Raul Nieto Guridi

Encore un livre pour faire aimer les livres !!! En général, ces ouvrages ne manquent pas d’humour, c’est une des raisons pour lesquelles je les aime particulièrement !



Dans cet album, Albert se présente : le plus grand détestateur de livres qui a eu la malchance de naître dans une famille où on lit tout le temps !

Il attrape tous les livres qu’on lui a offerts et court les cacher dans la cabane au fond du jardin. Mais un jour, il découvre un lapin en train de lire ! Comment ???? Il lui fait comprendre que c’est SON livre ! Puis il surprend le lapin à « éclater de rire » , à « verser une larme », » sursauter »… cela l’ interpelle ! Il ouvre un livre pour voir ce que ça fait et… il ne peut plus le refermer, le voilà transformé au point de faire changer le titre du livre.



Un grand et bel album au titre accrocheur, aux dessins épurés et parlants. Belle découverte !
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..

Comme le hasard fait bien les choses, parfois !

Dans ce troupeau de moutons, ils sont 71 - pile de quoi constituer 2 équipes de foot, avec un arbitre.

C'est parti pour la partie.

Las, le ballon se coince souvent dans les hautes branches de l'arbre proche. Il faut ruser pour le récupérer. Et pas de girafe à portée de patte pour faire une tête.

Mais l'union fait la force, les braves bébêtes à bouclettes trouvent toujours une solution pour reprendre le jeu.

Cela dit, attention ! 71 moutons qui bêlent et transpirent comme des footballeurs, ça se repère de loin. Il se pourrait que le loup approche...



Encore un album jeunesse totalement enthousiasmant sur des moutons pas bêtement moutons (cf. 'Dessine-moi un petit prince' de Michel Van Zeveren).

Eloge des vertus du groupe, de la solidarité, de la ruse. Et de la défense pacifique - à ce propos, la fin est parfaite !

Albert déteste les livres. Il ne comprend pas son entourage toujours en train de lire partout.

Chaque fois qu'on lui offre un bouquin, il va le stocker dans l'abri de jardin jusqu'au jour ou il y rentre et découvre une souris en train de lire un de ses albums.

Il commence à se poser des questions.

Tout doucement, il va apprivoiser la lecture.

C'est une histoire originale, amusante, l'écriture est ludique ; les illustrations sont proches des bandes dessinées, très agréables, aux couleurs douces.

Le thème abordé n'est pas si rare. L'enfant en fin de CP est parfois saturé d'exercices de lecture même si ses performances sont bonnes dans cette matière.

L'album a un défaut pour certains enfants, il est trop grand, trop encombrant.

Comment mettre une baleine dans une valise ? Vous n’avez pas la réponse ? Alors n’hésitez pas à ouvrir et découvrir le secret de tous les amoureux de baleine, pour emporter l’objet de leur amour dans une valise. L’affaire n’est pas simple, comment une si grande baleine peut entrer dans une petite valise ? Il faut l’emmener en voyage pourtant…



Pourtant, comment la faire entrer ? Elle doit venir, le voyage est comme tous les voyages, la valise est comme toutes les valises : peu ou prou remplies d’objets, d’instruments, de vêtements qui réchauffent les cœurs…



Le cœur, le cycle d’oxygénation du sang, celui qui nous maintient en vie. Le cœur d’une baleine pèse quelques dizaines de kilogrammes, il pourrait à lui seul fournir de l’énergie à toute une famille de voyageurs. Mais encore faudrait-il faire entrer la baleine dans la valise…



La valise est l’unique reliquat de nos souvenirs lors d’un voyage. On doit y mettre ce qui nous reste, ce qu’on emporte vers l’autre monde. Loin de notre terre natale. La baleine, la valise, le voyage, avec tous les autres voyageurs qui partent en quête de leur avenir. Un avenir lointain, où la baleine serait toujours présente.



Comment mettre une baleine dans une valise ? est un album jeunesse atypique, aux dessins précis et colorés. Il délivre finalement une réponse à sa propre question, une réponse qui aborde des thèmes contemporains !
Lien : https://thesaurex.fr/2021/06..

Voici Albert, premier "détestateur de livres" de l'histoire de la littérature de jeunesse.

