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Critiques de Nassira El Moaddem (10)
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Les filles de Romorantin

Nassira El Moaddem est journaliste ( le Monde, France 2 entre autres ), elle a dirigé le Bondy Blog et été sa rédactrice en chef. Mais avant sa brillante carrière, elle est née à Romorantin dans le Loir-et-Cher, elle y a vécu jusqu'à ses 18 ans et son départ pour des études à Paris. Elle revient sur les lieux de son enfance et de son adolescence pour enquêter sur le mouvement des Gilets jaunes.



Ce récit est d'abord le portrait d'un territoire en déclin, d'une petite ville de province qui ne se remet pas de la fermeture brutale, en 2003, de l'usine Matra travaillant pour Renault, le premier employeur privé de la région, là où le père de Nassira a été ouvrier. Un tsunami économique, encore inscrit dans les paysages et les mentalités. Une ville qui se sent aujourd'hui oubliée. Nassira El Moaddem décrit parfaitement ce déclassement, notamment dans le chapitre consacré à son enclavement géographique : seulement deux-cents kilomètres pour rejoindre la capitale, mais 2h15 en train avec un changement à Salbris pour troquer un Intercités crasseux pour une petite micheline. Une ligne qui devrait bientôt sacrifier sur l'autel de la rentabilité



C'est aussi le portrait de ses habitants et notamment de Caroline, la meilleure amie d'enfance de Nassira, celle qui n'est jamais partie, celle qui galère en mère célibataire, celle qui est à découvert le 15 du mois. Celle qui est devenue Gilet jaune et qui permet à la journaliste d'infiltrer le mouvement au quotidien. On a tout dit sur les Gilets jaunes, il n'y a pas de scoops ou de surprises dans ce qu'elle raconte. Mais c'est dit sans parti pris idéologique, sans fard, avec tendresse pour ces révoltés, mais sans rien occulter non plus comme la montée du Rassemblement national ou le racisme latent voire assumé de certains.



Les passages les plus intéressants et d'éclairants sont d'ailleurs ceux que l'auteur consacre aux Romorantinais d'origine immigrée. Voici ce que répond Sedat à la question centrale de la non participation des Français d'origine immigrée au mouvement des Gilets jaunes : «  Si nous, les Turcs, les Arabes, les Noirs de France, on avait pris part au mouvement, les casseurs auraient eu un nom et un visage ? On aurait été désignés direct. On nous aurait désignés direct. On nous aurait qualifiés d'islamistes, d'intégristes violents. de toute façon, au moindre petit truc, on est pointés du doigt, donc heureusement qu'on n'a pas pris part. C'est malheureux à dire, parce que cette misère-là, c'est aussi la nôtre ! »



Et derrière ces portraits sociétaux, se dessine celui, intime, de l'auteure. Celle qui est partie, qui s'est extraite de sa condition sociale, celle qui a réussi. Elle s'interroge sur sa légitimité à parler des déclassés, des oubliés, des invisibles, dans sa culpabilité à avoir fui la ville au moment où Matra fermait, dans son sentiment d'imposture, elle qui a été la première de sa famille à faire des études supérieures. Elle interroge aussi de façon très pertinente sur l'identité ou plutôt les identités multiples qui s'entrechoquent en chacun : elle, la fille d'immigrés marocains, la fille d'ouvrier, la Romorantinaise mais aussi la Parisienne, la journaliste, la bourgeoise.



Ce récit très réussi est aussi bien celui d'un territoire blessé, d'une fracture que de l'échappée de celle qui y est partie et qui revient. Il parvient haut la main à parler à la première personne tout en maintenant une rigueur journalistique, entre réflexions personnelles et enquête de terrain, tour à tour nostalgique et incisif. Le tout en étant très accessible et vivant.
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Les filles de Romorantin

Romorantin se pare, fièrement, du nom de capitale de la Sologne. Et pourtant c'est une bourgade comme beaucoup d'autres... Peu d'avenir, un centre ville en désespérance, des jeunes qui s'ennuient et se rêvent un avenir ailleurs et les usines qui ferment ( surtout l'énorme usine Matra, ancien coeur/poumon de la ville ) qui a tant apporté à cette sous-préfecture. Depuis le site a été rasé... Jusqu'à 300O personnes y ont travaillé dont le père de l'auteur.

Nassira El Moadden est revenu à Romorantin, c'était juste le début du mouvement des gilets jaunes. Elle y retrouve une amie d'enfance, toutes les deux ont eu un destin bien différent. L'une, fille d'immigrés, est journaliste l'autre se bat pour une vie meilleure, une vie où l'on choisit l'essence pour aller travailler -loin- à un repas le midi.

Nassira nous parle de cette ville qu'elle a aimé, elle en voit les stigmates, reçoit la misère et le racisme en pleine face mais aussi relève la solidarité dans les quartiers et le formidable élan qui anime les gens.

