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Critiques de Ophélie Bruneau (112)
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Ana l'étoilée, tome 3 : Mort sur la baie

Je cherchais un livre détente dans ma PAL et j’ai jeté mon dévolu sur ce troisième tome. J’ai trouvé qu’il était différent des deux précédents. Je ne sais pas, cette troisième histoire est un tournant je pense.



Nous retrouvons une Ana amoureuse, partie de Londres pour se retrouver pas très loin de Cardiff. Suite aux événements très Hakuna Matata dans le tome précédent, Anna et son amoureux profitent d’une soirée à Cardiff pour se détendre mais ça ne se passe pas comme prévu. Ils vont devoir aider des personnes et refaire connaissances avec d’autres. ;)



J’étais moins enthousiaste pour ce coup-ci malgré les sourires que j’ai eu en lisant Ana. Au début, il y a deux petits mots qui m’ont donné THE SMILE, où on retrouve l’esprit de notre héroïne. Cette troisième page, m’a donné le sourire comme une débile. Les deux fameux mots.

Il suffit de te lire pour avoir le sourire tellement tes remarques, tes pensées, ton mode de pensée nous font incontestablement de toi une potion magique. C’est un début en douceur, un peu rêveur.

Puis, plus on avance, plus le sérieux démarre. D’habitude il y a toujours cette petite phrase, souvent, et/ou des mots qui donnent cet aspect drôle du roman. Ana dans toute cette splendeur. Dans ce tome 3, elle l’a toujours mais moins. C’est vraiment plus sérieux et entre les événements d’ici et précédent, notre héroïne a morflé. Au fil des pages, son état d’esprit se ressent. C’est assez logique en fait mais ce qui est déjanté est moindre.

Ça donne une autre atmosphère, puisque les événements précédents hantent toujours le roman, une nouvelle perspective arrive car l’héroïne évolue. Je ne sais pas vraiment expliquer ce que j’ai ressenti pendant ma lecture. Certes, il est différent. Certes, ce n’est pas mon préféré. Néanmoins, c’est une sorte de transaction pour préparer le terrain du tome 4. On apprend toujours tout de même mais j’attends des réponses dans le prochain. =P



Jayesh est un peu plus mis en avant mais je me pose des questions sur ce personnage. Ana va devoir se dépasser énormément, se poser des questions beaucoup sur son avenir, sur ce qu’elle est.





Un troisième tome qui est un tournant pour la suite. Les conséquences des événements précédents sont mis en avant où notre héroïne en paie les pots cassés (logique) et essaye d’aller de l’avant. Une remise en question est intégrée pour Ana, ce qui fait un tome plus sérieux malgré les petites piques d’humour.
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Ana l'étoilée, tome 3 : Mort sur la baie

Définitivement, cette petite série sur la praticienne occulte m'a accroché. Sa grandeur d'âme et sa conscience professionnelle sont remarquables. La dynamique entre les différentes races d'êtres surnaturels qui se côtoient, se jugent et parfois s'entraident est très intéressante. L'action est rondement menée, l’héroïne sympathique et le ton juste. En somme une bonne petite lecture réjouissante et divertissante.

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Ana l'étoilée, tome 4 : Au-delà des lumières

Comme ses prédécesseurs, ce roman est court et plein d’énergie. Ophélie Bruneau nous offre une fantasy urbaine contemporaine dans laquelle il est facile de s’immerger. Les aventures d’Ana sont toujours très visuelles. On pourrait aisément en faire des films ou une série télévisée. Ce tome ne déroge pas à la règle, entre courses poursuites et lutte acharnée pour survivre. Ana ne sait plus où donner de la tête ni qui est son véritable ennemi (ou en tout cas le plus dangereux).

J’aime toujours autant les changements de décor dont nous gratifie l’autrice. Cela change de ce qui se fait d’habitude dans la fantasy urbaine. Un petit tour d’Europe ne fait pas de mal et cette escale parisienne nous fait faire un petit détour par les catacombes que j’ai apprécié.



La suite sur mon blog...
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

Un court roman très divertissant avec une équipe interstellaire très originale et très fun et bien loin des militaires très carrés et ennuyeux des classiques space op. Une mission qui n’a rien d’originale jusqu’au moment où arrive le conflit et sa résolution très amusante et originale. En bref, un livre à lire pour s’amuser et voyager trèèèès loin
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

En Résumé : J'ai passé un agréable moment de lecture avec ce livre qui nous offre une histoire solide de Space-Opera, on ne s'ennuie jamais du début à la fin et l'humour, vraiment très présent dans ce livre se révèle efficace et fait assez souvent mouche. L'univers mis en place se révèle intéressant, l'auteur nous offrant des technologies futuristes pas si éloigné de ce qu'on connait pour ne pas perdre complètement le lecteur et ne manque pas d'originalité. Dommage que son côté un peu trop sérieux soit en décalage avec l'humour très présent. Les personnages ne manquent pas de charismes et se révèlent attachants et la plume de l'auteur se révèle vive et prenante. Dommage que certaines idées ne m'aient pas complètement emballées et que parfois l'auteur se laissent un peu aller à la facilité dans la manipulation diplomatique des Ruxis. Au final un Space-Opera efficace et prenant qui possède ses qualités et ses défauts et qui m'a offert un sympathique moment de lecture et dont j'espère pouvoir retrouver un jour les personnages du Viking.



Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

Suite à des ondes interceptées, le système Viker doit être exploré. Tel est la mission du FS2 Viking. Un vaisseau qui, bien que maintenu en service, est obsolète depuis longtemps. Arrivé en vue des planètes, l'équipage se rend compte qu'il se trouve à la veille d'une guerre interplanétaire. Jean-Frédéric Serrano, commandant du FS2 Viking, ne veut pas s'impliquer dans cette lutte. Mais quand l'un des belligérants l'oblige à prendre des décisions contradictoires, il voit rouge. Si la haute autorité le traite de fou furieux, ce n'est pas pour rien.



Et pour quelques gigahertz de plus est le premier roman d'Ophélie Bruneau. Cette jeune femme qui est venue à la littérature par le Donjon de Naheulbeuk commence son odyssée littéraire par un space-opera. L'un des genres où il est difficile de ne pas se tromper parce que beaucoup de choses ont été écrites avant. Ophélie passe le cap avec brio. Oubliez les voyages à travers cent mille millions d'années lumières, les extra terrestres multicolores ou les batailles spatiales. Ici, on fait simple et direct. Le système Viker est menacé d'une guerre puisque la planète mère et sa colonie directe sont en désaccord économique. Motif : une planète gazeuse inhabitable dont le sous-sol est une véritable richesse. Quant aux habitants, ils ressemblent à des rats humanoïdes. Une situation facile à comprendre, mais ce n'est pas avec un résumé qu'on réussit un roman.

Le fait d'être un auteur féminin prédisposait-il Ophélie à avoir un point de vue différent ? Je ne sais pas, mais ses personnages sont frais. Ils n'ont pourtant rien de neuf. Entre un commandant qui "tyrannise" gentiment son équipage, un Sergent-chef qui sert de maman poule aux pilotes débutants, un médecin porté sur la bouteille et un officier dont l'attirance envers l'équipage féminin s'avère aussi redoutable que son humour douteux. Non, rien de neuf, mais la manière dont ils sont traités, les esquisses de caractère nous les rendent sympathiques. On referme le livre avec l'impression d'avoir vu une partie de sa famille. Quant à Shania Artemisia, officier en communication, l'implant cybernétique qu'on lui a "imposé" ne fonctionne pas encore. Un rejet qui fait qu'elle est à 0% de ses nouvelles capacités et à 100% d'absorptions de médicaments divers. Un état dont elle se passerait bien puisque le Commandant la considère comme son officier le plus fiable. On l'aura compris, la situation du Viking, de son équipage et du système Viker n'est pas des meilleurs. Une situation qui ne fera qu'empirer quand l'équipage se verra obliger d'intervenir dans cette guerre.

A contrario d'autres livres où les armes parlent trop, l'auteur montre une approche "diplomatique". Approche qui rappelle la série de bandes dessinées Donjon où l'humour peut être aussi violent que les images. La culture terrienne et extraterrestre ne sont pas épargnées. Un vrai régal !



Sans être le livre de l'année, Et pour quelques gigahertz de plus se lit très bien. Distrayant, il apporte de la fraîcheur dans ce genre qu'est le space-op. Si certaines situations ou certains caractères ne vont pas jusqu'au bout (pour un deuxième tome ?), le plaisir est intact du début à la fin. Un premier livre qui se doit d'être mis en avant.



ET POUR QUELQUES GIGAHERTZ DE PLUS

AUTEUR : OPHELIE BRUNEAU

EDITIONS : AD ASTRA
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

L’action de ce space opera débute à la veille d’une guerre interplanétaire. Jean-Frédéric Serrano, commandant du Viking, un vaisseau proche du cimetière des astronefs, et son équipage hétéroclite se retrouvent malgré eux impliqués dans le conflit.

