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3.68/5 (sur 112 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Maris Black écrit de la romance MM depuis 2013.

Elle est thérapeute.

Elle a grandi comme ses personnages en Géorgie du Sud. Chaque personne qu'elle rencontrait pouvait devenir un des ses personnages de fiction.

Elle se passionne pour la littérature classique, roman historique et d'horreur.


Homepage : https://marisblack.com/
Facebook : https://www.facebook.com/maris.black.7



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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
- Oh que non. Personne ne touchera à mes cheveux.
- Tu te rends compte que ce que tu as, ce n'est pas un style, n'est-ce pas ? C'est plus un appel à l'aide. Tu devrais peut-être envisager de faire un petit effort, pour une fois.
- Tu es un tel salaud.
Je haussais les épaules.
- Je suis un salaud, mais ce salaud sait de quoi il parle. N'oublie pas que c'est mon gagne-pain.
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- Oh, bordel, grogna Trey. Je savais bien que ce massage était une mauvaise idée. Il faut que je vous jette un seau d'eau ?
Je levai la tête, sentant mes lèvres bleuies et mes paupières à demi fermées par le désir.
- Non, on va aller dans la chambre. Si on continue ça ici, il faudra qu'on vous fasse payer le spectacle.
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Tout le monde, y compris Braden, semblait sur ses gardes et réticent à m'adresser plus de quelques mots. J'avais l'impression d'être l'invité d'honneur d'un gala de bienfaisance pour récolter de l'argent pour la lèpre. Tout le monde voulait aider mais personne ne voulait s'approcher de près.
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Je pense honnêtement pouvoir être en mesure de dire que je n'avais jamais vécu de véritable attente jusqu'à ce soir-là. Le temps était un monstre moqueur dans la pièce alors que je patientais, nu sur son canapé de coin.
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— Tu veux me provoquer, petit bonhomme ? demande-t-il en regardant Jeremy de haut. On peut aller régler ça plus loin si tu veux, mais je pense que tout le monde ici sait qui gagnera.

Bien sûr, Jeremy ne recule pas du tout, et c’est exactement ce qui le tuera un jour. Le seul point positif à voir Caleb menacer d’écraser mon copain contre le béton, c’est que ça fait instantanément disparaître mon érection embarrassante.

Je saute hors de l’eau et me précipite vers eux. Truck et Vlad me suivent, comme toujours. Maintenant tous les mecs sont tous nus en groupe, et toutes les filles nous regardent. L’idée invraisemblable me traverse soudain l’esprit qu’elles sont en train de mater cinq des mecs les mieux bâtis de Southeastern State. Si la situation n’était pas si explosive, ce serait tordant. Mais le problème est que tout peut déraper, et je veux m’assurer que ça ne se termine pas mal.

— Pas besoin d’avancer, me dit Caleb en levant les mains en signe de paix, les yeux réduits à deux fentes. Je m’amusais un peu. Je ne voulais pas offenser ton pote. Il a son petit caractère hein ?
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Je ne sais pas si c’est l’expérience, le talent naturel ou le désir qui le rend si doué, ou peut-être que c’est mon propre besoin impérieux. Je ne suis vraiment pas en état de juger. Quoi que ça soit, le monde vient de basculer et moi avec. Je ne sais pas comment me lâcher. Je n’ai jamais su faire. Pourtant c’est exactement ce qui se passe en ce moment, que je le veuille ou non.

— Doucement, Jeremy… Doucement. Je ne veux pas encore jouir.

Le salaud arrogant sourit narquoisement sans retirer sa bouche de moi, et au lieu de ralentir, il double ses efforts. Ma queue disparaît profondément dans sa bouche encore et encore tandis que je regarde, et il lève ses yeux bleus vers moi, m’épinglant avec son regard intrépide, aussi sûrement qu’il m’a épinglé avec son corps.
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Je veux Jeremy. Après avoir perdu mon sang-froid et lui avoir sauté dessus dans les vestiaires, je le sais à coup sûr. C’est drôle : j’ai cédé à mes instincts les plus bas et fait quelque chose d’incroyablement stupide et risqué, mais cela a clarifié les choses comme jamais la prudence n’aurait pu le faire.

C’était la première fois que je lâchais prise et que je reconnaissais avoir des désirs qui ne cadrent pas avec mes plans soigneusement élaborés. Je ne peux pas continuer à les voir comme de simples inconvénients et à les ignorer dans l’espoir qu’ils disparaissent.

Si j’avais cédé à mon désir pour Jeremy dès le début, je n’aurais pas été dans cet état dans les vestiaires. Je n’aurais pas pris un tel risque.
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C’était moi le patron désormais. Je détenais le pouvoir.
À mon retour à l’Alcazar, mon manager m’appela pour me dire qu’on me proposait un combat. Je ferais face à Anthony Rodriguez, qui était actuellement le deuxième prétendant au titre des poids mi-moyens.
— Dis-leur que j’accepte, répondis-je. J’ai besoin de ce combat.
J’espérais que me battre m’aiderait à retrouver un peu de normalité dans ma vie. Ne pas être autorisé à vendre mes entreprises pendant deux ans me bouffait. Jamie allait bientôt venir et tout ce que je voulais, c’était prendre l’argent et me laver les mains de tout ça, sauf de l’Alcazar. Malheureusement, ce n’était pas une possibilité.
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Je dois admettre que quand je les ai vus danser comme ça, se frotter l’un à l’autre, ma queue a sauté pile sur midi. J’ai imaginé un tas de choses vraiment sales où nous étions tous les trois impliqués. Ça n’a pas aidé quand je les ai rejoints sur la piste de danse, vu qu’ils semblaient tous deux totalement partants pour un trio.

Être avec plus d’un mec à la fois a toujours été mon fantasme, donc j’ai été surpris de ne pas vouloir arracher leurs culs de ce bar pour les emmener quelque part où nous aurions pu faire plus. C’était bizarre, mais il y a une raison. Une raison qui ne me plaît pas du tout.

Je ne veux pas partager Jeremy.
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Dans la vie, nous avons tous des charrettes à tirer, Enzo. Chacune d’elles est remplie de fardeaux, de chagrins et de regrets. Mais Dieu ne remplit pas les charrettes des faibles avec plus qu’ils ne peuvent le supporter.
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