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Citations de Marie Quincey (22)


Aucun citoyen ne devrait payer de sa vie le manque d’effectifs d’un département de police. » C’était à la suite de cette déclaration, continuait l’article, que l’enquêteur avait reçu une série de menaces qui, venant s’ajouter à son sentiment de culpabilité, l’avaient poussé à commettre cet acte.
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Elle avait toujours un avis pertinent et connaissait très bien les goûts de chacun. La jeune femme la consultait souvent lorsqu’elle avait besoin de conseils pour choisir une tenue.
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Elle avait le sentiment de voir où tout cela allait mener : la vie est trop courte, je suis en train de passer à côté. Elle connaissait le discours par cœur. C’était exactement ce discours que son père avait fait à sa mère, avant leur divorce.
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Elle refusait de devenir une femme cynique qui ne croit plus en l’autorité. Elle regarda son téléphone, elle avait trois appels manqués de la part de Chloé. Il fallait absolument qu’elle retourne travailler.
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Elle se sentait comme une enfant qui venait de se faire gronder. Pourtant, ça aurait pu être bien pire, elle ne pouvait pas s’empêcher de remarquer qu’Yves n’avait pas insisté, qu’il avait laissé couler alors qu’il avait parfois du mal à lâcher le morceau. Peut-être qu’il s’était rendu compte que l’attitude d’Aline, bien qu’elle ne soit pas professionnelle, leur avait permis d’en apprendre plus sur les intentions de la police.
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C’était une femme désespérée qui essayait de comprendre. C’était une femme courageuse, qui posait des questions, même si ça mettait les autres mal à l’aise. Bizarrement, Aline n’avait aucun regret, même si elle n’était pas fière de son comportement. Elle prit le ton le plus sincère possible.
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Aline sentait quelque chose bouillonner dans son ventre, un mélange de honte et d’adrénaline, elle avait une dernière question à poser et c’était le moment ou jamais, même si elle creusait encore plus sa tombe.
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Il y avait quelque chose d’envoûtant, chez elle. C’était une très belle femme, charismatique, qui semblait prendre la vie comme elle venait. En courant après cet homme, elle avait juste suivi son instinct. Elle dégageait une légèreté et une spontanéité qu’Aline lui enviait. Zora semblait absolument authentique et c’était sans doute pour cela qu’elle lui avait fait confiance.
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Éliane était une femme intègre, sa famille passait avant tout. Comment cet inconnu pouvait faire partie de sa vie ? De quoi parlait-il ? Éliane était-elle en danger avant même de disparaître ?
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Elle avait cette sensation étrange de rencontrer une célébrité, elle ne le connaissait qu’à travers les images qu’elle avait vues à la télé ou dans les journaux. C’était un bel homme à la mâchoire carrée et au regard franc. Il avait une légère cicatrice sur le nez, qui indiquait qu’il avait sûrement été cassé par le passé.
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On veut la même chose, toutes les deux : découvrir ce qui est arrivé à ta belle-mère. On n’a pas besoin d’être de la police pour essayer de comprendre. Un cerveau, de l’intuition et… un peu de courage, ça suffit.
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Fabien n’avait jamais vraiment eu de geste tendre envers elle en public. C’était un pragmatique plutôt qu’un romantique, mais elle lui pardonnait facilement son manque de tendresse. Il compensait cela en lui procurant un sentiment de confiance en l’avenir et de sécurité.
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Elle avait besoin d’aide, mais elle ne savait pas vers qui se tourner. En temps normal, c’était Éliane qu’elle aurait appelée pour régler cette situation. Elle aurait compris sa détresse sans même qu’elle ait eu à la lui expliquer.
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Elle n’arrivait pas à savoir si c’était parce qu’ils avaient des remords ou parce qu’ils ne l’écoutaient pas.
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Je pense que certaines personnes vont en vouloir à Pellerin. On ne sait pas quel impact ça peut avoir sur la sécurité dans la ville, à terme.
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Il avait l’air complètement dépassé, le pauvre. C’est normal de vouloir des réponses et c’est son rôle de te les fournir, ou au moins de te tenir informée.
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L’ambiance était pesante, Aline sentait une agitation particulière dans le hall. Elle s’imaginait que chaque jour qui passait sans avoir retrouvé le meurtrier de la petite Iris faisait monter la tension. La fonctionnaire de police devait passer ses journées à rassurer tous les parents de la ville.
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Si c’était ce qu’il fallait faire pour obtenir la promotion, qu’il en soit ainsi. Elle se recoiffa rapidement, afficha son plus beau sourire et entra dans le bureau d’Yves comme si elle y avait été invitée.
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La jeune femme était nerveuse, elle n’arrêtait pas de penser à tous les mensonges qu’elle avait débités depuis le matin. Elle se rassurait en se disant que c’était pour le bien du couple, que Fabien avait besoin qu’elle prenne les choses en main. Il traversait une phase compliquée, il n’y voyait pas clair. Elle les empêchait simplement de faire une grosse erreur.
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Si sa vie ne continuait pas normalement, si elle se laissait envahir par ce genre de pensées, alors, elle laisserait tomber tout le monde. Elle abandonnerait Fabien et Philippe. Si personne ne tenait bon, alors, tout s’effondrerait.
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Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Indice : Esmeralda

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