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Critiques de Ophélie Bruneau (112)
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L'Enceinte 9

Lecture en demi-teinte.

La mise en place de l'univers est assez longue avec la présentation de l'enceinte, du collectif Fin du monde et des personnages dont Ysa. C'est sur elle que repose le récit mais son personnage manque d'attrait et de sympathie.

Vers la moitié du récit, les lenteurs ont eu raison de ma lecture. J'ai terminé le roman en ne lisant que les dialogues en diagonal.

Il y avait encore trop de retournements à mon goût.



Finalement, ce que j'ai apprécié, c'est le parallèle entre l'enceinte 9 et notre planète Terre. Au sein de l'enceinte, ils sont arrivés au stade de l'épuisement des ressources.

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La dernière fée de Bourbon

L’histoire avait un contexte plutôt intéressant mais elle ne m’a pas vraiment transporté. Certains passages au cours du récit m'ont paru un peu longs et les personnages manquaient de charisme et n’étaient pas donc pas très attachants.

En revanche la mythologie autour des diwas, êtres magiques semblables à des salamandres était originale et fascinante.

Bref malgré une écriture agréable je n’ai pas réussi à visualiser plus amplement la fameuse île Bourbon que je voulais découvrir à travers ce roman.

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L'Enceinte 9

Nous sommes en 2153, l'humanité, réduite à quelques dizaines de milliers d'âmes, vit recluse derrières les murs de l'Enceinte 9 depuis près d'un siècle suite à une pandémie meurtrière.



Les Enceintes 1 à 8 ont cessé de donner des nouvelles il y a une quinzaine d'année, les ressources, gérées par un logiciel obsolète, s'épuisent inexorablement, et le collectif militant Fin du Monde entend bien profiter de cette atmosphère crépusculaire pour donner une gros coup de pouce à l'agonie d'une espère humaine qui n'a que trop duré.



Bref, ça sent le sapin.



Au milieu de tout cela, la surnuméraire (ce qui signifie que sa naissance n'a pas été autorisée par l'état) Ysa Insulae s'apprête à incorporer les rangs de la police générale en compagnie de sa meilleure amie. Volontaire et résolue, la jeune fille entend bien servir ce système qui lui a offert éducation et carrière. Mais elle est loin d'imaginer le rôle qu'elle va jouer dans la destinée de ce monde en bout de course...



L'Enceinte 9 est un magnifique roman post-apocalyptique et c'est clairement mon coup de coeur pour l'année 2019 (oui je sais, le T4 de la Passe Miroir sort dans trois semaines, mais d'ici là...). Comme tous les grands récits d'anticipation, il aborde des thématiques furieusement contemporaines (l'intelligence artificielle, l'épuisement des ressources naturelles) en les intégrant à un univers riche et remarquablement bien pensé. J'ai aussi énormément apprécié le soin apporté à la diversité des personnages (que ce soit pour leurs origines ou leur tempérament) présents dans le roman. À travers ses jeunes protagonistes, Ophélie Bruneau trace le portrait d'une humanité profondément attachante et dont on espère très fort qu'elle parviendra à se sauver.

(et accessoirement, mon rêve serait de voir une adaptation filmée du roman, parce que je suis convaincue qu'il rendrait fabuleusement bien sur grand écran, certains passages sont de purs moments de cinéma)
Lien : http://www.super-chouette.ne..
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La Grande course au noyau-mémoire

Je viens de découvrir l’existence du Club de la Nouvelle : une collection de nouvelles en numérique éditée par ActuSF. Le format court a le vent en poupe en ce moment, et l’offre éditoriale s’accroît. Tant mieux pour moi 😊.



Cependant je n’ai pas été convaincu par le récit d’Ophélie Bruneau. Cette Grande Course pourrait être l’équivalent futuriste d’une compétition pour récupérer la boîte noire d’un avion crashé sur une île déserte, en plein ouragan. Remplacez boîte noire par noyau-mémoire, île déserte par planète sauvage et avion par vaisseau spatial et vous y êtes.