Petit éditeur né en 2010, Ad Astra m avait déjà réjouis avec « Les pilleurs d’âme » de Laurent Whale et « Contes de villes et de fusée », une anthologie qui s’inspire très librement de contes classiques pour les transposer dans la société moderne ou dans un avenir lointain. A la fin de chaque récit, l’auteur présente l’oeuvre qui a été ainsi détournée et précise les raisons de son choix. Seize contes sont ainsi proposés, réunissant des écrivains tels que J. Millemann, A. Lencou, C. Bousquet ou encore J. Kaan.. Mais si « Et pour quelques gigahertz de plus » est dans la même veine, il est, a mon goût, un cran au-dessus.

Ce premier roman emmène un équipage haut en couleurs et attachant au fin fond de la galaxie pour une prise de contact avec des extraterrestres appelés Ruxis. Hélas, ceux-ci sont sur le point de se lancer dans une guerre interplanétaire, et quand l’un des officiers de bord se fait enlever, il ne reste plus au commandant qu’à oublier toute prudence et à appliquer un plan fou.

Histoire rondement menée, humour à tous les étages (mention spéciale aux titres des chapitres), références diverses, ce texte de science-fiction d’aventure ne se prend pas au sérieux, mais propose une lecture de pur divertissement bien menée et bien écrite.

Bref c’est rafraîchissant et enthousiasmant. – –
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

Et pour ... est un space opéra très classique. Bonne trame mais l'ensemble des personnage sont stéréotypés - le séducteur, le second super efficace, le capitaine craint, le docteur alcoolique. Les extra-terrestres recoivent le même traitement.

Le 4eme de couverture fait référence à Galaxy Quest et nous sommes ds le vrai : légèreté, humour, actions, simplicité des rebondissements.

Ne vous détrompez pas, j'ai passé un bon moment. Il faut juste savoir que l'on va lire un livre très facile d'accès.

Note : Le prix neuf était de 20€ pour un livre de poche non traduit car écrit en français. Dur, dur ...

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Et pour quelques Gigahertz de plus...

Shania Artemisia, Lieutenant en charge des communications du vaisseau Le Viking, dirigé par le Commandant Jean-Frédéric Serrano, vient de se faire poser un implant cybernétique permettant d'augmenter ses capacités de mémoire, de communication... Ce petit monde part en mission dans un système lointain, Vikler, afin de prendre contact avec un éventuel peuple intelligent. Et c'est ce qui arrive, sauf que nos amis tombent en plein début de conflit interplanétaire...
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

D'un point de vue contenu, ce petit space-opéra français part avec de bons atouts.

Pour commencer, un bel humour, varié, qui se renouvelle, allant du fin au brutal, jouant tant sur les mots que sur les situations. C'est très agréable à découvrir.



En second lieu, on a une trame d'histoire. L'humour présenté ci-dessus n'est pas le cœur du livre, mais bien un accompagnement à une histoire, avec ses moments de découvertes (première rencontre d'un nouveau peuple extra-terrestre) et ses rebondissements.



Mais voilà, l'ensemble n'a pas réussi à m'emballer. Même si la trame est loin d'être rachitique, je la trouve creuse. Un mélange d'intrigue assez peu retorse et convenue avec une bonne dose de trame à laquelle je n'ai pas pu croire.

Au final, je n'ai pas adhéré à l'histoire (sans que celle-ci ne soit mauvaise).



Ajoutons à cela les personnages de l'histoire qui, si on retire les sarcasmes et l'humour associés à leurs interactions, sont dépeints de manière très sommaire. Comme une impression de personnage en carton-pâte.



Enfin, peut-être aussi que ce space-opéra est par trop proche de notre réalité, ce qui est sans doute d'une grande aide pour celles et ceux qui n'ont pas l'habitude de lire de la SF et qui seront dès lors beaucoup moins dépaysés, mais cela renforce l'aspect « carton-pâte » déjà mentionné.



Au final, la lecture de ce livre n'a pas été mauvaise en soi, mais j'ai trouvé ce roman par trop superficiel dans le traitement de ses personnages ainsi que dans la crédibilité de l'univers mis en place.



On note tout de même une très bonne maîtrise de l'humour dans le roman (ce qui n'est pas chose aisée), ainsi que la gestion d'une trame d'histoire qui, à défaut d'être fouillée, n'en reste pas moins cohérente et fournissant découvertes et rebondissements.



Bref, je n'ai pas aimé ce livre, mais il n'est pas non plus raté.



Chronique complète : https://plume-etoiles.blogspot.fr/2018/01/Et-pour-quelques-gigahertz-de-plus--Ophelie-Bruneau.html
Lien : https://plume-etoiles.blogsp..
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

Et pour quelques gigahertz de plus est un grand délire, difficile de définir ce roman autrement. Tout est joyeusement barjot : intrigue, personnages et style confondus. Il se pare aussi d’une réelle intrigue. Les rebondissements sont nombreux et bien rythmés, les points de vue alternés de façon équilibrée, les enchaînements sont fluides et efficaces.[...]
Lien : http://www.imaginelf.com/201..
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

Un roman oubliable, avec une intrigue franchement légère, voire inexistante, des personnages peu charismatiques (côté humains), à ridicules (pour les aliens) qui ont une façon de penser/parler très anthropique malgré tout. Une planète dont on n'apprendra pas grand chose, et de toute façon ce qu'on apprend n'a rien d'intéressant ou de spécial...