C'est Romo comme on dit par ici mais cela pourrait être n'importe où...L'autre France loin de l'opulence.

Elle a rencontré les politiques, a testé le boulot de femmes d'entretien à Center Parc ( mais de petits boulots elle en avait tant fait dans sa jeunesse, et étudiante...) nous parle de gens simples mais formidables et puis d'autres....

Quand il y a eu une rencontre autour de son livre, organisé pat la médiathèque, sa parole lui a été confisqué. On n'avait jamais vu ça. A la lecture du livre on comprend que la mairie n'a pas apprécié. Mais le constat n'est pas faux. C'est son ressenti qu'elle nous livre avec sincérité.

L'histoire d'une vie, d'une famille, d'une ville, un beau témoignage que celui-ci qui nous dit le naufrage des communes qui ont rêvés d'un destin mais qui sombrent peu à peu.

Un témoignage passionnant qui reflète une réalité sociale de plus en plus prégnante et qui ne concerne pas seulement les gens du cru.

Très belle découverte. A lire !







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Les filles de Romorantin



Nassira El Moaddem © Ed Alcock







Dans « Les Filles de Romorantin », la journaliste Nassira El Moaddem enquête sur la ville qui l'a vue grandir. L'ouvrage en dit long sur les fractures françaises.





Adolescente, Nassira El Moaddem s'ennuyait ferme à Romorantin, sous-préfecture de Loir-et-Cher (17 900 habitants). Alors elle a quitté la ville, fait de brillantes études (Sciences-Po, ESJ Lille), est devenue journaliste à Paris. Mais Romorantin traînait dans un coin de sa tête. Un jour, en 2018, elle y est retournée, a retrouvé son amie d'enfance, Caroline, qui était devenue ouvrière et avait enfilé un gilet jaune. C'est ce retour aux sources que Nassira El Moaddem, 35 ans, raconte dans « Les Filles de Romorantin » (éd. L'Iconoclaste), un ouvrage original qui mêle le récit intime et le reportage documentaire, offrant un saisissant portrait de la France d'aujourd'hui : paupérisation de la population, divorce entre les élites et le peuple, désertification du centre des petites villes... Nassira y exprime la culpabilité de celle qui est partie, qui a connu une certaine réussite sociale. « On éprouve toujours un sentiment d'imposture, dit-elle. En plus, j'ai quitté Romorantin en 2003, au moment où la ville était frappée par la fermeture de l'usine Matra qui faisait vivre toute la région et où travaillait mon père. Cela ajoutait à ma mauvaise conscience. » À travers le portrait de sa copine Caroline, on comprend le désespoir qui peut habiter un gilet jaune. Caroline a beau travailler en usine à plein temps, elle ne peut pas se payer le plus petit plaisir, un resto, un ciné, ne peut même pas utiliser sa voiture le week-end faute d'essence... Une existence totalement bloquée, isolée. « J'ai été révoltée par la situation que j'ai découverte. Le pouvoir d'achat a beaucoup baissé par rapport à celui qu'a connu mon père, ouvrier dans les années 1980 et 1990. » À l'écouter parler avec passion, on comprend que son problème n'est pas d'être une femme coincée entre son identité marocaine et française, mais plutôt entre « Romo » et Paris. « Il faut en finir avec les clichés. On oppose toujours les petits Blancs de la périphérie et la population métissée des banlieues. Mais il y a aussi des immigrés ruraux. Moi-même, je suis un empilement d'identités, à la fois française, marocaine, fille d'Erasmus, provinciale, parisienne. Et surtout romorantinaise. » À la lire, on se dit que Romorantin, c'est bien. Pas seulement une ville dont le nom rime avec ennui ou isolement. C'est aussi une ville qui a façonné une personne comme Nassira El Moaddem, et cela, c'est porteur d'espoir.



Publié dans Elle
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Les filles de Romorantin

Un concours m’a permis, il y a quelques mois, de gagner l’ouvrage Les filles de Romorantin. Je ne connaissais pas Nassima El Moaddem mais je connais le Bondy Blog qui a pour but de donner à voir et à entendre les invisibles. Nassima El Moaddem est une fille de Romorantin. Elle y a grandi, elle en est partie mais l’apparition du mouvement des gilets jaunes la ramène vers la ville de son enfance.





Sa posture de journaliste, associée à son héritage de fille de Romorantin, lui fait re-découvrir sa ville, devenue une fille des invisibles et des oubliés où les inégalités, les souffrances sont bien présentes. A travers ce reportage sociologique, elle renoue avec sa vie d’avant, retrouvant des amies d’enfance mais elle porte aussi un regard lucide et juste sur l’évolution politique, économique et sociale de Romorantin.



