Olivier Souillé

Il y a dans cet album qui aborde les thèmes de l'amitié et de l'entraide beaucoup de délicatesse, que se soit dans le récit ou dans les illustrations.

C'est l'anniversaire d'Azuro et celui-ci est triste, car personne ne semble s'en être souvenu. Aussi, part-il à la recherche de Jippy, son ami l'oiseau. Au passage ce dragon bleu cracheur d'eau va se lancer à la poursuite d'une créature malveillante. Il est accompagné et soutenu par Lily, une petite fille adorable.

Victor est un monstre très spécial : il vole les anniversaires des enfants qui, du coup, ne grandissent plus. Mais sa rencontre avec Bastien risque de tout changer…

J’ai beaucoup aimé cette histoire qui m’a fait penser à Monstres & Compagnie. Ici aussi, c’est le caractère bien trempé et l’esprit vif d’un enfant, en l’occurrence Bastien, qui fait réfléchir Victor, un monstre finalement en manque d’affection.

Un album joliment illustré et une histoire d’amitié pleine de tendresse !

Victor vivait dans une grotte aussi vaste que sombre. C’était un monstre, laid et repoussant. Oh ! il n’était pas vraiment méchant et il sentait toujours très bon puisqu’il ne sortait jamais sans s’être parfumé avec de l’essence de roses. Mais, ce qui le différenciait des autres monstres, c’était son pouvoir : il volait les anniversaires… et les enfants ne grandissaient plus ! Pour ce faire, par une belle nuit étoilée, Victor s’introduisit dans la chambre de Bastien…

Mon avis : Cet album est dédié par les auteurs aux milliers d’enfants atteints de par le monde par le syndrome de Williams, une maladie orpheline génétique.

« Ces chérubins aux visages d’elfes sont des enfants extraordinaires. » Laurent et Olivier Souillé.

Il nous livre l’histoire d’un monstre, au demeurant assez sympathique même si les enfants auront un petit frisson de terreur à l’idée de le rencontrer : imaginez un peu, ne plus grandir et, comble de malheur, aller à l’école toute sa vie ! En ce qui me concerne, j’aurais bien aimé croiser son chemin il y a une vingtaine d’années ;-D Quand à Bastien, que nous quittons à l’âge adule et papa de deux adorables fillettes, je le verrai bien être devenu psychologue ! Les illustrations, aux couleurs d’un automne sombre, fourmillent de bougies, confettis, serpentins et autres cotillons de toutes sortes qui les rendent pétillantes et pleines de bonne humeur. Si mon avis sur cet ouvrage est principalement positif, je déplore cependant une police un peu petite pour le texte et une mise en page parfois peu judicieuse : quand il est apposé sur des teintes sombres, le récit demande un effort de lecture ce qui est un inconvénient majeur, en particulier lors d’une séance avec une classe entière.

Public : à partir de cinq – six ans en lecture accompagnée

: La sorcière Crabibi râte toutes ses épreuves au grand concours annuel des sorciers.

Misère, Cornebidouille et sauce à la diable!

Nous voyons venir l'entourloupe, la crapouille, en lisant.



Crabibi n'en sera pas encore là, pestant à tout va à chaque fin d'épreuve disqualifiée ou contraire aux résultats attendus.

Crabibi cherchera à faire la terrible, à être dans la renommée redoutée.

Mais et si son destin était tout autre, d'être aimée par exemple?



Aimé, Palsembleu du feu des gueux, quelle horreur!

Nous nous demanderons tout du long comment cela se peut-il, Crabibi imaginéz par les auteurs Laurent et Olivier Souillé si irrascible, si colérique, aussi emportée qu'une tempête tropicale.

Et pourtant. Nous remarquerons les tentatives amusantes et infractueuses de ce personnage voisin du concours.

Dieu des balais, quel patience!

Tentera t-il de la déconcentrer comme le prétend Crabibi?

Pas certain, penserons-nous.

D'ailleurs, comme lui sans doute nous remarquerons une chose importante chez la sorcière: dans Crabibi, il y a Bibi.



Nous raffolerons encore et toujours du talent à l'illustration de Frédéric Pillot sur le traitement des personnages et des décors, avec ces dorés scintillants par brin et par perle, et de savoureux camaïeux de verts en fond de décor, de l'herbe sèche à la forêt bien verte.

Crabibi est une vilaine mais sans doute le vieil adage bien connu dira vrai ici: "en amour, à chaque pot il existe un couvercle" ou devrions-nous dire "à chaque chaudron son couvercle", pas vrai?

