Maxe L`Hermenier

Après l'attaque du Louvre, les enfants du château s'exilent à

Versailles avec ceux du Tipi. Les deux tribus réunifiées semblent s'entendre. Le gouvernement a même été revu pour intégrer les nouveaux venus.



Pour autant, Ogenor et Cornelia intriguent pour prendre le pouvoir et installer leur dictature.



En parallèle, le débat porte sur la nature humaine des prématurés, à l'image de ce qu'à pu être la controverse de Valladolid.



L'histoire est toujours aussi passionnante et servie par un dessin de haute qualité.

Je n’ai jamais eu l’occasion de lire la nouvelle de Charles Dickens dont cette bande-dessinée est l’adaptation, aussi j’ai découvert ce classique grâce au scénario de Maxe L’Hermenier. J’ai passé un bon moment en plongeant dans ce conte de noël qui met en scène un vieil homme grincheux, avare et égoïste qui va apprendre que le trésor de l’existence n’est pas à chercher dans l’accumulation de pièces d’or mais plutôt aux côtés des personnes qui nous entourent et nous aiment.

L’esprit de noël est joliment mis en scène dans cette histoire.



J’ai beaucoup aimé le travail sur les couleurs, sombres lorsqu’il s’agit de présenter le triste quotidien et visage de Scrooge, lumineuses, dés lors qu’il est question de faire découvrir à Scrooge la magie de noël et surtout le plaisir qu’apporte à son cœur, le bonheur de nos proches.



Une très belle BD, à lire en attendant de plonger dans les festivités de Noël !
Lien : https://www.lirado.fr/chant-..

"Un chant de Noël" est une histoire intemporelle, qui parle à tout le monde, traverse inlassablement le temps et fait toujours son petit effet. Elle nourrit également la réflexion.

Ici, elle nous revient sous la forme d'un magnifique album jeunesse, c'est juste curieux de ne pas avoir attendu décembre pour la sortir. Le texte original date quand même de 1843,

vous vous rendez compte ?

Ce cher Mr Scrooge a vu son cœur tellement s'obscurcir qu'il n'est plus sensible qu'à l'argent, que Noël lui passe au-dessus de la tête. Il est déjà riche, mais ne partage pas.

Sa richesse ne rend heureux personne, et comble de la situation même pas lui-même. Il assène plein de "Sottise", mais ce noël lui offre la chance d'ouvrir son cœur, de voir au-delà, en faisant le point sur son passé, son présent et son potentiel futur, à base d'esprits. Une leçon de la dernière chance en quelque sorte.

La majeure partie des gens qui interagissent avec lui sont son commis avec qui il travaille, et son neveu.

L'album est sublime. Les dessins, les décors, l'ambiance sont comme magiques. Selon la situation, nous avons des couleurs lumineuses ou bien sombres. La présentation des chapitres est elle-même fort bien travaillée. Les représentations des esprits sont savoureuses. Bref, le lecteur est transporté.

La magie de Noël en voyant les gens est bien présente aussi, même si quelque fois Scrooge pose de bonnes et intéressantes questions.

A la fin, nous avons quelques bonus pour aller plus loin : l'auteur Charles Dickens, un questionnaire avec réponses tout à la fin et des jeux pour montrer qu'on a bien lu, intériorisé, retenu,

un rappel des œuvres de la littérature anglaise dont les noms devraient vous parler, un QCM.

Une version simple, efficace et magique pour les petits et grands enfants où le travail sur la présentation et les dessins magnifient le tout.

L'album est proposé chez Jungle et associe Maxe L'Hermenier et Thomas Labourot.

Très beau roman.



Dès le départ on sait que Yann a disparu, mais au fur et à mesure de la lecture on se demande qu’est-ce qu’il a pu se passer. Comment Yann a pu quitter ses frères ?



C’est un récit poignant. A la lecture des différents témoignages on s’attache tellement à cette fratrie.

Ils sont tellement solidaires, tellement protecteurs les uns et avec les autres. On a froid avec eux, on a faim avec eux, on a mal aux pieds avec eux.



J’ai lu ce livre d’une traite avant d’aller au boulot, ça va être dur de penser à autre chose aujourd’hui.

