Mark Salisbury

Un très beau livre avec beaucoup de photos du tournage, des "storyboards", une préface de Tim Burton et des commentaires des acteurs.



Les inconditionnels d'Alice au pays des merveilles et les amateurs de cinéma y trouveront leur compte!

Un objet livre sublime!

Tout est fait pour les fans!

Grâce à de sublimes photos, illustrations et documents nous sommes à nouveau replonger dans l’univers merveilleux du film !

De plus j’y ai appris des petits secrets de tournage du film, mais également des anecdotes sur l’univers, les personnages et les animaux !

Bref un petit bijou littéraire !!

Je ne suis pas particulièrement sensible au marketing à outrance, certains livres publiés à l’occasion de la sortie des Animaux fantastiques ne m’intéressaient absolument pas. En revanche, je ne peux pas en dire autant des beaux-livres et des belles éditions. Et celui-ci était le premier sur ma liste même si j’ai un peu traîné avant de me l’offrir. Petite précision : je crois qu’il est aujourd’hui indisponible en français, il l’était en tout cas quand j’ai acheté le mien, voilà pourquoi je l’ai pris en anglais (et aussi parce que les trois quarts de mes livres sur Harry Potter sont en anglais) pour un prix extrêmement raisonnable pour le coup.



A l’instar des beaux-livres sur Harry Potter, celui-ci est magnifique. L’objet est tout simplement sublime. La couverture, la typographie, les images, le papier… Aucun doute, l’ouvrage est soigné. Un travail de qualité, signé MinaLima. C’est un plaisir de le lire petit à petit, de découvrir les artefacts (affiches « Wanted », tracts, formulaires du MACUSA…) qui se cachent entre ses pages, de scruter chaque détail des illustrations, croquis et autres photographies.



Les différentes parties s’enchaînent avec logique, en suivant le film : Newt, ses trois compères, New York, MACUSA, New Salem Philanthropic Society, The Blind Pig, les dernières scènes du film et last but not least la valise de Newt et ses habitants. J’ai particulièrement aimé les quatre pages détaillant la création des animaux fantastiques, de travail d’imagination au rendu final.



Les textes sont passionnants, riches d’informations, on apprend de nombreux détails sur les différentes étapes de la de la réalisation du film. A travers ce livre, on constate une fois encore la minutie du travail des différentes équipes du film et du soin apporté à des détails invisibles à l’écran. Je suis à chaque fois époustouflée et abasourdie. Un exemple ? Dans les bureaux du journal de Shaw Sr., chaque bureau est décoré d’une manière différente en fonction de s’il appartient au chroniqueur sport, art, news, etc. Décoré en surface évidemment, mais aussi dans les tiroirs des bureaux. Tout ça pour un lieu qui apparaît dans une scène. C’est dingue… J’ai aussi découvert avec surprise qu’ils avaient reconstruit New York aux studios de Leavesden, leur plus grand décor à ce jour (une visite, une visite, une visite !).



Particulièrement complet et agréable à lire, c’est un ouvrage magnifique. Une petite pépite que je vous recommande chaudement.

Je vous invite à aller voir sur mon blog pour quelques photos plus parlantes que des mots.
Lien : https://oursebibliophile.wor..

Étant une grande fan du monde d'Harry Potter depuis ma plus tendre enfance, il n'était pas difficile pour mes proches de me faire très plaisir lors des fêtes de Noël. En effet, collectionnant le moindre objet se rattachant à cet univers, on m'a offert ce magnifique ouvrage, qu'est "La valise des Animaux Fantastiques".



En réalité, il s'agit d'un guide de film du récemment sorti: les Animaux Fantastiques, préquel d'Harry Potter. Ce livre-objet, au packaging magnifique est une véritable mine d'or pour les fans. On y découvre de petites biographies des acteurs, l'histoire des personnages du film, un bestiaire, l'histoire de la création des décors, des costumes et des accessoires, les méthodes du jeu des acteurs etc... le tout est ponctué de photographies, de croquis, et de petites pochettes contenant des reproductions de documents du film, pour mon plus grand plaisir. Telle une enfant, j'ai adoré découvrir les petites pochettes, les photographies, l'histoire des animaux fantastiques etc...