La compétition est ouverte à toutes les espèces de la galaxie. Les terriens ne sont pas fortiches dans ce genre de sport. Rob, hacker de premier choix, espère être le premier vainqueur.



L’histoire, courte, est une suite de dangers à surmonter jusqu’à la chute, pas idiote en soi, qui s’appuie sur l’idée de difficulté de communication entre espèces. En tout cas en étant gentil je m’étais dit que c’était cette idée qui planait. Mais en étant méchant, je pourrais dire que Rob aurait dû passer son code avant de conduire un véhicule. Je n’insiste pas pour laisser un peu de suspense.

Mais aussi, a-t-on vu une société permettant à quelqu’un de conduire sans valider son code ? Rob n’est pas le seul responsable dans cette histoire !



Donc une suite de péripéties sans dialogues (quelques phrases monologues quand même) – ça me manque quand il n’y a pas de dialogues – et une fin qui, à y regarder à deux fois, est assez décevante.

Pas un bon choix pour mon premier essai dans ce club.

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La dernière fée de Bourbon

Je ne vous ferai qu’une mini chronique car c’est difficile d’en faire une longue quand on n’a lu que le tiers. Je vais essayer de mettre en exergue les points positifs comme les négatifs car j’ai quand même hésité un certain temps avant d’abandonner.

Eh oui ! J’abandonne, je ne peux continuer une lecture où je ne m’y retrouve pas : que ce soit dans les personnages ou dans l’univers. C’est dommage car il y avait de bonnes idées, mais malheureusement l’auteure fait le choix d’introduire un monde, des créatures sans explications et du coup pour ceux qui ne connaissent pas, c’est loupé. Effectivement, je pense qu’un glossaire aurait nettement aidé mon immersion dans l’univers. Pour ce qui est des personnages, ils ont un côté contestataire à la Jane Austen ou Charlotte Brontë mais il manque ce petit quelque chose qui suscite l’empathie du Lecteur. Un personnage seulement m’a intriguée : Fimm, elle est très particulière, mystérieuse, c’est un peu la porte vers l’inconnu. C’est pour elle que j’ai hésité. L’auteure a su piquer ma curiosité et la rendre attachante. Mais ma lecture était vraiment trop laborieuse (10 pages par jour).

La plume de l’auteure est belle et travaillée, même fluide. Cependant, l’intrigue est un peu trop brouillonne. Je n’arrive pas à y trouver mes marques.
Lien : https://lesparaversdemillina..
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Ana l'étoilée, tome 1 : L'ours et la colombe

Tout d'abord je tiens à remercier les Édition du Chat Noir pour m'avoir envoyé ce roman.

Maintenant parlons du livre.



On est directement plongé dans l'histoire avec Ana, personnage principal féminin et pourtant pas une jeune fille en détresse. après Kaleb ça fait du bien de voir une femme au pouvoir.

En effet, pouvoir sa elle a puisque Ana à des pouvoirs magiques.



On découvre au cours de son aventure l'histoire d'un fantôme qui va être assez difficile à convaincre pour partir vraiment dans l'au-delà.



J'ai vraiment était prise dans ce roman, du début à la fin. Je l'ai fini en une journée.

Pourtant, bah oui il y a toujours un pourtant, je n'ai pas envie de plonger dans le tome 2.



Selon moi la fin n'est pas assez mise en oeuvre pour ce jeter corps et âme dans le tome 2. Je trouve cela bien dommage.



L'auteur a très bien mis en scène ce roman, du début à la fin la magie est présente. De différentes façons mais elle est là, bien ancrée.

​L'auteur à une très belle plume, j'espère vraiment entendre parler dans le futur de ces romans car selon moi elle a de très bonne idée.
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L'Enceinte 9

L'univers est intéressant avec une bonne intrigue, mais l'écriture un peu dispersée au sein de divers personnages (ce qui m'a perdu par moment) et la fin est un peu trop abrupte à mon goût. J'en ressors assez déçue peut-être parce que j'en attendais davantage.
Lien : https://ariverofbooks.blogsp..
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L'Enceinte 9

Après quelques petites déceptions j’avais peur que L’Enceinte 9 en fasse partie, heureusement il n’a pas rejoint la liste.

