles valeurs, ils ont imaginé une aventure drôle et cocasse et surtout une héroïne très attachante avec notre petite yack qui a un sacré caractère. J'ai trouvé adorable de la voir s'échiner à grandir en utilisant mille et une astuces abracadabrantesques, du moins nous semble-t-il au début avant que tout cela ne se montre bien utile.



Le texte est simple et sera compréhensible par les plus jeunes. Les dessins sont une nouvelle fois très drôles, colorés et pétillants, avec en plus un très beau camaïeu de couleurs dans les bleus, rouge, blanc, gris cette fois. On retrouve les tics d'écriture et de dessins de l'autrice présents dans ses précédents albums, alors si vous aimez son style, vous ne serez pas dépaysés. Il y a également plusieurs petits clins d'oeil humoristiques qui parleront aux plus grands, ce qui fait de ce titre une lecture à plusieurs niveaux.



Un très joli conte pour apprendre à grandir.
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Opération poule mouillée

Riche en rebondissements, cette histoire rocambolesque met ainsi à l'honneur l'amitié et amusera les enfants tout en les incitant à, peut-être, affronter leurs peurs.
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Opération poule mouillée

Opération poule mouillée signe mes retrouvailles avec Lu Fraser, autrice de la série consacrée à la toute petite yack Gertie que j’aime beaucoup et ma découverte de la talentueuse Sarah Warburton aux illustrations.



L’album a une ambiance dans ses décors et ses personnages qui m’a rappelé le film d’animation Chicken Run que j’adore avec cette poule tricoteuse qui doit dompter sa peur pour aider son amie Anna qui se fait enlever sous ses yeux.



Lu Fraser propose à ses jeunes lecteurs dès 3 ans une histoire toute en rimes, c’est suffisamment rare pour être souligné, axée sur la peur, comment l’affronter et la dépasser à travers le personnage de Marge qui a la trouille de tout, même de son ombre.



Poussée par Marie, une poule qui n’a peur de rien, Marge va oser sortir de son poulailler et partir à l’assaut des kidnappeurs de la brebis Anna, comme le montre très bien la couverture.



Avec une bonne dose d’humour et de bienveillance, l’autrice démontre à ses jeunes lecteurs que oui, ils peuvent faire preuve de courage même si la peur les étreint, surtout lorsqu’il s’agit d’aider les personnes qu’ils aiment.



L’histoire proposée par Lu Fraser est drôle, fraiche, pleine de pep’s, riche en évènements, en rebondissements et me confirme qu’elle est décidément une autrice d’album à suivre. Les illustrations de Sarah Warburton sont délicieusement rétros, hauts en couleurs et donnent un bel écrin à cette histoire.



Comme toujours, le travail éditorial de la maison est épatant avec ce grand format, ses pages glacées et sa mise en page bien rythmée qui concourent à la réussite de cet album si amusant !



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Le plus petit yack

Cet album d'une de nos maisons d'édition adorées qu'est Little Urban, narre une très jolie histoire teintée de beaucoup d'humour et de tendresse, autour du personnage de Gertie, adorable yack de trop petite taille donc, ce qui l'ennuie beaucoup... Et pourtant : ce qui constitue un problème très préoccupant à ses yeux se transformera par la suite en atout "de taille" !

Ce récit délivre un message qui ravira voire rassurera et encouragera les enfants concernés par le complexe de Gertie, et qui rappellera un slogan publicitaire que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître : petit mais costaud !!

Mes filles ( 8 et 4 ans ) et moi-même avons tout adoré dans cet album !



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Le bébé yack

Kate Hindley est devenue pour moi une valeur sûre au rayon des albums jeunesse, aussi Le bébé yack ne pouvait qu’atterrir dans ma PAL tant j’avais adoré ses précédents albums et notamment N’oublie pas ton rêve et La veille de Noël au pays des merveilles.



Lu Fraser qui signe ici son second album, nous propose une histoire axée sur la venue d’un bébé au foyer et l’acceptation de cet événement par les enfants concernés.



Car si les enfants accueillent, en général, la nouvelle avec joie, ils s’interrogent aussi beaucoup, surtout lorsqu’ils ont une relation fusionnelle avec leur maman.



Est-ce que leur maman les aimera toujours autant ? Continuera-t-elle à s’occuper d’eux ? Et d’autres questions bien légitimes encore auxquelles l’autrice répond et rassure.



Avec une bonne dose d’humour et de bienveillance, l’autrice démontre à ses jeunes lecteurs que leur maman sera toujours là pour eux et que son coeur est bien assez grand pour deux et davantage !



Le récit est drôle, tendre, bien rythmé et mené par une héroïne toute mignonne et attachante que les enfants auront plaisir à suivre tout au long de ses questionnements, surtout si ils/elles sont sur le point d’accueillir un petit frère ou une petite sœur.



