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4.38/5 (sur 30 notes)

Nationalité : Suisse
Né(e) à : Yverdon , 1974
Biographie :

Né en 1974, Nicolas Pellolio, d’origine Italo-Suisse, a tour à tour exercé l’activité de professeur de français, directeur d’une agence d’événementiel, numérologue, tarologicien et thérapeute énergétique. Depuis 2002 il consacre son temps libre à l’étude de l’ésotérisme, des spiritualités, de l’histoire et des médecines parallèles. Établi en Equateur depuis 2016, il se consacre à l’écriture de romans ou traités ésotériques basés sur ses connaissances ou son propre vécu.

Source : https://nicolaspellolio.com/
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Vidéo de

Petite vidéo de présentation du deuxième tome des aventures de Lorfeuvre et son équipe. Cette fois-ci, dans "Mort au Rat", ils seront confrontés à un vicieux mafieux. Heureusement pour eux, une nouvelle recrue leur sera d'une aide précieuse.


Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Coccozza tentait de reprendre son souffle, mais sa séance avec Amanda l’avait quasiment laissé sur le carreau. Il ne sentait même plus battre son cœur, car à ce stade, il avait ri de la bradycardie, dépassé l’arythmie, retrouvé l’embryocardie, sublimé la tachycardie, frôlé la myocardie et développé une dextrocardie.
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- Alors, poulet ? Quand tu rigoles, tes abdos te chatouillent et te gratouillent ?
- Ris toujours, poulette ! Tu m'as eu une fois, mais là, pour l'instant, c'est moi qui mène le bal.
- Tu veux me faire danser, mon poussin ?
- Pourquoi pas ? Je ferai attention à bien t'écraser les pieds, crois-moi.
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- Vous partez à la chasse à la blonde! déclara Lorfeuvre en entrant dans son agence.
- Chouette, patron! Paillefer et moi étions justement à court de cette espèce, plaisanta Racicot.
- Oui, mais attention, celle-ci possède la beauté de la biche, la douceur d'un rhinocéros et la gentillesse d'une hyène affamée. Va vous falloir un fusil à éléphants.
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Ah, tais-toi! J’en ai la culotte qui remonte!
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— Michel ? Ça va ? Maman a eu une super idée pour ce week-end.
Voilà, rien de plus. Je suis sûr que je me souviendrai longtemps de ce moment. Nous sommes un dimanche matin et il est onze heures trente-deux. Je le sais, car je viens de regarder l’horloge accrochée dans la cuisine – celle qui fait un bruit d’enfer – et en regardant la porte de la chambre, je viens de me dire « si Machine ne se barre pas très vite, je vais devoir me l’appuyer toute la journée ». Pas très sympa de parler ainsi d’une jeune femme qui a bien voulu me faire grâce de ses charmes toute une nuit, je sais.
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Ah, maintenant faut trouver c’est laquelle ! Mais ça oui, c’est un monsieur bien comme il faut, toujours poli, lui. Même de l’époque où il recevait beaucoup, car je peux vous dire que des femmes, il en a ramené, des femmes. Et des belles ! Pas que, mais souvent. Au début, les locataires se plaignaient du bruit, mais par la suite, ils appréciaient. Je crois que ça les inspirait, les ébats de monsieur Lorfeuvre. Vous savez que la plupart des couples de l’immeuble ont eu un enfant supplémentaire depuis qu’il est là ? Ah ! C’est dire si on l’aime bien, notre monsieur Lorfeuvre. Même quand il recevait cette Cubaine, une sacrée salope. Mon mari disait toujours « Dediou, ces guiboles ! ». C’est vrai qu’elle avait de sacrées jambes, la coquine. Moi, voyez, j’ai des vergetures, alors je peux pas concurrencer. Mon mari jurait aussi en matant son cul, mais la politesse m’empêche de vous le dire. Moi-même, tenez, de côté-là, je suis plutôt gâtée. Surtout quand j’étais jeune. C’est la même histoire pour les seins, vous pensez !
Racicot dut retenir le bras de Paillefer qui menaçait de s’abattre sur le coin du museau de la loquace concierge, bien que lui-même ressentît un début d’agacement.
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L’agence de détectives tenue par trois ex-policiers dont un ex-commissaire avait rapidement fait parler d’elle, de bouche à oreille, de commerçant à bourgeois et de tapineuse à truand, créant un sentiment de sécurité chez les uns et de panique chez les autres. Le mot passa de rue en ruelle : en plus de la brigade criminelle, ils allaient devoir compter avec ces trois durs à cuire.
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Au fil des tubes, la BX remonta le Boulevard de la Villette, puis après quelques centaines de mètres, Sinibaldo prit sur sa droite, pour rejoindre l’avenue Simon Bolivar. Il ralentit et se pencha en avant sur son volant, pour regarder le ciel. Son regard se fixa sur une enseigne lumineuse jaunâtre, qui clignotait faiblement dans l’obscurité : « Hôtel Stegson ». Deux voitures étaient parquées devant le bâtiment, sur le trottoir, et deux hommes en gardaient l’entrée, une cigarette au bec. Ils regardèrent passer la BX d’un œil torve en lâchant des pets de fumée par la bouche. Sinibaldo poussa un grognement de satisfaction tandis que sa sœur ricanait.
— Oh, comme c’est trognon : il a besoin de chaperons pour dormir, notre bébé rose, dit-elle en vérifiant que son chignon était parfait dans le miroir du pare-soleil.
— Et comme on est gentils, on lui apporte le suppo, railla son frère, l’air mauvais.
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C’est à ce moment qu’une flèche se planta dans sa gorge. Sous les yeux horrifiés de ses camarades, il émit un ignoble gargouillement, les yeux révulsés, tentant d’ôter la pointe de métal qui dépassait de son cou. Avant que l’homme à l’arbalète ne puisse se tourner vers les bois, une main tenant un Koummiya apparut devant son visage et lui trancha la gorge d’un geste vif. Le troisième bandit, encore sous le choc, se plia en deux quand le poing du jeune homme en chemise s’enfonça dans son ventre. Il expira tout l’air contenu dans ses poumons avant de recevoir un formidable coup de genou sur le menton. Il tomba en arrière, la mâchoire cassée et les dents brisées. Le jeune homme secoua la tête et se retourna d’un air vexé.
— Dites-moi, mes chéries, pourquoi avez-vous attendu si longtemps pour intervenir ? Pour m’humilier ?
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Les deux Pomodoro sortirent de la carcasse aussi vite qu’ils purent et se mirent à courir, sous les yeux éberlués des badauds qui avaient assisté à l’accident.
— Même si on savait que ce coup sentait le mauvais salami, là ça dépasse tout ! dit Sinibaldo en poussant sa sœur devant lui.
— Pire que des tapas, haleta Farfalla en se tenant les côtes.
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