L'ouvrage est d'une bonne longueur: 160 pages, et malgré les petits pochettes, il est assez robuste. le papier est très épais, les couleurs sont vives pour une lecture optimale. Je note néanmoins quelques erreurs d'impression: j'ai souvent distingué des lettres supplémentaires dans les fenêtres d'écriture. Mais la qualité du reste m'ont vite fait oublié ce désagrément.



En conclusion, je recommande chaudement cet adorable ouvrage aux fans inconditionnels de l'univers Harry Potter. Ne reste plus qu'à attendre la sortie DVD du film pour pouvoir me replonger dans ce monde imaginaire !

Secrets de tournage, choix des acteurs, construction du monde des sorciers... si vous voulez entrer dans les coulisses du film ce livre est fait pour vous !

J'avais eu ce livre à la sortie du film mais je ne l'avais pas encore lu.

J'aime beaucoup ce genre d'ouvrage dans lequel on apprend de petites anecdotes sur le tournage, la création des décors et des costumes, les problèmes rencontrés.

En plus il y a plein de photos du tournage et des dessins préparatoires. Ainsi que des fac-similés. C'est vraiment un beau livre de qualité !

Je regrette simplement que les pages sur les animaux n'arrivent qu'à la fin !

Un très bel ouvrage avec ce guide des coulisses du film Les animaux fantastiques. On voit très vite que la confection a été faite avec grand soin et est notamment illustré avec de nombreuses œuvres des MinaLima alliant pop-up, affiches et éléments cachés dans des petites pochettes. Le tout est vraiment top et rappelle les livres de notre enfance ajoutant un peu plus de magie. C’est la grosse différence avec les ouvrages du même genre.



Assez complet en allant à l’essentiel tout de même. Quand on sait combien il y a de choses à couvrir, c’est un exercice peu aisé et l’auteur y parvient très bien. Les témoignages sont un plus surtout qu’ils concernent autant les acteurs que l’équipe technique.



On apprend aussi plein de petites choses sur les coulisses, bien entendu, mais aussi sur des éléments du film sur lesquels on passe très vite au final en le visionnant. C’est toujours quelque chose que je trouve très intéressant surtout que l’on prend ainsi conscience de pas mal de choses. Et dans ce genre de film se sont toujours les petits détails qui font toute la différence.



Petits moins : la typographie est sympathique dans le sens où elle cadre avec l’œuvre mais elle rend la lecture difficile. Un point qui a d’ailleurs été changé dans le volume consacré au tome deux ce qui est top. Il y a aussi trop de descriptions du film ou de certains passages de ce dernier. Un peu pour recadrer oui, mais je pense que les lecteurs ont vu le film, et donc qu’ils n’ont pas besoin de ce genre de passages qui alourdissent le texte.

Ce livre est la complémentarité du film, on va découvrir les étapes de sa réalisation, les fiches des personnages et des acteurs, les lieux de tournage, des détails historiques, des anecdotes, des révélations…



Bien plus qu’un simple livre, MinaLima, l’entreprise graphique qui a conçu tous les accessoires de la saga Harry Potter et des Animaux Fantastiques, nous fait rentrer dans une expérience enrichie et interactive grâce aux documents accompagnants les différents chapitres.



On a affaire à un vrai travail de professionnel, cela se voit à la qualité du papier et des photographies, au souci du détail, ils savent que les fans de l’univers de J.K. Rowling sont exigeants et veulent des produits de qualité quitte à y mettre le prix.



Quant au contenu, on n'est pas déçu :



Histoire du film, présentation des personnages, informations sur les lieux, anecdotes, découverte du travail de Norbert et de ses créatures...



Des photographies de qualité, des documents réels donnant aux lecteurs une expérience inédite...



Si vous voulez replonger dans l’univers du film, avoir ce livre est plus qu’une évidence !
Lien : https://leboudoirdulivre.wor..

