Citations de Melissa de La Cruz (250)
Rouge, la couleur du désir
Noir, c’est celle du désespoir
Victor Hugo,
« Rouge et noir », Les misérables.
"Être fort ne signifie pas qu’on doit affronter seul le danger. La force naît aussi de la confiance, de l’amitié, de la loyauté. Oui, Yen Sid avait raison, Mal était la force et le feu, mais elle n’avait pas à porter seule le fardeau de la quête.
Appuie-toi sur tes amis, Mal.
« Au secours ! Au secours ! J’ai besoin de vous, les amis ! » hurla Mal."
La Belle avait une pile de bouquins à lire sur sa table de chevet qui menaçait dangereusement de s’écrouler chaque matin sur Mrs Samovar, quand celle-ci apportait le petit déjeuner.
Adieu cachemire, velours et soie. Jafar traînait en marcel troué, en baskets dépareillées, et cocotait le vieux bouc.
Point après point, elle cousit dans la robe tous ses vœux et tous ses rêves, noués par son sang et son amour.
Tu t'es laissé corrompre par ton amour.
Le jeu en valait-il la chandelle ?
Tout cela pour l'amour ?
Tout cela pour [lui] ?
Oui. Oui. Mille fois oui.
Tu es aussi belle que tragique.
C'était à devenir folle. Il était une étoile filante qu'elle tentait d'attraper à mains nues. Elle ne pouvait que se brûler.
Même si elle croyait consciemment que cette période de sa vie était révolue et que le danger était passé, on aurait dit que quelqu'un rouvrait sans cesse le livre à la même page.
- Ça me fait plaisir de te voir heureuse.
- Je le suis, affirma [t-elle].
À force de le répéter, elle finirait bien par le croire.
Parfois, mieux valait ne pas ouvrir la boîte de Pandore.
Dans les jours à venir, elle repasserait ces souvenirs dans sa tête, comme des photos que l'on décroche d'un mur pour les regarder encore et encore.
Je ne te quitterai pas. Ne crains pas l'avenir, nous l'affronterons ensemble.
J'ai trouvé ce livre super intéressant et très bien écrit . J'ai trop hâte de la prochaine sortie du tome 2
Je l'attend avec impatience!!!!!!!
C'était donc ainsi que s'achevaient les histoires d'amour : par une rencontre de hasard sur les marches d'un bâtiment public. Quelques mots polis et rien de vraiment dit, même si son univers touchait à sa fin.
Mais tel était son secret : elle ne s'était jamais sentie seule. Elle avait la peinture, le dessin, l'art et les livres. Elle aimait être seule. C'était la compagnie qui l'angoissait : elle ne savait pas bavarder de tout et de rien, ni interpréter et reproduire les comportements sociaux qui unissaient les gens
Était-ce si terrible d'avoir tant voulu le revoir ? Dieu savait qu'elle avait essayé de cesser de penser à lui, qu'elle avait banni toute pensée de lui dans le coin le plus sombre de son âme.
Elle était une étrangère dans sa propre vie, une touriste dans son corps. Si on lui avait demandé quelle impression cela faisait, elle l'aurait expliqué en ces termes : c'est comme si vous conduisiez une voiture, mais depuis la banquette arrière. La voiture se dirige toute seule, et vous ne contrôlez rien. Pourtant c'est votre voiture, du moins vous le croyez. En tout cas, c'était la vôtre autrefois.
Elle se prenait autrefois pour une fille robuste qui n'avait pas besoin des petits luxes de la vie, une erreur commune chez ceux qui n'ont jamais fait l'expérience des petits inconforts de ladite vie.