Miguel Ruiz

Nous sommes dépendants de la façon dont nous vivons.

Il vous faut tout d'abord pardonner à vos parents, à vos frères et sœurs, à vos amis et à Dieu.

Le pardon est la seule façon de guérir.

Il est facile de vivre les yeux fermés, en interprétant de travers tout ce que l'on voit...

La seule façon de conserver l'information, c'est d'être d'accord avec elle.

Du moment que nous sommes d'accord, nous croyons : c'est ce que l'on appelle la foi. Avoir foi signifie croire sans conditions.

Nous croyons tous ce que les adultes nous disent.

Nous avons un concept de ce qu'est la femme et un de ce qu'est l'homme. Et nous apprenons aussi à juger : nous nous jugeons nous-mêmes, nous jugeons les autres, les voisins.

Enfant, on nous apprend d'abord le nom des choses : maman, papa, lait, bouteille. Jour après jour, à la maison, à l'école, à l'église et par la télévision, on nous dit comment vivre, quels sont les comportement acceptables.

Le rêve de la planète nous enseigne comment être des humains.

La vraie justice consiste à ne payer qu'une seule fois pour chaque erreur.

Nous avons une puissante mémoire.

Chaque être humain a son propre rêve personnel et, comme celui de la société, il est généralement régi par la peur.

Chaque fois que l'on ressent de la colère, de la jalousie, de l'envie, ou de la haine, on sent un feu qui brule en soi. On vit d'en un rêve d'enfer.

Vous avez conclu des milliers d'accords avec vous-mêmes, avec les autres, avec le reve de votre vie, avec Dieu, avec la société, avec vos parents, votre conjoint, vos enfants. Mais les plus importants sont ceux que vous avez passés avec vous-mêmes.
Au moyen de ces accords, vous vous dites qui vous êtes, ce que vous sentez, ce que vous croyez, et comment vous comporter. Le résultat est ce que vous appelez votre personnalité.

Nous avons appris à vivre en nous efforçant de satisfaire les besoins d'autrui, à vivre en fonction du point de vue des autres, de peur de ne pas être accepté et de ne pas être assez bien à leurs yeux.

Nous sommes incapables de nous pardonner de ne pas être tels que nous le souhaitons, ou plutôt tels que nous croyons devoir être. Nous ne pardonnons pas de n'être pas parfaits.

nous manquons d'authenticité et nous portons des masques sociaux pour éviter que les autres le remarquent.

Lorsqu'on commet une erreur en présence d'autrui, on essaye de la caher ou de la nier.

La manière dont on se juge est la plus sévère qui soit.