Natsumi Aida

D'un côté, la guerre entre Nika et Arata et leur manager continue, après leur premier jour de travail qui a été désastreux, Nika et Arata ont décidé de se défendre contre leur manager Nitô et vont même jusqu'à la piéger pour qu'elle arrête d'exercer sa tyrannie sur les autres ! J'aime bien les moments où Nika et Arata font tout pour contrecarrer les plans de Nitô même si je me demande à chaque fois qu'est-ce qu'elle va préparer la prochaine fois, mais je suis contente que tout fini bien !



Par contre, du côté de Nino ça commence à devenir compliqué avec les sentiments qu'elle éprouve pour Ken et ceux qu'elle éprouve pour Masamune, j'aime bien le personnage de Ken, mais il ne sera jamais aussi bien que Masamune ! Mais le plus triste, c'est la situation dans laquelle il se trouve et j'espère qu'il tiendra bon et n'abandonnera pas Nino !



J'ai adoré le moment où tous les personnages sont venus aider Bino, c'était émouvant parce qu'ils sont toujours là les uns pour les autres et j'ai hâte de lire leur voyage à la mer !



J'ai beaucoup aimé aussi que Nika rencontre de nouveau l'otagirl, c'était amusant et j'aurais bien aimé que le passage soit plus long, mais j'espère revoir ce personnage dans les prochains tomes !

On retrouve la mangaka de Switched Girl dans une trame qui lui permet de nouveau de laisser parler son impétuosité et son humour trash.

Ici on suit une otaku qui se trouve moche et préfère se réfugier dans des scenarii fantasmés de romance.

L'histoire est sympathique mais elle démarre tout doucement...
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J’avais quitté Nika quand elle s’évanouie. Je la retrouve fiévreuse et sur le dos d’un Arata en mode « off ». Dans ce tome, il y a beaucoup de choses qui se passent. Nika et Arata se mettent en couple. La famille de Nika essaie, sans le vouloir de choquer le jeune homme. Malgré tout, ils filent le parfait amour. C’est à ce moment là, que Nika montre encore une autre partie de sa personnalité. Elle aime aider ! Cet acte de bonté va avoir des conséquences pour tout le monde. Ce tome fait passer les personnages d’un mode à l’autre, accentuant l’impression de vitesse. Il y a un peu trop d’évolutions dans l’intrigue. Je ne comprends pas ce coup d’accélérateur, même si cela permet d’aborder un thème sérieux. Je passe au tome suivant.
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Nika participe au voyage de classe, grâce à Arata. Avant le départ, la mère du jeune homme fait son apparition. Cela laisse présager des confidences que les deux adolescents vont se faire. Ne croyez pas voir le mode « off » de Nika. Il a subit de gros changement. Arata est souvent en « off » pour le plaisir des lectrices. Avec ce voyage un peu spécial, j’ai remarqué l’introduction de problèmes de couple. C’est assez drôle, sachant qu’aucun des deux ne s’est encore déclaré. Le récit avance bien ! Au deux-tiers du manga, j’ai trouvé sympathique mais aussi frustrant d’avoir un résumé de l’histoire de Switch Girl. Je voulais savoir la suite, car le récit principal s’arrête sur un accident.
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La pièce de théâtre s’est bien passée. Il faut maintenant penser à obtenir de bonnes notes pour faire le voyage de classe. Nika a des difficultés à tout gérer. Heureusement, il y a Arata. Le jeune homme montre son attachement pour la jeune fille, ainsi que son besoin de la protéger. Ce tome dévoile une nouvelle facette de Nika, elle peut écouter. Les scènes drôles et décalées sont nombreuses. Cela m’a fait sourire. Arata et Nika compliquent leur histoire, pour enfin réaliser les sentiments qui les animent sans oser l’avouer. Bref, encore une bonne lecture, qui donne un petit sourire.
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Sur conseil d’une copine, je me suis lancée dans la lecture de ce shôjô. Dès les premières pages, le décalage entre le physique de Nika et son comportement est clairement visible. Nika est un peu comme toutes les femmes. La journée, il faut être élégante (surtout dans certains métiers), du coup le soir on se met en décontracté. Rien de plus normal, mais pas pour une adolescente ayant été jugé sur son apparence. Ici, l’influence du regard des autres est clairement visible. Ce manga montre bien ce passage difficile qu’est adolescence. C’est un shôjô donc il va falloir s’attendre à ce que le lien entre Nika et Arata devienne une histoire d’amour compliquée. Ce premier tome m’a totalement conquise. J’espère que la suite sera au même niveau.
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Un one-shot pour filles qui tient ses promesses.







