Citations de Rachel Lynn Solomon (16)
The thing about losing someone is that it doesn’t happen just once. It happens every time you do something great you wish they could see, every time you’re stuck and you need advice. Every time you fail. It erodes your sense of normal, and what grows back is decidedly not normal, and yet you still have to figure out how to trudge forward.
Dans mes rêves : mon parfait petit ami de lycée est l’incarnation de la romance.
Dans la réalité : Neil McNair est là depuis le début.
But maybe that’s what we all are—halfway-broken people searching for things that will smooth our jagged edges.
Chaque minute passée en compagnie de l’autre, tu as l’impression d’avoir la tête qui tourne, le souffle court, et tu sens que cette personne a un impact positif dans ta vie. Qu’en te mettant au défi, elle te pousse à t’améliorer.
- Tu comptes… l’essuyer, ou tu attends que ça fasse une croûte ? s’enquiert-il.
Ding, ding, ding ! Nous avons un gagnant pour le mot le plus adapté pour flinguer le romantisme. Félicitations pour « croûte » !
Classical [music] has never been my favorite, maybe because the lack of words forces me to stay in my own mind instead of listening to what’s inside someone else’s.
So often. I’m trapped between the pain of remembering and the fear of forgetting.
What would a mediocre white man do?
'Make people cry, and then make them laugh,' my dad would say. 'But most of all, make sure you’re telling a good story.'
Thousands of people across the city are turning their dials and apps and web browsers to 88.3 FM, and some of them will be so inspired, amused, or even furious that they’ll call us to share a story or ask a question. That interactive element […] is why radio is the best form of journalism. It makes the world a little bit smaller. You can be listening to a show with hundreds of thousands of fans across the country, but it still feels like the host is talking directly to you. Almost, in some cases, like the two of you are friends.
Je ne pensais pas que l'amour dont j'avais si soif ressemblerait à ça. Ça me monte à la tête et ça m'ancre à la fois. Ça me donne envie de rire sans raison particulière. Ça scintille, ça crépite, mais ça peut aussi être confortable. Un sourire endormi, une caresse, un souffle discret et régulier. Et bien sûr, ce garçon (mon rival, mon réveil, mon allié inattendu) en est le coeur.
Quelque part, c'est encore meilleur que ce que j'avais imaginé.
- Tu te rend compte à quel point c'est nul et dépassé . Les jeunes filles modèles sont censées ne pas avoir de vie sexuelle, sauf qu'elles sont considérées comme coincées. Par contre, si elles couchent, ce sont des salopes. Et encore, je ne parle même pas d'identité de genre ou d'orientation sexuelle. Les choses commencent à changer, très lentement, mais ça reste complètement différent pour les garçons.
- Les boys band,s les fan fictions, les soap operas, les téléréalité, la plupart des films et des séries ayant pour personnages principaux des femmes... On continue à nous mettre trop rarement en avant, et c'est encore pire si on considère la couleur de peau et l'orientation sexuelle. Et lorsque enfin on crée quelque chose rien que pour nous, on nous fait culpabiliser d'aimer ça.
- C'est peut-être le concept du plaisir coupable, suggère Neil avec douceur. Pourquoi devrions-nous nous sentir coupable d'aimer quelque chose qui nous fait... plaisir ?
- On n'est jamais trop vieux pour lire des livres, quels qu'ils soient, j'objecte. On ne choisit pas d'aimer ce qu'on aime.
Ce qui me pose problème, c'est que ma passion est (au mieux) un plaisir coupable chez les autres. À la moindre occasion, la plupart des gens n'hésitent pas à dénigrer ce genre littéraire qui pourtant se concentre sur les femmes d'une manière inégalée. La romance est un sujet qui prête à rire malgré les millions de dollars que cette industrie rapporte.