Citations de Melissa Foster (73)
« Il saisit cette petite main délicate et l’attira vers lui. Son corps entier prit feu. Jouer au chat et à la souris pendant des mois était bien trop long. Son regard s’assombrit et elle eut le souffle court. Bear en avait assez de jouer. Non seulement cette beauté insolente le désirait, mais elle avait aussi besoin de lui. Elle ne le savait juste pas encore. »
Tu vois en lui ce que tu n'as jamais vu en personne d'autre.
Le cœur ne se soucie pas de la lignée ou des parents biologiques. Il sait comment aimer, de la même manière que nos poumons savent comment respirer.
« Des sensations inconnues se glissèrent dans sa poitrine… C’étaient des pulsions protectrices, plus grandes et plus puissantes que tout ce qu’il n’avait jamais ressenties. Ces sensations lui donnaient envie de s’enfuir, et en même temps, elles lui donnaient envie de clouer ses foutue bottes au sol. C’était quoi ce bordel ? »
« Pour info, les Whiskey ne jouent pas les seconds rôles pour qui que ce soit. Désolée, Stone, mais tu n’as pas de chance. »
« Pendant qu’il revenait sur Terre et qu’il la serrait dans ses bras, tous les morceaux de sa jeunesse chaotique et folle s’assemblèrent, adhérant à la stabilité de la vie qu’il avait créée, jusqu’à ce moment-là. Il était enfin complet. »
C’était exactement ce qu’elle ressentait, car elle n’avait jamais rencontré un homme comme lui auparavant. Dur comme des pneus de camion et sans crainte de dire ce qu’il avait à l’esprit.
« Tu es enfin à moi.
— Je ne t’appartiens pas.
Sa mâchoire se resserra.
— À la minute où tu as posé ton beau petit cul dans ce club-house en cherchant à me réclamer et où je t’ai amenée dans mon lit, tu es devenue mienne. Tu ne m’appartiens pas, mais je ne vais certainement pas te partager. »
« Comment était-elle censée se battre alors qu’il venait de lui faire la cour… dans un style à la Diesel. »
« S’il ne pouvait même pas lui dire qu’il l’aimait, alors où est-ce que cela les mènerait ? »
« J’ai essayé de te chasser de mes pensées, mais je n’y arrive pas, Max. Et je n’ai plus envie d’essayer. »
« La famille ne connaît pas de frontières »
parce que nous sommes fait pour etre ensemble Max
« Je pense qu’il est temps d’enlever nos masques et d’apprendre à mieux se connaître. »
— Peu importe que tu sois grand et méchant, pour nous, tu seras toujours le garçon qui faisait ses premiers pas tout nu dans le jardin en disant « Regardez ça ! » avant de balancer les hanches pour faire tourner ton zizi.
Quand elle n’était pas la vedette de ses fantasmes classés X, elle sautillait en ville dans ses robes à frous-frous, répandant des sourires comme de la poussière de fée.
— C’est une première. D’habitude, c’est toi le psychologue de salon qui se tient de l’autre côté du bar et qui distribue des conseils comme les prostituées distribuent des pipes.
Cette confiance en toi brille plus que la lune, les étoiles et le soleil réunis.
— Amour, loyauté et respect de tous coulent comme du sang dans nos veines. C’est une bénédiction et une malédiction.
Il sentait la terre et l’homme, comme Tarzan.