Figurez-vous qu'Albert, ce garçon à la crinière bouclée et au tempérament fougeux  est devenu expert du lance pierres sur livres, bouquins, etc.... soigneusement rangés sur les rayons des bibliothèques.



Quand il a le malheur (oui, on en est à ce point) d'en recevoir en cadeau(X), les objets patiemment détestés sont dégagés manu militari dans la cabane au fond du jardin. La pile est lourde (c'est bien, ça fait travailler les libraires), mais la volonté d'Albert ne faiblit jamais, car sa haine de  l'objet - livre,  quel qu'il soit, est immense.



Il faut dire qu'il est très mal tombé ; sa mère,  son père,  sa soeur.... bref tous sauf lui  dans cette maison conjuguent allègrement le verbe LIRE à l'infini en feuilletant, parcourant, bouquinant, dévorant des pages et des pages chaque jour.

Du matin au soir, du soir au matin.

Ça lit vraiment partout.

Ça lit tout.

 

"Et ça perd son temps" pense Albert, car il y a beaucoup de choses plus intéressantes à faire quand on est un garçon tonitruant comme lui : console, télévision riment par exemple  avec dragon et frissons. Et avec garçon aussi.



De dégoût en rejet des livres, un jour, un petit lapin se glisse dans l'histoire. Gare à ceux qui sous estiment le pouvoir des petits lapins dans les livres de littérature enfantine !

Sous ses airs de ne pas y toucher, sans rien dire, il renversera les représentations d'Albert, le bousculera,  lui fera quitter ses retranchements réducteurs et puérils.



Cet album est  celui que j'attendais pour réveiller les consciences des élèves endormis, l'espoir des parents et des enseignants parfois démotivés.



Merci donc à Babelio et aux Éditions Frimousse ( que je ne connaissais pas et qui m'ont l'air plus que fréquentables ) pour cet envoi de Masse critique Jeunesse.



J'en rêvais, vous l'avez fait : un album au format confortable, au graphisme moderne, aéré, sobre et tonique. Un album à la langue bien adaptée aux enfants d'aujourd'hui, de 4 ans à ... 99 ans (si on aime les lapins et les livres).



Ingrid Chabbert, auteure jeunesse prolifique, tisse donc ici une narration impeccable, avec juste ce qu'il faut aux maîtres et aux maîtresses pour se dire qu'ils ont AUSSI travaillé un nouveau lexique et la syntaxe, car la structure des phrases est parfaite.  C'est une langue à la fois vive et bien fournie. C'est un livre moderne par le ton qu'il utilise.



Je me vois déjà en train de lire cet album malicieux et intelligent aux enfants, en faire l'article aux enseignants....

Je sens que cette lecture sera théâtrale, et forcément un vrai régal.


Lien : http://justelire.fr/moi-albe..

Peut-on vivre sans arbre, sans nature ?

C'est le cas du jeune narrateur qui n'a jamais vu que le gris de la ville qui enferme et étouffe.



Seul restent quelques brins d'herbe, inexorablement moins nombreux chaque jour...



Face à cette extinction programmée, le jeune garçon utilise son vélo afin de sillonner les espaces bétonnés et tenter de s'échapper. Il part à l'aventure avec son ami.



Un jour, ce dernier l'invite à partager une merveilleuse découverte : il a trouvé une pousse d'arbre entre les murs...



Un album grand format qui nous fait ressentir l'oppression des villes modernes et la crainte que toute zone verte soit définitivement effacée.



L'absence de visage des personnages permet à chaque lecteur de s'identifier aux petits héros. C'est aussi un moyen de tendre vers un conte intemporel.



L'idée que l'avenir repose dans le regard et la main clairvoyants des enfants apporte un souffle d'espoir à l'histoire. Il rappelle aussi aux plus grands que la solution est l'action.



Les illustrations semblent proposer peintures et tampons. Aux lignes droites de la ville froide, noire et impersonnelle répond les rondeurs pleines de vie et de possibles des deux petits bonhommes à casquette avec les roues de leurs vélos.



Au lendemain de la Cop 21 un bel album pour prolonger réflexion...et action !

Un livre positif qui donne envie d'aller planter des pousses entre les dalles des trottoirs.


