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Critiques de Pasqual Ferry (8)
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Shang-Chi : Maître du kung fu

Bof !



Je me suis laissé tenter par ce titre publié à l’occasion de la sortie du film Shang-chi. Je connaissais le personnage par ailleurs.

Mais là je suis déçu. Le maître du kung-fu intervient en tant que guest star dans des séries attribuées à d’autres super-héros et n’est guère mis en avant. De plus j’ai eu du mal car je n’ai pas beaucoup de contexte dans ces années de publication.



Une association avec les X-men publiée en 1997. L’époque est au dessin baroque ultra coloré. Aucune force ni mouvement. La diversité de personnalité a complètement quitté les X-men qui sonnent creux. La présence de vilains surprenants dans cette série (Le Caïd surtout) ne rend pas le récit intéressant.

Une autre association avec les « héros à louer » genre Iron Fist (1998). Là aussi un dessin de piètre qualité.

Un récit pas trop mal avec Spiderman, face à un individu que je ne connais ni d’Eve ni d’Adam : Mr Négative. Pas terrible comme nom. Un épisode de 2010 sorti d’un contexte plus large. Du coup on a l’impression de lire un extrait.

Un récit de Secret Avengers de 2011. Je ne connais même pas cette équipe. Le contexte multidimensionnel évoqué est intéressant. Au moins ça bastonne.

Le dernier récit est extrait des Avengers de Jonathan Hickman (2013). Je l’avais déjà lu. Niveau scénario on est un cran au-dessus, même s’il ne donne qu’une pâle idée de ce que cet auteur fera de cette équipe de héros ensuite. Au moins Shang chi a un vrai rôle.



Bref, j’aurais dû m’abstenir. Je suis bête parfois.

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The Mighty Thor Deluxe, tome 1

Ce tome comprend le épisodes 1 à 12 de la série écrite par Matt Fraction initialement parus sous la formes de 2 tomes en VO.



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- Tome 1 : épisodes 1 à 6 de la série débutée en avril 2011. Il fait suite à The World Eaters (épisodes 615 à 621 et 620.1). Il ne s'agit pas d'un redémarrage, mais de la suite des aventures de Thor ramené par JM Strackzynski en 2007 et Olivier Coipel.



Une page d'introduction explique la situation d'Asgard, royaume flottant au dessus de la cité de Broxton dans l'Oklahoma, et l'état inhabituel d'Yggdrasil, l'Arbre Monde. En particulier l'Yggadrasil émet un geyser continu de lumières à partir de Broxton et le Silver Surfer est attiré par ce signal d'une source d'énergie inépuisable qui pourrait nourrir Galactus jusqu' à la nuit des temps. Odin a envoyé Thor et Sif aux racines de l'Yggdrasil pour récupérer un objet de pouvoir magique, appelé "Heart of Everything". La mission s'avère difficile et périlleuse. Loki se lance à son tour dans le flux de lumière pour aller aider son frère. Galactus approche de la Terre et d'Asgard. Sur terre, Mike, le pasteur de Broxton, voit sa foi soumise à rude épreuve. Il y a des dieux sur terre qui ne sont guère compatibles avec le Dieu de sa foi, et il y a des miracles dans sa ville comme ce geyser de lumières.



C'est le grand retour d'Olivier Coipel sur Thor, celui qui a défini sa nouvelle apparence en 2007. Matt Fraction lui a concocté un récit grandiloquent qui lui permet d'exprimer toute la majesté visuelle de Thor et d'Asgard. Dès les 2 premières pages, le parti graphique est apparent. (1) Coipel adopte une mise en page reposant essentiellement sur des cases de la largeur de la page, empilée les unes sur les autres. (2) La mise en couleurs va compléter les dessins jusqu'à faire office de décors. Par exemple le geyser de lumières est rendu uniquement par les couleurs qui lui donnent jusqu'à sa forme. Heureusement, ces 6 épisodes bénéficient de Laura Martin pour ce travail (c'est elle qui avait mis en couleurs les épisodes d'Astonishing X-Men de Whedon et Cassaday). La deuxième page est une pleine page montrant le Silver Surfer de dos contemplant un monde en ruine. Là encore, l'image doit beaucoup (un bon tiers) à la mise en couleurs qui transforme quelques vagues formes de bâtiments calcinés en un incendie ravageur et apocalyptique. Grâce à Laura Martin, les couleurs font plus que cacher la misère des illustrations se concentrant surtout sur les personnages, pour vraiment créer des formes et une ambiance complémentaires. Ce dispositif fonctionne de manière très efficace lors de la plongée vers les racines d'Yggdrasil où chaque case vibre de cette énergie magique.