Pour un space opera, c'est léger. Deux planètes, une lune, un vaisseau spatial... D'ailleurs à la fois le ton du roman, le caractère des personnages, l'intrigue font que ça ressemble plus à une parodie de space opera.



Ca se lit vite néanmoins, mais ça s'oublie tout aussi vite. Personnellement je l'avais lu l'an dernier (et complètement oublié depuis), quand je suis repassé devant dans ma bibliothèque, j'étais persuadé de ne pas l'avoir lu... Après l'avoir entamé à nouveau, je me dis que ça me dit vaguement quelque chose... Après l'avoir relu, ça me revient. Effectivement, je l'avais déjà lu. Et déjà j'avais trouvé ça très très léger.



Je ne sais pas ce qui est le plus gênant. Le côté parodique à moitié assumé (c'est soit trop sérieux, soit pas assez absurde...). Les rats-aliens ne sont pas vraiment développés. Une sous-intrigue avec des terroristes est absolument inutile... Quant à la résolution des tensions entre les aliens de la planète mère et ceux de la planète fille (j'ai oublié leur noms tellement ça ne m'a pas marqué) et la diplomatie à base de technologie jeu vidéo : il s'agit de l'idée principale du livre, sa clé de voute, mais c'est franchement mal exploité et mal mis en avant...



En résumé : un roman de gare. Ne dépensez pas d'argent pour lire ça. Mais ça vous occupera quelques heures. Attention au sentiment d'avoir perdu ces heures à tout jamais cependant... ^^'
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Fille des deux rives

J’avoue que dans un premier temps, la place prédominante de la religion dans ce roman m’a fait hésiter à tenter l’aventure. Mais j’étais curieuse de retrouver la plume et les idées d’Ophélie Bruneau dans un tout autre univers que l’Ouroboros d’Argent. C’était une raison suffisante pour dépasser mes vilains préjugés et je ne l’ai vraiment pas regretté !



D’un côté, nous avons Bodmaëlle, jeune exorciste de talent, de prime abord froide et rigide, vouant son existence aux préceptes de son église de la Sainte Sagesse. Les sapientistes font de toute personne accédant à l’alter-monde une âme impure mais se servent paradoxalement de cette manifestation pour en sceller les accès. Au cours d’une soirée mondaine, Bodmaëlle va se retrouver face à Murello, un sorcier lorusien pratiquant la mathémagie (concept par ailleurs original et intéressant) et se servant volontiers de l’alter-essence pour décupler ses pouvoirs. Quelques verres aidant, ce dernier, agacé par le mépris et la condescendance de certains invités sapientistes, va dénoncer la présence de l’ombre de Bodmaëlle dans l’alter-monde que sa croyance est censée rejeter. Il provoque par son comportement insouciant un incident sans précédent qui poussera l’Inquisition à emprisonner la jeune femme et à employer de cruels moyens pour la faire parler. Accusée d’hérésie, Bodmaëlle ne sait ni vers qui se tourner, ni comment prouver son innocence, elle qui a voué son existence toute entière à la Sainte Sagesse. C’est finalement le responsable de sa chute qui vient l’aider à s’échapper mais droite jusqu’au bout, Bodmaëlle refuse de passer le reste de sa vie à fuir dans la clandestinité. Pour rétablir son bon droit et retrouver sa place, elle part à la recherche de la vérité, et pour ce faire, elle devra remonter à ses origines mêmes et affronter les douleurs de son enfance pour mieux comprendre les épreuves d’aujourd’hui.



Dans ce roman de fantasy, Ophélie Bruneau nous pose de nombreuses questions sur la foi. Comment à partir d’un même phénomène, deux courants radicalement opposés peuvent naître et refuser tout compromis. Viennent alors toutes les dérives de l’extrémisme auxquelles nous sommes nous aussi confrontés au quotidien, l’intolérance, le besoin d’imposer sa vision des choses, l’usage de la force quand les mots ne suffisent plus, les préjugés, l’étroitesse de certains esprits, ou ceux qui misent tellement sur ce qu’ils croient qu’ils en oublient de respecter et apprécier ce qu’ils vivent ou ceux qu’ils rencontrent… J’ai trouvé la réflexion de l’autrice vraiment bien amenée et intéressante, facilement transposable à notre réalité, ajoutant ainsi un poids considérable à ses propos. L’action reste en arrière-plan, Ophélie Bruneau préférant privilégier les relations humaines et la reconstitution du puzzle des origines de Bodmaëlle. Des intrigues amoureuses sont ébauchées à travers quelques personnages secondaires, apportant chacun un petit plus à l’histoire et aidant plus ou moins volontairement Bodmaëlle à mieux se connaître et à faire ses propres choix dans la vie. J’aurais en revanche aimé en apprendre davantage sur l’alter-monde au vu du potentiel narratif qu’il abrite.



