Nicolas Finet, directeur de notre domaine bande dessinée, présente la dernière ?uvre de l'auteur coréen Park Kun-woong, « Mémoires d'un frêne ».
Cette bande dessinée est le récit saisissant d'un massacre de masse.
En librairie depuis le 26 avril.
Dark Side décortique les déviances de notre société malade, parle de la folie, la peur,l’argent…c’est l’alchimie parfaite entre la musique et le message.
Dans un final flamboyant, Gilmour et Waters interprètent "comfortably numb".
L'ombre et la lumière ne s'affrontent plus, mais s'équilibrent parfaitement au sein de cette énergie créatrice unique qui enflamme le public ...
Lorsqu'il conçoit le Transperceneige, Jacque Lob est déjà un scénariste consacré et unanimement respecté dans le monde de la bande-dessinée.
Rochette le dépeint sous les traits de l'un des habitants du Transperceneige : Rabinoff, "le seigneur des lapins" ...
En 1977, les quatre Pink Floyd sont devenus des légendes vivantes, et, comme tels, doivent affronter la remise en cause virulente des générations les plus jeunes. Leur réponse, Animal, sera largement à la hauteur.
La génération qui s'ébroue sur les beaux restes de la contre-culture (ils ne feront d'ailleurs plus illusion très longtemps), pétrie de politique, d'audaces émancipatrices et de soif de libertés, est encore disponible pour toutes les aventures.
Ce sera le talent de l'équipe fondatrice d'A Suivre que d'inventer sur ce terreau-là, à l'instinct ou presque, une autre manière de créer de la bande dessinée. et de savoir, en l'appuyant sur le génie des auteurs, façonner comme une idée vraiment neuve cette approche alors inédite, qui nous paraît aujourd'hui si évidente: proposer de grands romans en bande dessinée.
Jusqu’à ce que la légende se mette en marche et que Syd Barrett ne fasse entrer deux bluesmen un peu oubliés dans l’histoire de la musique moderne. Pink Anderson et Floyd Council. Accolés l’un à l’autre, leurs deux noms vont devenir le talisman du groupe.
Lorsque "Le transperceneige" paraît en octobre 1982 dans "A suivre", la plus prestigieuse des revues de bande-dessinée d'alors, cette histoire de fuite éternelle pétrie d'angoisse a déjà connu plusieurs vies ...
L'apparition magique de Prince au Super Bowl 2007 est mieux qu'une réussite : un moment de grâce interprété par un artiste habité. Ce soir-là, Prince réunit la plus vaste audience qu'il ait jamais eue.
Passionné de musique, il a choisi pour son fils le nom du personnage qu'il interprète dans son groupe de jazz, le bien nommé... Prince Rogers !