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Citations de Michael Buckley (24)


"Je ne laisserai personne te faire du mal, Lyric Walker !"
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Pendant les deux heures qui suivent, Fathom m'entraîne en silence et je le roue de coups de poing et de coups de pied avec toute la fureur de mon cœur brisé.
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Je t'aime avec chaque goutte de mon sang
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Je retrouve Fathom dans mes rêves. Il est en vie et en pleine santé. Nous sommes amoureux fous l'un de l'autre. On se croirait dans le pire roman à l'eau de rose, et c'est absolument merveilleux.
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La plupart du temps tu étais grincheux, préoccupé ou carrément hargneux, mais tu pouvais aussi te montrer si gentil quand tu voulais. Lorsque tu te rapprochais de moi pour plonger ton regard dans le mien, j'avais l’impression de fondre Encore maintenant, rien qu'à fixer ta photo j'en ai la tête qui tourne.
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Mon peuple a été anéanti. Nous étions des millions et nous ne sommes plus que des milliers. Nous avons souffert l'indignité de vivre comme des rats dans ton monde de surface, où nous étions espionnés et harcelés par la racaille humaine. Nous avons accepté l'humiliation, nous nous sommes terrés sur votre plage, et tout cela pour rien !
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"Je n'avais encore jamais été éblouie par un sourire, mais il faut dire que le sien est unique. Tellement inattendu, comme une étoiles filante qui traverse le ciel. Avant que je ne puisse m'en remettre, il bondit par-dessus la rambarde et plonge dans les vagues."
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_ J'ai soutenu toutes tes décisions jusqu'ici _ malgré mon désaccord la plupart du temps _ et je me suis battu pour chacune d'elles, crie Fathom. J'ai pris des coups, j'ai versé mon sang pour toi...
_ Conformément à ton devoir! rugit son père.
_ J'ai passé ma vie à me battre pour toi. Je ne demande qu'une seule chose en retour: une faveur d'un père à son fils dévoué. Père, épargne Lyric Walker et sa mère.
Le prime fait sortir ses lames de ses bras et se dirige vers moi.
_ Puisque tu refuses de m'obéir, fils, je vais m'en charger moi-même! Tes sentiments pour cette guenon me font honte. Crois-tu que je t'autoriserais à coucher avec elle, à lui faire porter mes petits-enfants?
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Je n'ai parlé à personne de ce feu qui couvre en moi, pas même à Bex. Je sais qu'elle raffolerait de son parfum de scandale, qu'elle exigerait d'avoir tous les détails, mais je préfère la boucler. En parler à voix haute reviendrait à lui conférer une réalité que je ne suis pas encore prête à admettre. Ce qui bouillonne en moi est fort, exaltant, mais c'est aussi une catastrophe en puissance. Et puisque ça ne débouchera sur rien _ aucune chance _, pourquoi le partager avec qui que ce soit?
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— Oui, nous sommes différents, confirme-t-il. Malgré tous tes efforts pour me changer.
— Te changer ?
— N’est-ce pas ce que Doyle t’a demandé ? De me transformer en humain ? De faire de moi quelqu’un qui recule devant un défi ? Tu peux lui dire que c’est raté.
— Je l’ai déjà fait. Il va t’attribuer un autre binôme, ça marchera peut-être mieux.
Il pivote face à moi, le regard meurtri. Comme si je venais de le gifler.


http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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Je ne laisserai personne te faire du mal, Lyric Walker, me chuchote-il.
je lève les yeux vers son visage, que je distingue à peine dans l'obscurité, et je le crois.
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- Elvis, mon gentil toutou, bouffe-le! lui ordonna Daphné.
- Tu ferais mieux de te rendre, mon gars! cria Tonton Jaco aux W-C. Notre chien crève la faim.
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Je ne trouve plus nos rendez-vous aussi pénibles qu'avant, me confie Fathom pendant que nous jouissons d'un peu d'intimité.
- Une fois que tu sauras lire, je t'apprendrai à parler aux filles, dis-je.
Mais, au fond de moi je réprime un sourire.
Il me dévisage d'un air perplexe, et puis, soudain, il perd la bataille contre ses zygomatiques. Je n'avais encore jamais été éblouie par un sourire, mais il faut dire que le sien est unique. Tellement inattendu, comme une étoiles filante qui traverse le ciel. Avant que je ne puisse m'en remettre, il bondit par-dessus la rambarde et plonge dans les vagues.
Je lui crie :
- Je déteste quand tu fais ça !
Mais je suis heureuse qu'il se soit sauvé, parce que l'envie me démangeait sérieusement de me dresser sur la pointe des pieds pour goûter ce sourire.
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Je ne laisserai personne te faire du mal, Lyric Walker, me chuchote-il.
je lève les yeux vers son visage, que je distingue à peine dans l'obscurité, et je le crois.
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Il y a trois ans, je ne croyais pas aux créatures mythologiques, je rétorque? Aujourd'hui, je vais au lycée avec eux.
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- Il venait nous offrir une chance de nous rendre, explique Fathom. Pourtant ils ont faim et voudraient bien se repaître de nos cadavres sans plus attendre. Je crois que c'était une forme de courtoisie de sa part.
- Quelle politesse exquise, dis-je. J'espère que tu lui as répondu non.
- En fait, je lui ai répondu la première phrase que m'as appris à lire. Tu sais, celle que tu avais inscrite au tableau.
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- Il s'appelle Fathom. Son père est le prime, le roi des alphas. Donc Fathom est un prince, un membre de la famille royale et on m'a demandé de vous dire qu'il était habitué à plus de respect que vous n'en témoignez sans doute à vos amis.

- Et, mon prince, je t'emmerde ! lance Jorge.
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L'un d'eux est un jeune colosse, version légèrement réduite des guerriers jeunesse qui ouvrent la marche. Ses yeux sont enfoncés dans leur orbite et il a de minuscules piquants sur la nuque, les épaules et les avant-bras.
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Les alphas sont ici, jeunes gens, et nous offrent une opportunité qu'aucune autre génération au monde n'a encore jamais eu : celle de communiquer avec une espèce entierement nouvelle, dotée d'une culture millénaire. Ils ont une langue, des arts et des sciences qu'aucun homme n'a jamais connu.
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Comme elles avaient appris à décrypter les réponses de leurs grand-mère, elles choisirent leurs tenues en conséquences. En langage mamireldien, "Habillez-vous léger", c'était porter un bermuda et un tee-shirt. "Pensez à prendre une serviette" se traduisait par "Prenez-en donc une bonne douzaine, les cocottes!". "Habillez-vous chaudement" signifiait enfilait deux paires de caleçons longs, quatre paires de chaussettes, un jeans, deux pulls, une doudoune longue à capuche, sans oublier écharpes et moufles. Si mamie insistait en glissant un petit adverbe voire deux, dans sa phrase, il valait mieux se dégoter un chuaffage d'appoint portatif.
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