Relativement agaçante et passive au départ, Bodmaëlle va gagner en force et en volonté au fil de ses mésaventures et se réinventer en comprenant que les piliers de sa croyance ne sont pas forcément les bons. Elle va devoir se remettre en question et porter un regard plus objectif sur le monde qui l’entoure. De son côté, Murello va mûrir en se confrontant aux conséquences désastreuses de quelques mots lancés sans y avoir réfléchi au préalable, l’alcool et les femmes ne suffisant pas à définir un homme.



En bref, cette lecture a su me surprendre et me captiver, dans un univers que j’ai hâte de redécouvrir.
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Fille des deux rives

Dans un premier temps, j'ai eu un peu de mal à rentrer dans le récit, j'ai trouvé le lancement de l'intrigue presque trop simple et direct. Et puis je dois être un peu sadique car j'ai eu l'impression que les conditions de détention n'étaient pas si atroces que cela (mais c'est peut-être juste parce que je n'étais pas encore en empathie avec les personnages ?).

En revanche, dès que Bodmaëlle est secourue par Murello, j'ai apprécié ma lecture. J'avais un peu peur, au début, que ce soit le mâle qui vienne sauver lafâme mais Ophélie Bruneau a su ne pas tomber dans ce piège, ouf !

On suit ensuite la fuite et la quête de vérité à travers un monde que j'ai trouvé bien mené même si j'aurais aimé en savoir davantage (notamment sur l'alter-monde et ses connexions avec le monde de Bodmaëlle). J'ai vraiment adoré les techniques magiques décrites (en lien avec les mathématiques et le chant). Les personnages m'ont tous semblé avoir un bon potentiel même si, encore une fois, j'aurais apprécié qu'ils soient plus développés. Mais bon, c'est tout le problème des romans courts quand on est gourmand !

Au final, j'ai trouvé cette lecture très agréable et je ne regrette pas mon achat, d'autant plus que l'écriture d'Ophélie Bruneau est très réussie à mon goût : fluide mais précise dans le choix du vocabulaire (on sent les connaissances et/ou les recherches au niveau des termes de marine notamment) ; elle permet de brosser un tableau très vivant et cohérent de l'univers.
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Fille des deux rives

Fille des deux rives est un roman à l'intrigue intéressante qui pousse à réfléchir sur le rapport entre croyance et science et surtout entre les liens qui peuvent être tissés entre eux. Ophélie Bruneau nous propose un monde et un Envers-Monde intéressants et des personnages très bien travaillés et partie prenante de l'histoire.

Malgré une inégalité dans le rythme et certaines faiblesses de l'histoire, cette lecture m'a plu et je vous la conseille tout de même.



L'intégralité de la chronique sur le blog :)
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Fille des deux rives

Le seigneur Moen Ledann quitte ses fonctions d'ambassadeur de Sovarion auprès d'Egiel, empereur de Samulia. Il organise alors une cérémonie de passation de pouvoir à son successeur, cérémonie à laquelle sont invitées de nombreuses personnes, parmi lesquelles : Murello, sorcier lorusien, et

Bodmaëlle Galliep, exorciste sapientiste. Or le premier, un peu éméché, va remettre en cause l'intégrité de la seconde... Bodmaëlle se retrouve alors emprisonnée et envoyée à l'Inquisition.

Murello, qui se sent responsable de ce qui arrive à la jeune femme et tente de savoir ce qui peut lui arriver, se livre à des recherches et ce qu'il découvre ne va pas le rassurer ! Il va alors se lancer à sa poursuite et permettre l'évasion de celle qu'il a contribué à faire enfermer...

Mais qu'est-ce qui peut donc bien être à l'origine de la « corruption » de Bodmaëlle sans qu'elle ne soit au courant ? C'est ce que cette dernière va tenter de découvrir. Pour ce faire, elle bénéficiera de l'aide de Murello ainsi que de celle de personnes qu'elle ne connaît pourtant que peu...

Quels sont les mystères qui entourent la jeune femme ? Et ses découvertes lui permettront-elles malgré tout de rester telle qu'elle est ? Ou bien en ressortira-t-elle transformée ?



