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4.11/5 (sur 110 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Viña del Mar, Chili , 1979
Biographie :

Maria J. Romaley, de son vrai nom Maria José Rojas Marquez Leydier, est une romancière.

Elle a écrit également sous le pseudonyme de Xéléniel.

Elle se réfugie en France à l’âge de trois ans. À 9 ans, elle gagne son premier concours de poésie à l’Académie de Provence. À 12 ans, elle écrit son premier roman.

Encouragée par ses professeurs de français, elle participe à des concours d’écriture et elle poursuit par des études en Lettres modernes (avec un goût prononcé pour le sanskrit et la religion bouddhiste) à l'Université d'Avignon et des Pays de Vaucluse (Promotion 2000).

Après plusieurs années passées à écrire pour elle-même, elle commence à publier ses textes sur fanfic.fr.

Avec les encouragements de ses proches et des internautes, elle finit par proposer son dernier roman aux éditeurs et sera publiée pour la première fois en 2013.

Plusieurs romans sont maintenant disponibles, dans des genres comme l’urban fantasy, la romance fantastique et la comédie romantique.

Mère de deux enfants, elle vit à Montpellier.

son site : https://mromaley.wordpress.com/
son blog : http://xeleniel.over-blog.com/
pages Facebook :
https://www.facebook.com/mj.romaley
https://www.facebook.com/Bit-lit-fantastique-romance-Le-monde-de-X%C3%A9l%C3%A9niel-223770574325630/

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Source : http://rebelleeditions.com
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Les années étaient passées et je m'étais efforcée de vivre "normalement", dans cette banalité cynique et matérialiste où je ne pouvais être moi-même. Je n'étais qu'une créature standard, condamnée à refaire chaque jour les mêmes choses, les mêmes gestes futiles et dénués de sens. Je devais respecter les conventions, sans même l'espoir d'être acceptée.
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J’attendais avec impatience ce troisième tome et je n’ai vraiment pas été déçue ! C’est l’avant dernier tome et ça se sent. Le rythme m’a semblé assez soutenu. Nous en apprenons plus à chaque ligne lue, à chaque page tournée. Maria continue à nous présenter le monde très développé et fascinant imaginé par ses soins.

Les traits d’humour sonnent toujours aussi juste et sont bien présents. Shana en particulier est vraiment très drôle et j’adore la manière de penser de Patte-Blanche. J’ai également apprécié les surnom des Deva.

Les prises de conscience et les découvertes sont nombreuses et nous promettent un superbe dernier tome que j’attends vraiment avec impatience. Une superbe histoire d’amour dans un monde magique et parmi des créatures envoûtante, comment ne pas se laisser tenter ? Je n’ai qu’un mot à dire, si ce n’est pas le cas, n’hésitez plus à découvrir cette magnifique série de romance paranormale
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Comme elle était belle, l'humanité!
Un beau ramassis d'égoïstes et d'hypocrites, voilà ce qu'ont toujours été les Hommes.
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J’ai adoré retrouver l’univers de l’Âme de la nuit, bien que nous soyons toujours en bordure de cette univers. Pas le plus petit signe de Deva ou d’Asura. La narration de Maria est toujours aussi dynamique et drôle. Elle traite également un sujet complexe. Sarah a en effet été prise dans un terrible accident de voiture qui l’a privée de ses parents et l’a marquée physiquement. L’auteur aborde ce point toute en finesse.

Le développement de la nouvelle espèce, les gargouilles, est génial. Elle m’a vraiment beaucoup plu et m’a amenée à regarder autrement les êtres de pierres que je rencontre dans mes déplacements.

Quand au héro, j’en suis tout simplement tombée amoureuse. Il est magnifique et parfait… Ce couple est très touchant.