Encore novice dans le manga, je suis plus attirée par les shojo, dont les dessins me paraissent moins dissuasifs. Souvent plus simples, plus zen, sans réelle violence, ce sont des histoires qu'en tant que femme-plus-si-jeune, je me sens capable d'apprécier. Contrairement au type dragon Ball et compagnie, qui me rebute toujours pour l'instant.



Si ce manga a pour moi manqué d'humour (un critère qui me garantit presque un coup de coeur dans la catégorie manga, s'il est bien dosé), il semble que ce soit la volonté de la mangaka. Après sa saga Switch Girl, que je ne connais pas (encore), elle a souhaité aborder un thème beaucoup plus dramatique et réaliste : la hierarchisation en classe au collège. Des groupes A, B et C, formés par un décideur, qui "classe" les élèves selon la liste (non exhaustive) de critères suivants : physique, capacités, intelligence, passions, pouvoir, richesse, bénéfices apportés au groupe, etc.



Un élève de la catégorie C sera traité comme un chien par les A et les B, et limite considéré comme un esclave à remplir toutes les corvées que les élèves A et B sont indignes de faire. Les rangs C doivent obéissance totale aux rangs supérieurs.



Leila est catapultée dans un nouveau collège, dans une classe où ce système a cours ouvertement, soutenu par les professeurs et la direction, sous l'emprise despotique de Jin, l'élève de groupe S (celui qui décide de ton sort en un coup d'oeil). Très vite, elle va constater à quel point ce système est malsain, et s'y opposer vigoureusement, seule dans un premier temps, puis soutenue par de plus en plus d'élèves de rang C.



Du coup, forcément, vu le sujet, niveau humour c'est pas trop le délire. L'histoire est sérieuse, tout en étant abordée de manière simple et ouverte.Et le sujet des brimades et autres maltraitances et humiliations est traité avec respect et recul. Même si c'est probablement très exagéré dans le manga, on sait tous que les classes sont divisées en catégories, les populaires, les invisibles et les brimés. Probablement moins en France qu'aux Etats-Unis ou au Japon, mais on l'a tous ressenti quand même. Et le journal télévisé se charge tous les jours de nous rappeler les dégats que cela peut engendrer.



Bref, j'ai apprécié ce manga sérieux, les dessins d'Aida Natsunami sont clairs, pas trop chargés, comme j'aime. L'histoire est simple à suivre, même si le rythme a été un peu trop irrégulier à mon goût. Ce fut une belle surprise et une découverte sympathique.



Cali
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Je cherchais à acheter quelques fictions sur le harcèlement au collège et j'ai fini par tomber sur ce manga. L'idée me paraissait intéressante, des élèves de 3è se classant selon leur popularité et centres d'intérêts. Leur système va même encore plus loin puisqu'un élève appartenant à une catégorie inférieure doit obéissance totale à ceux qui sont mieux classés. Évidemment, la classe la plus haute contient tout un lot d'écervelées populaires et de garçons charismatiques, dont les intentions ne sont pas forcément bienveillantes. Tout cela sous le consentement des professeurs, qui y trouvent aussi leur compte. Car, à la base, leur système partait de l'envie d'abolir les risques de harcèlement et de violences entre élèves... En gardant tout sous contrôle et en regroupant les élèves par "ressemblances" pour éviter les mélanges, chacun croyait en cette organisation de la classe.