Étant une grande adepte des dystopies, cette histoire ou une pandémie pousse l’humanité à se confiner dans des enceintes où tout est sous contrôle ne pouvait que me plaire.

Ophélie Bruneau nous livre un univers assez réaliste et très bien ficelé.

Au début il y a une petite longueur car l’univers se met en place, mais cela nous permet de mieux le comprendre, comme comprendre pourquoi les dirigeants de ce système assignent des implants oculaires et des bons de naissances. Puis au fil de la lecture nous comprenons rapidement que tout cela n’est qu’une façade et que derrière les belles paroles se cachent des vérités qui pourraient mettre en péril tout ce qu’ils ont construit.

J’ai été complètement surprise par le dénouement de l’histoire et surtout chamboulé pour Ysa lorsque tout lui tombe dessus et que l’enceinte 9 se transforme en une prison à ciel ouvert.

J’ai beaucoup apprécié les personnages, notamment Ysa et son binôme atypique Zéro. Ils forment un duo vraiment hors du commun.

J’aurais aimé un peu plus d’action, néanmoins elle est tout de même présente et ne manque pas de surprendre, surtout vers la fin.

En résume à ma grande surprise ce fut un petit coup de cœur et je trouve dommage que ce ne soit pas une duologie. Dans la suite on aurait pu découvrir l’évolution des personnages dans ce monde extérieur.
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L'Enceinte 9

Ce qui m'a d'abord attiré dans ce livre, c'est cette couverture splendide de @tiphsartist. Waw, cette illustration, ces dorures, franchement je suis fan. Après avoir lu la 4ème de couverture, en tant qu'accro au genre post-apo, je ne pouvais pas passer à côté de ce livre. Et grâce à cette lecture j'ai pu découvrir la plume d'Ophélie Bruneau et c'est vraiment sans regrets.



J'ai d'abord eu du mal à rentrer dans l'histoire, j'ai trouvé le début un peu long (mais en même temps c'était nécessaire pour planter le décor comme il se doit) mais une fois lancé, c'est un vrai plaisir et l'action est au rendez-vous jusqu'à la fin. J'ai vraiment eu du mal à lâcher ce livre durant les 200 dernières pages ! L'histoire est bien travaillée et bien décrite, j'étais totalement immergée dans cet univers. Ce roman met en avant divers sujets importants : les problèmes environnementaux et sanitaires, les petits secrets politiques... J'ai trouvé ça très intéressant d'inclure ces aspects au roman.



Dans l'ensemble, j'ai adoré les personnages, même si pour ma part, certains ne sont pas assez exploités (comme Thora ou Floyd par exemple). Ysa et Zéro forment un binôme atypique que j'ai trouvé génial. J'ai aimé qu'il n'y ai pas de romance avec l'héroïne ou de triangle amoureux, ça change !



J'ai trouvé ce roman réaliste (je ne pouvais pas m'empêcher d'imaginer notre avenir dans une enceinte a cause du Coronavirus qui traîne en ce moment, c'était une lecture de circonstance) , l'univers est top, l'histoire est bien ficelée, bref j'ai énormément aimé ce livre !
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

L’action de ce space opera débute à la veille d’une guerre interplanétaire. Jean-Frédéric Serrano, commandant du Viking, un vaisseau proche du cimetière des astronefs, et son équipage hétéroclite se retrouvent malgré eux impliqués dans le conflit.

Petit éditeur né en 2010, Ad Astra m avait déjà réjouis avec « Les pilleurs d’âme » de Laurent Whale et « Contes de villes et de fusée », une anthologie qui s’inspire très librement de contes classiques pour les transposer dans la société moderne ou dans un avenir lointain. A la fin de chaque récit, l’auteur présente l’oeuvre qui a été ainsi détournée et précise les raisons de son choix. Seize contes sont ainsi proposés, réunissant des écrivains tels que J. Millemann, A. Lencou, C. Bousquet ou encore J. Kaan.. Mais si « Et pour quelques gigahertz de plus » est dans la même veine, il est, a mon goût, un cran au-dessus.

