Olivier Bocquet

Une vraie pépite ce roman !! J'ai absolument adoré la plume d'Olivier Bocquet qui est entraînante et maîtrisée avec une pointe d'humour que j'ai adoré. J'applaudis le talent de l'auteur pour nous décrire la cécité de Thomas notamment lorsque celui-ci appréhende sa nouvelle condition, on s'y voit nous même. Au niveau de l'intrigue c'est bien ficelé et j'ai beaucoup aimé d'autant plus qu'elle est menée par un duo d'enquêteurs très attachant, Rachel et Toulouse sauront ravir votre cœur ainsi que vous faire rire. Je vous recommande totalement ce roman sans temps mort qui a été pour moi une superbe découverte !
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J’ai bien aimé ce retour…

L’histoire est ultra prenante mais comme la base est aussi ultra poussée, l’attente de la résolution est immense…

Si je ne suis pas déçu par l’ensemble, très beau dessin, narration parfaite, jolie tension, la résolution est un poil tirée par les cheveux bien que satisfaisante.

C’est un tome qui met la barre très haut, l’atteint plutôt bien pour tout le côté « vie quotidienne » et mystère du meurtre.

Qui s’en sort bien sur la résolution mais donne un goût abracadabrantesque qui m’a laissé une légère déception…

J’ai préféré ce tome à l’autre.

Si j’ai lu les deux à la suite et que les auteurs disent qu’il y a des parallèles, des situations d’un tome qui s’expliquent dans l’autre, ça m’est un peu passé au-dessus…

Je me suis contenté de suivre l’histoire de Ziad que j’ai trouvé plus sympa, drôle, mouvementée que celle de sa sœur.

J’ai trouvé plus de vivacité, d’idées incongrues (comme la pilule d’invisibilité), d’humour, d’émotions…

Bref, plus sympa.

4 des 5 ladies ont été arrêtées lors du 2 éme tome sauvées par un shérif.

Elle ont évitées la corde mais se retrouvent en pénitencier masculin.

Un récit centré sur le problème de survie en milieu carcéral avec des matons assez pourris et des codétenus qui n'attendent qu'une chose leur mettre le grappin dessus.

Nos Ladies sont whithout gun et ça devient difficile de mettre un pied hors de leur cellule une seule solution mettre un pied en dehors du pénitencier.

Un récit brillant (il ne faut pas trop s'attarder sur les petites invraisemblances) mais s'est un scénario excellent et que dire du dessin et de la couleur : dynamique même un peu dynamite parfois.

On va surement attendre un peu pour une autre série de nos ladies préférées

Rien ne va plus pour nos ladies de l’Ouest ! Quatre d’entre elles ont été capturées par les autorités et sont expédiées dans un pénitencier. Seule Abigaïl a réussi à échapper aux chasseurs de primes lancés à leurs trousses.



— Des femmes ? Ici ? Mais… Le pénitencier n’est pas réservé aux hommes ?

— Il s’avère que non. Il est réservé aux crimes graves. Même s’il faut reconnaître qu’en général, le crime grave est une affaire de bonhomme.

— Qu’est-ce qu’elles ont fait ?

— Homicides. Une vingtaine de victimes, je crois. Peut-être plus.



Notre « brave » directeur va se retrouver bien emmerdé face à ces nouvelles arrivées dans son établissement. C’est le genre de surprise dont il se serait volontiers passé. Forcément, l’arrivée de quatre nanas dans un univers exclusivement masculin – des détenus aux gardiens en passant par le personnel administratif –, risque de faire quelques étincelles. D’autant que ces messieurs sont graves en en manque… mais nos quatre ladies ne comptent pas s’en laisser compter, elles vendront leur peau chèrement !



Un tome très différent des deux précédents du fait du contexte. Les ladies – sans leurs guns – vont devoir affronter le harcèlement et la lubricité des humains dans un milieu des plus hostiles. Mais aussi déterminées soient-elles à rendre coups pour coups, elles ont bien conscience que leurs jours sont comptés entre ces murs. Vous l’aurez compris, leur seule issue reste l’évasion… plus facile à dire qu’à faire.