Leila, nouvelle élève, sera le grain de sable qui fera dérailler le système, grâce à son esprit critique et son refus d'intégrer ce classement. Petit à petit, elle sera suivie par d'autres élèves qui ouvriront les yeux...



Quelques défauts à reprocher à ce one shot, dont la tension psychologique n'est pas assez poussée. L'auteur aurait pu aller plus loin dans la description et les conséquences du classement des élèves. J'ai aussi un peu de mal avec ce type de dessins de personnages aux yeux surdimensionnés... Mais le thème reste intéressant et j'ai apprécié que l'héroïne soit forte et ne se laisse pas impressionner dès son arrivée.
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Bon bah, je remercie Cookie, qui m’a gentiment glissé le tome 12 dans mon calendrier de l’avant. Cela m’a permis de me replonger dedans et de faire en sorte que je n’abandonne pas le manga. Mais je pense que certaines choses ne changent pas et que je lâcherai sûrement la série dans pas longtemps. Il faut savoir que j’ai une énorme, mais alors une énorme impression de tourner en rond !!! Il arrive souvent la même chose pour d’autres broutilles, mais le schéma est identique et limite barbant par moments. Puis après je suis énormément tiraillée par l’humour de l’auteur, que je retrouve enfin, avec des scènes et des quiproquos complètement hallucinants et hilarants. Je me dis toujours que cela ne peut arriver qu’à Nika et à Arata. Mais sinon je le trouve un peu vide ce manga. Et, pourtant, je l’ai apprécié très fortement au début. Mais bon malgré mon côté ronchon, pace que c’est répétitif, c’est quand même très, très drôle, il faut le dire, voire hilarant par moments à avoir la larme à l’œil et c’est aussi assez addictif, une fois de plus. Du coup, je pense que je vais continuer encore un peu.



En conclusion, je pense que j’ai bien fait de continuer encore cette série, après j’espère que je ne le regretterais pas. Je trouve quand même que c’est hyper répétitif. Mais c’est drôle et addictif, les pages défilent très, très rapidement sans voir le temps passer. Après j’en demande peut-être un peu trop…
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Pas mal ce volume ! L'échange de corps (bien que tiré par les cheveux, on est d'accord) est plutôt sympa. J'ai même apprécié la petite histoire de la mère de Nika (alors que les digression ce n'est franchement pas mon truc).

Enfin ! la première fois d'Arata et Nika ! mais honnêtement l'auteure en fait des caisses, ça m'agace. Et je ne parle même pas de l'aparté sur les deux membres du club Manga fans de Yaoi...

Déçue... Ma patience a atteint ses limites avec ce huitième tome. La course poursuite dans le lycée de Shuei ne m'a pas emballée. J'ai trouvé les personnages et leurs réactions plus stéréotypées que d'habitude.

C'est dommage, j'aimais bien l'ambiance de ce manga... Il faut croire que la légèreté ne m'amuse plus ou que Switch Girl a perdu la saveur que j'aimais tant !

Ah l'épisode lycée Shûtei se finit enfin !!! Je commençais à saturer un peu sur ce sujet, on tournait un peu en rond. Malgré ça, j'ai adoré la technique se moucher à la main, limite un peu dégoûtante. Enfin bref, nous voilà sortis de ça et on entre enfin dans d'autre aventure. Et là, on va un peu revenir au moment du début, avec les histoires de promotions, mais Arata est impliqué vu qu'il connait le secret de Nika, et j'avoue qu'on rigole bien, ce qui m'avait pas mal manque dans les tomes précèdent avec l'histoire du Lycée Shûtei. Par contre, je trouve que le côté romance, amourette est un peu laissée de côté. Malgré leur départ pour un week-end en amoureux. Arata reste vraiment mystérieux et bizarre comme garçon. Mais bon après les Asiatiques ont une certaine pudeur de ce côté donc ça reste assez mignon à voir. Je sens que Nika va nous faire une grosse bêtise dans le tome suivant, comme souvent lol.