BD adapté du roman éponyme de George Orwell, le récit de la ferme des animaux débute à l'intérieur d'une étable où le vénérable cochon (le plus vieux) se tient devant l'assemblée des animaux de la ferme afin de partager avec eux un rêve. L'idée principale est de les enjoindre à reprendre leur liberté, de se soulever afin de ne plus être exploités par les humains.

A sa mort ce sont deux autres cochons qui vont prendre les rênes du soulèvement: boule de neige et Napoléon, bien organisés les animaux ont chassés le fermier, élaboré un slogan et des commandements prônant avant tout l'égalité entre tous les animaux. Malheureusement le pouvoir fait tourner les têtes, la liberté se transforme en esclavage, et la démocratie en une tyrannie.



Même sans avoir lu l'oeuvre originale on sent bien que tout va déraper, cette fable mise en image permet son accessibilité au plus jeune. L'idée originelle est conservée et le régime "politique" qui se met en place avec rythme n'a rien a envié aux régimes les plus autoritaires: modification des commandements au fur et à mesure de la prise de pouvoir, utilisation abusive des autres animaux, élimination de concurrents...



Superbe adaptation tant scénaristique qui a su simplifier l'oeuvre de George Orwell pour la mettre à portée de tous, que visuelle grâce au dessin et aux différentes expressions des animaux qui reflètent à elles seules le ressenti de la situation.
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Une adaptation vraiment réussie



Avez-vous lu La ferme des animaux d’Orwell ?



J’ai découvert ce texte en classe de 6ème. À l’époque j’avais détesté. Par principe. Une lecture imposée je ne l’aimais pas. Je crois surtout qu’à 11 ans j’étais un peu minotte pour comprendre les messages d’Orwell.



Cette adaptation BD rend ce classique tout à fait accessible à tous les lecteurs.

Que ce soit la cause animale ou la critique politique, le message est très clair, même pour les jeunes lecteurs.



Dans une ferme, les animaux décident de se révolter. Ils en ont assez de travailler jusqu’à épuisement pour les Hommes qui, eux, ne produisent rien mais gardent tous les bénéfices.

Après le discours du Sage, les cochons Napoléon et Boule de Neige décident de prendre le pouvoir et de redonner la ferme aux animaux.

Malheureusement l’idéologie animaliste tournera vite court…



Virulente critique du communisme, Orwell savait faire passer ses messages avec intelligence. La BD est très fidèle au texte et, même si elle ne le remplace pas, c’est une très bonne entrée en matière pour comprendre La ferme des animaux.



En fin d’ouvrage on trouve un petit dossier avec par exemple une biographie de l’auteur, des petits jeux et des questions de compréhension de lecture. Le titre est donc parfaitement adapté pour une classe de collège (la guerre froide est étudiée en classe de 3ème il me semble).



Je suis toujours aussi fan des adaptations de Maxe L'hermenier et les illustrations de Thomas Labourot sont superbes, très vivantes (on souffre avec Malabar) et colorées.



J’ai vraiment beaucoup aimé cette BD, une adaptation très réussie qui rend accessible un grand texte.



En librairie le 26 août.
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J'ai adoré l'imagination dont fait preuve l'auteur et l'univers merveilleux dans lequel évoluent les personnages ! L'eau qui coule à l'envers, les fleurs hallucinogènes, la forêt des oublis, l'arc-en-ciel sous lequel on disparaît... tout est très poétique et pourtant inquiétant à la fois ! N'ayant pas lu le roman, je ne sais pas si c'est déjà le cas dans celui-ci ou si c'est l'adaptation BD qui veut ça, mais j'ai par contre trouvé le rythme du récit assez particulier, avec une désagréable impression de récit décousu car l'enchaînement des différentes péripéties est trop rapide. Je pense que j'apprécierai davantage de lire le roman.
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Résumé : Suite à un air empoisonné, les humains ont disparu de la planète, sauf deux clans d’adolescents qui vivent à Paris. Le clan du Tipi vit dans la Tour Eiffel, et se nourrit de baies et de viande séchée, tandis que le clan du Château vit au Musée du Louvre, se nourrissant de légumes et fruits qu’ils font pousser. Arrive un moment où les deux clans semblent prêts à en découdre par les armes et la guerre… Zyzo, du Tipi, et Alixe, du Château, pensent que cela peut être évité et que les deux clans doivent au contraire collaborer.



