Ce petit thriller destiné aux adolescents fait son job en peu de pages. Plusieurs narrateurs interviennent pour relater aussi bien des événements personnels que ceux survenus une année plutôt à la suite desquels l'une d'entre eux a disparu.
Meurtre, disparition volontaire pour un avenir différent, espéré meilleur, les conjectures sont multiples. L'une des jeunes, Camille, revenue sur l'île à la suite du décès de sa grand-mère, enquête. Quelques jours plus tard, ce sera le tour de son "amoureux" de poursuivre les démarches.
On aura donc un dénouement mais pas vraiment à la hauteur du suspense entretenu. Le lecteur fera avec. L'auteur était-il un peu trop imprégné d'une oeuvre célèbre de Delia Owens lorsqu'il a imaginé son scénario? Ou bien d'un autre phare, celui de P.D. James?
Sans contester son inspiration, il me semble qu'il a au moins été influencé par ces deux romans au point d'en reproduire les scènes de tempête et de meurtre, même s'il ajoute sa patte personnelle, peu de survivants s'échapperont de l'île des morts.
Quelques bonnes descriptions de la mer, des criques, des rochers où les bateaux peuvent être fracassés, émaillent ce texte qui se lit sans déplaisir, même si la fin semble bien vite annoncée.
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Il manque un peu de profondeur et de développement à ce polar jeunesse pour en faire un bon polar qui s'adresse à tous !
La cadre de l'île de Groix est sympathique et elle a été choisie pour son Parcabout (parc de loisirs acrobatiques) qui a permis de faire monter l'angoisse.
J'aurais aimé que les personnages, jeunes adultes, soient un peu plus développés afin que le dénouement et la raison du crime soient plus crédibles !
Quatre parties, chacune consacrée à un personnage différent, l'idée est bonne mais j'ai eu tout le long l'impression qu'il manquait quelque chose. Ajoutez quelques invraisemblances et j'en ressors mitigée !
Ce roman s'adresse plus à des ados qu'à des adultes, même jeunes !
#Lîleauxmorts #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2022
Challenge 50 objets 2022/2023
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Dans ce roman choral, Rémi Giordano nous entraîne sur une île sur les traces d’un drame qui un an plutôt a entraîné la disparition de Laura une jeune îlienne.
L’île inspirée de celle de Groix, est un décor formidable pour ce presque huis-clos qui n’est pas sans rappeler certains romans d’Agatha Christie avec une touche de teen-movie à la scream.
Sans être des plus originaux, le scénario est bien construit avec un rythme qui augmente crescendo surtout après la moitié du roman. Une lecture sympathique mais pour laquelle trop d’invraisemblances m’ont un peu déçu. Mais, il s’adresse à des lecteurs young adult pas à des dévoreurs de thrillers.
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Grâce aux éditions Thierry Magnier, que je remercie, j'ai lu L'île aux morts
de Rémi Giordano.
Ils étaient 6 à fêter leur bac près du phare.
Ils étaient 5 à en revenir.
Ils étaient 4 à rester sur l'île.
Ils étaient 3 à vouloir dire la vérité.
Ils étaient 2 à vraiment pleurer leurs amis.
Il n'en restera qu'1.
L'île aux morts est un thriller pour adolescents, et principalement pour eux.
La vie ne tient qu'à un fil sur cette île..
C'est intéressant mais j'ai trouvé que ça manquait de profondeur pour me satisfaire pleinement.
Il y a un an, ils étaient 6 à fêter leur bac près du phare. Une jeune fille disparaît ce soir là..
Un an après ils reviennent à cinq mais très vite, les problèmes se succèdent.
Le résumé le dit : il n'en restera qu'un.. Mais qui ?
J'ai bien aimé, la lecture fût fluide toutefois c'est du genre vite lu et vite oublié. Je ne suis vraiment pas certaine d'en garder un grand souvenir sur la durée.
Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, l'histoire est un peu plate.
Par contre, les paysages de cette île sont magnifiques.
Et, bon point, j'ai apprécié l'épilogue. J'ai réussi à être surprise car je ne m'attendait pas à ce dénouement là.
L'île aux morts est un thriller pour ados que je note trois étoiles et demie, il plaira sûrement à la cible mais cette fois ci, j'ai un peu passé l'âge ;)
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Lors d'une fête, Oscar et Olivier auront une altercation, chacun aura des lésions plus ou moins importantes.