On retrouve le cocktail justement dosé entre action et humour, avec ce petit quelque chose en plus qui rend nos ladies plus attachantes que jamais. Je vous rassure tout de suite on retrouve aussi la griffe Tarantino-like dans la dernière partie du bouquin.



Au fil des flashbacks qui émailleront le récit, nous découvrirons un épisode de la vie d’esclave d’Abigaïl.



Les dessins d’Anlor et la mise en couleurs par Elvire De Cock donnent vie à l’intrigue imaginée par Olivier Bocquet. On retrouve une mise en page non uniforme qui s’adapte parfaitement aux différentes phases du récit.



Ce troisième opus marque la fin du premier cycle de la série. C’est donc avec grand plaisir que je retrouverai nos cinq ladies, aussi déjantées que sympathiques, pour de nouvelles aventures. Une série qui décline à la perfection le western au féminin – et un tantinet féministe !
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Avec cet album, Anlor, Elvire de Cock et Olivier Bocquet concluent leur série comme ils l'avaient commencée : avec panache et talent. Mais, que les fans se rassurent car rien n'est réellement terminé puisque, comme l'indiquent l'autocollant sur la couverture et l'ultime planche, cet opus n'est que la fin du premier cycle. Rendez-vous est donc pris pour les prochaines aventures de ces Ladies with guns.


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😊 A la découverte de 😊

Du plomb dans la tête de Olivier Bocquet

Éditions Michel Lafon



Voici un livre qui m’attendait dans ma pal depuis très longtemps, depuis la chronique de Gérard Collard qui m’avait donné envie de l’acheter.

Et comme souvent avec les conseils du libraire chroniqueur, je n’ai pas été déçue par la lecture, bien au contraire.

Une petite interrogation quand même quand la phrase sur la couverture « Aveugle depuis son agression, il ne pense qu’à la vengeance » qui à mon sens ne résume pas du tout cette histoire.



Un homme est retrouvé dans une forge, le crâne disloqué et du plomb coulé dans les yeux. Malgré l’horreur de la situation, malgré les tortures, il est vivant et va survivre à son agression.

Le lieutenant Toulouze et une jeune stagiaire Karen vont se retrouver sur cette enquête complexe et que certains tentent d’étouffer. Pourtant le flic moqué par tous et l’inexpérimentée stagiaire vont se révéler tenaces et avoir du flair pour remonter le fil de l’histoire.



L’auteur nous plonge dans cette histoire aux multiples tenants et aboutissants. Au fur et à mesure de l’enquête, les cartes se brouillent et les profils ne semblent plus aussi nets qu’au départ.

Il devient difficile d’identifier les victimes et les coupables dans cette histoire. Thomas est-il la victime de cette histoire ou son passé l’a-t-il enfin rattrapé ? Quand à Aurèle le maire et Serge le commandant le police, leurs agissements paraissent de plus en plus opaques aux yeux de Karen.

Un suspense bien mené jusqu’au bout, j’avoue que je n’avais rien vu venir!



J’ai beaucoup aimé cette lecture, aux côtés du duo attachant et plutôt efficace malgré les premières apparences, formé par Karen et Toulouze. Un duo complémentaire, entre l’intuitive stagiaire et le flic féru de procédures et de calme.

Autour d’eux une galerie de personnages complètent le tableau pour apporter chacun leur touche à cette histoire.



📖 Retrouvez le livre par ici https://www.lisez.com/livre-de-poche/du-plomb-dans-la-tete/9782266320245

Un bel échantillonnage de l’Ouest profond généralement macho mais qui cette fois va devoir faire avec ces quatre drôles de dames attachantes en diable malgré leurs petits défauts qu’on leur pardonne.
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Un très beau roman graphique que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire.

Si je ne suis pas une grande fan du dessin, il faut reconnaître qu'il s'accorde parfaitement au récit abrupte que l'auteur raconte. Bien qu'il y développe des points positifs comme sa passion pour l'alpinisme ou le dessin, sa jeunesse est loin d'être une sinécure : vivant avec sa mère (son père est décédé lors de la guerre d'Algérie), il n'aime pas vraiment l'école et tient beaucoup plus à grimper qu'autre chose. Il démontre à sa mère que sa passion en vaut la peine mais à la sueur de son front et sans essuyer des difficultés. On comprend aisément sa défiance envers l'école étant donné son parcours et les gens qu'il a croisés.

