Olivier Bocquet

J'ai lu celui-ci en second et le concept crée par les auteurs saute à la figure. On comprend bien ce qui lie ces deux albums.

Les personnages sont mieux travaillés, notamment les parents, il y a plein de trouvailles originales et un peu plus d’humour. Est-ce que c’est parce que je l’ai lu en deuxième… Peut-être.

C'est très original, j’espère que ça ne va pas s'arrêter là, je voudrai bien savoir ce qui se cache derrière cette porte, ou qui va avoir accès aux mystérieux cailloux.

J'ai commencé par celui-ci parce que pourquoi pas et après avoir lu les deux je suis bien contente de l'avoir sélectionné en premier.

Je trouve qu'il n'y a pas trop de "mouvement" dans cette histoire, c'est un album de présentation des personnages. C'est amusant mais sans plus, ce qui va être intéressant c'est l’autre tome 1.

J'ai enfin pu lire le 3e tome et fin de la première saison de la BD "Ladies with guns". Mais j'en sors presque déçue, sentiment de manque de rebondissements, d'actions tirées en longueur. A l'exception de la plus jeune de la bande, Abigail, les 4 femmes sont emprisonnées et elle fomentent un plan pour s'évader. Abigail de son côté est entraînée par le chasseur de prime qui l'a capturée, pour défier son ancien maître au tir. Et voila. Donc petite impression d'un scénario tiré en longueur pour nourrir la deuxième saison. On attendra ...

J’attendais ce neuvième tome avec impatience. Avec ce tome on finit le second cycle. On continue les aventures de Franck, la météorite se rapproche de plus en plus, la fin du monde approche.

Ils veulent fuir ce cataclysme et venir au XXIè siècle et pour cela ils vont affronter quelques péripéties pour y arriver.

J’aime beaucoup cette saga. Il y a de l’aventure, des voyages dans le temps, des révélations. Tout y est bien pour aimer cette saga.

Maintenant, vivement le tome 10 !

Ma passion récente pour la Bd a en partie été boostée par la lecture de gros titres dont La dernière reine de Jean Marc Rochette. On possède d’ailleurs toute sa bibliographie à la maison, à l’exception d’Edmond le cochon.

Cette fois-ci je me suis attaqué à Ailefroide, altitude 3954.

J’ai été surpris, car je ne m’attendais pas à cette histoire bien que j’ai été pitché par ma compagne qui l’avais lue.

Ce n’est pas une BD qui nous laisse de marbre, mais fait partie des celles qui nous marquent tant les auteurices n’en sont pas sorti.e.s indemnes.

Je me suis ainsi surpris à me ronger les ongles, à retenir mon souffle, à avoir de l’adrénaline et les mains moites à l’attaque de ces voies si vertigineuses et inatteignables face à cette puissante et irrésistible montagne.

Le roman graphique est de surcroît, très instructif tant on en apprend au sujet la grimpe et la montagne. Étant moi même un petit grimpeur en intérieur, je me suis délecté de toutes ces annotations et anecdotes de montagne.

La montagne et le dessin, c’est à peu près toute la vie de Jean Marc Rochette qui nous sert sur un plateau d’argent la combinaison des deux au travers de son autobiographie de ses jeunes années. Il offre de merveilleux dessins, avec son trait si particulier. Mais également de belles rencontres (souvent bien testostéronées) et expériences au destin aussi glorieux que tragiques et qui auront façonné ses choix de vie.

La météore est tombée causant des dégâts qui vont provoquer l'extinction de masse des dinosaure. Franck et toute sa fine équipe (ses parents cro magnons et leur tribu, Kenza et les survivants de l'avion, Franscisco et Anoukis) cherchent à y échapper. Une seule solution : retourner à la rivière et revenir au XXIeme siècle. C'est le même chemin suivi par Isaac, faux gourou et méchant, et Chipolata, cannibale et tueuse revendiquée.

Fin d'un cycle riche en péripéties où Kenza a découvert son histoire et où d nouveaux - nombreux - personnages sont apparus.

L'intrigue reste parsemée de traits d'humour, pleine d'action et de suspens.

Le graphiseme est impeccable à la fois plein de finesse et d'humour.

Une très belle série.

J'étais très contente de retrouver tout nos petits personnages avec leur personnalités super attachantes dans ce dernier opus du cycle 2.