Lien : http://www.nouveautes-jeunes..

Une histoire courte pour petits et grands.

Un enfant sur le départ, obligé de quitter et de faire un choix, quoi emporter dans cet incertain voyage?

Sa baleine le rassure face à cet inconnu, maintenant, il va falloir la faire rentrer dans une valise.

La poésie du faux semblant, le mirage de la migration en toile de fond, font de ce court récit un conte moderne en guise d illustration d'une situation politique, sociale et humaine, véritable miroir au alouettes.

Pragmatisme versus rêve.





Merci Babelio et les éditions Cot cot cot pour cette masse critique jeunesse.

Le titre vous le dit déjà, mais souffrez je que vous le redise : Albert, petit garçon, déteste les livres, au point que, ceux qu'on lui offre, ils les entrepose sans ménagement au fond de la cabane du jardin. On pourrait s'attendre à ce que toute sa famille soit comme lui, mais pas du tout, c'est complétement l'inverse. Dans la famille d'Albert, son père, sa mère et sa grande soeur lisent inlassablement. Au grand dam d'Albert, qui parfois s'endort dans ses petits pois à table tellement il est las des échanges plus ou moins littéraires entre la soeur et les parents. Un Jour, une fois de plus, on lui offre un livre ! Livre qu'il s'empresse de déposer dans la cabane du jardin. Mais c'est justement à cet endroit-là et à ce moment-là que tout commence et tout finit pour Albert...

Je tiens à remercier chaleureusement Babelio et les éditions Frimousse qui m'ont envoyé, grâce à une opération Masse Critique, cet album drôle, simple à lire et dont les illustrations sont uniques. Je regrette d'ailleurs de ne pas être experte en illustrations car je ne sais ni nommer ni décrire les techniques utilisées pour réaliser les dessins. En fait, tout est dans le trait, le mouvement, la répétition voire même dans le gribouillis et les à-plats de couleurs. Les choix plastiques et esthétiques font un très bel écho à l'histoire, à son humour et aux caractères des personnes. Bravo, c'est très réussi. Bravo. La conteuse que je suis, est heureuse d'avoir fait la connaissance d'Albert et de son univers.

Albert vit dans une famille où tout le monde aime lire... sauf lui. Il cache les livres qu'il reçoit en cadeaux dans la cabane de jardin sans les lire. Un jour, il trouve dans cette cabane un lapin qui lit ses livres. Intrigué, Albert finit par ouvrir un livre. Il est loin de s'imaginer ce qu'il va découvrir...

J'ai découvert ce titre dans une sélection de Masse Critique, aussi quand la bibliothèque de ma ville se l'est procuré, je l'ai emprunté rapidement. C'est un album jeunesse pour les primaires je dirais, pour les enfants par exemple qui n'aiment pas lire. Peut-être que cet album les poussera eux aussi à ouvrir un livre. Il se lit vite et facilement, est donc très abordable. Ses dessins aux larges traits, aux couleurs bien marquées captent l'attention du lecteur. Pas de détail superflu ici pour ne pas distraire le lecteur, juste l'essentiel pour permettre l'identification entre Albert et l'enfant. Le texte utilise souvent aussi de grosses lettres orange pour mettre en valeur Albert et son changement remarquable.

Je conseillerais plutôt cet album à des enseignant(e)s de primaire pour leur classe ou à de jeunes lecteurs en individuel, pourquoi pas.

mais qu'il est beau cet album !!

Je l'ai lu au calme dés sa sortie, et je l'ai lu encore, et même encore une fois. il y a pas d'autre mot que BEAU. Il est beau, dans toute la noblesse du mot. Et en tant que papa, je suis très touché. Ce soir, je le lirai à mes enfants et je sais que eux aussi vont l'adorer.

en plus de l'histoire, les dessins de cet illustrateur que je découvre sont magnifiques !!

Ahhh comme la littérature jeunesse n’est pas faite que pour les enfants et comme je me délecte égoïstement de recevoir ces magnifiques ouvrages dans le cadre de Masse Critique Jeunesse (Babelio, merci encore ! Et merci aux Editions Frimousse !) !