Pour tout vous dire, j'étais vraiment curieuse de savoir ce que donnerait le livre à la lecture de la quatrième de couverture... L'idée me paraissait intéressante et j'étais vraiment curieuse de savoir comment l'auteur parviendrait à lier ensemble les concepts de magie, d'exorcisme et d'autre monde. Il me fallait donc lire le livre pour le découvrir.



Nous apprenons ainsi que les sorciers consomment de l'alter-essence (issue de l'alter-monde) et que la religion sapientiste basée sur la Sainte Sagesse, quoique tolérante sur certains points, considère que tout ce qui a trait à l'alter-monde a un « statut » infernal, démoniaque. C'est d'ailleurs pour ça que lorsque Murello révèle que Bodmaëlle a des liens avec l'alter-monde, cette dernière est immédiatement relevée de ses fonctions et mise aux arrêts. Et au nom de cette condamnation de l'alter-monde, les sapientistes (notamment les inquisiteurs) se livrent à des interrogatoires « musclés », cette Inquisition et ses méthodes étant probablement inspirées de l'Inquisition médiévale (tribunal créé au XIIe siècle par l'Église catholique romaine dont le but était de combattre l'hérésie)



Ceci dit, cet aspect n'est pas au centre de l'histoire, mais constitue une trame de fond au lancement de l'intrigue... Car Bodmaëlle s'échappe au bout de huit jours des cachots de l'Inquisition grâce à l'aide de Murello. Dès lors c'est une fuite pour les deux compagnons, avec à leur poursuite des membres de l'église sapientiste menés par Sire Eber Yudit, exorciste qui a mené l'interrogatoire de Bodmaëlle, et Maître Neven Darbal, ancien Maître de la jeune femme. Ce dernier semble d'ailleurs cacher de nombreuses choses la concernant et nous allons en découvrir l'ampleur au cours du livre.



Et toute la partie du récit liée aux religions, aux croyances et à leurs pratiques est assez intéressante, mais malheureusement trop longue à « mettre en place », ce qui ralentit le récit et créé des longueurs qui ont provoqué, chez moi, un certain « décrochage »... Je dois d'ailleurs reconnaître que cela m'a poussée à lire certains passages en diagonale. De plus, le changement régulier de style quant au niveau des phrases : simples, courtes, compliquées, longues... ralentit parfois la lecture. Mais une fois habitué, cela m'a moins gênée.



Comme je l'évoquais, tout ce qui est lié à l'Inquisition et aux religions constitue une trame de fond... Et l'héroïne se débat dans ce cadre pour tenter de découvrir la vérité sur sa propre situation. Je n'ai pu m'empêcher de compatir avec elle ! Toute son existence est remise en cause sans qu'elle n'en connaisse la raison... Et, courageuse, elle va tenter de faire face pour obtenir les réponses aux questions qu'elle se pose.

Murello est un autre personnage que j'ai beaucoup aimé, bien qu'à certains moments je n'ai eu envie que d'une chose : le gifler. Il fait preuve de qualités indéniables tout au long du récit ainsi que d'un sens moral admirable... mais je ne peux vous en dire plus sans trop en révéler sur l'histoire.



Une lecture somme toute intéressante avec des personnages attachants malgré quelques lenteurs... avec un regret : nous n'apprenons pas grand-chose sur l'alter-monde et certaines choses restent sans réponse... Par exemple : qui est donc le père de Bodmaëlle ?
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Fille des deux rives

Avant toute chose, je souhaite remercier Louve, du forum Mort-Sûre, ainsi que les Éditions Mythologica pour l'envoi de ce roman. Ensuite, je voudrais m'excuser, car je n'ai pas adhéré au roman, et je l'ai abandonné à environ 28 %. Ceci n'est pas dans mes habitudes, et j'essaie toujours de terminer un livre pour le chroniquer, car je considère ne pas avoir le droit de le chroniquer si je n'ai pas su aller au bout. Ce roman étant un service presse, je dois faire un retour, et le voici.



Que vous soyez l'éditeur, l'auteur, des adeptes de ce roman ou des lecteurs qui cherchent des avis avant de se lancer dans la lecture, ce que vous allez lire ne vous plaira pas. Je ne tiens pas à descendre ce roman, mais à expliquer les raisons qui m'ont poussée à l'abandonner. Peut-être que certains d'entre vous aimeront cet ouvrage et n'y liront pas ce que j'y ai lu. Je l'espère du moins !