Pas étonnant que la valise des créatures ait été en rupture de stock l'année dernière, c'est une vraie merveille. Remplie de détails et d'anecdotes en tout genre sur le monde des Animaux Fantastiques, elle regroupe le point de vue du réalisateur, des producteurs, des acteurs et bien plus encore. Je le conseille très vivement à tout ceux qui ont aimé le film.

Je ne m'étendrais pas sur le film (y'a assez de sites pour ça !) mais étant depuis le huitième passager un fan inconditionnel de la série et de tout ce qui la touche de près ou de loin, je ne pouvais pas laisser ce livre sur l'étagère de mon libraire !

Et il est pas mal fait, même si on peut regretter le manque de contenu graphique (dessins, illustrations).

Il permet aussi de découvrir l'univers de Ridley Scott, son mode de pensée, sa vision du futur; bref, il nous replonge dans le film mais au rythme d'un livre : page après page.

Grande fan de Tim Burton je me devais de lire ce livre. On y apprend énormement et surtout on découvre le ressentie de Tim sur ces films, comment par exemple le tournage des deux batmans a été très dur psychologiquement pour lui.

Un entretien très instructif sur la façon de travailler de Tim Burton, ses films. On découvre beaucoup de ses croquis préparatoires. A lire pour tout fan du réalisateur, ou simplement aux amoureux du cinéma !

Fan inconditionnelle de Tim Burton depuis mon adolescence, j'ai voulu approfondir mes connaissances et redécouvrir sa filmographie, avec ses personnages auxquels je me suis souvent identifiée .

Ce livre est une formidable épopée à travers des anecdotes de tournage , les difficultés de faire accepter ses idées aux studios.

Pour les néophytes, il permet également de découvrir un artiste au service de son œuvre, véritable miroir de son âme.

En cette période d’Halloween, on pense forcément à Tim Burton et à son univers fantasque, peuplé de créatures aussi originales qu’attachantes. P. 40 « J’avais le sentiment que la plupart de ces monstres étaient souvent incompris et qu’ils avaient généralement plus de cœur et d’âme que les humains autour d’eux. » J'aime beaucoup l'idée qu'un monstre puisse receler plus d'humanité que les individus ordinaires. D'ailleurs j'ai toujours un petit faible pour les créatures traquées dans les films, mais ça, c'est mon côté obscur...



Mais je m'égare. Revenons-en aux Entretiens. Organisés en grands chapitres chronologiques (l’enfance, les débuts chez Disney puis la filmographie) et commentés intelligemment par Mark Salisbury, ces entretiens sont passionnants. Déjà parce que Tim Burton se confie avec sincérité et simplicité, comme si le lecteur était un ami de longue date. Il n’hésite pas à se mettre à nu, à se moquer de lui-même. C’est un personnage excentrique, à la personnalité chatoyante, au franc-parler, comme je les aime. P. 60 « J’ai toujours ressenti les happy ends obligatoires comme une dérive psychotique. »



Et surtout, c’est fascinant de découvrir une part de l’intériorité d’un artiste qui fait corps avec ses œuvres. Il s’investit psychologiquement, émotionnellement et même physiquement dans la réalisation de chaque film et reconnaît lui-même que son travail comporte avant tout une dimension cathartique. C’est sans doute ce qui fait de chacun de ses films une création originale, avec pourtant une esthétique reconnaissable entre toutes.



Ce livre donne des clés pour comprendre l’univers du réalisateur : la banlieue colorée d’Edward aux mains d’argent par exemple, provient de l’aversion de Tim Burton pour les banlieues tranquilles et factices de son enfance. P. 143 « Grandir dans ces banlieues, c’était grandir dans un univers sans histoire, sans culture, sans passions. » ; « J’ai toujours été fasciné par le parallèle qui existe entre la vie en banlieue et les films d’horreur ».



Un excellent moyen d'en découvrir plus sur le monde du cinéma hollywoodien (la pression de la production, l'influence des différents intervenants sur le choix du casting, l'esthétique même du film, l'obligation de gagner beaucoup beaucoup d'argent...) et l'univers très personnel de Tim Burton.