Les dessins sont toujours un régal. Chaque case est teintée d'émotions, vu qu'il traverse une apocalypse, c'était nécessaire. On trouve tout de même de la légèreté et de l'humour, ce qui fait la réussite de cette série jeunesse.



Le récit est rempli d'action palpitante comme on suit nos personnages essayant de fuir la météorite qui a décimer les dinosaures. Autant vous dire que ce n'était pas de tout repos! Entre tous les animaux essayant également de fuir, manquant de peu d'écraser notre petite troupe, et nos scélérats qui prévoient de ne pas leur laisser la tache facile, on suit donc une expédition rocambolesque!



Pour clore ce deuxième cycle, un événement inattendu va chambouler une très grande amitié que Franck croyait avoir acquis pour toujours.



En bref, j'ai adoré ce tome et je suis impatiente de connaître la suite! Même si on va pas se mentir ça n'est pas pour de suite!
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Le Loup de Jean-Marc Rochette se trouvait dans mon pense-bête. Mon choix s’est porté sur ce livre car je m’intéresse aux loups et le nature writing est une thématique que j’aime suivre : Jack London, Nicolas Vanier, Clara Arnaud… Le livre m’ayant plu, j’ai voulu lire Ailefroide : Altitude 3954 du même auteur. Ce livre étant une autobiographie, j’ai appris qui est cet homme.



Jean-Marc habitait à Grenoble. Il aimait traîner dans les musées. Sa mère le secoue pour son bien et lui recommande de sortir au grand air. A l’occasion d’une promenade, il laisse en plan sa maman et gravit une montagne jusqu’à son sommet. C’est alors qu’il prend goût à l’alpinisme. Il aime grimper des versants abrupts. Pour grimper, lui dit Sampé, il faut du matos, du matériel. Sa mère qui a une pension de veuve, lui promet du matériel s’il a un quinze sur vingt en allemand. C’est chose faite, le voilà parti avec son ami.



Je suis ces deux braves avec intérêt me posant la question : Quelle est la différence entre alpinisme et escalade. L’alpinisme se pratique au-delà de 2500 mètres. L’alpiniste est confronté à la neige et à la glace. L’escalade se pratique en basse et moyenne montagne.



Les deux amis cherchent des voies tracées dans un topo guide. Ils échangent sur les difficultés. Ils dorment dans des refuges ou bivouaque. En cordée, il convient d’être solidaire, de s’entendre d’être prudent et de suivre certaines règles. Pas d’initiative à l’insu du guide de montagne ou du chef de cordée. Les deux amis ont évolués la nuit avec une lampe frontale. Parfois, ils se levaient tôt pour jouir du lever du soleil vu du sommet. Jean-Marc s’est fait des connaissances et s’est ainsi trouvé de nouveaux partenaires avec qui il a fait équipe. Sampé et lui, en tant que jeunes ont voulu faire des prouesses et épater les filles. Il est arrivé à Jean-Marc de monter en solo. Il y a eu des accidents, des blessés des morts par chutes. Quand Jean-Marc s’imaginait mourir, il disait : « Je ne serai jamais un grand dessinateur » et pas « … un grand alpiniste ».



A la suite d’une chute, il a été défiguré et à subit de nombreuses opérations. Dans ces circonstances, il relativisait. Lui sortira de l’hôpital, son voisin de chambre va y rester et mourir d’un cancer.



Il n’aura peut-être pas de deuxième chance de s’en sortir. Il substituera à l’alpinisme le dessin.



Il a eu raison Jean-Marc, Il est scénariste et dessinateur de bande dessinée. Le résultat est au rendez-vous. J’aime sa façon de représenter les personnages, ses ciels bleu, de tempêtes, ses levés de soleil.



Ces mordus de la montagne sont des gens déterminés qui risquent leur vie et doivent pouvoir prendre des décisions rapides pour eux et leurs coéquipiers. J’ai appréciés les vues en élévation, les vues plongeantes aussi où l’on voyait ce qui se trouvait au sol en miniature, des voitures dans un parking, par exemple, à vous donner le vertige.



A un moment de ma lecture j’en avais assez de voir toujours de la montagne. Lors d’une deuxième lecture certains points ont vu le jour, ont recadré les choses et accru mon intérêt pour l’ensemble

Personnellement j'ai été déçue par ce premier tome de la bande dessinée Ladies with guns.