J’ai trouvé ce reportage intéressant et j’aime l’écriture de Nassima El Moaddem, juste, simple et efficace. En sortant de cet ouvrage, on porte un autre regard sur les gilets jaunes, sur les oubliés et les invisibles de notre société.



Sans être moralisateur, ce reportage fait ouvrir les yeux sur un monde que les médias n’exposent pas, auquel ils ne s’intéressent pas et pourtant qui est si proche de nous.



En résumé : un reportage sur les oubliés, les invisibles, à lire pour porter un autre regard sur notre monde.
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Les filles de Romorantin

"Il s'agit d'une satire sociale joué par De Funès, en plus y'a des extra-terrestres" sauf que "Les filles de Romorantin" bah c'est pas une satire sociale, c'est une réalité sociale et figurez-vous que les acteurs se pourraient être vous, moi, nous.



A l'occasion du salon E poque de Caen, j'ai eu la chance d'échanger avec Nassira El Moaddem, qui nous a présenté son livre ainsi "L'une est restée, l'autre est partie", Caroline devenue gilet jaune, et elle, Nassira journaliste. Un documentaire dans lequel elle fait le chemin à l'envers, et part à la rencontre de ses souvenirs, de ses racines, de ses amis d'enfance...



Les filles de Romo s'est aussi l'histoire d'un bassin industriel longtemps porté par Matra. Plus qu'une entreprise, une institution qui faisait vivre des centaines de familles directement et indirectement, jusqu'à sa fermeture, et la déconfiture économique.

En parallèle, ce sont des gamins ayant grandi ensemble, partagé les mêmes bancs d'école et les mêmes rêves. Certains sont restés, d'autres sont partis. Ainsi va la vie, chacun est maître de ses choix, mais comment ne pas culpabiliser lorsqu'on a réussi autrement.



Decouvrir un livre après avoir rencontré son auteur et échangé avec lui donne une dimension particulière au récit. Mais c'est d'autant plus vrai lorsque l'auteur vous reçoit avec tant de gentillesse et de simplicité. Je reste impressionnée par la disponibilité des auteurs ce jour-là. Merci Madame d'avoir pris le temps de vous raconter, de discuter y compris en message privé. L'image de cet homme balayant avec tant d'application et, de fierté son usine m'a émue. Il symbolise tour à tour votre regard d'adolescente, de fille, de femme, et le temps qui passe. En changeant l'angle de vue, la signification n'est plus la même. Des mots simples, directs, une plume à suivre.
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Les filles de Romorantin

Ce livre m'a dérangée. Certes, c'est l'objectif d'un livre et probablement la preuve de sa réussite mais lorsqu'à la fin l'auteure évoque son complexe de légitimité, j'ai l'impression que cela se ressent. Déjà le lecteur est emmené sur une fausse piste : on voit très peu Caroline et les gilets jaunes de Romorantin. Et puis, oui, quand une usine déserte une localité, tout devient pauvre, et c'est le drame de la France actuelle. On le sait déjà, et Gérard Mordillat raconte cela de manière bien plus magistrale dans Les Vivants et les morts. Le problème du racisme n'est qu'effleuré. Il y a peut-être une corrélation à chercher entre précarité, vies qui n'ont pas de sens et intolérance. Le cousin emmené dans la voie de garage du lycée professionnel (en arrière cours) est devenu patron. N'est-ce pas la preuve qu'il ne s'agissait pas d'une voie de garage ? Le maire semble craindre le jugement. N'y a-t-il pas une piste à exploiter ? Certes ce livre pose un diagnostic, mais qui pour moi est connu déjà, et s'arrête en laissant plein de pistes : précarité malgré l'emploi et conditions de travail et de vie difficiles (et qu'est-ce qu'on fait ?), mouvement des gilets jaunes, racisme des précaires, rôle des élus face au départ d'une usine, désertification des centres villes. J'ai été frustrée par ces pistes qui n'étaient qu'effleurées. C'est dommage car Nassira El Moaddem a vraiment une plume claire et entraînante, qui m'a emballée dès le premier train qui part vers Romorantin. J'attends la suite ...
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Les filles de Romorantin

Ce récit n’est pas seulement autobiographique, il dresse un constat sans appel sur le déclin progressif des villes moyennes situées en zones rurales. Romorantin-Lanthenay en fait partie aussi Nassira El Moaddem a saisi l’opportunité de partir à la fin de ses études, bâtissant sa vie et sa carrière à Paris alors que d’autres n’ont eu ni cette ambition, ni cette chance et végètent aujourd’hui dans le quotidien morose et monotone d’une existence à l’avenir peu engageant…



A l'occasion de son retour aux sources, en pleine période de revendication des « gilets jaunes », la romancière renoue avec ses amies de jeunesse et constate avec amertume et colère parfois, la lente mais incontestable paupérisation de sa ville natale, principalement en raison de la désindustrialisation qui s'accroît au fil des années mais également d'une mauvaise gestion administrative locale. Relevant aussi bien du journal intime que du règlement de comptes, il n'y a pas de place pour la langue de bois dans cet ouvrage qui égratigne beaucoup de monde, aussi bien les élus locaux que les politiques…
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Les filles de Romorantin

Nassira El Moaddem est née à Romorantin. Elle y a vécut sa jeunesse puis a décidé de poursuivre ses études à Tours avant de devenir une brillante journaliste.



