Ce n'est pas le temps principal qui amène le temps de la subordonnée, c'est le sens. Le chapitre de la concordance des temps se résume en une ligne : Il n'y en a pas.
L'ellipse est l'omission d'un ou de plusieurs mots qui seraient nécessaires pour la construction régulière de la proposition.
Tantôt c'est le sujet qui est omis : " Fais ce que dois. " pour " Fais ce que [tu] dois. "
Tantôt c'est le verbe (on a alors une proposition elliptique) : " Combien ce bijou ? " pour " Combien [coûte] ce bijou ? " ; " Heureux les humbles ! " pour " Heureux [sont] les humbles ! "
Tantôt c'est à la fois le sujet et le verbe : " Loin des yeux, loin du cœur. " pour " [Qui est] loin des yeux [est] loin du cœur. "
Le tiret s'emploie dans un dialogue pour indiquer le changement d'interlocuteur ou pour séparer du contexte des mots, des propositions. Il faut distinguer, typographiquement, le tiret du trait d'union, qui est plus court.
La barre oblique a été introduite au XXe siècle pour remplacer une conjonction de coordination, en particulier dans des expressions elliptiques :
" La portée sociologique du concept Langue / Parole est évidente. " (R. Barthes)
« Au jour d’aujourd’hui exprime trois fois l’idée de jour. On le trouve parfois dans la langue littér[aire] : Tout ce qui est français d’origine et de bon aloi ne passe-t-il pas pour archaïque AU JOUR D’AUJOURD’HUI (Hermant, Chron[niques] de Lancelot, t[ome] I, p. 549). »
Ressentir des émotions positives produit bien de nouvelles connections entre nos idée. Cela nous rend plus créatif. Ainsi, si on demande quel lien existe entre un éléphant et un sous marin à quelqu'un qui éprouve tristesse, il n'en verra aucun. Un individu joyeux y verra plus spontanément deux moyens de transports.