Je n'ai pas été convaincue par la rencontre entre la veuve Kathleen, l'esclave Abigail et l'indienne Chumani. Ces trois femmes sont bientôt rejointes par Daisy, une ancienne institutrice et Cassie une "pourvoyeuse de plaisirs".



Je me suis un peu ennuyée avec ce scénario. Les passages sur la cage dans laquelle est emprisonnée Abigail m'ont semblé interminables. Malgré les retours en arrière sur le passé des différents personnages, je n'ai pas été séduite.



L'idée de lire un western avec des personnages féminins forts m'emballait. Mais l'ensemble m'a semblé trop "girl power". Les histoires de ces femmes manquaient de profondeur (à mon goût).

Frnck est clairement ma série jeunesse préférée. Elle est originale, passionnante à suivre et très bien illustrée. Cette fin de de cycle propose de très belles planches marquantes qui vont laisser le lecteur hagard.

Du 5 étoiles sans hésiter!

Il s'agit d'une BD jeunesse ou pré adolescence.

La tombée en préhistoire est bien faite. Le scénario est plutôt drôle, il y a des bonnes petites remarques.

Souvent les situations sont invraisemblables mais parce que ce n'est pas ce qui compte, c'est de la fiction sans prise de tête juste pour distraire et c'est réussi.

L’ouest est un monde sauvage et violent.

Dès l’ouverture le ton est donné. Dans une cage en fer, une jeune femme, se déplace tant bien que mal et se fait attaquer par un puma.

Cinq femmes d’origines différentes vont s’entraider et s’associer. Abigail, l’esclave noire, Chumani, l’indienne dont la tribu a été massacrée, Kathleen Parker, anglaise venue, qui traversait le pays pour s’installer en Californie, avec son mari, Cassie Coltran une fille de joie, Daisy McCormick, une ancienne institutrice et la plus âgée.

On n’est pas dans une romance mais dans un western brutal où les femmes se défendent, et font face à à la violence des hommes/

J’aime le scénario d’Olivier Bocquet et apprécie le dessin d’Anlor.

Ouch ouch ouch...

Je n'étais pas dans le groupe des réfractaires à voir Bocquet prendre le scénario de ce tome et tirer un trait sur le travail effectué par Tome sur le tome 13.

Mais malheureusement, le terme qui résume ce tome à mes yeux est : la facilité.

Que cela soit dans le scénario, dans l'ambiance, il n'y a pas eu de travail. Les personnages ne sont pas exploités, il n'y que Soda et encore, pas de fond sur un personnage qui peut être si sombre sous la plume de Tome.

Bocquet vient proposer un scénario qui pourrait exister avec n'importe quelle série... Signe évident qu'il n'y a pas de réelles recherches sur l'univers de Soda pour essayer de s’approprier le personnage. Oeuvre générique, mais j'espère que si d'autres tomes du duo sont amenés à exister, qu'il y aura plus de travail pour comprendre ce que Tome avait construit avec cette série.

Dans cette suite nous suivons nos 5 femmes infernales dans leur petite aventure, révélant leurs différentes vies et péripéties. Une suite convenable avec toujours autant d'action. Je prévois de lire la suite, mais malheureusement je n'arrive pas à me lier d'affection aux divers personnages, ce qui me fait retirer une étoile.

Les femmes jouent un rôle central dans cette bande dessinée western à la sauce féminine.

Cette bande dessinée regorge d'actions, et tout de suite, l'intrigue se dévoile en nous dévoilant les divers personnages avec quelques retours en arrière.

La cavale sans répit de ces femmes qui veulent s'émanciper est suivie avec un rythme nerveux, le dessin s'harmonise parfaitement avec le style de cette aventure.

Il est vrai que le réalisme peut être un peu en dessous dans le scénario, mais cela permet de créer une action à la Tarantino.

Ce premier tome apporte un petit renouveau dans le genre Western. C'est vraiment plaisant à lire, sans aucune complication. A voir la suite

Quelle surprise que cette trilogie. J'ai adoré,autant les dessins,ces couleurs fondues du jaune au rouge le plus sanguinolent. La rencontre et les aventures de ces 5 femmes,qui vont s'entraider dans une sororité d'abord vitale puis affective, c'est du pur Tarantino en bande dessinée. Un régal

Dans ce second tome, nous retrouvons nos cinq héroïnes en bien mauvaise posture. Leurs têtes sont mises à prix, elles sont sans ressources, l'une d'elles est gravement blessée et tous les chasseurs de prime de l'ouest sont à leurs trousses. Mais elles n'ont pas dit leur dernier mot, Jean-Pierre ! Elles sont prêtes à en découdre et la solution est toute trouvée : le braquage d'une banque à la dynamite.