En conclusion, enfin sortie du calvaire du lycée, cela commençait à être long pour ma part. Mais bon, cela a permis de révéler un nouveau couple, qui ne nous en donne pas l'impression dans la suite. J'ai retrouvé un peu le côté décaler et drôle du manga qui m'avait un peu manqué. Vivement, la suite pour savoir si Nika va passer sa première nuit d'amour qu'elle attend désespérément.
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Enfin un peu de piment dans la relation Arata x Nika ! Ça manquait de rival quand même... Si je déteste Asami (trop "victime"), j'adore Hiroto ! Surtout dans ce tome ^^ Limite je me dis qu'il irait mieux avec Nika...

Enfin de toute façon, je préfère le couple formé par Masamune et Nino que le couple principal. J'aime bien cette relation entre deux opposés bien distincts ! Qui aurait cru que ce voyou de Masamune se verrait enchaîné la veille de Noël pour terminer ses révisions sous l’œil menaçant de Nino ? Bwahaha je le revois dans les premiers tomes...

Un tome plutôt intéressant où l'on fait la connaissance du nouveau professeur d'Arts Plastiques : Someya... Mais si vous vous souvenez, ce garçon là à la fin du tome 4 avec un regard inquiétant !

Il n'a pas fini de faire baver notre pauvre héroïne, qui va vivre sa première crise au sein de son couple, faire équipe avec Someya lors d'un concours et devoir reconquérir son (ex ?) chéri tout en aidant Someya à tourner la page...



Si ça n'est pas digne d'une super nana ça ! Allez à demain pour dévorer le tome 6.

C'est noël et selon la tradition, noël se passe avec son amoureux essentiellement. Cela va mettre Nika dans des situations cocasses et hilarantes! Mon dieu ce que j'ai pu rire, surtout avec l'épisode des poils! On découvre donc ces traditions asiatiques: le noël en amoureux, les "Love Hotel" et bien d'autre, j'adore ça. Mais, on va également s'en prendre à son couple, on découvre rapidement qu'il s'agit d'un coup monté par des élèves du lycée adversaire. Nika et Arata vont donc intégrer incognito ce fameux lycée afin de mettre fin à ces agissements. Un vrai bonheur que cette saga et de gros moments de rire.
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Le volume le plus dur à lire dans switch Girl, c'est très dur de voir les difficulté que croise notre petit couple, et ça l'est encore plus quand on sais à cause de quoi, ou plutôt de qui ils sont torturés. A suivre dans le prochain volume.

Ro, de mieux en mieux. J'aime vraiment cette série pleine de vérité sur la vie de tous les jours et des filles actuelles, faut se l'avoué on a toute un côté on/off ^^. Dans ce tome-là, il y a un élément perturbateur qui arrive. Le professeur Someya, vu que j'avais vu la série, j'étais assez impatiente de le voir dans le manga papier. Et j'avoue que la série a été très fidèle à ce personnage. Il va venir chambouler notre petit couple. Comme si les deux tourtereaux n'avaient déjà pas assez de la Terre contre eux. C'est marrant de voir qu'ils leur arrivent que des misères, comme si c'étaient des aimants. Enfin bref, ce professeur va vraiment chambouler notre couple, mais en même temps, on va découvrir un passé assez dramatique pour ce professeur, donc après la colère, je me suis prise un peu d'affection pour lui. Et puis attention le mode Off risque d'être de nouveau découvert !!! Par les amies de Nika en plus. Mais finalement Nika s'en sort bien, encore heureux que Arata est là pour l'aider ^^. La fin de ce tome-là est assez déchirante et en même temps assez atroce parce que je n'ai pas la suite et que je la veux !!!