L'alpinisme est le centre du récit : s'il est d'abord poussé par un ami et qu'il développe ses compétences grâce à lui, quand celui-ci décide de laisser un peu de côté la pratique, il continue, en faisant équipe avec d'autres personnes. Mais s'adapter à de nouvelles personnes n'est pas toujours aisé et, de nombreuses embuches se dressent sur son chemin. Beaucoup de moments de solitude et de frayeur, plus de peur et de tristesse que de mal dans un premier temps. C'est lorsqu'il décide d'emprunter le chemin en solo qu'il va remettre en question sa passion dévorante et ses projets d'avenir.

Le dessin apparaît comme une bouée de sauvetage, un moyen de continuer à s'évader, une façon de survivre et de s'épanouir alors qu'il doit remettre tous ses choix en question.

C'est beau, c'est puissant et c'est à lire !

Excellent album, un fois de plus !

Un regard nouveau qui défraîchi bien le western en plaçant quatre femmes, que tout oppose, au devant de la scène.



Nos quatre "héroïnes ont été arrêtées et conduites en prison.

Mais une fois sur place, une évidence saute aux yeux de toutes et tous : une prison c'est avant tout prévu pour les hommes, pas les femmes, et encore moins quand l'une d'elles est enceinte jusqu'au cou.

Les questions pratiques vont se succéder les unes aux autres : comment organiser leur travail ? Comment gérer leurs menstruations ? Comment organiser les douches ?

Une autre évidence va très vite émerger vu la faune locale, elle ne seront en sécurité que lorsqu'elles seront enfermées dans leur cellule que si elles mettent un pied dehors.

Mais il y a encore une autre solution, plus dans leurs cordes...

Quand quatre femmes se retrouvent emprisonnées dans une prison pour hommes de l'ouest américain, ça crée forcément quelques remous. Seule solution possible pour Chimani l'indienne, Kathleen la veuve bourgeoise, Cassie la fille de joie et Daisy l'instit retraitée, accusées de plusieurs meurtres et agressions, l'évasion !



Dans le troisième tome de cette série western qui s'amuse à en casser les codes, on retrouve nos héroïnes en fâcheuse posture. Elles ont déjà eu l'occasion de prouver l'étendue de leurs ressources et le scénariste Olivier Bocquet leur concocte pour la troisième fois un épisode à la hauteur de leur réputation.



C'est toujours aussi divertissant et agréable à lire, porté par le dessin si vivant de Anlor. Les personnages sont bien trouvés, différents et épatants, au passif lourd qui se dévoile petit à petit. Les planches sont ultra dynamiques tout en restant très lisibles. Une grande réussite !



Cette série poursuit son chemin étonnant et ébouriffant. On s'est attaché à ce groupe et on a clairement envie d'en poursuivre la découverte, les failles passées, tout en suivant leurs aventures dans lesquelles leur solidarité fait merveille.

Bande dessinée très dynamique, au dessin nerveux et très agréable.

Le scénario est centré dans ce tome sur quatre prisonnières qui vont devoir partager leur quotidien carcéral avec ... des types peu fréquentables. Bien qu'à en croire l'actualité et nombre de nos lectures, le pénitencier ne soit pas le seul endroit où l'intimité des femmes soient en danger...

L'ensemble est cohérent même s'il ne faut pas trop regarder en détail la vraisemblance de certaines scènes. On avale cette histoire sans déplaisir et même avec une certaine jouissance devant la gnaque de ces nanas survitaminées ... Bon sang que viens-je d'écrire ? nana !

Bon, vous l'aurez compris c’est un western féministe et féminin qui nous emporte sans problème.

J'ai trouvé cette BD en brocante : le titre et la couverture ont attiré mon oeil. Je savais que c'était un roman à la base et que je l'avais déjà eu en main, ma mère étant friande de polars/thrillers/policiers, surtout nordiques.



J'ai beaucoup aimé cette histoire, simple mais dans un contexte tortueux. Le côté "nord" ne ressort pas beaucoup, mais je pense que pour ça, il faudrait lire le roman.



