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3.94/5 (sur 1164 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , 1950
Biographie :

Érudite, passionnée d’Histoire, d’univers fantastiques et d’ésotérisme, Béatrice Bottet est une romancière aux talents multiples. Elle a été professeur de Lettres et d’Histoire, dans sa jeunesse.

Elle poursuit dorénavant une double carrière : l’écriture romanesque et d’aventure pour la jeunesse et les ouvrages documentaires.

On lui doit, entre autres, Rififi sur le Mont Olympe, Du rififi pour Héraklès, Fille de la tempête, l’encyclopédie du fantastique et de l’étrange et, bien sûr, toute l’épopée qui conte les apparitions du Grimoire au rubis à travers les âges.

Elle partage son temps entre Paris, où elle vit dans le 19e arrondissement, et une campagne proche qui à ses yeux possède deux avantages : elle s’y concentre à merveille et elle y jardine avec passion.
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Source : www.printempsdeslegendes.com
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Conférence Prix Imaginales des collégiens - La sélection 2018... à la question enregistrée aux Imaginales 2018 Avec Johan Heliot, Béatrice Bottet, Pauline Pucciano et Carina Rozenfeld


Citations et extraits (177) Voir plus Ajouter une citation
- J'ai deux problèmes à vous soumettre, exposa alors Penelope. Dont l'un qui est une question de vie et de mort...
- Ah, la vie et la mort...Posez l'autre question d'abord en ce cas.
- Mais..., protesta Penelope.
L'autre question. Nous nous en débarrasserons vite et ainsi pourrons consacrer du temps et de l'énergie à la question de vie et de mort.
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Les cyclopes étaient des fils du dieu de la mer, Poséidon. C'étaient des êtres frustres, solitaires et asociaux, ce qui n'était pas très grave. Après tout, vivre chacun dans son coin sans gêner autrui n'était pas toujours si mal. Mais ce qui les rendait remarquables, c'était leur drôle de dégaine. Ils étaient immenses, velus, lourdauds, et surtout n'avaient qu'un œil au lieu d'en avoir deux comme tout le monde. Ce qui leur donnait une physionomie abominable.
- Et il paraît qu'en plus, ils sont anthropophages, fit remarquer Ulysse en guise de conclusion.
- Quoi ! Ils mangent des hommes ?!
- Quand ils en trouvent, je suppose, répondit Ulysse.
- Partons vite d'ici.
...
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Elle ne serait jamais une femme rangée. Elle serait journaliste.
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Les troupeaux du Soleil

- Accostons, reprit Euryloque, dormons un bon coup et ainsi tout le monde sera en forme pour reprendre la route demain.
"Oh, je n'aime pas cela..., se dit Ulysse. Je les connais..."
mais il finit néanmoins à se rendre aux demandes de ses hommes.
- Bien, c'est d'accord. Nous allons aborder, et prenons des victuailles avec nous.
- Pourquoi des victuailles ? Il y a des troupeaux sur l'île, elle a l'air riche et accueillante.
" Et voilà, ça recommence..."
Ulysse sentit la moutarde lui monter au nez :
- Sous aucun prétexte il ne faut toucher le bétail du Dieu Hélios. C'est compris ?
- Ouais, pas la peine de hurler.
- J'aime autant insister, à tout hasard. Alors ni les vaches, ni les bœufs...
- ...ni les moutons, ni les veaux, ni les agneaux...
- Ni les taureaux, ni la volaille...
- Ni les chêeres, ni les porcs, enchaînèrent les marins en rigolant, chacun essayant d'ajouter un animal à la liste.
- Vous pouvez toujours rire, bande de crétins ! Tenez-vous le pour dit. On ne touche pas au bétail du Soleil.
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Un hibou hulula et passa non loin d'eux, sous le couvert des arbres.
- Sale bête, réagit aussitôt l'abbé. Que Dieu nous protège des maléfices des chouettes et des hiboux. Celui-là va sans doute aller répéter à son maître Satan la teneur de notre conversation.
- Quelle importance ? remarqua Audouin avec légèreté et même amusement. Le diable sait déjà tout cela.
L'abbé lui jeta un regard noir.
Les hululements du hibou se firent encore entendre, assez loin de là, s’éloignant encore.
- Notre foi l'a fait déguerpir. Vous voyez, messire Audouin, nous avons nous aussi nos armes contre le démon.
- Je vois, dit Audouin n'en pensant pas moins.
Le hibou s'était éloigné tout simplement parce que sa proie avait filé ailleurs sans doute. Ces moines voyaient tout à l'aune du démon.
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Manifestement, ça ne tournait pas rond sur l'Olympe.
- Qu'est-ce qu'ils ont ? s'inquiéta Zeus qui avait fini par s'en rendre compte.
- Une manif ? espéra Hermès, ravi.
Insensiblement, la grogne gagnait...
- Eh bien, eh bien, mes enfants, fit Zeus, qu'est-ce qui ne va pas ?
La digne Héra prit la parole :
- L'Olympe entier s'ennuie, grand Zeus. Il nous faudrait des distractions.
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Il en tira un brandon pour allumer soixante-six chandelles dans la composition desquelles entrait de la graisse de pendu. Les chandelles étaient noires, car il avait mêlé à leur suif des cendres d'os de condamnés de bûcher. À dire vrai, il aurait fallu, pour faire bonne mesure qu'il en allume six cent soixante-six, mais les démons qu'il avait invoqués l'avaient assuré que soixante-six chandelles conviendraient aussi bien, ce qui l'arrangeait étant donné le prix que les bourreaux exigeaient pour la graisse de pendu et les cendres de brûlés, sans compter le suif et la mèche.
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- Qui sait, dit Pénélope, l'anglais leur servira peut-être, un jour ou l'autre.
- Je ne crois pas, mademoiselle. C'est juste un langage amusant et spécial et bizarre. Mais nos filles sont destinées au mariage et à la vie à la maison. Elles savent leur extrême devoir : procurer des enfants, pour la plus grande gloire de leur belle-famille.
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Salviat posa les mains sur le livre. [...] Le grimoire au rubis ne semblait pas un objet inerte. Il avait pu le constater à plusieurs reprises. Oh c'était subtil. [...]
C'était une impression totalement incompréhensible, inexplicable, pourtant Salviat était sûr de cela : le livre se sentait bien avec lui. Pour un peu il en aurait ronronné de plaisir.
« Qu'est-ce que je m'en vais penser moi ! Un livre ! Ronronner ! »
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Si vous êtes là tous les trois, c'est que vous êtes probablement les nouveaux dépositaires du grimoire. Vous vous êtes retrouvés pour cela.
Un étudiant reniant les siens, une vendeuse de fleurs qui fuyait sa famille, un voleur repenti, tous trois quasiment désargentés, perdus devant l'énorme responsabilité qui s'imposait à eux.
- Je n'ai rien demandé...fit Albéric.
- Moi non plus.
- Moi non plus.
- C'est le grimoire lui-même qui vous demande de le sauver! fit le bibliothécaire.
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