Et puis Olivier Coipel ne sacrifie pas non plus tous les décors. Il y a quelques vues de Broxton et d'Asgard qui valent le déplacement, ainsi que la chambre de Thor qui n'est pas mal, même si l'oeil du lecteur est plus attiré par Sif. Mais il faut bien reconnaître que le point fort de Coipel ce sont les personnages et les tenues vestimentaires. Dès la deuxième page, Coipel impressionne avec sa vision du Silver Surfer qui respecte parfaitement les caractéristiques visuelles du personnage, tout en en donnant une interprétation personnelle. Quand on se rappelle que le Surfer est essentiellement un homme nu avec une planche de surf, ce n'est pas si facile que ça d'en trouver une interprétation originale. Thor est toujours aussi majestueux et puissant (quelle largeur d'épaules !), Sif dégage une puissance régalienne qui évoque la force brute des dessins de Jack Kirby (la première pleine page de l'épisode 2). Mais l'art de Coipel ne se limite pas à des postures qui en imposent ou des visages emplis de sérieux, il a aussi un sens des costumes flamboyants qui mettent en valeur chaque asgardien, même le volumineux Vlostagg. Seul le patch d'Odin semble peu réaliste. Son sens de la composition de chaque case offre des images saisissantes, en particulier Galactus en impose par sa seule présence. La nouvelle apparence de Loki est aussi savoureuse et craquante que lorsqu'il avait un corps de femme et une tête de Marylin Manson. Les combats en mettent plein la vue. Le mariage complémentaire des dessins et des couleurs offrent des scènes merveilleuses venues d'ailleurs. Mais ces illustrations souffrent d'un défaut de reprographie. Comme systématiquement dans ces recueils, la reliure effectuée très près du bord intérieur des pages empêche de profiter d'une partie des dessins sur des planches qui sont pour la moitié composée avec des cases s'étalant sur les 2 pages en vis-à-vis. Du coup ce défaut gâche vraiment la lecture et l'appréciation des illustrations. Il y a aussi l'apparition et la disparition inexplicable d'une barbe pour Thor au cours de l'épisode 6, en fonction des pages, qui diminue le sentiment d'immersion.



Afin de laisser le plus de place possible aux illustrations, Matt Fraction déroule un scénario assez décompressé, mais pas si convenu que ça. L'opposition entre Galactus et Asgard est massive et brutale. Fraction ose personnaliser un peu Galactus en le faisant parler et en lui donnant des motivations au-delà de sa faim inextinguible. Le lecteur est même amené à contempler une partie de sa vie avant de devenir Galactus. Odin est redevenu le père intraitable et le monarque tyrannique un peu difficile à supporter. Loki dispose de nouvelles caractéristiques qui le rendent à la fois humain et craquant (oui, ça vaut vraiment le déplacement). Fraction ose même s'aventurer sur le terrain risqué de la religion avec le pasteur Mike. Le lecteur constate qu'il y va sur la pointe de pieds avec cette situation paradoxale où un homme de Dieu contemple des dieux nordiques. Honnêtement, ce n'est pas l'aspect le plus réussi de l'histoire.



Matt Fraction et Olivier Coipel proposent une aventure de Thor qui sort assurément des sentiers battus, tant par la franche confrontation entre Galactus et son héraut d'un coté, et Odin et Asgard de l'autre, que par ses visuels qui prennent leur distance avec les comics de superhéros de base pour proposer des images saisissantes. Je n'attribuerais pas une cinquième étoile du fait de la reliure trop serrée qui empêche d'apprécier les illustrations et du scénario à qui il manque un peu de densité pour accéder au rang d'indispensable. Mais comparé aux histoires de superhéros de base, cette histoire impressionne par la force de sa vision.