Mais les méandres de l'enquête sont surprenants et très divertissants. Ils sont bien mis en valeur par le dessin et l'illustration, qui donne une ambiance et retranscrit vraiment bien la tension.



J'ai beaucoup aimé et je serai cliente si un autre roman de Camilla Läckberg est adapté en BD.

Finir l’année 2022 sur une énorme claque, c’est fait ! Ce polar est un véritable choc, il est complétement ahurissant !



Si vous nous suivez depuis un moment, vous savez que j’aime les thrillers sanglants et avec beaucoup de suspense. Ici, Olivier Bocquet parvient sans mal à captiver son lecteur, à le maintenir dans un état d’angoisse permanent jusqu’au dénouement de l’histoire. Coup de maître, l’auteur sème le doute dans nos têtes, il nous envoie sur des fausses pistes, nous donne des ficelles qui nous font croire un moment que nous tenons le tortionnaire… et puis non, jusqu’au dénouement, on ne sent rien venir…



Si pour le côté noir, angoissant et violent, nous sommes servis, il en est de même pour les protagonistes de cette histoire. En effet, ils sont tous très travaillés/recherchés : chacun a son caractère à part et nous cache une part d’ombre, souvent bien dissimulée aux autres. Personnellement, j’ai adoré les soupçons d’humour qu’Olivier Bocquet s’autorise dans cette histoire, c’est assez délicat pour rester crédible et assez grave pour nous arracher un sourire !



Ne connaissant pas du tout l’auteur, après quelques recherches, j’ai découvert qu’il était auteur de BD, eh bien je pense qu’une belle carrière l’attend dans le monde du polar/thriller ! Longue vie Monsieur Bocquet et continuez à nous fournir des histoires glauques.



Tout les ingrédients sont réunis pour en faire un excellent thriller que nous ne sommes pas prêts d’oublier. Précipitez-vous chez votre libraire si vous êtes adeptes des histoires noires !
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Frnck est une série de BD racontant les aventures de Franck, ado orphelin, qui se retrouve catapulté en pleine préhistoire avec son expérience du XXIe siècle, son portable sans réseau et ses préjugés.

Il rencontre assez rapidement une tribu d'hommes préhistoriques qui ne connaissent pas encore les voyelles et il devient donc Frnck. Le ton est donné, les premiers tomes sont remplis d'humour et tournent autour de l'adaptation de Frcnk à son nouvel environnement mais peu à peu, on découvre un lien entre chaque tomes et la série gagne en complexité et en intérêt.

Les graphismes sont très réussis et expriment parfaitement le dynamisme de l'histoire.

Le premier cycle se termine avec le tome 4 et des révélations inattendues, le second cycle étant plus complexe, toujours drôle mais avec une intrigue plus compliquée liée au voyage dans le temps.

Une série vraiment excellente, accessible dès 8 ans, qui compte actuellement deux cycles de 4 tomes et qui devrait continuer encore quelques temps pour notre plus grand plaisir !
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J’avais depuis plusieurs mois ce livre en prêt..et j’ai mis du temps à me décider à le lire… et je n’ai pas été déçue.

Ça commence fort dès les premières pages et nous sommes alors happé…

Happé par ce récit à plusieurs voix et par cette écriture fluide. Tous les ingrédients y sont pour en faire un bon polar que ne veut plus lâcher jusqu’à l’issue

Fontainebleau, année 2010, Thomas Bourriol est enlevé, torturé, mutilé par un individu qui se fait appeler le monstre. Ce malade a versé du plomb fondu dans les orbites du pauvre Thomas, qui deviendra donc aveugle pour le restant de ses jours. Et qui ne pourra désormais compter que sur le soutien sans faille de son meilleur ami obèse Conrad, et de son auxiliaire de vie Marilou. Par contre, pour ce qui est de découvrir l'identité et le mobile de son agresseur, ce n'est franchement pas gagné, l'affaire ayant été confiée à un duo d'enquêteurs qui laisse perplexe. Avec d'un côté le lieutenant Toulouze, le Gaston Lagaffe de la police de Fontainebleau, pas vraiment un fin limier. De l'autre, Rachel, la nouvelle stagiaire du service, qui a obtenu cette place en tant que fille adoptive du maire de la ville et du commandant de la police.