Ce premier roman emmène un équipage haut en couleurs et attachant au fin fond de la galaxie pour une prise de contact avec des extraterrestres appelés Ruxis. Hélas, ceux-ci sont sur le point de se lancer dans une guerre interplanétaire, et quand l’un des officiers de bord se fait enlever, il ne reste plus au commandant qu’à oublier toute prudence et à appliquer un plan fou.

Histoire rondement menée, humour à tous les étages (mention spéciale aux titres des chapitres), références diverses, ce texte de science-fiction d’aventure ne se prend pas au sérieux, mais propose une lecture de pur divertissement bien menée et bien écrite.

Bref c’est rafraîchissant et enthousiasmant. – –
Lien : https://collectifpolar.wordp..
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L'Enceinte 9

Voici un récit dystopique qui, même s'il n'est pas unique, a su me plaire.



Le contexte sanitaire actuelle (covid19) a peut être joué, mais j'ai trouvé qu'il serait tout à faire possible de se retrouver dans ce type d'endroit à cause d'une pandémie mondiale...



Enfermé, avec des règles strictes, la vie dans l'enceinte est compliqué... mais l'espoir permet beaucoup de chose, notamment de croire en ses rêves et de s'interroger sur ce qui nous entoure.



On accompagne une héroïne très différentes de ce qu'on a l'habitude d'avoir, forte, volontaire, mais aussi sensible et altruiste.



On découvre l'ombre et différent parti politique qui sont malheureusement raccord avec la réalité.



Les rebondissements nous tiennent en haleine jusqu'au bout du livre.



J'ai trouvé cette lecture très plaisante.
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

Un roman oubliable, avec une intrigue franchement légère, voire inexistante, des personnages peu charismatiques (côté humains), à ridicules (pour les aliens) qui ont une façon de penser/parler très anthropique malgré tout. Une planète dont on n'apprendra pas grand chose, et de toute façon ce qu'on apprend n'a rien d'intéressant ou de spécial...

Pour un space opera, c'est léger. Deux planètes, une lune, un vaisseau spatial... D'ailleurs à la fois le ton du roman, le caractère des personnages, l'intrigue font que ça ressemble plus à une parodie de space opera.



Ca se lit vite néanmoins, mais ça s'oublie tout aussi vite. Personnellement je l'avais lu l'an dernier (et complètement oublié depuis), quand je suis repassé devant dans ma bibliothèque, j'étais persuadé de ne pas l'avoir lu... Après l'avoir entamé à nouveau, je me dis que ça me dit vaguement quelque chose... Après l'avoir relu, ça me revient. Effectivement, je l'avais déjà lu. Et déjà j'avais trouvé ça très très léger.



Je ne sais pas ce qui est le plus gênant. Le côté parodique à moitié assumé (c'est soit trop sérieux, soit pas assez absurde...). Les rats-aliens ne sont pas vraiment développés. Une sous-intrigue avec des terroristes est absolument inutile... Quant à la résolution des tensions entre les aliens de la planète mère et ceux de la planète fille (j'ai oublié leur noms tellement ça ne m'a pas marqué) et la diplomatie à base de technologie jeu vidéo : il s'agit de l'idée principale du livre, sa clé de voute, mais c'est franchement mal exploité et mal mis en avant...



En résumé : un roman de gare. Ne dépensez pas d'argent pour lire ça. Mais ça vous occupera quelques heures. Attention au sentiment d'avoir perdu ces heures à tout jamais cependant... ^^'
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L'Ouroboros d'Argent

Cela fait un petit moment que L'ouroboros d'argent attend sagement dans ma bibliothèque, et c'est à nouveau pour le challenge #Booklanta que je l'en ai sorti. Je pense qu'il pourra également compter pour le #Fantasycardschallenge avec la carte Hobbit, puisque les fées y sont à plusieurs reprise évoquées.