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- Tome 2 : épisodes 7 à 12 de la série mensuelle, parus en 2011/2012. Il vaut mieux avoir lu Fear itself avant. Tous les scénarios sont de Matt Fraction.



Épisode 7 (illustrations de Pasqual Ferry) - Dans des temps mythologiques reculés, Bor vient de décéder. Cul lui succède sur le trône d'Asgard, prenant son frère Odin à ses cotés pour asseoir son autorité. Le premier défi : soumettre Sleipnir, le cheval à 8 pattes. Ce point de départ culminera dans la première guerre contre le Serpent (en passant par la perte de l'oeil d'Odin).



Épisode 8 à 12 (illustrations de Pasqual Ferry pour 9 & 11, Pepe Larraz pour 9 à 11, Guiseppe Camuncoli et Klaus Janson pour 12) - La reconstruction d'Asgard s'achève, la matriarchie décide de modifier le mode gouvernance, un étranger à la peau noir est arrivé à Broxton, Tanarus est respecté (et peut être craint) de tous, Loki cherche pourquoi lui seul se souvient de Thor.



En tant que grand architecte du crossover Marvel de 2011, Matt Fraction pouvait difficilement échapper aux répercussions dans les séries dont il a la charge, à savoir "Iron Man" et Thor. Fear Itself - Invincible Iron Man est magistral dans sa façon de fouler au pied toutes les valeurs morales et certitudes intellectuelles du personnage. Pour Thor, le défi était plus difficile dans la mesure où il est déjà un personnage principal du crossover. Plutôt que de risquer la répétition, Fraction décide donc de profiter du décalage de parution entre "Fear itself" et les épisodes de Thor pour gérer les conséquences du crossover. L'épisode 7 permet donc de découvrir les liens entre Cul et Odin, ainsi que les circonstances de leur premier affrontement. Fraction plonge à pieds joints dans la mythologie scandinave pour un récit amusant qui retient surtout l'attention pour la perte de l’œil d'Odin. Pasqual Ferry continue de dessiner des personnages impressionnants et des décors pas toujours convaincants.



Entre les les épisodes 7 & 8, se glisse dans l'ordre de lecture l'épisode 7.1 qu'il auarait été bon d'inclure car il sert à évacuer Odin, passage plausible et acceptable, et à installer logiquement un nouveau mode de gouvernement sur Asgard. Fraction ramène des personnages de manière naturelle et s'amuse un peu avec les changements qui en découlent, sans en abuser. Il joue sur le plan de la narration avec le concept de panthéon issu du polythéisme et sur le fait que la nature a horreur du vide. Évidemment le dieu de la malignité et de la triche ne peut se laisser abuser par un subterfuge aussi énorme. Ce passage vient légitimer après coup le retour de Loki à 2 niveaux. D'une part Matt Fraction avait bien l'intention dès le départ de lui donner une place à Asgard et un rôle défini, d'autre part la nécessité immanente d'un dieu du tonnerre justifie également la nécessité de l'existence continue d'un dieu de la malice.



À partir de cette conception claire et logique du fonctionnement du panthéon nordique dans l'univers Marvel, Matt Fraction se lance dans le récit attendu du retour de Thor, du démasquage des imposteurs, le tout se terminant par une grosse baston pendant un épisode. Ce récit réserve plusieurs surprises et détours qui maintiennent l'attention du lecteur tout au long et qui fournissent un niveau de divertissement satisfaisant, mais pas plus. Alors que Fraction avait commencé son récit en mettant en perspective la mythologie, en soulignant ses aspects immuables, en faisant apparaître les possibilités de changement et d'évolution, il ne raconte que le retour du héros dont la place a été usurpée par traîtrise. Le deuxième niveau de lecture (l'exégèse de la mythologie nordique) est perdu en route.



Les illustrations d'Adam Kubert pour l'épisode 7.1 sont claires et facilement lisibles. Mais Kubert adopte une mise en scène relativement sage qui n'est pas à la hauteur de l'événement, les préparatifs pour le bûcher étant finalement très prosaïques. Il n'y a que la double page consacrée à la crémation proprement dite qui apporte un sentiment mythologique, essentiellement grâce à la sobriété des dessins et à la mise en couleurs de Laura Martin. Il est étonnant de constater que Kubert n'arrive à se décider sur la forme exacte du costume d'Idunn (avec des variations d'une page à l'autre.