De tous les livres sur le réalisateur que j'ai eus en mains, celui-là est le meilleur. Ma version s'arrête à Sweeney Todd, et c'est peut-être pas plus mal, parce que les films suivants ont fait dégringoler mon réalisateur préféré dans mon estime... Alice était une catastrophe, Dark Shadows une déception, Frankenweenie un collage.

Cet entretien est très instructif, il nous permet de découvrir les inspirations qui ont aidé tim burton tout au long de sa carrière et de découvrir certains secrets ou anecdotes sur les tournages, la production etc… le seul regret quant à ce livre que j'ai ressenti est qu'il be parle pas assez de la vie du réalisateur et qu'il n'y a tout simplement aucune conclusion, le livre se termine exactement de la même manière que chaque chapitre. Il n'y a pas de "mot de la fin".

Peu de réalisateurs savent aussi bien que Tim Burton nous distraire, nous amuser, nous inquiéter, nous faire rire, nous dépayser, nous émouvoir, nous faire rêver, nous effrayer, nous redonner notre âme d’enfant, nous faire frissonner, nous angoisser, en deux mots nous toucher.



Quand j’ai découvert ce superbe livre au pied du sapin, j’ignorais alors que je serai encore plus enthousiasmé par son contenu d’une incroyable richesse. Trois cent pages mêlant éléments biographiques, confidences, regrets, réflexions sur son travail, analyses de ses films, ses rapports avec les acteurs, avec les studios ou encore avec ses parents, le tout avec sincérité et intelligence.



Dès la préface, le ton est donné. Des deux préfaces pour être précis. La première date de 1994 et la seconde, de la réédition de l’ouvrage en 2005. Elles sont signées de Johnny Depp, homme de talent et acteur « Burtonien » emblématique s’il en est. La sincérité et l’authenticité des rapports entre les deux hommes ne fait aucun doute. L’un et l’autre se sont apportés énormément l’un à l’autre. L’émotion est palpable, le ton est donné.



Tout au long de la lecture, au grès de la chronologie de ses réalisations, on suit le fil des entretiens de Tim Burton avec Mark Salisbury. Chaque film est traité de sa gestation à sa réalisation. Le temps qui passe permet le recul indispensable, Burton le situe à environ trois ans après la sortie du film. Les échecs ou les semi-échecs ne sont pas occultés. Les rapports, souvent conflictuels, avec les studios sont évoqués à de nombreuses reprises. On sent qu’il n’est pas facile de garder la main sur son film même quand on s’appelle Tim Burton. Les bras de fer sont nombreux et les concessions parfois inévitables, raisons budgétaires et problèmes de faisabilité s’ajoutant parfois aux contraintes précitées.



Burton parle vraiment de lui, son enfance, ses rapports avec ses parents, son père notamment, sa farouche volonté d’indépendance déjà, bien avant les studios. Son côté introverti n’est pas occulté, gamin solitaire, secret, différent et se sentant différent des autres. De la marginalité nait parfois le meilleur.



Son enfance à Burbanks, ses débuts chaotiques chez Disney, son amour des vieux films de série B, d’Ed Wood à qui il rendra une gloire mondiale posthume, de Vincent Price, son idole qu’il rencontrera et fera même tourner. Les tournages, justement, de préférence en décors naturels ou reconstitués plutôt que sur fonds bleus ou verts, l’influence de Ray Harryhausen, son attrait pour la technique image par image…



J’allais oublier de vous parler des dessins qui agrémentent la lecture. Un petit dessin sur une feuille volante est parfois le point de départ de toute l’aventure d’un film. Il est frappant de voir à quel point dès ce moment-là, Burton a déjà la vision d’un personnage ou d’une scène de son film. La similitude avec le résultat final est souvent bluffante.



Profitant du regain d’intérêt pour le cinéaste engendré par cette lecture et par le coffret DVD qui l’accompagnait, je me suis revisionné Charlie et la Chocolaterie, gourmandise sucrée, le sanguinolent Sweeney Todd, La Planète des Singes, pas le meilleur c’est certain, l’onirique Big Fish et il me reste encore Les Noces funèbres et Dark Shadows à redécouvrir pour mon plus grand plaisir sous un nouvel éclairage.