Olivier racontera une version de l'histoire et Oscar une autre.
Personne ne veut croire la version d’Oscar. Ses parents vont décider qu'il irait passer un mois chez sa tante pour faire un point et dire la vérité.
Il va s'entendre merveilleusement avec sa tante qui l’aidera à se construire et découvrir sa voie.
Une belle écrire fluide, qui m'a permis de lire ce roman en une seule fois. J'avais envie de connaître la vérité sur ce qui s'était passé. Une histoire très prenante et des personnages attachants.
Cette histoire est pleine de sensibilité et aborde bien sûre la violence autant physique que morale, l'amitié, la quête d'identité et l'homosexualité.
Merci à Mes premières 68 et aux Éditions Thierry Magnier de m'avoir permis de découvrir ce livre.
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Alexis dit Aliocha est gay et fantasme beaucoup sur les poils des hommes, il est passionné de cinéma et il est amie avec Marylou Weber avec qui il envisage de participer au Nikon Film Festival, un festival de court métrage mais il apprend qu’il y a le tournage d’un film à proximité de sa ville de l’est de la France ; il va y assister, il s’agit de l’adaptation cinématographique de La chambre de Giovanni de James Baldwin : le réalisateur s’appelle François, son assistante, Nina et le comédien principal s’appelle Matteo Dessa et il est superbe…
"Rémi Giordano est né d’une mère française et d’un père napolitain. Après deux ans d’études à Nantes, il déménage à Paris. Féru de cinéma et de littérature, il a exercé plusieurs postes dans le domaine de la création audiovisuelle, notamment comme assistant à la réalisation, scénariste, en gardant comme fer de lance l’écriture. Il est également acteur" - source : Babelio -. En 2009, il publie son premier roman aux Éditions du Cygne Fleur Sauvage. En littérature pour la jeunesse, il a publié Malamour chez Thierry Magnier en 2020, Sirènes de légende chez La Martinière Jeunesse en 2020 - et Mystère chez de la Martinière jeunesse en 2020 adapté du film de Denis Imbert.
Ce roman correspond à la collection L’ardeur chez Thierry Magnier : publier des romans érotiques pour les adolescents qui permettent de parler d’identité sexuelle, de sexualité aux adolescents. Rémi Giordano livre ici le récit sous forme de scénario de film, séquence par séquence d’un jeune homme gay. Il y a presque de temps en temps un ton pédagogique pour répondre aux nombreuses questions de jeunes gays : l’homosexualité, le coming-out, l’homophobie et l’homophobie intériorisée, la sexualité des gays - actif/passif -, les réseaux sociaux spécialisés comme Grindr etc. Au delà, Rémi Giordano décrit les premières expériences sexuelles d’un adolescent, ses fantasmes, ses premières amours et ses déceptions. Il y a une progression des séquences érotiques depuis la première masturbation d’un garçon dans les vestiaires de la piscine jusqu’aux premiers ébats amoureux entre le héros et l’acteur italien. Rémi Giordano décrit les baisers et les caresses mais aussi les sensations du héros lors de sa première pénétration. Le personnage secondaire, l’amie du héros, est aussi particulièrement soigné avec le portrait d’une jeune femme féministe qui n’hésite pas à déconstuire les stéréotypes d’une société dominée par la norme cisgenre et hétérosexuelle. Enfin, Rémi Giordano glisse aussi de nombreuses références de la culture gay notamment cinématographiques mais aussi de nombreuses références musicales actuelles, ce qui permet de donner une illusion romanesqe particulièrement ancré dans le quotidien des jeunes aujourd’hui.
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Oscar passe l'été chez sa tante à Stetten dans le Haut-Rhin après un accident dans sa vie. Il vit en Lorraine, il est en terminale S, il est avec les mêmes camarades de classe depuis des années jusqu'à ce qu'un nouveau arrive, Olivier. Olivier est charmant et s’intéresse à Oscar. Après les résultats du baccalauréat de français, il est invité à une soirée chez son ami Tancrède à laquelle Olivier est aussi invité. durant cette soirée, Oscar et Olivier se battent viollemment. Oscar prétend que Olivier a tenté de l’embrasser… Il passe l'été chez sa tante Pénélope afin de se détendre et il est suivi durant cette période par un psychologue, le docteur Rambourg. Il rencontre aussi deux voisins, Margot et Jonas qui vont l’aider à surmonter cette épreuve.