Un contexte comique mais qui devrait faire réfléchir pour son propos rassurant, n'est-ce pas?

C'est enfin le grand jour pour la sorcière Crabibi et elle est impatiente ! L'occasion de prouver à tous que c'est elle la meilleure.



La compétition est ouverte et tous les sorciers du monde entier se préparent à s'affronter sur différentes épreuves. Course de balais magiques, création de potions et sortilèges, notre héroïne au caractère bien trempée est décidée à faire de son mieux.



Mais les ennuis vont se succéder pour la sorcière Crabibi qui rate tout ce qu'elle entreprend. Remportera-t-elle le titre tant convoité ?



Dès la couverture, je suis tombée sous le charme des illustrations et Frédéric Pillot, dont j'affectionne tout particulièrement le travail, s'en sort une nouvelle fois haut la main.



Le récit quant à lui n'est pas en reste. De nombreux jeux de mots ponctuent les mésaventures de cette attachante sorcière et ses péripéties provoquent inévitablement le sourire aux lèvres.



Une lecture pleine d'humour et de tendresse qui nous rappelle que le plus important n'est pas d'être le meilleur et que l'on peut être heureux malgré tout.
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Voici le retour du petit dragon Azuro dans les histoires pour mes enfants. Azuro le petit dragon est pompier (ce n'est pas banal) mais il crache de l'eau au lieu du feu (ce qui n’est pas banal non plus, mais c’est par contre très pratique pour un dragon pompier), malheureusement il se met à cracher du feu (ce qui redevient banal mais qui n'est plus très pratique, il faut en convenir pour un pompier) et du coup, le petit dragon va quémander de l'aide à la sorcière Pustula pour de nouveau cracher de l'eau au lieu du feu… j'espère que vous avez suivi…

Un album très coloré, une histoire plutôt sympathique, bref, une histoire assez classique mais qui semble plaire à mes enfants.

Pour ma part, je trouve que cela manque d'humour ou du moins d'un peu d'entrain ou de péripéties. Cela reste au final un récit un peu fade… mais coloré.

Quand la petite souris des dents se mêle de Noël, cela donne une aventure comme celle-ci.



Notre souris est dépeinte comme un personnage créatif, ingénieux et productif, fabricant selon sa recette les piécettes qu'elle laisse sous les oreillers à la place des dents de lait récupérée.

Un peu hyper active et peu convaincue à priori de l'utilité de sa tâche à la longue, notre souris ira voir un peu ailleurs si elle se retrouve: au Pôle Nord par exemple, en séjour chez le Père Noël.



L'association des deux personnages emblématiques des croyances enfantines devrait faire sourire, la souris des dents se proposant de jouer les audits afin d'aider l'équipe de Noël à mieux s'organiser et à bien produire ses cadeaux en nombre et à temps.



Le ton est tendre, notre petite souris restera toujours sur le doute tout du long: a t-elle choisie la bonne profession: récupérer des dents?

 Jusqu'à ce qu'un enfant se confie à elle et lui dise en tête à tête de nuit à quelle point elle est importante pour l'enfance.



Nous n'imaginerions pas un personnage si petit capable de révolutionner les habitudes et les traditions, d'apporter autant d'amour (que le Père Noël).

Gentille et volontaire, cette souris devrait plaire aux lecteurs.

Ce livre, est un véritable petit bijou, les illustrations de Guillermo Gonzalez sont de pures œuvres d'art. Et puis avec les films de Peter Jackson adaptations de Tolkien, nous sommes encore dans l'actualité, avec ce récit de la culture des nains mineurs, guerriers et artistes.

Azuro le dragon bleu est un album écrit par Laurent et Olivier Souillé, illustré par Jérémie Fleury. On plonge dans l'histoire d'un dragon pas comme les autres. En effet, alors que tous les dragons sont rouges, noirs ou verts, Azuro lui est bleu. Il va subir les moqueries des autres et outre sa couleur il a une également une grosse différence : il ne crache pas de feu, non non Azuro lui crache de l'eau.



Au fil des pages, on va s'attacher à ce petit dragon, on va apprendre qu'il va être exclu de la caverne, car les anciens ont décidé qu'il faisait l'objet d'une terrible malédiction. Mais l'histoire d'Azuro ne s'arrête pas là et c'est à vous de découvrir ce qui va se passer. Les auteurs nous livre un texte, tendre et émouvant traitant de sujets difficiles comme la différence, l'exclusion et le handicap.



