Voici le vent cornant novembre
Sur la bruyère infiniment
Voici le vent qui se déchire et se démembre
En souffles lourds
Battant les bourgs
Voici le vent
Le vent sauvage de novembre
(Le vent, Émile Verhaeren)
On n'est pas ici pour souffrir. Et si c'est Dieu qui dit ça à cause de son catéchisme, non et non. Pour qui y se prend ce Dieu qui se promène dans son ciel avec ses bons à rien d'anges et qui s'en fout de nos soldats dans les tranchées de la mort.
Si Irène s'est enamourée du portrait de Master Hare, c'est parce que le bambin de deux ans ressemble à la petite Irène qu’elle a découverte, un jour, dans un album de photographies.(...) Master Hare, c'est la jeune Irène aux cheveux dorés et à l’œil clair, la jeune Irène encore heureuse qui, découvrant qu’elle va peut-être vouloir autre chose qu'un bonheur tranquille, tend une main vers l'inconnu.
Si j’etait pas la vous seriez vous ?