Bref, une galerie de personnages haute en couleurs. Ajoutez à cela une intrigue riche en suspense et en rebondissements, et des dialogues bien sentis. Et vous obtenez un ovni littéraire que je vous recommande sans réserve. Un livre vraiment pas comme les autres, mélange singulier de thriller terrifiant et de polar humoristique.



Et que c'est bien écrit, dans un style limpide, alerte, plein d'énergie et de vitalité. L'auteur nous offre de formidables heures de lecture avec ce récit à plusieurs voix à la fois original et crédible. Une histoire stupéfiante mettant en scène des personnages très recherchés, et plus vrais que nature. Du plomb dans la tête a du caractère, de la profondeur, de la densité, c'est un vrai coup de coeur, assurément.
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✨Dans ce livre, tu vas partir en voyage dans l’Ouest sauvage du XIXe siècle, où tu vas rencontrer cinq héroïnes dotées d’une forte personnalité et d’un désir de liberté. Ensemble, elles vont former un gang redoutable et se battre contre les injustices qui les oppriment.



✨Cela a été un énorme coup de cœur pour moi. Tout a été réuni pour que ce soit un kif. Des planches magnifiques grâce aux couleurs choisies et un coup de crayon très expressif qui donne clairement de la profondeur au récit. Le fait que tu y retrouves des alternances passé-présent sert à la psychologie des personnages et crée surtout un réel attachement, ce qui n’est pas forcément évident au vu du nombre de pages. Idem, pour l’histoire, je trouve que pour un premier opus, l’auteur a réussi à planter son décor avec brio. Le scénario tient la route, m’a fait penser à certains moments à du Tarantino, pour mon plus grand plaisir. Même si les thèmes abordés sont engagés, j’ai trouvé que c’était fait de manière intelligente et non moralisatrice.

Enfin, je vais m’empresser de lire le tome 2, que j’ai déjà en ma possession, car je suis impatiente de me replonger dans cet univers et de retrouver ces héroïnes.



✨ Donc, si tu aimes les bandes dessinées, du genre Western, originales et captivantes, ce livre est fait pour toi.

Il était là trouvant en bonne place au rayon polar de la librairie. Il m'a fait de l'oeil malgré le plomb dans celui-ci.

On commence par une scène de torture au cours de laquelle on comprend le titre du livre.

Puis s'en vient l'enquête avec la mise en place d'un duo de policier quelque peu en décalage.



Le récit nous balade entre passé et présent, enquête et vie quotidienne.

Nous sommes tenu en haleine jusqu'à la fin !

FRNCK est une série d'aventure jeunesse particulièrement séduisante. Malgré le caractère tout à fait improbable des présupposés, les auteurs arrivent à susciter l'étonnement, la curiosité, l'emballement ... pour les aventures futuro-préhistoriques de personnes transportées à l'âge des dinosaures... Ne cherchez surtout pas de rationnalité dans tout cela. Prenez juste du plaisir.



C'est un peu ce que je m'étais acharné à faire pour les 6 premiers tomes. Eh bien pour ce tome 7, cela n'est pas passé... J'ai achoppé sur quasiment toutes les invraisemblances... J'avais beau me dire "c'est pour le récit", "c'est anodin", "c'est juste pour rire", etc. Cela ne passait pas. Une partie de mon cerveau me disait "avance dans la lecture et arrête de penser"... l'autre partie de mon cerveau hurlait "arrête tout de suite de lire ! c'est n'importe quoi".



En cause... le fait que des pirates enfoncent la porte qui sépare la cambuse de l'avion du poste de pilotage. On sait depuis pas mal de temps, et tristement, que c'est impossible d'ouvrir une telle porte d'un coup de pied... A partir de ce moment, ma lecture est devenue assez pénible, remettant en question chaque truc un peu zarbi développé par les auteurs pour faire progresser le récit.



Il reste, pour celles et ceux qui arriveront à ne pas se poser de question, un tome plaisant, dynamique, avec plein de bons sentiments et d'actions. Les éléments qui font le succès de la série, donc.