Cette couverture avait déjà attiré mon attention en librairie, elle est simple et graphique mais efficace… Dès le premier regard sur cette tête noire affublée d’une paire d’yeux, on sait que ce petit personnage (animal ?) est l’Edmond du titre…

Mais qui est-il ?

Au fil des belles pages colorées contenant de fines et graphiques illustrations on apprend doucement qui est Edmond - en une présentation aussi timide que lui - jusqu’à sa rencontre avec un œuf abandonné qui va bouleverser sa solitude...

Le format de l’ouvrage est tout en hauteur, comme pour pouvoir rester caché dans la bibliothèque à l’image de son héros qui maîtrise « l’art de la cachette ». Les couleurs sont belles, l’histoire est touchante, elle aborde des thèmes importants qui rendent ce petit personnage si émouvant…

Lors de ma toute première lecture je me suis dit que c’était trop triste pour être destiné à des enfants, mais finalement je réalise que cet album est une façon d’aborder de nombreux sujets dont l’histoire ne serait qu’une introduction... A lire et relire donc !

Cinq mouches découvrent au hasard de leur pérégrination une trompette. Elles vont s’interroger tour à tour sur sa fonctionnalité. A quoi peut bien servir cet étrange objet ?



Elles vont faire preuve d’une grande inventivité dans leur démarche expérimentale…



Un album pour les plus jeunes avec des illustrations sous un fond blanc qui met en valeur les petites héroïnes.



Une page est consacrée à la proposition et la suivante à sa réfutation. On avance ainsi par un système d’essai erreur vers une tentative de résolution.



Mais l’espiègle auteur préfère relancer notre imagination pour conclure…



Un livre où les illustrations sont vraiment craquantes car elles sont à la fois mignonnes et bien expressives.



L’histoire nous suggère de redécouvrir les objets de notre quotidien afin d’inventer de nouveaux usages. Elle explore ainsi la relation entre le vivant et les objets.



Un album à partager avec l’enfant !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..

Le sport collectif, un vrai plaisir fédérateur.

En jeu collectif, les moutons s'y entendent, un pour tous tous pour un. Au foot, chacun a son poste mais pour des moutons, même avec des numéros de toison, c'est pas très clair. C'est même pire. Un numéro parmi tant d'autres dans la masse frisé ( sauf pour l'arbitre qui ne joue pas et qui est le mouton noir).

La partie pourrait s'engager avant la fin de la journée si la balle ( une pelote de laine, ce sont les moyens du bord) ne s'était pas logé en coup-franc dans un arbre, enrayant aussitôt l'envie collective.

Ne désespérons pas, ensemble tout est possible. Tous ensemble, tous ensemble, comme un seul homme pour trouver le moyen de faire tomber la pomme de laine bien mûre.

En cuisson, les moutons bien cuits du ciboulot si entendent, nul besoin de se mettre au Kebab de mouton. Pour notre plaisir, ça ne tourne pas rond.

Comment le numéro 7 s'est-il retrouvé dans l'arbre?

Une histoire pleine d'humour avec ses comiques de situations naïfs et à l'esthétique agréable, en traits d'esquisse sur fond gris

Le visage renfrogné, les sourcils froncés, les cheveux en bataille et le regard assuré, Albert le clame haut et fort, il déteste les livres : « Je ne peux pas les voir en peinture. Je ne peux pas les sentir. Je ne peux pas les encadrer. » Pourtant chez lui, tout le monde lit ; sa mère a toujours un livre à portée de main, son père en lit plusieurs à la fois, sa sœur parle de ses personnages préférés à table.



Les bouquins, il en a plus qu’assez, Albert. Alors quand on lui en offre un (comme si les gens autour n’avaient pas encore compris sa détestation!!!), il court au fond du jardin et le lance avec dédain dans la cabane abritant le bois de chauffage. Non mais, il a des choses beaucoup plus intéressantes à faire dans la vie…! Comme regarder la télévision ou jouer à la console par exemple.



Et un jour, c’est la stupéfaction : il aperçoit, dans la cabane, un lapin littéralement plongé dans la lecture d’un de ses livres. Il entre dans une colère noire. Non mais, cette remise n’est pas une bibliothèque ! Puis, à force de regarder ce lapin se tordre de rire ou bien verser une larme en tournant les pages, Albert devient curieux. Les livres semblent avoir un pouvoir si GRAND…



Albert n’ avait qu’un tout petit geste à accomplir, celui d’oser ouvrir un livre. Ce qu’il fit, enfin. Et ce qu’il découvrit l’émerveilla.
Lien : https://lesmotsdelafin.wordp..