Je ne connaissais pas les auteurs et je dois dire que j'ai été charmée par la plume. Quant aux illustrations de Jérémie Fleury elles sont sublimes, on a le sentiment que les dessins vont sortir de l'histoire, l'utilisation des couleurs est identique aux émotions ressentis tant par le dragon que le lecteur.

Un joli objet livre avec une belle couverture.

Le graphisme à l’intérieur est également tout beau, et les pages toutes douces au toucher

De plus, il y a un joli travail sur la police d’écriture



Un livre parfait pour la période.

Nous faisons la connaissance de Crabibi, une sorcière, qui s’apprête à participer au concours de Sorciers de l’année.

Elle va avoir plusieurs épreuves à passer, mais rien ne se passe jamais comme prévu.

Elle est volontaire, tenace, mais semble aussi à chaque fois rejeter la faute sur les objets, sur une personne qui la déconcentre, etc.

Crabibi est-elle ou non attachante ? En vérité, oui, et encore plus quand vous connaîtrez sa raison.



Par contre, est-ce que ce concours est si important que cela ? En vérité, non, elle va trouver quelque chose de bien plus important qui lui fera du bien au moral (et nous aussi).



Notre album jeunesse est également fait d’une manière qui nous fait sourire sur plusieurs plans, il est paré de jeux de mots des plus truculents, et de saison.

Exemple : « Mesdames, Messieurs, chers spectres à peur, chères deux poules, la course de balais va commencer. »

« Attention aux vent pires …. 1…2…3…Bouh !!! »

Dites le à haute voix, regarder comment c’est écrit, alors qu’en dites vous ?



C’est également très dynamique, très agréable à lire dans son ensemble.

« Sur son nez disgracieux trônait une pustule. Elle la rendait très séduisante. Les critères de beauté sont un brin excentriques chez les sorciers. »



Délicieux, beau graphisme, désopilant, truculent. Crabibi est attachante, ses efforts ne sont pas forcément récompensés, malheureusement cela fait déteindre son comportement, mais on voit que ça lui vient de loin. On a également des jeux de mots ultra savoureux et truculents, et de belles valeurs qui transparaissent.
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Crabibi a tous les attributs de la parfaite sorcière : de la chaumière installée dans un marais puant à la pustule sur le bout de son nez en passant par son balai magique et un caractère épouvantable. Elle n’a qu’un objectif dans la vie, être sacrée Sorcière de l’Année lors d’un concours qui a lieu chaque année et a pour but de tester les pouvoirs et facultés magiques des concurrents. Bien sûr, le concours ne va pas se passer comme elle l’espérait mais Crabibi pourrait malgré tout y gagner quelque chose de bien plus important qu’un simple titre.

Octobre rime comme de toujours avec Halloween et les livres jeunesses sur les sorcières et autres fantômes fleurissent sur les étagères des librairies. C’est le trait si singulier de Frédéric Pillot qui m’a attiré sur cette superbe couverture aux couleurs de saisons. Dès les premières lignes, le texte des frères Souillé fait sourire et rapidement les rires se font entendre ; j’ai particulièrement aimé les petits jeux de mots autour de la peur. L’histoire n’est pas en reste et le caractère emportée de Crabibi est jouissif ainsi que ces tentatives ratées de montrer ses talents. On s’attend bien à ce que les choses tournent mal et il y a peu de surprises mais le message est clair et tend à montrer que le plus important dans l’existence n’est pas d’être le meilleur.

Le récit est sublimé par les illustrations de Frédéric Pillot, des illustrations pleines de détails sympathiques, des personnages expressifs aux visages si singuliers et de créatures étranges amusantes à observer. Le choix de couleurs apporte une ambiance automnale de circonstance et renforce le sentiment de chaleur qu’une rencontre imprévue peut apporter dans notre vie. La Sorcière Crabibi est un magnifique album, drôle et chaleureux à lire en famille au coin du feu.
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Quel bonheur que ce livre aux belles illustrations et à l'histoire évocatrice pour tous ! Pensez-vous : Victor, un monstre méchant sans le vouloir, vole les anniversaires des enfants... qui ainsi ne le fêtent plus, ne grandissent plus, et comble de l'horreur, sont obligés d'aller à l'école toute leur vie !!! (gros frissons de la part de mes garçons à ce moment-là de l'histoire !). Heureusement, sa rencontre avec Bastien va tout remettre dans l'ordre. Bref, la parfaite histoire du soir, longue juste ce qu'il faut.

