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Critiques de Marion Cuerq (2)
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Une enfance en nORd: Pour une éducation sans ..

Ce livre est percutant, bouleversant et essentiel pour un changement sociétal afin de se mettre à la hauteur des enfants pour voir les choses avec leurs yeux.

Facile à lire et très agréable car les répétitions nous permettent de nous approprier les concepts du modèle suédois pour mieux les comprendre.

J'ai beaucoup aimé en tant que professionnelle petite enfance qu'on puisse tous agir à notre échelle.
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Une enfance en nORd: Pour une éducation sans ..

Marion Cuerq ouvre la boîte de Pandore avec ses "chocolats culturels". Malgré certaines longueurs et répétitions, le lecteur ne peut rester indifférent. Notre prisme éducatif s'en voit bouleversé, questionné, balayé en l'espace de quelques chapitres.

On y découvre que depuis plus de 40 ans (1979), le code des parents suédois prohibe toutes les violences et punitions corporelles ainsi que les humiliations faites aux enfants. Ce texte sera ensuite adopté par a France en 2019, dans une version moins édulcorée.

Les suédois vont bien plus loin, en instaurant la pédagogie du dialogue qui repose sur "l'idée que l'enfant apprend par l'interaction, la communication dans la relation avec l'adulte et non pas seul. L'enfant apprend, mais l'adulte aussi."

Au-delà, les français que nous sommes, pouvons désormais enrichir notre "sac à dos" de nouveaux concepts tels que "hauteur-enfant", "enfant-auteur", ou bien "humanisation de l'enfance" et enfin "déverticalisation entre les générations".

Cet ouvrage ouvre les yeux, à nous d'agir pour changer notre "filtre de couleur".
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"– Non, pour te le dire franchement, je ne trouve pas que ce soit si formidable, dit Hans Castorp. Où sont donc les glaciers et les cimes blanches et les géants de la montagne ? Ces machins ne sont tout de même pas bien haut, il me semble. – Si, ils sont haut, répondit Joachim. Tu vois presque partout la limite des arbres. Elle est même marquée avec une netteté particulièrement frappante, les pins s’arrêtent, et puis tout s’arrête, il n’y a plus rien, rien que des rochers, comme tu peux t’en rendre compte. De l’autre côté, là-bas, à droite de la Dent Noire, de cette corne là-haut, tu as même un glacier. Vois-tu encore le bleu ? Il n’est pas grand, mais c’est un glacier authentique, le glacier de la Scaletta. Piz Michel et le Tinzenhorn, dans le creux, tu ne peux pas les voir d’ici, restent également toute l’année sous la neige. – Sous la neige éternelle, dit Hans Castorp. – Oui, éternelle, si tu veux. Oui, tout ça est déjà assez haut, mais nous-mêmes, nous sommes affreusement haut. Songes-y. Seize cents mètres au-dessus du niveau de la mer. De sorte que les altitudes n’apparaissent plus beaucoup."

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Thèmes : peinture , montagnes , ascension , alpinisme , paysages , littérature , symbolisme , nature , romantismeCréer un quiz sur cet auteur

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