Mon avis : J’ai été très contente de recevoir cette BD dans le cadre d’un Masse critique spécial, et je remercie Babelio et les éditions Jungle pour m’avoir sélectionnée pour lire ce titre.



J’aime beaucoup les romans policiers de Michel Bussi, et avait entendu parler de la sortie de son roman de science-fiction jeunesse, sans avoir encore pu le lire. C’est donc avec plaisir que je me suis lancée dans l’adaptation BD, sans craindre de faire de comparaison avec le roman.



Je précise pour les fans de Michel Bussi que ce titre n’a vraiment rien à voir avec ce qu’il écrit d’habitude pour les adultes.



C’est d’ailleurs ce qui m’a plu, car l’histoire a réussi à me surprendre dans un genre totalement différent.



Dans un monde où ne restent que des adolescents, qui vivent en fonction de certains rites, comme celui d’honorer chaque année l’anniversaire du soleil de fer, qui fait office de soleil, mais est un appareil hautement technologique, envoyé dans le ciel par les rares adultes restants avant leur disparition totale, vivent deux clans.



Le clan du Tipi a élu domicile dans la Tour Eiffel, reconvertie en grande hutte. C’est là que vit Zyzo, qui se voit confier la mission d’infiltrer le clan du Château, pour en rapporter des informations, et connaître leur mode de vie. Car une étrange maladie tue les oiseaux, et d’autres animaux, empêchant bientôt le clan du Tipi de pouvoir subsister grâce à la chasse. Zyzo va réussir à entrer dans le château, et rencontrer Alixe, la reine du Château, dont il va tomber amoureux.



Il va découvrir un clan qui fonctionne totalement différemment du sien, avec différentes catégories d’adolescents qui étudient, font de l’art ou sont soldats. Il comprend alors qu’il est beaucoup plus ignorant qu’eux, qui ont eu accès au savoir depuis leur enfance, étudient dans les livres, font pousser leurs fruits et légumes, ont du chauffage et de l’électricité grâce au soleil de fer. Zyzo apprécie cet endroit où il est fait prisonnier, et souhaite même s’intégrer. Mais il semblerait que ses chefs de clan et les dirigeants du Château en aient décidé autrement, et souhaitent la guerre. D’autant plus que des phénomènes inquiétants ont lieu…



J’ai vraiment bien accroché à ce tome 1 que j’ai trouvé passionnant. L’univers proposé par l’auteur est foisonnant, et plutôt original, avec suffisamment de mystère pour intriguer et donner renvie d’en savoir plus. On se pose beaucoup de questions sur ce monde : Pourquoi seuls quelques adolescents ont survécu ? Quel est le véritable rôle du soleil de fer ? Quel a été le plan des adultes avant leur disparition ? Quel était le véritable projet de Marie-Lune, femme mentor du clan du Château qui vivait à travers les écrans ? D’où vient vraiment la maladie qui tue les animaux ? Les adolescents sont-ils les seuls humains vivant sur terre ?



Les dessins sont superbes et mettent tout de suite dans l’ambiance d’un monde post-apocalyptique, où les différences de mode de vie sont flagrantes entre les deux clans.



Je n’ai qu’une envie, c’est de connaître la suite !
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" Le plus jeune était fort délicat et ne disait mot".

Le Petit Poucet. Charles Perrault.

Roman destiné aux enfants d'une dizaine d'années, il m'a enchantée. Il y a quelques similitudes avec le Petit Poucet mais Jean-Claude Mourlevat a su se démarquer du conte initial. Par la forme tout d'abord. Chaque chapitre est le récit d'un personnage de l'histoire, une assistante sociale, la mère, le père,le frère ainé, le chauffeur routier, etc... Chacun donne sa version des évènements, de son point de vue.