Mon avis



Premièrement : les dessins. J'ai acheté cet album surtout pour cette raison au début. Jéremie Fleury effectue un travail remarquable comme à chaque fois (Dracula, La mélodie du bonheur...). Les personnages et les décors sont tout en rondeur, très appréciable pour les enfants en bas âge qui ont une perception des formes limitée. Les couleurs sont également très bien dosées : vives lors des moments de joie, plus pâles pour les passages plus tristes. Seul Azuro reste d'une couleur éclatante à chaque fois.



Ensuite, le thème. La différence est un sujet assez compliqué à aborder avec un enfant. Par le biais d'un album tel que celui-ci c'est formidable. Certes, voir la maman dragon pleurer lorsque son petit est exilé c'est assez triste pour les grands comme les petits. Mais voir le chemin que peut parcourir ce dragonneau, comme le ferait un petit garçon courageux s'il était moqué, nous montre ainsi qu'à nos enfants que la différence fait de nous des personnes uniques.



J'ai trouvé qu'un dragon qui crache de l'eau à la place du feu est au antipodes de toutes les représentations faites des dragons, et pour le coup, l'originalité m'a séduite.



Encore une fois un grand bravo aux scénaristes et à l'illustrateur!
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Au détour d'un rayon vous voyez un livre qui dépasse et ohhh que la couverture est jolie. Je ne l'ai même pas ouvert, je l'ai tout simplement pris. La découverte s'est faite chez moi en ce mois de novembre (ah non nous sommes en août 2014 mais il est totalement normal que je sois avec un plaid, des chaussettes et un thé chaud...Je suis glacée). Si certains dessins ne me transportent, la majorité sont totalement superbes. Une jolie encyclopédie d'un monde féérique qui est si proche de nous. Je suis complètement transportée par ce livre. J'ai bien sûr adoré le clin d'oeil à un moment pour le Seigneur des Anneaux, à vous de découvrir.

J'ai toujours aimé les dragons ; je me souviens de quelques histoires lues, enfant, dans la bibliothèque rose (comme les 99 dragons par exemple), et puis de quelques films qui, plus tard, m'ont marquée comme Coeur de dragon ou le Règne du feu.

Il était donc fatal que je finisse par me procurer un ouvrage qui leur est consacré. En fait, ma liste contenait également 4 autres titres, et celui-ci m'a été offert.

C'est donc le premier volume illustré entre autres par JB Monge et John Howe.

Une belle présentation, et des illustrations de qualité.

Mes préférées : le dragon érudit de la page 5 (Aleksa Gajic), celui de JB Monge page 37, John Howe évidemment (et son guerrier ressemble à un elfe...), Angus McBride et son chevalier page 52, la lumière chez Todd Lockwood (page 28/29), les couleurs chez Paul Bonner, pages 30 et 35, enfin l'illustration de Tom Kidd page 79.



Les textes sont de JB Monge et Pascal Moguérou, rédigés dans une belle langue façon chroniques des temps anciens. Pourtant je n'ai pas trop accroché, excepté le texte poignant sur Ragnarok, et celui plus rigolo de la geste indigeste du chevalier Gaudebert d'Entrefion.



J'ai modérément apprécié les farouches guerrières dénudées, disséminées ici et là, enfin question de goût, que voulez-vous...

C'est un des aspects de la Fantasy que je n'aime pas trop. Ces mondes inventés avec des clans ou tribus aux noms un peu farfelus, proches des sonorités nordiques, toujours plus ou moins liés au monde de Tolkien. Je ne parviens pas à m'y intéresser, ce ne sont que de pâles copies; Et puis les vaisseaux volants ou les paysages où l'on peut admirer plusieurs lunes, non merci. Heureusement, on retrouve des figures familières comme les nains et les orcs, ainsi que quelques crayonnés de Monge.



Bon, je chipote un peu mais un bel ouvrage, qui ne m'a pas enthousiasmée autant que je l'aurai espéré, mais qui est vraiment agréable à feuilleter.
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Cet album regroupe deux grands personnages de la croyance populaire enfantine: Le père-Noël et la petite Souris.

Le récit nous raconte l'ennui qui touche d'une coup la petite Souris, lasse de cette activité qui consiste à récolter les dents des enfants contre une piécette et qui lui est devenue bien trop facile, elle décide de rendre visite au Père-Noël.

Il lui propose de devenir son assistante pendant une semaine, et elle accepte. Ainsi la petite Souris apportera son ingéniosité à cette machine de Noël bien huilée. Mais cela lui suffira t-elle?



C'est une histoire très jolie qui nous est conté dans cet album, la rencontre de deux personnages faisant la joie des enfants, mais ici la petite Souris a tellement envie de faire plus que ce rôle dans lequel on l'a enfermé qu'elle s'adresse d'autres sommités du genre pour proposer services, avide de connaissances et de partage.