J'ai abandonné ce roman principalement car je m'y ennuyais. Pour vous donner une idée, il m'a fallu relire plusieurs fois certaines pages tant je perdais ma concentration et tant mon esprit préférait vaquer à d'autres occupations mentales, telles que « quel livre vais-je bien pouvoir lire pour me sortir de cet enfer ? » ou bien « tiens, je ferai bien les poussières, c'est le moment, non ?! »... Bref, vous l'aurez compris, je n'étais pas dedans.



Il faut dire que, dès le début, le style est très (trop ?) descriptif. de belles longueurs ont commencé à jalonné ma lecture. En soi, les descriptions ne me dérangent pas... s'il y a un peu d'action. Ce n'était ici pas du tout le cas. Les événements se suivaient sans suspense, sans surprise, de manière monocorde. de même, rien ne vaut quelques descriptions pour détonner un peu avec des personnages pimentés ! Sauf, que je leur ai trouvé à tous la même personnalité... Pour tout vous dire, je confondais même certains d'entre eux tant ils étaient similaires...



Enfin, je n'ai peu ou pas compris le monde. J'ignore s'il est mal introduit ou si c'est parce que je m'y suis ennuyée et que je perdais le fil (c'est bien possible, en plus !), mais je ne comprenais pas les différences entre les religions et les lieux. Je me suis un peu perdue dans les méandres d'une intrigue qui n'avait, pour moi, rien d'intriguant.



Le résumé m'avait beaucoup alléchée. Je trouve également la couverture très belle et mystérieuse. Je me suis induite en erreur moi-même, car j'espérais qu'il s'agirait de fantasy traitée avec du suspense, de nombreux personnages, des intrigues qui n'ont a priori rien à voir et dont on découvre les liens au fur et à mesure de notre lecture, au milieu d'un univers intriguant et original. Au final, j'y ai trouvé une description factuelle, plate et sans âme.
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Fille des deux rives

Ayant lu il y a quelques années l’ouroborosd’argent, j’avais très envie de découvrir la plume d’Ophélie dans un autre registre. Lorsque j’ai vu la parution de ce roman (One shot), j’ai saisi l’occasion pour vous soumettre au plus vite mon avis.



Les premiers chapitres ont été un peu difficiles pour moi, le temps de m’immerger dans son univers et de me faire aux noms des personnages. Puis, je n’ai presque pas lâché le livre, qui se lit très vite. L’auteure découpe son roman en 35 chapitres, et la vérité sur l’histoire de Bodmaëlle intrigue le lecteur. Comme je voulais connaître le fin mot, j’ai enchainé dès que j’avais du temps libre ma lecture.



Ophélie Bruneau aborde dans ce roman un thème sensible : la religion. Et pour transmettre ses idées, elle l’utilise dans un univers fantasy qui m’a bien plu. Il semble qu’il y ait deux communautés : les croyants « sapientistes » qui ont foi en la Sainte Sagesse, et les sorciers qui pratiquent la « mathémagie » :



« De la Sainte Sagesse, il ne savait pas grand-chose, si ce n’était que cette religion considérait comme intrinsèquement mauvais tout ce qui venait de l’autre face du monde. Aux yeux des sapientistes, la coexistence de deux réalités séparées par un miroir fragile n’était pas un simple état de fait dont on pouvait tirer parti, mais la preuve de l’omniprésence du Mal. Là où les sorciers comme lui alimentaient leur magie grâce à l’énergie de l’alter-monde, les clercs de la Sainte Sagesse, eux, veillaient à maintenir la frontière aussi opaque que possible afin de se préserver des démons. Démons que lui, Murello, connaissaient sous le nom de Forces, attribué par leurs premiers découvreurs qui les avaient pris pour des dieux. Depuis ils s’étaient révélés aussi mortels que les humains, mais l’appellation était restée. »



J’ai vraiment eu l’impression qu’à travers son histoire, Ophélie Bruneau nous partage sa vision de la religion. Cela n’est pas abrutissant, et j’ai eu à la fin une très belle découverte sur ce que Bodmaëlle va décider de faire.



Bodmaëlle est une jeune femme exorciste qui a la foi depuis son enfance. Mais cette accusation va lui faire tout remettre en doute quand elle réalisera la façon dont les sapientistes la traitent. Elle va, à l’aide de Murello, partir à la découverte de son identité et découvrir qui elle va devenir. On ne s’égare pas dans les personnages secondaires qui occupent tous une place importante dans le puzzle de cette intrigue. Les évènements s'enchaînent, il n'y a pas de temps mort.



J’ai beaucoup aimé la « mathémagie », la façon dont ça fonctionne, et cela m’a bien plu aussi de découvrir l’alter-monde.



C’est un récit captivant par son univers et qui se lit vraiment avec plaisir.

De plus, j’apprécie le travail qu’Ophélie a fourni en constituant une carte, même si ce livre est un one shot.