J'ai retrouvé avec plaisir les filles les plus badass du Far West. Elles sont en cavale, mais ne se laissent pas abattre. Jamais à court d'idées, pas forcément les meilleures, mais il faut le reconnaître, elles font preuve d'inventivité. L'entraide est une fois de plus au rendez-vous. Elles sont peut-être cinglées, mais solidaires.



Une suite toujours aussi déjantée, toujours aussi violente et explosive. Un scénario très rythmé où l'action prédomine, avec la petite touche d'humour qui apporte la légèreté.



Le graphisme n'a rien perdu de sa beauté et colle toujours aussi bien à l'histoire. Les couleurs chaudes nous brûlent les rétines.



Ce détonnant western féminin vous propose violence, amitié, sororité et un dynamitage en règle. C'est frais, dynamique et très divertissant.
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Fin du second cycle pour Franck, et quelle fin... Nous assistons à la chute du météor qui va mettre fin aux dinosaure sur terre. Pour une apocalypse, c'est une apocalypse. Entre éruption volcanique, fuite des animaux de toute part et autres désastres, on se demande comment notre petite troupe va pouvoir fuir.



En tout cas, pour Frnck, on peut dire qu'il était à deux doigts de rater son retour vers le XXIème siècle.



Dans ce tome , notre jeune personnage découvre l'amour et la fin de l'histoire nous laisse entrevoir un troisième cycle.



Je reste très fan de cette série, pleine d'humour et d'aventure.

Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Apocalypse, neuvième tome de la série Frnck.

La météorite qui va causer la disparition des dinosaures est tombée sur Terre.

Franck et ses amis fuient le cataclysme et espèrent revenir au XXIe siècle via la rivière souterraine sous le volcan. Ils manquent d`être piétinés par des animaux en fuite avant de tomber dans un immense fossé qui est, en fait, un cimetière de mammouths.

Quant à Isaac et Chipolata, vu toutes les horreurs qu`ils ont commises dans la Préhistoire, c`est la prison qui les attend à coup sûr au XXIe siècle.

Le seul salut possible pour eux, c`est de revenir dans le présent... en empêchant les autres de les suivre !

Frnck est une série jeunesse que j'aime beaucoup. J'ai pris beaucoup de plaisir à la lire, aussi bien le premier que le second cycle.

Je pensais qu'Apocalypse était le dernier tome.. Raté !

En effet, la fin nous laisse sur notre faim car il va y avoir un troisième cycle.

Je ne sais pas si je le lirais car j'ai peur qu'à force ce soit un peu répétitif. Je ne vois pas du coup comment l'auteur va faire évoluer tout ça.

Néanmoins, j'ai beaucoup aimé ce tome neuf. Je suis toujours aussi fan des illustrations et de la colorisation, qui sont superbes.

Frnck est toujours aussi sympathique, de même que ses amis. J'ai beaucoup aimé comment sa relation avec un des personnages évolue.

Je n'ai pas envie de trop en dévoiler car c'est un tome 9 et si vous ne connaissez pas cette série, c'est dommage de connaitre la fin avant le début.

Il y a de nombreux rebondissements, on ne s'ennuie pas une seule seconde.

L'histoire est bien ficelée, pas d'incohérences vis à vis des précédents tomes.

je suis vraiment ravie d'avoir lu Apocalypse, c'est une bonne fin de second cycle.

Pas de coup de cœur mais un joli quatre étoiles bien mérité :)

Dans sa jeunesse Jean Marc Rochette vit sur Grenoble et assez vite il se passionne d'art, quitte à revisser éternellement le même musée. Jusqu'au jour où il accompagne sa mère en montagne et où une nouvelle passion émerge. La montagne le construit à une période de transition adolescence, âge adulte, alors qu il n à plus le repére du père, mort en Algérie

Ce roman graphique autobiographique est la construction même de ce que deviendra Jean marc Rochette, ses passions et amours sont déjà la.

Graphiquement c'est très réussi et ces paysages donnent envie d altitude.