Elle décide 15 ans plus tard de revenir à «Romo», qui a beau être la «capitale de la Sologne» a quand même du mal à être desservie correctement au niveau des transports.



«A Romo, on s'ennuyait profondément», le ton est donné dès le début. Elle décide de reprendre contact avec sa meilleure amie de l'époque (elles s'étaient perdues de vue) Caroline, qui contrairement à elle n'a jamais quitté Romo.

Nassira va alors dresser le portrait de Romantinaises et Romantinais qu'elle connaissait avant (Caroline, Hamid, Najat, Karima, Lucia, Otmane...)

Ses descriptions sont touchantes de sincérité et permettent de faire le point de cette France de périphérie subissant de plein fouet les fermetures économiques (ici, l'usine Matra) , cette France qui peine à évoluer faute de moyens suffisants.



J'ai beau n'avoir jamais mis les pieds à Romo, j'ai parfois pu m'identifier à l'autrice sur cette envie pressante, farouche, dès le bac en poche de vouloir absolument quitter la ville de mon enfance et vouloir «se perdre» dans une ville beaucoup plus grande afin d'y poursuivre ses études.

J'ai littéralement dévoré ce documentaire.
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Les filles de Romorantin

Très mauvaise plume, surprenant pour une journaliste...

Quand on lit le livre, on a l'impression que l'auteure cherche à rendre des comptes sur sa ville natale. Histoire vide de sens dans lequel l'auteure ne cherche qu'à se mettre en avant et montrer à quel point elle a réussi (de son point de vue). Livre sans intérêt.
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Les filles de Romorantin

Nassira El Moaddem est journaliste, télévision, internet (Bondy blog), elle est née en 1984, et après quelques années d'enfance passées à S., ville bien connue pour son fromage de chèvre (oui, A girl, là même), sa famille déménage à Romorantin. Le père, comme 3500 habitants du coin, travaille à l'usine Matra, les enfants font des études, Nassira a le parcours qu'on peut découvrir sur wikipedia et que de toute façon elle relate dans son livre.



Elle est revenue récemment à Romorantin, dite 'capitale de la Sologne', au moment des gilets jaunes, désireuse d'en rencontrer, et aussi de parler de sa ville et de sa jeunesse. En particulier elle veut retrouver son amie Caroline, fille de commerçants et désormais ouvrière, dont la deuxième quinzaine de mois est chaque fois très difficile.

Comme indiqué sur la couverture, 'elles sont nées dans la même ville, l'une est restée, l'autre est partie, c'est l'histoire de deux destins...', alors pourquoi? J'avais une petite idée de la réponse avant cette lecture, à vous de la découvrir.



C'est aussi l'occasion pour Nassira el Moaddem de parler de Romorantin, qui comme bien des villes dont l'usine principale a fermé, a connu le choc du chômage, des départs, des drames humains. Beaucoup vivotent. le centre ville voit les commerces fermer ou en tout cas les enseignes défiler, ce qui est le cas de bien d'autres petites villes. Elle a parcouru la ville, assisté à des réunions avec des gilets jaunes (un peu réticents face à une journaliste, même issue du coin), revu des connaissances ou amis d'enfance. Elle a rencontré le maire et des responsables (parfois avec difficulté) et rencontré le public lors d'une réunion houleuse, à en lire la presse locale. C'est sûr que certaines affirmations sur la ville ne lui ont pas fait que des amis. Center Parks n'a pas dû apprécier non plus (je n'ai pas d'échos)



Mais elle l'aime, sa ville, cela se sent, et elle a écrit des pages aussi pleines de sensibilité, ainsi que sur sa famille et la communauté de Romorantin issue de l'immigration. Même si l'on ne connaît pas ce coin (et c'est dommage!), ce qui en est dit peut s'appliquer à d'autres villes et c'est aussi pour cela que la lecture s'avère intéressante.



Ceci étant, je ne peux demeurer neutre dans cette histoire, quand tout du long des pages je visualise les lieux, je reconnais des noms de lieux et de personnes, et le gros choc pour moi ça a été de retrouver une personne que j'ai bien connue, et donc j'ignorais qu’elle habitait encore la ville (le temps passe...)


Lien : https://enlisantenvoyageant...
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