L'Ouroboros d'argent est un roman qui se lit relativement vite; peu épais, la plume d'Ophélie est plutôt prenante et, même si l'intrigue est assez simple, nous sommes facilement embarqués entre Cantal et Corrèze ! C'est d'ailleurs l'un des aspects sympa : les lieux évoqués me sont tous plus ou moins familiers.



Cette lecture m'a permis de me rappeler comme j'aime les histoire de garous ! Nous sommes ici dans une histoire de rivalité entre deux membres de différentes meutes, à laquelle se mêle de la sorcellerie. Le "gène" garou ne se transmet pas par morsure mais de naissance. Un garou peut être né de parents garous, de parent humains (il se révèle à l'adolescence) ou de parents loups. J'ai trouvé cette particularité plutôt originale, d'autant plus qu'il en résulte une hiérarchie plus ou moins consciente, et un certain dédain des garous "pure souche" pour les garous "nés d'humains".



Les personnages sont assez intéressants, en particulier Axel et Célia, chacun dans un extrême : lui serviable, très gentil, jamais un mot plus haut que l'autre, presque à subir les choses… sauf si l'on s'en prend à ceux qu'il aime; elle, autoritaire, à la limite de la méchanceté, prête à tout pour arriver à ses fins. Je vous avoue avoir eu envie de lui filer des tartes tant son acharnement semblait exagéré.



Le principe de croyance est plusieurs fois évoqué : croire au monde surnaturel à travers les garous, mais croire également à l'invisible, au petit peuple notamment. Ou comment un être par définition "imaginaire" ne croit pas lui-même à ce qu'il ne voit pas. J'avoue avoir été un peu déçue par ce côté, les fées étant évoquées à plusieurs reprises mais de manière plutôt succincte, sans que nous comprenions réellement quel est leur rôle d'une manière plus générale.



Quand des actes passés resurgissent et impactent de plein fouet le présent; chassé-croisé de personnalités, d'intérêts et d'apprentissages. J'ai beaucoup aimé découvrir les particularités de la ville de Soleil, le principe d'innocence énoncé par l'auteure et suivre la course mortelle à la poursuite de l'Ouroboros.



Un roman à la fois original par la manière dont il revisite le mythe du loup-garou et sobre. Je suis curieuse de découvrir d'autres écrits de l'auteure.
Lien : https://sawisa.wixsite.com/y..
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Ana l'étoilée, tome 1 : L'ours et la colombe

Ce roman est court mais je n’ai pas eu l’impression de passer à côté de l’histoire. L’autrice a réussit à faire une histoire simple et efficace pour ce premier tome.



L’histoire tourne autour de la maison possédée de Federico. Ana fait tout pour que l’esprit présent parte. Il y a un épisode assez dur à lire. Je me demande toujours comment Ana a fait pour le surmonter. Cette dernière veut être libre, elle est également assez forte tête.



L’histoire se met rapidement en place son intrigue dès qu’Ana rencontre Federico pour la première fois. L’histoire est très rythmée, les pages se tournent assez vite. Le style de l’autrice y contribue également.



L’univers est plaisant, j’ai aimé découvrir les rites et les règles des Soeurs de Diane. Par contre j’aurai aimé en savoir plus sur ces dernières, j’espère que les prochains tomes apporteront des réponses.



En bref, un bon premier tome rythmé avec une héroïne indépendante dans un univers plaisant.
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Ana l'étoilée, tome 4 : Au-delà des lumières

Comme ses prédécesseurs, ce roman est court et plein d’énergie. Ophélie Bruneau nous offre une fantasy urbaine contemporaine dans laquelle il est facile de s’immerger. Les aventures d’Ana sont toujours très visuelles. On pourrait aisément en faire des films ou une série télévisée. Ce tome ne déroge pas à la règle, entre courses poursuites et lutte acharnée pour survivre. Ana ne sait plus où donner de la tête ni qui est son véritable ennemi (ou en tout cas le plus dangereux).