Que vous soyez fan du travail de Tim Burton, curieux d’en savoir plus sur le sens qu’il donne à ses différents films ou que vous souhaitiez simplement en savoir un peu plus, c’est LE livre qu’il vous faut.



Tout y est et plus encore, cet ouvrage est une mine d’or.


Lien : http://bouquins-de-poches-en..

C'est un essai qui, du fait qu'il est la transcription écrite d'une interview, est très agréable à lire. Les pages défilent sans même que l'on y prête attention. Certes, les multiples dessins de Burton y contribuent également, mais c'est aussi pour notre plaisir.



Sans être une fan inconditionnelle de Tim Burton, je trouve que savoir qui est l'homme et comment il voit les choses est vraiment passionnante, surtout, presque, quand on n'a pas aimé le film en question. Je l'ai trouvé touchant, peut-être parce que je me suis reconnue, comme beaucoup d'autres, dans cet être qui n'appartient finalement à aucun monde sinon au sien, qui ne se sent nul part à sa place. Il a réussi à sublimer ce qui aurait aussi bien pu causer un dépressif grave.



Ceci dit, heureusement qu'il est né aux Etats-Unis quand même car ses projets, en France... il n'aurait pas eu la même chance.
Lien : https://le-jardin-litteraire..

Pour des raisons de santé, je n'ai pas pu me rendre à Paris et visiter la superbe exposition consacrée à Tim Burton à la Cinémathèque. Aussi cet ensemble d'entretiens est-il un bon réconfort : les mots du réalisateur et rien que les siens au sujet de certains de mes films préférés : Beetlejuice, Edouard aux Mains d'argent, Big Fish, Charlie et la Chocolaterie... Et surtout lire une incroyable résonance entre les propos de Burton et certaines de mes pensées au sujet de Hollywood, des Etats-Unis, de l'intolérance, de l'adolescence, de la condition humaine, de la mort...

Une lecture longue mais pour une bonne raison, j’ai voulu voir ou revoir les œuvres de Tim Burton au fil de mon avancée.

On débute sur une … non deux préfaces de son ami Johnny Depp, il y parle de sa rencontre avec le réalisateur et nous remet dans son contexte. Je comprends mieux pourquoi on les retrouve souvent ensemble. Les seules images présentes sont les illustrations du cinéaste, une centaine quand même, mais pas une seule photo de lui, c’est plutôt drôle.



L’auteur nous amène ensuite dans l’enfance de Tim Burton, j’avoue que ce n’est pas ce qui m’intéresse le plus mais ça reste intéressant et marque la genèse d’un génie. Vient ensuite ma partie préférée et ce qui a motivé mon achat, celle sur ses films. Il y a un bref passage sur ses travaux avec Disney puis chaque film a sa place, les rencontres qu’il a pu y faire, ou encore les conditions des tournages. Quand j’en viens à connaître par cœur les répliques d’une œuvre, quelle qu’elle soit, et que je pense tout savoir, je la redécouvre en cherchant les coulisses. C’est exactement ce qu’il s’est passé avec Edward aux mains d’argent, j’ai toujours vu le film et rien d’autre, pas d’entretiens des acteurs, ni de making-of, rien que le film. Déjà la préface me change cette vision, Johnny Depp reste pour moi le mec un peu étrange de ce film, je ne le connaissais pas avant. Il fut mon premier « vrai » film en dehors de l’animation, il fût également non pas un mais trois coups de cœur pour son acteur principal, pour son réalisateur et pour son univers. J’étais le gamin bizarre et trop sensible au fond de la classe, il m’était impossible de ne pas succomber dès la musique générique.



Ce livre a aussi été l’occasion de me faire une rétrospective Burton et de découvrir Ed Wood (1994) et Dark Shadows (2012). L’édition s’arrête avec Sweeney Todd sorti en 2008 donc pas de Alice, c’est mon seul petit regret car il est mentionné dans la filmographie en fin de livre et je pensais l’y voir.



Très bon bouquin, qui s’adresse aux fans et aux curieux, je le conseil avec plaisir.