La fratrie a fugué, direction l'Océan. Grâce à Yann, Petit Poucet très écouté de ses frères, ils vont échapper aux recherches et arriveront sur une plage près de Bordeaux. L'équipée ne s'arrête pas là.

Jean-Claude Mourlevat fait passer un certain nombre de valeurs, l'entraide fraternelle, la solidarité sous diverses formes mais aussi les contraires de ces valeurs.

J'ai beaucoup aimé le dernier chapitre auquel je ne m'attendais pas.

A lire et à faire lire.

Très bonne adaptation du roman de Pierre Bottero que l'on peut proposer sans souci aux collégiens. Les illustrations sont sombres, avec juste ce qu'il faut d'enfance pour adoucir le trait.

Jean est élevé au milieu d'une tribu de femmes sorcières depuis sa plus tendre enfance. Magie, sortilège et excentricité sont son quotidien, même s'il ne fait pas de magie lui-même. mais quand vient le temps de reprendre le chemin de l'école, la disparition inquiétante d'une de ses tente va gâter la fin de leur été. Un buveur de magie semble roder à Paris et s'en prend aux femmes de sa famille. Cet ignoble personne siphonne la magie des sorcières avec son nez éléphantesque. Chacune se voit rapidement transformé en poupée de chiffon , laissant Jean et sa petite sœur seuls. Leur unique recours sera d’appeler leur père, cet homme qui est sorti de leur vie depuis 6 ans...

Une très belle adaptation du non moins très excellant roman de Pierre Bottero. Les graphismes sont magnifiques et superbement réalisés, assez loin de ceux habituellement utilisés pour les albums jeunesses ce qui permet d'adresser ce livre à un public plus large, très bonne idée pour faire découvrir un auteur catalogué jeunesse !

Quant a l'ajout des dernières pages, je trouve ça génial j'ai toujours aimé ces petits suppléments qui permettent de s'immerger un peu plus, de voir si on a bien lu l'histoire...

Bref une très très belle découverte moi qui ne connaissais pas stedho je vais chercher ses autres titres avec plaisir ( demain a Angoulême qui sait 😁😁😁) un énorme merci a Babelio et aux éditions Jungle , et encore toutes mes excuses pour le retard

Pour l'amour d'une demoiselle croisée rapidement dans sa boutique, Tomek va parcourir montagnes et forêts pour arriver jusqu'à la rivière qui coule à l'envers, connue pour offrir une eau si pure qu'elle empêche de mourir.

C'est un tel plaisir de lecture que la fin arrive un peu vite selon moi ! Les dessins sont superbes et les cases de tailles différentes donnent du mouvement et de la vie à l'ensemble.

A recommander aux amateurs d'aventures !

Ne voulant pas forcément me lancer dans le roman du même nom de Jean-Claude Mourlevat, qui est un classique de la littérature jeunesse, et qui aurait séjourné un moment dans ma PAL, j’ai préféré découvrir cette histoire à travers la bande-dessinée. Et j’ai découvert une fabuleuse histoire d’aventure qui nous emmène dans des contrées aussi fantastiques qu’inimaginables, un peu à la manière du Seigneur des Anneaux, mais pour les plus jeunes. Tomek, aidé de Hannah, vont partir pour une très jolie quête, et tous les ingrédients pour créer un bon récit imaginaire d’aventure sont réunis, traitant d’amitié, d’amour, de découverte de soi et de courage. A travers cette extraordinaire aventure, c’est tout un univers roche, foisonnant et passionnant que nous rencontrons avec le jeune héros, que se soit des arc-en-ciel magiques, des ours géants, des fleurs au dangereux parfum, la forêt de l’oubli ou encore les phrases de réveil. Une très sympathique histoire qui nous invite au rêve et où l’imagination s’ouvre à tous les possibles.
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pouri

Il y a des romans, comme ça, sans savoir quand ni comment, des romans qui nous font sourire, nous font pleurer, vibrer, comme si l'on tombait amoureux subitement. Avec L'Enfant Océan, je ne m'attendais pas à avoir un troisième coup de cœur à la lecture de cet auteur que désormais je chéris. J'avais déjà lu "Terrienne" et "Et je danse aussi" et j'avais été emportée par des romans qui sont restés légèrement plus confidentiels que d'autres alors que ce sont des romans jeunesse d'une qualité incroyable !