J’aime toujours autant les changements de décor dont nous gratifie l’autrice. Cela change de ce qui se fait d’habitude dans la fantasy urbaine. Un petit tour d’Europe ne fait pas de mal et cette escale parisienne nous fait faire un petit détour par les catacombes que j’ai apprécié.



La suite sur mon blog...
Lien : http://livropathe.blogspot.c..
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Freaks' squeele, tome 1 : L'étoile du soir

Une très bonne lecture hautement déjanté. Ce roman et la suite de la bande dessiné portant le même nom Je vous déconseille donc de le lire ce dernier sans avoir lu la BD... vous serez perdu.



Dans ce roman, nous allons donc suivre Chance et ses amis, dans un bordel incroyable, créer par la disparition de la grande faucheuse. Ou est le problème? Ben... les mort ne meurs pas.... tu te prends une balle dans la tête? Pas grave, tu continus ta vie normalement, en humain lambda. Seulement, tu as des bouts de cervelle qui ce font la malle tranquillou.



Bref vous l'aurez compris, ce roman n'a rien d'un univers serieux. Car en plus de mort qui ne meurt pas, vous découvrirez un grand secret sur les bisounours, découvrirez un monde WTF, et en apprendrez énormément sur Chance et ses amis. Ce tome 1 ce suffit à lui même (heureusement car la suite... ben je pense qu'on peut s'asseoir dessus T_T), même si la fin laisse une petite ouverture pour une suite (normal vous me direz xD)



Bref (j'aime les bref), un bon premier volume, idéal pour passer un bon moment de détente.
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L'Ouroboros d'Argent

Une histoire de loups-garous sur fond de courses-poursuites. On ne s'ennuie pas une minute durant la lecture, j'ai beaucoup apprécié les personnages de Julie, Dérénik, et Capucine. D'ailleurs, au sujet de celle-ci, je reste assez frustrée, j'aurais aimé en savoir plus sur elle... Après tout, on ne sait pas pourquoi c'est la seule à être capable de voir d'autres créatures magiques ! L'histoire des reliques aurait mérité un chouia plus de développement également.
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Et pour quelques Gigahertz de plus...

Et pour ... est un space opéra très classique. Bonne trame mais l'ensemble des personnage sont stéréotypés - le séducteur, le second super efficace, le capitaine craint, le docteur alcoolique. Les extra-terrestres recoivent le même traitement.

Le 4eme de couverture fait référence à Galaxy Quest et nous sommes ds le vrai : légèreté, humour, actions, simplicité des rebondissements.

Ne vous détrompez pas, j'ai passé un bon moment. Il faut juste savoir que l'on va lire un livre très facile d'accès.

Note : Le prix neuf était de 20€ pour un livre de poche non traduit car écrit en français. Dur, dur ...

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L'Enceinte 9

Bien que cela ne révolutionne pas le genre, « L’Enceinte 9 » est une dystopie distrayante ! Elle met en scène un univers ravagé par la maladie, si bien que les survivants se sont cantonnés dans divers districts depuis des décennies. Malheureusement, l’humanité commence à s’essouffler et ne semble pas disposer des moyens nécessaires pour assurer une longue et paisible vie à chacun. Il a été intéressant de voir comment l’Enceinte 9 fonctionnait, notamment au niveau du contrôle des naissances. Ces dernières sont limitées et, lorsque l’on ne dispose pas de « bon de naissance », le futur de l’enfant non-autorisé fait parfois froid dans le dos ! Le quotidien est régi par un règlement strict que l’on va apprendre à découvrir petit à petit aux côtés d’Ysa, une adolescente qui a été retrouvée lorsqu’elle n’était qu’un bébé abandonné. Comme beaucoup d’enfants interdits, Ysa va devoir œuvrer pour le bien commun : on va lui imposer un travail et un logement. Pour elle, cela va consister à intégrer la police où elle va souvent aller sur le terrain. Ces sorties pour chasser les malfrats apportent un certain rythme au début du récit, ce qui m’a plu. Vers la moitié du récit, cet emploi va être remplacé par des sorties sous la surface, puisque la jeune femme va partir à l’aventure avec des squatteurs rebelles… Le concept d’expédition était intéressant, car il a soulevé de nouvelles interrogations. Aux côtés des protagonistes, on va ressentir la soif d’en savoir plus sur cette Terre où le virus sévit peut-être toujours… Ainsi, j’ai été assez happée par l’intrigue, même si je reconnais que certains passages ont parfois été un peu longs et que cela manquait parfois de grands rebondissements. La brièveté des chapitres et les changements de narration ont aidé à apporter du dynamisme au texte.