Les illustrations de Pasqual Ferry conservent ce coté diaphane qui convient bien à l'irréalité des dieux et à la majesté de l'espace. Il semble moins pressé que pour The World Eaters. Peut être que cette amélioration est également imputable à l'apport de Pepe Larraz dont le style se raccorde parfaitement avec celui de Ferry. Le lecteur reconnaît donc facilement chaque personnage, tous dotés d'une tenue spécifique. Les dieux conservent leur majesté, et l'apparence des autres créatures des 9 mondes (à commencer par les trolls) est originale, éloignée des clichés habituels des récits à base d'elfes et de nains. Ferry a conçu une apparence très originale pour la nouvelle Asgard. Assez régulièrement les cases sont dépourvues de décors, mais la mise en couleurs est assurée par un orfèvre Frank d'Armata qui fait plus que pallier cette absence avec un travail incroyable. La mise en page et les esquisses de Camuncoli sont sans éclat et très descriptive pour le dernier épisode. Klaus Janson tartine son encrage sec et nerveux comme à son habitude pour un résultat peu plaisant à l'oeil qui raconte l'histoire, sans plus.



Pour la deuxième fois consécutive, le lecteur a le sentiment qu'il manque peu de choses pour que Matt Fraction puisse transformer un bon récit de Thor en une épopée mythique démontant ses propres codes. Le premier épisode permet de rêver qu'il se joue des obligations du crossover tout en en tirant les bénéfices ; la suite de l'histoire se révèle intéressante et divertissante mais le deuxième niveau de lecture s'est en allé. Les illustrations de Pasqual Ferry sont agréables et très bien mises en valeur par la mise en couleurs de Frank d'Armata.
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La stratégie Ender, tome 1 : Ecole de guerre

Andrew « Ender » Wiggin n’est pas un garçon comme les autres. Dans ce futur lointain qui ne permet que deux enfants par famille, il est le troisième, l’exception autorisée pour le salut de l’humanité. Son frère Peter est trop cruel et sa sœur Valentine trop douce, mais lui sera parfait. À seulement six ans, il est d’ailleurs approché par l’armée pour rejoindre l’École de Guerre, créée dans le but d’éradiquer la menace doryphore, une espèce extra-terrestre hostile qui risque d'exterminer le genre humain.



À quelques semaines de la sortie du film homonyme avec Harrison Ford et Ben Kingsley, Panini comics publie l’adaptation du célèbre roman de science-fiction de Orson Scott Card par Christopher Yost et Pasqual Ferry. Reprenant les épisodes #1 à #6 de la série US Ender’s Game Battle School, ce premier volet relate l’histoire d’un enfant destiné à devenir l’Élu, le commandant suprême de la flotte qui vaincra l’ennemi. Loin des Doryphores et d’une éventuelle bataille finale, ce tome s’attarde sur la formation d’Ender. Pas d’aliens au programme donc, mais la lente transformation en maître tacticien d'un jeune homme plongé dans un environnement qui ne lui réserve que peu de cadeaux.



Si le pitch est des plus classiques, l’utilisation de jeux vidéo comme simulateur de guerre pour stimuler les apprentis soldats durant leur entraînement virtuel est assez intéressante et parfaitement exploitée. Cependant la véritable force de cet ouvrage est l’évolution psychologique de ce gamin manipulé par ses professeurs et maltraité par des camarades d’école obligés de se comporter en adultes, sans en avoir l’âge.



« - On se tue à la tâche, on devient dingue en essayant d’être le meilleur… et pendant ce temps, ces vieux connards nous regardent, nous étudient, décident si on est assez bons.

- J’avais six ans en arrivant ici. Qu’est ce que je savais ?

- Alors pourquoi tu ne repars pas ?