Je vous conseille donc mille fois de lire "L'Enfant océan" ou en tout cas, de le donner à lire à vos enfants, de l'offrir à vos amis aussi. C'est la réécriture d'un conte de fées, transposé dans notre dure réalité : la société contemporaine.



Jean-Claude Mourlevat a ce talent incontestable de décrire des personnages en quelques traits de plumes et de vous les faire aimer, il a ce talent fou de conférer de la poésie à ne serait-ce qu'un quignon de pain ! C'est un conteur-né.



C'est donc avec les qualificatifs d'enchanteur, de merveilleux, de fantastique, de drôle, de tendre, de doux, de profond et de poétique que je décrirai ce roman que j'ai adoré. J'ai traversé l’épreuve des sept enfants avec la même intensité qu'une gamine de dix ans, j'étais exaltée, apeurée, émue. Et non seulement l'écriture est belle, mais le style et la forme du roman sont extrêmement originaux. On change de point de vue sans cesse, ce qui rend ce roman attendrissant mais pas dans un style "oh mon pauvre petit, olala", non. C'est juste beau et ça fait du bien.



Lisez-le. Pour moi, Jean-Claude Mourlevat c'est notre Neil Gaiman !
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Il n’est point coutume, mais cette semaine ce sera de la littérature jeunesse.

J’ai découvert par hasard Le Renard de Morlange à la librairie, où sa jolie couverture a eu tôt fait de me séduire. Aussitôt vu, aussitôt acheté… Et lu.



Le Renard de Morlange est une réécriture tout à fait personnelle du lai de Marie de France, intitulé Bisclaveret.



Ce petit roman d’Alain Surget aborde le Moyen-âge de façon très ludique. Le vocabulaire est riche ! Heureusement de nombreuses petites notes fournissent des explications, que cela concerne le lexique ou le contexte. Les chapitres s’enchainent les uns aux autres de façon rapide et sans temps mort.



Ce récit m’a fait penser au Roman de Renart pour l’époque abordée et le nom, mais aussi à un conte. Car la punition du méchant seigneur et sa quête de rédemption peut paraître assez similaire au déroulement de ce type d’écrit. Tandis que la chute de l’histoire, s’approche plus d’une fable de La Fontaine, avec une morale.



Ce livre est un excellent point d’approche pour découvrir et étudier le Moyen-âge, ses coutumes, ses modes de vie…Tout en entremêlant historique et fantastique.

Ça ressemble à de la triche, ça a le goût de la triche… Mais c’est du Boufbowl ! Au cœur des landes ardentes de Sidimote, le championnat bat son plein. Cela faisait bien dix ans qu’il ne s’y passait plus rien de fascinant, mais aujourd’hui une jeune recrue semble sur le point de bouleverser le cours de l’histoire : un match légendaire se profile, impulsé par l’incroyable… Kriss la Krass !

Une réécriture habile mais personnelle du lai de Marie de France, intitulé Bisclaveret. Récit assez bref, il permet de découvrir certaines facettes de la société médiévale, tout en entraînant le lecteur sur des sentiers merveilleux. Une lecture en général très appréciée des élèves.

Vraiment magnifique. Un dessin sublime, un scénario superbe. Et pour finir une blanche neige absolument anti Disney et vraiment cela fait du bien. J'adore l'idée des nains cannibales. BD fini en un tome donc pas de longue attende pour une suite.

Trois étoiles pour le dessin et le travail mais pour le reste....

Le steampunk est porteur et un genre que j aime beaucoup. Mais encore faut il que l histoire soit bien menée. Et là je ne trouve pas que ce soit le cas.

Ça ressemble à un album d introduction, mais comme il ne semble pas y avoir de suite c est un peu loupé.

Enfin. Le dessin est agréable, les couleurs très bien choisie et l environnement très bien rendu dans l esprit steampunk.

Mais c est tout. Désolé.



Après ceci reste mon avis et je vous laisse vous faire le votre et le partager.

Bonne lecture à tous.