Citations de Molly Night (71)
- En effet, tu ne peux pas me faire mal physiquement, mais tu es la seule personne qui peut m'atteindre mentalement. Tu es la personne qui compte le plus pour moi. Evelyn, la seule capable de me briser le cœur.
- Je ne peux pas te laisser partir. Crois-moi, j'ai essayé de refouler mes sentiments, mais je ne peux pas. Depuis que je t'ai vue pour la première fois, c'est comme si tu avais volé mon cœur, je n'ai cessé de penser à toi. J'ai vécu des milliers d'années, mais je n'ai jamais rien ressenti de comparable, en tout cas pas pour une humaine.
- Êtes-vous un ange ? murmura Evelyn au moment de erdre connaissance.
- Non, je suis un vampire.
A cet instant, les points noirs embrumèrent complètement sa vision et elle perdit conaissance.
Elle ne voyait aucune raison de vivre. L’avenir lumineux et heureux qu’elle avait imaginé était à présent anéanti, remplacé par un destin funeste. Elle savait qu’elle ne serait jamais heureuse au palais royal. Une vie dans une cage, même dorée, ne valait pas la peine d’être vécue.
Elle ne voyait aucune raison de vivre. L’avenir lumineux et heureux qu’elle avait imaginé était à présent anéanti, remplacé par un destin funeste. Elle savait qu’elle ne serait jamais heureuse au palais royal. Une vie dans une cage, même dorée, ne valait pas la peine d’être vécue.
Il y avait toujours une lueur d’espoir dans la vie, et même si elle était très mince, il fallait s’y accrocher et continuer à se battre. Si vous baissez les bras, alors vous êtes sûr de ne jamais rencontrer le bonheur.
Il y avait toujours une lueur d’espoir dans la vie, et même si elle était très mince, il fallait s’y accrocher et continuer à se battre. Si vous baissez les bras, alors vous êtes sûr de ne jamais rencontrer le bonheur.
Si c’était Atticus qui l’avait tenue dans ses bras, elle se débattrait de toutes ses forces parce que la seule idée du contact de ce montre lui donnait la chair de poule. Mais c’était différent avec ce vampire aux cheveux bouclés. Pour des raisons qui lui échappaient, elle ne dédaignait pas sa compagnie. Au contraire, elle la trouvait singulièrement réconfortante et elle se sentait en sécurité.
Si c’était Atticus qui l’avait tenue dans ses bras, elle se débattrait de toutes ses forces parce que la seule idée du contact de ce montre lui donnait la chair de poule. Mais c’était différent avec ce vampire aux cheveux bouclés. Pour des raisons qui lui échappaient, elle ne dédaignait pas sa compagnie. Au contraire, elle la trouvait singulièrement réconfortante et elle se sentait en sécurité.
Il n’aimait pas que les jeunes filles soient contrariées, et a fortiori lorsque c’était Evelyn. C’était peut-être dû au fait qu’il lui avait sauvé la vie, mais il ressentait un besoin étrange de la protéger. Elle plus que quiconque.
Arrête de pleurer. Arrête de pleurer, Evelyn, tu ne peux pas pleurer à chaque fois que tu rencontres un problème. Ce n’est pas une solution. Si tu pleures c’est de l’apitoiement, tu dois être forte. C’est la seule façon de t’en sortir.
Mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Le fait qu’Evelyn veuille être forte ne voulait pas nécessairement dire qu’elle le pouvait. Contre sa volonté, les larmes se mirent à couler de ses yeux rougis sur ses joues à la peau boursoufflée.
Ne pleure pas, ne pleure pas, se répétait-elle, en vain. Les larmes continuaient à couler.
Un gémissement brisé s’échappa de ses lèvres. La réalité de sa situation l’avait frappée de plein fouet. Elle avait cru toucher le fond auparavant, mais elle se trompait. C’était maintenant qu’elle touchait le fond. Plus de famille. Plus d’Ethan. Plus de liberté. Plus rien.