En conclusion, je ne me lasse toujours pas de notre Nika et notre Arata. Les commentaires de l'auteur sont toujours à se tordre de rire. L'ajout de nouveaux personnages permet de ne jamais tomber dans l'ennui et du coup, on dévore les pages très, très vite. Vivement, la suite !!!
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Une suite qui c'est fait attendre, mais en même temps, je n'ai pas voulu me jeter dessus, vu que je fessais déjà la totale avec les deux saisons de la série issue ce cette histoire. Mais en même temps, cette série m'a vraiment donner envie de connaître l'univers de ce manga. J'aime toujours autant le côté on/off, malgré que dans ce tome-là on voit beaucoup moins ce changement. Mais son terrible secret risque d'être révéler !!! On a l'apparition de deux nouveaux personnages, Masamune et Meika. Masamune est fou amoureux de notre Nika, mais bon elle ne veut qu'Arata, donc le pauvre essaye comme il peut de la détourner. En ce qui concerne Meika, je vous laisse lire le manga afin de découvrir son rôle ^^. L'histoire est toujours aussi entrainante, malgré les longs monologues de notre Nika, qui a franchement un cerveau qui doit sérieusement surchauffé lol. Les apartés de l'auteur sont vraiment drôles et enrichissants. J'aime beaucoup sa menace sur la dernière page, comme quoi si je ne conseille pas ce tome-là à au moins cinq personnes, alors je subirais une terrible malédiction !!! Cela montre le côté complètement délirant de notre auteur, que j'aime beaucoup et qu'on retrouve dans son histoire et surtout dans son personnage principal Nika, qui est considéré comme son alter ego par l'auteur elle-même.



En conclusion, une suite bien drôle, même si j'ai l'impression de faire du surplace, une fin plus que tragique et limite suicidaire pour nous, on veut absolument le tome 3 afin de vite savoir ce qu'il va se passer !!!
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Vous aimez les histoires d'amour déjantées ? Vous voulez lire des mangas, mais vous ne savez pas par lequel commencer ? Ou tout simplement découvrir un nouveau style ? Alors Switch Girl est pour vous ! Particulièrement drôle, j'ajoute ce manga dans mes coups de coeurs de l'année, mais voyons le comment du pourquoi un shôjo à la couverture rose a pu me plaire autant que ça...



Nous arrivons dans la petite vie de lycéenne de la parfaite Nika, une jeune fille très populaire dans son école. Mais ce que personne ne sait, c'est que Nika n'est plus du tout la même une fois seule chez elle. Elle rentre dans ce quelle appelle le mode ''off'' et devient une personne totalement différente...



Coiffure bizarre pour ne pas avoir ses cheveux qui la gênent, un pyjama en guise de tenue pour le confort avec une ''culotte de relâchement'' et passe ses journées devant les jeux vidéos et autres anime. Elle sort en mode ''off'' uniquement dans son quartier pour faire les courses et c'est tout. Seule sa meilleure amie, Nino est au courant. Mais quand un nouvel élève, Arata, fait son arrivée au lycée et plus précisément dans la classe de Nika, son secret risque fort bien d'être compromit...



Je me suis beaucoup identifiée à Nika pour le mode ''off'', je suis pareille quand je suis chez moi : coiffure improbable, vieux survêtement en guise de tenue et je passe mes journées dans mes bouquins, séries et les jeux-vidéos. Une fois à l'extérieur, personne ne peut deviner ce que je fais réellement chez moi.



Comme tout bon shôjo qui se respecte, il nous faut une histoire d'amour. Étant donné que la mangaka nous parle uniquement de ce personnage masculin qu'est Arata et à peine des autres, on devine sans peine avant la fin du premier tome que Nika commencera à tomber amoureuse de lui. C'est malheureusement trop flagrant, mais espérons que celui qui a l'air d'être le seul homme du manga résistera à la tentation ! *croise les doigts*



Côté graphisme, rien d'extraordinaire. On sent que Natsumi en est qu'à ses débuts dans la matière, mais avec un très bon potentiel, car si on regrette que les personnages secondaires soient bâclés, l'héroïne est la seule à avoir eu droit à une recherche graphique importante et soignée. Espérons que pour les prochains tomes ces petits défauts soient résolus. Après tout, c'est en forgeant que l'on devient forgeron !
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