Marie-Noëlle Blin

J’ai lu ce roman pour la première fois en 1995, à 9 ans, alors que je vivais non-pas un déménagement mais le passage de l’école au collège. Je quittais ma petite école de village, rassurante et tranquille, pour rejoindre un collège-lycée international, alors que le reste de mes amis de primaire effectuaient la suite de leur parcours dans le collège de secteur, entourés des mêmes personnes.

Et alors que je subissais des maux de ventre terribles chaque matin avant de devoir m’arracher à mon cocon familial pour aller prendre un bus bondé, puis rejoindre un établissement dans lequel je ne connaissais personne, où tous les élèves parlaient déjà plusieurs langues couramment, face à des professeurs qui me chargeaient de livres et de méthodes pour rattraper mon retard dans ce domaine, alors que je me rongeais les ongles et découvrais les affres de l’insomnie, je relisais, dès que possible, ce roman jeunesse dans lequel j’ai probablement trouvé un écho rassurant.

Evidemment, le déracinement de Caroline, l’héroïne, est bien plus important que le mien, puisque sa famille lui impose un déménagement sur un autre continent. Mais j’ai retrouvé cette sensation d’être une pièce rapportée, de découvrir avec horreur le jour de la rentrée que tous les élèves suivent une mode vestimentaire dont j’ignorais tout, de craindre que tout le monde se moque de moi tout en déplorant que personne ne semble remarquer mon existence… Ce sont finalement des maux que l’on rencontre tous à l’adolescence, mais qui se trouvent évidemment exacerbés avec la peur de se trouver soudainement dans un environnement qui n’est pas familier, loin de ses amis et de sa routine habituelle.

Je ne me rendais pas concrètement compte à l’époque que si je relisais sans cesse les péripéties de Caroline, c’était sans doute parce qu’elles me procuraient une sensation de compréhension et d’espoir face à mes propres angoisses et j’ai sincèrement aimé partager les inquiétudes de l’héroïne et ses absurdes tentatives pour s’intégrer à tout prix – sources d’épisodes amusants dans le roman.

Au-delà de la seule situation précise du déménagement, ce roman met en scène les craintes d’impopularité, d’intégration, de déracinement, de perte de repères… et bien évidemment, leur oppose le soutien familial, le courage de bousculer un peu ses habitudes et l’amitié.

Jéremie a dix ans, il habite à la campagne .Depuis qu’il est tout petit, sonrêve est d’avoir un animal à lui .Mais ses parents refusent .Pourtant Jérémie ne demande ni un singe, ni un panda, ni un âne, il veut un chien, un tout petit chien .Et cette fois, rien ne l’arrêtera .Jérémie décide de voler un chien au voisin et de le cacher .Il va devoir enchaîner mensonges sur mensonges et même entraîner une catastrophe .



Il y a eu plusieurs roman précédents de l’édition Castor Poche Flammarion C’est un livre plutôt pour les enfants de plus de 10 ans, ce n’est pas très difficiles à lire .Il n’y a pas d ‘élément concrets prouvant son succès, mais il est bien jugé avec plusieurs avis positifs .L’auteure est née en 1944, elle s’intéresse depuis toujours à la réalité des rapports entre les enfants, les parents avec ses pitreries et ses moments dramatiques .

C’est un récit plutôt facile à peine 120 pages, peu de personnages .Je suis proche de cette hisoire car j’ai l’inpression de l’avoir vécue .L’illustation et les images de ce récit son trés bien dessinées, ils sont représentatives du sujet .Ce récit m’a plu pour son thème qui est l’amour possessif d’un animal .La fin est surprenante et émouvante en même temps .En lisant la fin, cela m’a étonné .Ce qui m’a donné envie de lire ce livre c’est l’addiction et l’amour fou de Jérémie pour les animaux .

C'est l'histoire de Caroline une petite fille âgée de 12 ans qui a une petite sœur, Marie âgée de 8 ans et un petit frère Nicolas âgé de 6 ans. Ils habitent à Paris. Toute la famille doit déménager en Californie à cause du papa pour son travail. Caroline doit quitter tous ses amis et elle ne veut pas partir. Arrivée là-bas évidemment tout le monde parle anglais. Caroline a une nouvelle école et une nouvelle maison avec des voisines très gentilles. Petit à petit Caroline va s'habituer à sa nouvelle vie...



Ce livre est très intéressant car ça montre que déménager n'est pas une horreur. Facile à lire, ce livre va vous faire voyager.

c nul

2 jeunes amies, une vie differente pour chacune...l'une envie l'autre, alors , elles echangent famille et vie durant les vacances :un roman jeunesse dont je ne me lasse pas !