Mark Seal

Mark Seal doute tout au long de ses enquêtes que Madoff fût le seul au courant de sa chaîne de Ponzi. Lorsqu'il s'est livré au FBI, il a endossé l'entière responsabilité d'une des plus énormes escroqueries jamais imaginées. Ruth, sa femme, était-elle au courant ? Certaines questions resteront sans réponses, car seul le couple Madoff détient les clefs.



J'ai parfois eu l'impression de lire : "Les malheurs de nos amis les gens riches". Toute compassion de ma part est exclue, puisque pour investir chez Madoff, il fallait déjà avoir plusieurs millions de dollars et que ce n'est que cette envie "d'en faire partie " qui a poussé les arnaqués à se livrer eux-mêmes à leur bourreau. Par moments, j'ai même eu envie de sourire devant tant de naïveté et de cupidité, mais ce n'est bien sûr, vous l'aurez compris, que de la jalousie de cette jet-set new-yorkaise qui ne sait quoi faire de son argent, mais qui en veut tout de même davantage, je devrais d'ailleurs dire qui ne savait quoi faire de son argent, puisque Madoff leur en a pris énormément.
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Attention ce livre n’est pas de la littérature. L’histoire passionnante de la genèse puis de la création du Parrain est bien tristement rendue.

Est-ce l’auteur qui écrit si mal ou le traducteur qui est mauvais… la réponse est de toute façon sans appel … le texte est vraiment pénible à lire et ne sert pas l’histoire qui est pourtant intéressante et pleine d’anecdotes. Je me demande si l’IA n’a pas pondu ce livre à partir des nombreux articles publiés sur internet… car on a l’impression de lire une suite de coupures de presse US collées les unes après les autres sans aucun travail d’écriture littéraire ni d’harmonisation des temps (un cauchemardas ce mélange des temps du passé non maîtrisé).

Encore moins de travail d’adaptation pour les lecteurs français qui ont droit à des expressions ou références juste traduites donc parfois incompréhensibles ou inutiles. On peut littéralement retraduire en anglais des pans entiers du texte tellement celui ci est de la traduction littérale brute.

Je voulais l’offrir mais la curiosité l’a emporté et je me suis plongé dedans. Grand bien m’en a fait car jamais je ne pourrais offrir ce livre à une personne que j’apprécie, je le donnerai sans problème mais pas en cadeau. A lire pour l’histoire mais pas pour le plaisir de lire . Pour découvrir la vie des studios post âge d’or Hollywoodien, lire ou voir « The kid stays on the picture » de R. Evans ou les merveilleux livres de Carrie Fisher (et oui la princesse Leïa, pour découvrir que Cary Grant était l’homme a appeler en cas d’addiction à la coke ou autres drogues).

Et surtout lire Le Parrain que je fonce acheter en plusieurs exemplaires pour offrir à Noël aux personnes que j’aime. Dommage…

Dans une enquête de plus de 400 pages, le journaliste Mark Seal décrit la naissance rocambolesque du chef-d'oeuvre de Francis Ford Coppola.


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