Michael Freeman

Très bon guide, disponible sur place, pour parcourir les dédales des différents sites d'Angkor. Nombreuses explications historiques, qui enrichissent notre visite. S'écarter du tohu-bohu d'Angkor Vat pour flâner dans les temples un peu excentrés et délaissés par les touristes pressés. S'asseoir sur une marche et alterner les moments de contemplation, voire de méditation avec la lecture de cet ouvrage. C'est alors que l'on se sent envahi par un grand moment de plénitude.

Vous voulez partir au Cambodge visiter Angor ? Voici le guide qu'il vous faut ! Admirablement illustré vous y trouverez toutes les informations que vous chercher de l'histoire de chaque temple à leur description en passant par comment y aller et à quelle heure vous pourrez faire vos plus belles photos en fonction de l'exposition du site... Ce guide a réponse à tout.

Ce livre du photographe américain Michael Freeman «le grand livre de la photo numérique», publié en 2011, est très certainement un des meilleurs ouvrages récents sur la technique photo numérique.



Ce livre, en plus de détailler tous les aspects de la technique photo, a le mérite de traiter en profondeur des différentes techniques de traitement de l'image numérique, présentées à chaque fois sur une double page magnifiquement illustrée.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

http://lucien.biolatto@wanadoo.fr

Indispensable pour tous ceux qui veulent améliorer leur coup d'oeil, comme tous les ouvrages de cet auteur. Et c'est ce qui particularise celui-ci, vous apprenez toujours quelque chose à chaque lecture. Il n'y a pas souvent de redites et vous n'avez pas l'impression de relire ce que vous avez déjà lu dans un ouvrage précédent comme c'est malheureusement souvent le cas pour les livres de photographie.

Un excellent guide touristique pour le site d'Angkor, au Cambodge.

Au menu : une belle introduction à la civilisation khmère (histoire, religion, architecture, etc.) suivie du détail, un à un, des monuments du site. L'histoire, le plan, les bas-reliefs de chaque monument sont décrits minutieusement, avec la proposition d'un itinéraire de visite guidée. Le tout est agrémenté de superbes photos.

Il faut cependant une bonne dose de patience et de persévérance pour se plonger dans tous les textes, car on se perd vite entre les noms de rois, les époques et les mythologies hindoues et bouddhiques.

Freedman m'a longtemps rebutée et j'ai tant et plus avant de m'y replonger.... et de savourer ! Donc sans doute pas pour le débutant, mais pour celui qui veut aller plus loin.

Freeman vous donne l'impression de n'être qu'un piètre preneur d'images mais vous explique tellement aisément comment devenir un vrai photographe, que ce serait dommage de rater ses ouvrages ô combien intéressants et instructifs.

Ce n'est pas l'appareil qui "fait" la photo mais bien celui ou celle qui appuie sur le déclencheur.



Vous connaissez peut-être cette blague classique du prof de musique d'un futur tsar: "Il y a trois sortes de gens, ceux qui ne jouent pas du violon, ceux qui en jouent mal, et ceux qui en jouent bien. Je félicite votre altesse d'appartenir déjà à la deuxième catégorie."



En photo, c'est un peu pareil. Et le livre de Michaël Freeman qu'il m'arrive encore de consulter parfois, permet de passer de la seconde à la troisième catégorie.

Il a aussi l'avantage de se f... complètement de l'appareil que vous utilisez. Même avec un smartphone, vous pouvez faire des photos intéressantes. Cela change agréablement de tous ceux qui se perdent en discussions interminables pour savoir si CanoNikon est mieux que PanoLympic.



J'ajouterai quand même qu'en photo il existe une quatrième catégorie. La photographie plasticienne. Mais là c'est un autre débat...

La médiathèque de Lisieux vient d’acquérir un livre incontournable dans l’apprentissage de la photographie : L’œil du photographe et l’art de la composition. Incontournable car un photographe n’est pas seulement quelqu’un qui maîtrise son appareil mais aussi quelqu’un qui sait construire son image.



Vous voilà prêt à prendre une photo de famille. Vous alignez les différentes personnes, vous apostrophez l’oncle Jean-Pierre pour qu’il rentre dans le cadre, vous demandez à tous de regarder l’objectif puis de sourire. Tout le monde ou presque sait prendre une photo. Il suffit d’appuyer sur le bouton de l’appareil au dessous de son index ou de son majeur. Pour autant, ce geste ne fait pas le photographe. Prétendre être photographe, c’est développer une approche artistique de la photo. Comme le souligne l’auteur du livre Michael Freeman, « composer et insuffler du caractère à une image demande un minimum d’effort […] C’est l’un des défis de la photographie : parvenir à dépasser le piège tendu par la facilité du procédé ».



