Le quatrième et dernier tome de la saga Wish, d'Audrey Carlan !
Après avoir suivi les aventures des trois soeurs Suda Kaye, Evie et Isabeau, venez faire la connaissance de... leur mère !
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Tu me demandes si j’ai envie de t’embrasser à t’en couper le souffle ? Ou si je meurs d’arracher ton t - shirt pour sucer les pointes de tes seins jusqu’à ce que tu me supplies de te faire l’amour ? – Me faire l’amour ? je ricane malgré les fourmillements qui naissent entre mes jambes. – Bien sûr, chérie *, les Français font l’amour. Mais il y a bien des manières de faire l’amour. Ça peut être dur, rapide, lent, tendre. J’ai l’intention de te faire toutes ces choses durant de nombreuses heures. Mais pas maintenant. Maintenant, nous devons travailler. Nous nous amuserons plus tard. Je hoche la tête, ne trouvant pas les mots pour lui répondre. J’aimerais lui demander ce qu’il entend par s’amuser, même si j’ai une bonne idée de ce qu’il a en tête
– Ça devrait t’aller. Tu mesures quoi – à peu près un mètre quatre - vingt - cinq ? Et tu pèses soixante - trois kilos ?
– Un mètre quatre - vingts, et … ta mère ne t’a jamais dit qu’on ne demandait pas son poids à une femme ?
– Hélas, non, répond Amil en secouant la tête et en riant.
– Eh bien, elle a failli à sa mission alors, dis-je sur un ton sarcastique. C’est impoli, et les femmes détestent ça. Tu es marié ? Il secoue la tête. – Tu as une copine ? Il secoue de nouveau la tête. – C’est bien ce qui me semblait. Je n’ai plus rien à dire, je conclus en frappant dans mes mains comme si je venais de prouver la théorie de la relativité d’Einstein.
J'ai souvent entendu que l'enfer est pavé de bonnes intentions, mais c'est la première fois que je saisis vraiment le sens de cette expression.
"Si tu aimes une personne, laisse-la partir, si elle ne revient pas, il n'y avait aucune raison qu'elle reste avec toi"
Peu importe qu'ils soient gays ou non, il leur manque tout de même ce gène qui leur permettrait de comprendre les femmes et les raisons de leurs actes.
"En fin de compte, l'amour c'est l'amour, et on ne choisit pas de qui on tombe amoureux et de combien de temps l'amour durera."P.75
- Tu es déjà montée dans une limousine ? demande Wes en me regardant d'un air amusé
La réponse est non, bien évidemment, mais je refuse de le lui dire
- Bien sûr, je dis en ouvrant la portière
Wes met sa main sur sa bouche en riant et je grimace, ne comprenant pas la blague
- Alors pourquoi tu veux monter à l'avant ? demande-t-il en désignant la porte que je viens d'ouvrir
Je regarde à l'intérieur et je vois le volant du conducteur. Lorsque je me redresse, je réalise qu'un homme en uniforme de chauffeur tient la portière arrière ouverte.
- Je le savais , je voulais simplement demander au chauffeur où nous allons, dis-je en me sentant rougir
- Mais bien sûr, dit-il en posant une main sur le creux de mes reins pour m'accompagner.
Je t'aimais à l'époque. Je t'ai aimée pendant ton absence. Je t'aime toujours autant. Notre amour n'est pas de ceux qui s'éteignent à la moindre brise. Il s'est peut-être caché pendant dix ans, mais il est ressorti de sa tanière et une brille comme mille soleils.
Je suis majeure et il est canon. Nous sommes jeunes et nous allons nous côtoyer quotidiennement pendant presqu’un mois. Vu l’alchimie qu’il y avait entre nous ce soir, je suis certaine que le sexe serait génial. Ça me ferait du bien, d’ailleurs ça fait presqu’un an que je n’ai pas eu de rapport sexuel et mon vibromasseur ne me fait plus le même effet. J’ai besoin de ce lien physique et charnel, de sentir un corps chaud et viril sur le mien.
– ...Ces hommes peuvent te promettre la lune, ça ne veut pas dire qu’ils la décrocheront pour toi. Crois-moi, j’ai déjà entendu ça. Trop de fois, d’ailleurs.
– Alors, il n’y a rien qui l’interdit ?
– Non, mais… protège ton cœur, ma poupée. Ce métier n’est pas pour tout le monde et tu as déjà beaucoup souffert pour quelqu’un de si jeune. Prends le temps de t’amuser, de te détendre, et goûte à tout ce que la vie peut t’offrir.