Citations de Lynne Matson (177)
Je l'aimais. C'était la révélation. Une évidence.
Je ne pouvais pas supporter l'idée de le perdre alors qu'on venait juste de se trouver.
Il m'a serré l'épaule, son geste en disait plus que lui ou moi ne pouvions exprimer avec des mots.
À côté de moi, elle riait. Dans ma tête, dans mes espoirs, dans le présent. J'étais là, j'étais ici, j'étais parti. J'avais la poitrine, les poings douloureux. Il me fallait plus.
Suis ton coeur, Paulo. Je reste ton amie, quel que soit ton choix.
Tu ne peux pas avoir les hauts sans les bas.
Je ressentais quelque chose que je n'avais jamais ressenti, que je ne pourrais pas supporter de le perdre.
Pourtant, il y avait un mur entre nous. Quelque chose que je ne pouvais pas voir, mais que je pouvais sentir.
Qu'est-ce que j'aime faire ? J'adore lire, voyager, écouter de la musique. Mais Qu'est-ce que j'ai envie de faire ? Je ne sais pas. Parfois c'est comme si je ne me connaissais pas.
Ça m'est tombé dessus comme une porte vide, comme une question à laquelle je ne pouvais pas répondre. Une question qui n'avait pas de réponse.
Chaque éxpérience nous change, d'une manière ou d'une autre. Parfois pour le meilleur, parfois pour le pire.
Pour la première fois depuis des mois, je n'ai pas bloqué les souvenirs, ni les regrets. Je les ai laissés m'envahir, tous, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus un seul. Et puis je les ai laissés partir.
Ça ne marche pas comme ça. Je ne crois pas qu'une personne puisse y arriver seule. Si nous devons partir, ce sera un travail collectif.
On fait de notre mieux, cest tout. Pareil pour toi. Tu n'as pas besoin d'être un sauveur.
Il donnait tellement de sa personne qu'il ne lui restait plus rien. Tout le monde avait ses limites.
Et quand il dit « on ne craint rien », a précisé Dex, Rives veut dire « on est seulement dans la merde jusqu'au cou, ce qui est mieux que d'habitude, où c'est jusqu'aux oreilles ».
Les garçons bien sont dangereux, parce qu'il est impossible de dire quand ils seront mauvais. Je le savais, c'était du vécu.
Il n'y a pas de moment parfait, surtout pas ici, où chaque instant peut être le dernier. J'ai souri, toujoursaussi impressionné par cette fille qui m'avait fait me sentir plus vivant que je ne le croyais possible, en particulier dans un endroit où la mort était reine. -Je t'aime Charley. Plus que je n'ai jamais aimé qui que se soit.
Je crois que tout arrive pour une raison. Je crois que je suis censée être là, et je crois que je retournerai chez moi. Idem pour toi. Pour tout le monde.
Non, je ne veux pas te partager avec qui que se soit. Pourtant, il fallait que je partage Thad avec tout le monde.