Johannes Itten, professeur au Bauhaus dans l’Allemagne des années 1920, déclarait à ses étudiants qu’ils pouvaient créer un chef d’œuvre sans connaissance des règles de composition ou de la théorie des couleurs. Mais s’ils s’en sentaient incapables, ils feraient mieux d’apprendre. Justement, c’est là qu’intervient Michael Freeman, photographe à la renommée internationale. Il est l’un des rares auteurs à proposer un livre qui se consacre à l’apprentissage de ces règles.



Plutôt que « règles », Michael Freeman préfère parler de « principes » ou d’« outils ». Autrement dit, ce ne sont pas des commandements. Libre aux photographes de les mettre en pratique. Une photo réussie peut très bien s’en affranchir. Mais mieux vaut les connaître. Elles constitueront autant de guides pour placer le sujet, disposer les éléments dans le cadre ou encore diriger le regard du spectateur. Pour répondre à ces problèmes, l’auteur illustre son discours par des photos souvent simples mais très parlantes auxquelles s’ajoutent des schémas. Progressivement, le lecteur, qu’il soit photographe ou non, découvre pourquoi une photo séduit. Il appréhende les « secrets » d’une prise de vue réussie.



Le livre déborde largement le sujet, finalement assez théorique, de la composition. L’avant-dernier chapitre souligne qu’avant toute prise de vue, le photographe doit s’interroger sur son intention. Quelle type d’image souhaite-il obtenir ? Simple ou complexe ? Claire ou ambiguë ? Conventionnelle ou originale ? Documentaire ou expressive ? Autant de couples antinomiques au sein desquels le photographe doit choisir ou tendre. Dans le chapitre « le processus », l’auteur détaille l’attitude du photographe devant un sujet qu’il s’apprête à capturer. Un temps qui peut s’étaler sur plusieurs minutes ou sur une fraction de seconde. Là encore l’auteur explore un thème peu expliqué et il le fait de façon toujours aussi pédagogique. A travers plusieurs photos de la même scène, Michael Freeman nous livre sa patiente recherche du bon cliché. Sur certaines pages, il n’hésite donc pas à afficher ses essais, même ratés.



Au terme des 190 pages, le lecteur a la sensation d’avoir développé et affiné son regard, ce que Michael Freeman appelle « l’œil du photographe, cette façon si particulière de déceler en chaque chose vue une image potentielle ».



Sommaire :

- Le cadre de l’image

- Principe de base de la composition

- Graphisme et éléments photographiques

- Lumière, couleur et composition

- L’intention

- Le processus
Lien : http://bmlisieux.blogspot.co..

Un livre certes écrit par un grand photographe contemporain mais qui n'apporte rien.

Tout d'abord le titre & l'image de couverture sont trompeurs. Il ne s'agit pas du tout, comme on pourrait le penser, des 1001 astuces pour travailler son œil mais de conseils pour trouver / accéder à des lieux où il y aura PEUT-ETRE quelque chose d'intéressant à photographier.

Ensuite les conseils prodigués ne sont pas terribles. Ils nécessitent en effet souvent d'avoir de l'argent & / ou des relations. De plus n'importe qui, à condition de se poser 5 mn & de réfléchir un peu, est capable de les trouver par lui-même (pas besoin de ce bouquin pour ça).

« L’un des principes essentiels en photographie est d’amener de l’ordre dans le chaos. » (89)



L’angle de vue est inhabituel. Plus qu’un guide, c’est quasiment un livre de contes. À chaque photo une histoire, un déroulement, une séance de prise de vue comme si on y était. J’ai pris grand plaisir à me faire mon petit cinéma avec Michael Freeman.



On est ici plongé dans le milieu des photographes professionnels, voire des puristes portés par un idéal quasi sportif. Mais leur engagement parle quand même à nos modestes pratiques d’amateurs. Le fossé qui sépare les « images que l’on construit d’abord mentalement » de ce qui se déroule en réalité. L’abondance de clichés quelconques pour obtenir une image qui fait mouche. Les processus sont les mêmes.



Feuilleté comme un album, ce livre forme le regard.

Vous avez l'intention de partir avec votre boîtier prochainement en voyage, vacances, randonnée… Ce petit bouquin fourmille de conseils astucieux pour le photographe qui ne sait quoi emporter dans ses bagages. Il vous offre des tas d'informations pratiques comme le type de prise électrique utilisée dans chaque pays, rappel des différentes lumières que vus allez rencontrer, le problème des protections à apporter à vos appareils en même temps que le choix des vêtements, etc.

Bref, que glisser de réellement important dans votre sac.



Suite sur urbanbike…

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