Dans les remerciements, on apprend comment l’auteure a construit son histoire, les recherches qu’elle a fait, et c’était intéressant d’en apprendre plus sur elle (qui semble timide dans les salons ou en dédicace ;))

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Fille des deux rives

(...)

Pour commencer, nous ne suivons pas uniquement l’héroïne, Bodmaëlle : l’histoire, racontée à la troisième personne, est aussi vécue par d’autres personnages. Cela a été une bonne surprise puisque ainsi, nous apprenons à connaître ces personnes qui croisent ou accompagnent la jeune femme, mais nous apprenons aussi leurs motivations quant à leurs faits et gestes.

Si Bodmaëlle m’a un peu déçue car je l’ai trouvée trop passive, semblant tout subir sans pouvoir y faire grand chose, d’autres protagonistes se sont avérés bien plus intéressants. Murello, par exemple, a une bonne évolution ; Verenna est un personnage féminin fort, malgré ses faiblesses ; le message que veut faire passer Darbal est juste, etc.

Au fur et à mesure que l’histoire progresse, les personnages évoluent, prennent des décisions, se rencontrent. Les situations sont tantôt amicales, tantôt conflictuelles, mais rarement simples. Et quand j’ai pensé que certaines relations seraient évidentes, j’ai eu quelques surprises !

Concernant l’histoire à proprement parler, il n’y a pas d’action, mais plutôt une quête : la recherche de la vérité. Si le récit n’est pas très dynamique, il est quand même loin d’être ennuyeux ! Si je devais faire une comparaison de ce roman avec autre chose, plutôt qu’un jeu vidéo de combat, ce serait une partie d’échec – à plusieurs. Chaque personnage avance ses pions, prend des décisions parfois risquées, et c’est prenant.

Mais le plus intéressant dans tout ça, c’est que c’est un roman de fantasy, et donc des lieux, des religions sont créées. Il y a notamment la religion de la Sainte Sagesse (les sapientistes), formellement opposée à la magie, la sorcellerie, qui est associée aux démons. Pourtant, sur de nombreux points, la Sainte Sagesse est bien plus tolérante que n’importe quelle autre religion.

Bodmaëlle étant une exorciste de la Sainte Sagesse, la religion a une très grande importance pour elle. Se faisant inculper pour hérésie, la jeune femme va se retrouver bouleversée, et nombreuses sont ses certitudes qui vont être ébranlées. Je ne vais pas développer plus ce point, puisqu’il est mieux de le découvrir en lisant Fille des deux rives, mais sachez que si l’héroïne d’Ophélie Bruneau subit les choses plus qu’elle ne les provoque, son parcours se révèle toutefois assez passionnant.

Enfin, je vous préviens d’une chose : si vous n’aimez pas les romans qui ne donnent pas toutes les réponses, passez votre chemin. Ou peut-être pas… : j’aime bien finir un livre en ayant toutes les réponses du puzzle, et pourtant, l’auteure ne nous donne pas ici tous les éléments de réponse. Toutefois, j’ai apprécié ma lecture, bien qu’il « manque » une réponse. A dire vrai, je n’y pense que maintenant, quelques jours après avoir terminé ma lecture, et je me dis : « Qu’importe, l’important n’est pas là ».



J’arrive à la fin de ma chronique, et je me rends compte que je ne vous ai pas parlé de l’écriture : c’est fluide, bien écrit, et il ne me semble pas avoir vu de coquille. Un bon travail, c’est tellement appréciable !

(...)



J’admets que Fille des deux rives ne plaira pas forcément à tout le monde : quiconque recherche de l’action, du suspens… sera déçu.e. En revanche, si vous souhaitez vous évader, découvrir d’intéressants héros et les voir évoluer, ou même y lire un rapport intéressant à la religion, ce livre est probablement fait pour vous.
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Freaks' squeele, tome 1 : L'étoile du soir

Suite de la série en BD du même nom, on y retrouve les personnages de Chance, de petit Panda, de Ombre de Loup, de Scipio, Lynette, Val et Funérailles ; partis en quête du faucheur soudain disparu.



Une histoire sympa à lire, qui se tient, dans laquelle on retrouve les rebondissement et l'humour caractéristique de la série... mais qui, selon moi, marche moins bien sans les dessins acérés et percutants de Florent Maudoux.



En lisant, la BD se déroulait dans ma tête et, souvent, l'image m'amusait plus que le texte.



Est-ce parce que j'ai découvert l'univers via la BD ? Probablement.



Est-ce que le livre est lisible dans avoir lu les BD?

Difficilement...



Donc voilà. Je pense que je continuerai à lire les livres, parce que j'aime les personnages... mais je les attendrai avec clairement moins d'impatience que les BDs.
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