Dans la plupart des romans post-apocalyptiques, le destin d’un peuple repose sur un seul personnage qui est le héros. Ici, on va rapidement réaliser que c’est vraiment un noyau de protagonistes qui va changer les choses. Or, ces individus ne sont pas uniquement humains ! En effet, Ysa va se faire greffer un implant oculaire dans le cadre de son travail au sein des forces de l’ordre. À l’inverse des autres implants, celui-ci va être doté d’une personnalité propre ainsi que d’une conscience. Cet Intelligence Artificielle (IA) va être un grand soutien pour Ysa, qui va créer une relation intéressante avec elle. J’ai été séduite par leurs échanges qui ne manquent pas d’humour ! Cependant, je reconnais avoir été un peu frustrée : je m’attendais à en savoir plus sur l’origine de cette IA. Hélas, cette technologie n’est pas l’intrigue centrale du récit. De ce fait, certains éléments sont restés volontairement flous ou sous-exploités… voire illogiques ! Par exemple, j’ai été étonnée de voir qu’il existait de tels implants, mais que la société n’avait pas conçu des technologies pour mieux communiquer avec les autres Enceintes ou pour sonder le monde extérieur afin de savoir s’il était toujours dangereux…



Ysa est une adolescente qui sort de l’ordinaire, puisqu’elle n’est pas belle ou badass comme la plupart des héroïnes de romans. Son côté naturel, crédible, doux et optimiste font d’elle une personne que l’on prend plaisir à suivre. Les personnages secondaires m’ont paru être intéressants malheureusement, je ne me suis pas attachée à eux. Il n’y a que l’héroïne, son amie Lidari et l’IA « Zéro » qui ont réussi à me toucher. Les autres m’ont semblé pas assez développés pour que je m’y attache réellement. En tout cas, je félicite l’auteure qui n’a pas cédé à la facilité, puisque ces protagonistes vont se heurter à de nombreuses difficultés, à des blessures et à la mort. J’ai également apprécié que l’on ne distingue pas de romance pour l’héroïne, ni de triangle amoureux. Certes, l’histoire d’amour présente est très rapide néanmoins, j’ai aimé qu’elle ne concerne pas Ysa et soit utile au scénario.



« L’Enceinte 9 » fut donc une lecture agréable, mais qui comporte quelques faiblesses m’empêchant d’apprécier pleinement ce one-shot. Il n’empêche que cela reste une dystopie relativement efficace, classique, mais avec de bonnes idées !
Lien : https://lespagesquitournent...
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L'Enceinte 9

Ce roman m'a tout de suite attirée. Déjà, parce que j'aime les dystopies et, ensuite, car la couverture est on ne peut plus canon.

Cependant, je ne sais pas vraiment quoi en penser.

J'ai aimé cette lecture, car l'univers créé par l'auteure est très intéressant, on sent qu'elle l'a travaillé, qu'il y a beaucoup de réflexion quant à l'élaboration de celui-ci.

Ysa est un personnage atypique, son caractère fait d'elle une héroïne peu commune. Peut-être un peu trop parfois. Je n'ai pas vraiment réussi à m'attacher à elle. Par contre, j'ai beaucoup aimé Lidari et surtout Zéro. Ah oui, j'ai totalement craqué pour Zéro.

Certains passages étaient un peu longs, l'histoire manquait de rebondissements à certains moments, ou alors, ils étaient tellement prévisibles que ça en était décevant.

C'est dommage, car le monde créé par l'auteure est, je le répète, très travaillé.
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