La mise en image de cette histoire est réalisée avec brio par Kate Hindley dont j’admire tant le travail et le talent.



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Le bébé yack

Depuis que j'ai découvert le trait savoureux de Kate Hindley et ses jolis mais décalés duos avec Lu Fraser, je suis au rendez-vous de chacun de leurs albums. Et quel bonheur ici de retrouver en plus le personnage de leur album de l'an dernier, notre cher petit Yack !



Ayant adoré son aventure l'an dernier où on la voyait accepter ses différences vis-à-vis des autres yack avec qui elle était en compétition, j'ai été très agréablement surprise de retrouver Gertie, face à un nouveau défi, celui d'être grande soeur !



Sujet phare de la littérature enfantine pour préparer les petits bouts de choux à ce qui risque de se produire quand leur famille s'agrandira et répondre ainsi à leurs questions, les autrices se sont donc frottées à un classique et elles en sortent avec les honneurs. Il y a dans cet album tout le charme et l'humour qu'on leur connaît, le tout sous le charmant trait coloré, pétillant et plein de motif de Kate Hindley. Je me suis régalée !



J'ai adoré retrouver la petite Gertie dans un premier temps et son univers montagnard fait de poncho et autre bonnet dans ce beau tapis de neige. C'était charmant de découvrir sa grand-mère aux côtés de sa mère. Gertie est toujours une petite yack pleine de vie et bons sentiments mais remplie de maladresse, ainsi ses aventures sont toujours amusantes car elle commet des bourdes improbables. L'ambiance est toujours aussi chaleureuse avec un troupeau soudé qui se soutient et s'entraide dans les épreuves. La réponse est à nouveau pile celle qu'il faut servir aux enfants pour les rassures et les mots simples de Lu Fraser font mouche ici allié au trait doux et rond de Kate Hindley, l'humour laissant place à l'émotion.



Petit album sans prétention, Bébé Yack fait à nouveau mouche pour moi. Il parvient avec simplicité et efficacité, humour et chaleur humaine à transmettre au jeune enfant un peu angoissé le réconfort dont il a besoin, le tout autour d'une charmante histoire cocasse de saison, où on se plaît à retrouver l'univers coloré et doux de Kate Hindley. Un très joli album à mettre sous les sapins des familles attendant un heureux événement.
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Le plus petit yack

Gertie la petite yack regarde les autres avec envie : à la tête du troupeau, les grands peuvent tout faire... Mais quand on l'appelle à l'aide, elle comprend qu'on peut à la fois être petit et à la hauteur !

Un album tendre et pétillant pour rassurer les petits qui cherchent leur place.
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Le plus petit yack

Kate Hindley est devenue pour moi une valeur sûre au rayon des albums jeunesse, aussi Le petit yack ne pouvait qu’atterrir dans ma PAL tant j’avais adoré N’oublie pas ton rêve et La veille de Noël au pays des merveilles.



Lu Fraser qui signe ici son premier album, nous propose une histoire axée sur la différence et l’acceptation de soi.



Les enfants découvriront qu’il est inutile de complexer sur sa taille et que chacun a sa place au sein de la société, de sa famille ou de son école.



Avec une bonne dose d’humour et de bienveillance, l’autrice démontre à ses jeunes lecteurs que même en étant petit, on peut faire de grandes choses !



Le récit est drôle, cocasse, bien rythmé et mené par une héroïne toute mignonne et attachante que les enfants auront plaisir à suivre tout au long de son aventure.



La mise en image de cette histoire est réalisée avec brio par Kate Hindley dont j’admire tant le travail et le talent.



Ses dessins colorés et rythmés sont reconnaissables au premier coup d’oeil et servent à merveille le texte de l’autrice.



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Opération poule mouillée

C’est drôle, c’est fin, c’est mignon tout plein, on a adoré.
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Le plus petit yack

Encore une jolie pépite que nous sort Little Urban. Voici le plus petit Yack de Lu Fraser & Kaye Hindley. Les illustrations sont adorables. Gertie est vraiment trop mignonne. L'histoire est chouette avec Gertie qui est la plus petite de tous les yacks mais qui a un joli rêve, c'est de devenir la plus grande !
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Le bébé yack

Gertie profite d’un câlin du soir lorsque sa maman lui annonce qu’ils seront bientôt trois. Soudainement, Gertie comprend : elle va devenir grande sœur !
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Le bébé yack

Gertie va devenir grande sœur !

Attentionnée, elle est prête à accueillir ce bébé: banderole de bienvenue, bavoir tricoté et jouets à partager. Mais une question taraude Gertie: le cœur d'une maman se partage-t-il ?

Mignon et terriblement tendre, une nouvelle aventure de Gertie pour aborder l'arrivée d'un nouveau-né.
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