Citations de Marine Barnérias (38)
" La vie sait ce qu'elle nous fait et ce qu'on entreprend n'est pas un hasard... Écoutez votre petite voix.. La vie est si belle et les obstacles ne sont là que pour nous réorienter et nous guider vers le chemin qu'on n'arrive pas à trouver...quel bonheur de se laisser guider par son instinct et son cœur. Je vous le dis, foncez, rêvez, écoutez, partagez, aimez, volez, vivez, et surtout ne vous retournez pas quand vous êtes lancé ! Cette force que nous avons tous, est surprenante. Je ne pensais pas que nous avions ça en nous ! Je ne pensais pas que notre corps, notre esprit et notre âme pouvaient réaliser autant de choses en symbiose. Je comprend que cette force arrive quand on commence à emprunter le bon chemin. J'ai confiance en vous, en nous, en toi, en moi. Cette force n'est pas une force physique mais la force intérieure.. Je ferme les yeux et me laisse réveiller une deuxième fois ! Merci a la vie de nous offrir autant de cadeaux et pardonne-moi de n'ouvrir les yeux que maintenant !
N'oubliez pas vos rêves, ce sont vos meilleures armes pour vivre dans ce monde devenu fou.
Être dans l'inconnu, face à son corps qui lâche, est une sensation terriblement déstabilisante, tout comme être dans ce tunnel où aucune porte de sortie n'est en vue alors que les idées noires, elles, sont partout.
je suis les galets, mon regard se perd dans la mer..."Tout est possible"
"Ce n’est pas comme un requin qui vous engloutirait d’un coup, mais on vous croque petit à petit tout en vous laissant avec la conscience de ce qui est en train de se passer.
J'ai aimé le coté naturel du récit. Témoignage poignant. Le plus difficile pour moi aurait été les jours de silence absolu :D
c'est fou comme on attire du monde en souriant!le sourire, c'est la vie! p.94
« La vie sait ce qu’elle nous fait et ce qu’on entreprend n’est pas un hasard non plus. Je comprends que sans cette Rosy, je serais sérieusement passée à côté de ma vie. Je réalise à quel point je ne m’en serais jamais rendu compte (…) la vie est si belle et les obstacles ne sont là que pour nous réorienter et nous guider vers les chemins qu’on n’arrive pas à trouver »
Ce n'est pas simple, je commence par parler à ma sclérose. Je lui parle tout le temps, comme à un compagnon de voyage. Et elle l'est. Je lui demande beaucoup de chose pour notre colocations. A sa place j'aurais rendu les clefs depuis longtemps !
N'oubliez pas vos rêves, ce sont vos meilleures armes pour vivre dans ce monde devenu fou.
La nature nous envoie une énergie unique, authentique, sans ingrédient chimique, mais nous oublions trop vite son importance et sa force. C'est une vraie thérapie
En fait, nous sommes tous malades. Il est LÀ le message que j’aimerais faire passer. La plus grosse maladie pour moi est de ne pas s’écouter… La solution n’est pas forcément le voyage, loin de là, mais le voyage à l’intérieur de soi.
Je me rends compte que j’ai de plus en plus envie de construire ma vie." La SEP, terrible et impitoyable, est comme domptée contre toute attente par une petite bonne femme increvable : "J’étais dans le déni de ma maladie et que je savais qu’un traitement n’aurait pas fonctionné.
Quel est cet esprit vagabond si instable, si faible, si agité, sans paix, sans tranquillité ? Il ressemble à un singe qui bondirait de branche en branche. D’un sujet à l’autre. Comme un taureau en liberté."
Oui, l’Homme existe, je l’ai rencontré. Le bon, le bienveillant, le généreux, le vrai, il existe ! Et il est Birman !
Les chevaux sont magnifiques, un gabarit beaucoup plus petit par rapport aux chevaux européens. Mais ils sont mille fois plus robustes. Ici la manucure équestre n’existe pas, ni la crème hydratante ou le démêlant. C’est remplacé par l’eau des rivières, la boue pour se protéger des moustiques et le vent pour se brosser le crin.
C’est une impression assez étrange de communion et de proximité avec la nature qui nous laisse exister pour qui nous sommes, car la nature nous a fait comme ça !
Durant ce passage au lac Inle, j’ai rencontré une multitude de personnes. J’ai l’impression que ça devient une drogue de découvrir les autres et leur histoire. La rencontre m’apaise et me stimule.
Je commence par parler à ma sclérose. Je lui parle tout le temps, comme à un compagnon de voyage. Et elle l’est. Je lui demande beaucoup de choses pour notre colocation. À sa place, j’aurais rendu les clefs depuis longtemps ! On se connaît à peine et elle a déjà une liste de critères à remplir. Je me force à ne pas penser ni réfléchir, mais uniquement à marcher et écouter.
Être face à mon stress ! C’était bien le but de mon départ ! Le stress est la première chose que je souhaite essayer de mettre de côté.