Une superbe histoire d’amour pleine d’aventure et de magie, à découvrir de toute urgence. Je suivrai avec plaisir cette nouvelle série de Maria.
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Dharma entra dans la clinique au pas de course et en retard, comme toujours. Elle se dit que, peut-être, elle devait ajouter une mention sur sa carte de visite " Dharma Jones, décoratrice d'intérieur et fréquemment en retard". Oui, très vendeur.
Elle avait un sourire perpétuel aux lèvres et un coté pétillant que tout le monde remarquait. Ses boucles dorées rebondissait sur ses épaules, encadrant un visage ovale sans nulle trace de maquillage ni ride, malgré l'approche de ses trente ans.
De nature joyeuse, Dharma avait élevé la positive attitude au rang de religion et semait sa bonne humeur avec générosité.
Comme le disait sa grand-mère, qui l'avait élevée : " Souris à la vie et la vie te sourira." Ce mantra l'accompagnait d'ailleurs jusque dans sa garde-robe. Elle portait une jupe ample d'inspiration bohème et une tunique assortie. Si elle avait ajouté à cela des bracelets aux poignets et un foulard sur les cheveux, on aurait pu la prendre pour une voyante ou une Baba cool. Mais celle qui tirait les cartes dans la famille, c'était sa grande sœur Pema, pas elle, et au moins, sa tenue annonçait la couleur. Littéralement. C'était son métier après tout.
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- C'est cela que vous appelez un truc drôle? répondit Lyam avec douceur. Si je vous proposais ce que moi, je trouve être une activité sympathique?
Elle le regarda avec curiosité et il lui sourit.
- Pour me faire pardonner? fit-il avec un regard de chien battu.
- Ouh, là! commenta son frère, quand il fait le truc du chat de Shrek, on est foutu.
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Ma seule et unique soirée avec monsieur Douady devait justement rester la seule et unique. Enfin, au moins jusqu’à ce que je sorte du temple de la Sorcière Maudite (ma très chère directrice/ enseignante en comptabilité) et que j’atteigne les terres du Saint Diplôme du baccalauréat. Dans le monde réel, celui où l’on peut finir à la rue et où des gens meurent de faim ou de froid dehors, prendre le risque de perdre ma source de revenus était impensable. Je devais absolument me tenir loin des bras tentants de mon prof de français et bosser jusqu’à ce que mon cerveau coule par mes oreilles. Je devais réussir. Alors même si les mois à venir seraient terriblement longs et que j’avais peu d’espoir que monsieur Douady m’attende (après tout, pourquoi le ferait-il ?), je n’avais pas le choix.
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Éléanee entrait sans frapper dans le bureau de la Haute elfe, les bras encombrés de livres lorsqu’elle tomba, littéralement, sur un garde qui était déjà là. Les volumes atterrirent au sol avec des bruits sourds, tandis que des mains solides retenaient la maladroite qui avait trébuché sur le coup de la surprise.
— Pardon Drakahen, dit-elle en rougissant légèrement.
— C’est toujours un plaisir, lui répondit-il avec un sourire de canaille et en la relâchant lentement.
Elle l’aimait bien. Toutes ses pensées le criaient tandis qu’elle s’installait dans un coin pour lire. Drakahen était un mercenaire que Liaden connaissait bien et qui, pour le moment, était engagé en renfort au palais. Grand, fin, musclé, l’homme devait avoir une trentaine d’années.
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Il n'avait plus rien ressenti, si ce n'est ce néant, cette absence de saveur qu'était à présent son existence. Il déambulait comme dans un rêve inconsistant, sans but, sans désir, tel un fantôme parfaitement conscient du peu de choses qui le retenaient encore sur terre.
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Dans le chaos de l’explosion, j’eus l’impression de tout voir au ralenti : la réaction immédiate de Solen qui protégea Colyne de son corps ; celle de Lexa qui s’était placée devant Eurydice et son frère, épée en main et ailes lumineuses sorties ; et le tremblement soudain du bâtiment qui était en train de s’écrouler sous les pieds d’Ismaël. J’eus à peine conscience de bouger. Une seconde, j’étais au bout de la terrasse, la suivante, je tenais Isma dans mes bras et nous volions au-dessus du lieu. Je m’arrêtai après quelques mètres parcourus, le temps de m’orienter, pour retourner aider les autres. Ce fut là que j’eus mon premier aperçu de la catastrophe. La moitié de la boutique s’était écroulée. Le côté cuisine avait explosé, de gros débris s’étant incrusté dans le magasin voisin, et des gravats envahissaient la voie. La poussière au sol devait être étouffante. Elle couvrait tout d’un voile gris ajoutant à l’impression d’irréalité. Je me rendis alors compte que mon ouïe avait été touchée. Des gens couraient dans la rue. Ils devaient crier, pourtant, seul un sifflement aigu était perceptible. — Asma ! hurla Ismaël accroché à mon cou. Je devinai plus que je n’entendis son appel. Je descendis aussitôt au rez-de-chaussée, m’étant assurée que le reste de la petite troupe n’était pas en danger. Les Hautjour étaient en train de déposer mes amis au sol. Les ailes lumineuses de Lexa créaient des mouvements tourbillonnants éphémères dans la poussière en suspension. Vue de la rue, la catastrophe prenait toute son ampleur. Je n’avais pas encore touché terre qu’Isma avait sauté pour se précipiter vers la boutique. Je rentrai mes ailes à la hâte pour lui coller au train. Chacun de mes pas écrasait de petits cristaux qui crissaient sous mes épaisses semelles.
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