Une belle leçon.
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L’album fait merveilleusement écho à Noël en se parant de vert et de rouge, le tout très joliment travaillé.

Le graphisme est d’une douceur exquise, tout comme les pages.



Tiens, mais y avez-vous déjà pensé quel est le trait commun entre la Petite Souris et le Père Noël ?



Je vous laisse y réfléchir un peu

Prêt ?! 5..4..3..2..1..0 !



Ils s’introduisent dans vos maisons, mais cela votre plus grand plaisir et vous donner le sourire. Cette chère Petite Souris apporte une piécette contre la dent de lait qui tombe.

Et ce cher Père Noël les jouets commandés si vous avez été bien sage et méritant.



Mais qu’arrive-t-il à notre Petite Souris ? Celle-ci toute adorable s’acquitte bien sa tâche, elle est même débrouillarde et invente des machines, ainsi elle s’est facilitée la vie.

Oui, mais elle se lasse de faire toujours la même chose et trouve que cela est devenu trop facile, alors elle a une idée. Elle incarne aussi le fait de voir l’herbe plus verte ailleurs, même si cela peut être intéressant aussi de changer, de s’ouvrir à de nouvelles choses, d’en découvrir d’autres.



C’est ainsi qu’elle va rendre visite au Père Noël avec son idée. Oui, le jour/la période idéal(e) pour aller lui rendre visite. Il sera très touchant dans son accueil et ses enseignements. En même temps, la Petite Souris apprendra tout ce qu’il fait et apportera également sa pierre, elle est fortement ingénieuse.

Une jolie association qui donne le sourire aux lecteurs.



La Petite Souris a appris une jolie leçon et en même temps a été émue par quelque chose (et nous avec), mais cette petite est toujours prête à en découvrir plus, peut être la suite dans une autre histoire qu’on accueillerait avec plaisir.

Une association qui mettra du baume au cœur dans plein de cœurs.



Une belle et chouette lecture de période.
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Azuro est un petit dragon pas comme les autres. Il est bleu au lieu d’être rouge ou vert comme les autres, et surtout il crache de l’eau au lieu du feu habituel. Raillé par ses petits camarades, il sera même exclu du monde des dragons. Heureusement, il va vite trouver un poste à sa mesure…

Une histoire sympathique, même si elle reste pas très originale. Les dessins sont jolis, plutôt style dessins animés avec un dragon très flashy en bleu azur.

On m'a offert cet album il y a peu car je suis très attirée par les univers féerique et les recueils en général.



Sachant que ce livre n'est pas un album sur les espèces du merveilleux mais bien un recueil des personnages et des créatures de l'univers des BD d'Olivier Ledroit, je me suis sentie un peu en retrait de ce que l'on me présentait. Je n'ai aucune familiarité avec le monde de l'auteur, je n'ai pas lu ces BD et je pense que cela explique pourquoi j'étais en retrait.



Dans cet album, il n'y a rien d'autres que des illustrations et un court texte sur ces personnages et créatures, il se lit donc très vite, mais je pense qu'il n'y a pas assez de "matière" pour quelqu'un qui ne connait pas l'univers d'Olivier Ledroit. A mon sens, on doit acheter ce livre si on a déjà lu les BD, ça complétera sûrement la collection, mais sans eux et sans la connaissance de ces BD, ce livre n'a pas assez de fond pour attirer les non-lecteur de l'auteur.



Mis à part ce détail, j'ai trouvé les illustrations magnifiques, en tout points : les couleurs, les traits, l'ambiance et les détails.



En résumé, un bel objet qui ravira plus les amateurs d'Olivier Ledroit que les curieux.

La Muse a lu Azuro le dragon bleu avec délice. C’est un livre que les enfants adorent, et qu’elle raconte avec délice en lectures théâtralisées.



Alors, bien évidemment, elle attendait fébrilement la sortie du tome 2. Et elle n’a pas été déçue !!!



Il n’est pas facile de bâtir une belle histoire, et encore plus d’en faire une suite.

Azuro « sur la piste de Jippy ! » tient toutes ses promesses, avec une très belle histoire, différente de la 1ère, avec des surprises, je ne vous dis que ça … Et puis de très bons moments de fou rire à partager avec les petits … et les plus grands !



(la suite sur le lien de La Muse : belle lecture).



Précision : le livre a été écrit par Olivier et Laurent Souillé. Magnifiquement illustré par Jérémie Fleury.


Lien : https://lamusedesgones.wordp..