- Parce que je ne peux pas abandonner le jeu. Je l’aime trop. »



Visuellement, le graphisme de Pasqual Ferry restitue parfaitement l’ambiance jeu vidéo du scénario, tout en mettant en scène des protagonistes dont l’aspect très jeune contraste brillamment avec leur comportement.



La stratégie Ender est une épopée galactique qui ravira surtout les fans de science-fiction et de jeux vidéo. Les autres apprécieront néanmoins le développement psychologique du héros de cette saga.

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La stratégie Ender, tome 1 : Ecole de guerre

Incroyable. Renversant. Puissant.

Je manque de mots pour exprimer à quel point j'ai adoré ce livre. Je suis resté captivé du début à la fin, même si j'avais englouti tellement d'informations que ma tête me faisait mal, je ne regrettais rien.



Examinons-le en détail : Bien que l'histoire se déroule dans un monde futuriste à une date indéterminée, on parvient facilement à comprendre ce qui s'y passe et les différences entre notre réalité et ce futur hypothétique.



Nous suivons Ender, qui a seulement 7 ans ! Cependant, comme l'annonçait le résumé, il est bien loin d'être un enfant ordinaire. Déjà mature et stratège, il conserve cette candeur propre aux enfants. J'ai adoré accompagner Ender au fil des années, son entraînement l'a transformé de manière à briser mon cœur, mais également à m'enorgueillir. Le voir s'épanouir et suivre les méandres de ses pensées est tout simplement incroyable et puissant. Nous sommes témoins de la façon dont ce monde, plongé dans la guerre et formant des enfants à tuer (non seulement en tant que soldats, mais également à des postes clés), est observé avec une perspective incroyable. Même si je suis contre l'implication d'enfants dans la guerre, ce que nous voyons, ce que nous lisons, est aussi choquant qu'impressionnant.



En compagnie d'Ender et de cette organisation, je me suis senti minuscule. Face à ses peurs, j'ai ressenti de l'anxiété, et face à ses frustrations, j'ai ressenti de la colère. C'est un texte vraiment puissant qui secoue les profondeurs de l'être.



Ce texte dépeint un enfant qui devient un adulte de l'intérieur sans jamais avoir eu la chance d'être véritablement enfant. Le poids de l'humanité lui est imposé, et on le pousse, de manière de plus en plus insidieuse, à soit succomber, soit grandir. Car dans cet univers, ce sont les seules options offertes à Ender, même si cela n'est pas formulé de cette manière, c'est indubitablement la façon dont on le ressent.



Quant au style et au vocabulaire, c'est un savant mélange qui permet au lecteur de parcourir un texte de grande qualité contenant des termes liés aux combats et à la politique sans pour autant se sentir submergé. C'est le plus grand atout à mes yeux. J'ai souvent lu des livres dans lesquels les auteurs tentaient d'exprimer une complexité qui les dépassait, ce qui me laissait parfois perplexe quant à la signification de ce que je lisais. Ici, chaque mot vous atteint avec une précision remarquable.



Je recommande vivement ce livre et j'espère qu'il vous plaira autant qu'à moi.
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Shang-Chi : Maître du kung fu

Alors là, c'est fort, j'ai plutôt eu l'impression de lire différentes histoires des X-Men, qui en plus, parfois, n'avaient pas de fin. Peu de chose à se mettre sous la dent finalement. Il faut croire que ce personnage n'apparaît vraiment pas souvent. Heureusement, Brian M.Bendis en a fait un avenger. Je vous conseille plutôt ce cycle, quitte à investir un peu plus dans l'omnibus parut récemment.
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La stratégie Ender, tome 1 : Ecole de guerre

J'ai été emporté par l'histoire (après avoir passé les 2/3 premiers chapitres)! Moi qui ne suis normalement pas une fan de science fiction, j'ai adoré suivre les aventure du héro, un enfant, devenant peu à peu un talentueux stratège. J'ai surtout apprécié son évolution et sa transformation au fur et à mesure du récit.
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La stratégie Ender, tome 2 : Ecole de command..

Une belle mise en valeur d’une saga magistrale !
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..
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La stratégie Ender, tome 1 : Ecole de guerre

Une adaptation courageuse qui va à l’essentiel et qui mérite le respect malgré l’amputation de nombreux points importants.
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..
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