Un très bel album qui est complètement achevé au niveau graphique. Les pleines pages en jete pleins les lieux avec ses jeux de couleurs, de chasse croisé et de répétition. L'histoire est d'autant plus forte que la chute est un réel rebondissement qui fini de toucher le lecteur. Ce beau livre objet est dans la catégorie : à faire connaître de toute urgence et à mettre entre toutes les mains !

très bon livre jeunesse, la couverture est superbe et d'ailleurs toute les illustrations sont très joli. l'histoire est très belle et en plus elle plait beaucoup aux enfants donc n'hésité pas a le lire ou le faire lire a nos jeunes lecteurs. en plus cette histoire nous rappelle tous quelqu'un qui comme moi par exemple a eu envie de lire en voyant les gens dans la rue lire et prendre du plaisir a lire, donc bonne lecture .

Avec son titre tapageur, son grand format et ses pages épaisses, Moi, Albert détestateur de livres attire immédiatement le regard que ce soit celui des enfants ou des adultes. Albert a un problème dans la vie : il est entouré de livraddict. De véritables mordus qui lisent partout et tout le temps ! Un véritable enfer pour lui qui a une sainte horreur des livres…D’ailleurs, chaque livre qu’on lui offre finit invariablement dans la cabane du jardin. Bien fait pour eux, ils n’avaient pas qu’à le narguer, lui qui préfère largement jouer aux jeux vidéos et regarder la télévision.



Je ne doute pas que ce portrait parle à certains lecteurs… Un peu caricatural certes, mais n’oublions pas que nous sommes dans un album jeunesse et qu’il est nécessaire d’avoir des archétypes forts pour faciliter le processus d’identification des jeunes lecteurs. Et puis tout n’est pas perdu pour Albert qui va faire une étrange rencontre qui pourrait bien le pousser à rejoindre les rangs de sa famille grande lectrice. De détestateur à dévoreur de livres, il n’y a finalement qu’un pas !



Grâce à une mise en page épurée mais ludique qui compte autant que la narration, ce petit album empli d’humour devrait séduire les enfants, et peut-être les pousser à suivre l’exemple d’Albert et à donner sa chance à un livre. Un petit pas vers une potentielle future passion ou du moins, une leçon subtilement amenée : ne pas dire qu’on n’aime pas avant d’avoir essayé.



Agréable, accessible, et porté par un personnage grognon mais amusant, voici un petit album à ne pas pas manquer.
Lien : https://lightandsmell.wordpr..

Très mignonne petite histoire d'amitié entre un Loup qui refuse d'être un cliché et une petite fille qui ne veut pas se laisser intimider. Mes élèves et moi-même avons adoré !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..

Ingrid Chabbert signe une fois de plus un joli texte. On y suit le quotidien d'Edmond, un animal non identifié qui apparaît comme gentil et craintif. L'arrivée d'un compagon va changer sa vie de solitude.



Le départ de cet enfant adoptif est un crève cœur mais sa reconnaissance et son amour qui viennent conclure l’histoire sont un juste retour. La parentalité, la paternité et l’adoption sont racontées avec délicatesse, suggérées plus que placardées, ce qui (je trouve) donne plus de poids à l’attachement des personnages l’un pour l’autre.



Le format longitudinal est original et met en avant les illustrations colorées et pleine de motifs de Raul Guridi, illustrateur espagnol que je ne connaissais pas et dont je découvre avec intérêt le travail graphique : de grands fonds faits de motifs, presque minimaliste par le peu de détails dont ils font preuve. Seul la forme d’Edmond (un singe ? pas si sûr ?) se détache, comme dans un jeu de cache-cache.



Les éditions Frimousse proposent un bel album que je vais prendre plaisir à lire à voix haute.
Lien : http://boumabib.fr/2015/04/1..

Gros coup de coeur pour "Edmond", le magnifique album de Ingrid Chabbert et Guridi
Lien : http://yanasaule.canalblog.c..