C’est un premier roman, extrêmement sensible sur l’homophobie intériorisée. Le parcours du héros est bien décrit, du travestissement de la réalité si insupportable à la lente acceptation de soi. Cette seule histoire aurait suffi, nous semble-t-il, à créer la tension dramatique du récit. Rémi Giordano a ajouté le cancer de la tante Penelope chez qui le héros passe l’été et l’épisode dépressif de la voisine à cause d’un chagrin d’amour et sa tentative de suicide. Ces deux rebondissements dramatiques paraissent de ce fait rapidement traités perdant ainsi de l’illusion romanesque au regard de l’intrigue principale.
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Camille revient sur son île natale à l’occasion de l’enterrement de sa grand-mère. Une île sur laquelle thierrelle s’était promis de ne jamais remettre les pieds après la disparition de son ami, Laura. Son retour va entrainer une série de drames.
J’ai beaucoup aimé ce thriller paru dans une collection pour ado. L’histoire est prenante et le rythme soutenu pousse le lecteur à enchainer la lecture. Si le récit manque un peu de profondeur, mais ce qui m’a le plus embêté, c’est l’absence de clarté dans les motivations du coupable, dont j’avais d’ailleurs deviné l’identité. Par contre, si j’avais compris l’existence d’un complice, je me suis trompé quant à son identité.
Un petit thriller sympathique avec une dynamique de groupe intéressante à destination des adolescents.
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L'été sera chaud pour Aliocha ! Jeune lycéen assumant pleinement son homosexualité, Alexis est passionné par le cinéma. Son rêve étant de devenir réalisateur, il s'empresse d'aller sur le plateau de tournage de la ville voisine avec sa meilleure amie pour voir les envers du décor. Au-delà de la découverte du métier, il va tomber amoureux de l'acteur principal, "beau comme un dieu" qu'est Matteo. Il va donc vivre ses premiers émois sensuels. Comme toujours, la collection L'ardeur frappe fort en réalisme des sentiments et des scènes intimes. Pour autant, j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages..
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De retour sur son île natale, Camille vient assister au décès de sa grand-mère. A travers sa voix et celles de 4 autres camarades on découvre dans ce roman choral, qu'une de leurs ami·es a disparu un an auparavant et que le groupe à tu les circonstances de sa mort. Décidée à briser le silence et se délivrer de sa culpabilité, Camille tente de convaincre les autres de parler. Mais bientôt la mort vient frapper leur groupe...
Le début du livre et les évènements dramatiques qui justifient la venue du petit ami de Camille, élève journaliste, qui va mener l'enquête, est assez haletant. Cependant je trouve que le récit n'est pas assez développé et qu'on a a peine le temps de se mettre dans l'univers inquiétant du récit que la résolution du mystère est faite...
J'ai trouvé intéressant qu'un personnage qui apparait en miroir du personnage principal devienne l'enquêteur.
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Camille revient sur l’île aux morts pour l’enterrement de sa grand-mère, une île qu’elle avait quittée un an plus tôt, après la disparition de son amie Laura. A l’époque, ils étaient six amis d’enfance. Aujourd’hui, Ils ne sont plus que cinq à savoir ce qui s’est vraiment passé !
L’ambiance n’y est plus. Tous ont reçu un message « Je sais ».
Quel est le secret de la disparition de Laura ? Qui osera dire la vérité ?
Un bon thriller avec frissons garantis pour des ados. On retrouve tous les principaux sujets d’intérêts des jeunes : secret, amour, jalousie, haine. Un roman bien ancré dans son époque avec les réseaux sociaux au cœur des relations.
L’écriture est prenante, rythmée. Le récit est plutôt bien construit, l’histoire progresse à travers le récit de quatre protagonistes. Chacun apporte sa pierre à l’avancée de l’enquête. Le suspense dure jusqu’au bout du roman.
Le décor se prête parfaitement à l’histoire ; falaises, parc d’attraction, maisons isolées, poursuites nocturnes (façon Scream)… Un huis clos que n’aurait pas renié Agatha Christie.
Merci à NetGallay et aux éditions Thierry Magnier pour cette lecture impossible à lâcher avant la fin, et à savourer au coin du feu, bien à l’abri.
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Excellent album que j'ai trouvé très beau. Les illustrations sont magnifiques et épurées, ça a été un bonheur de lire différentes histoires de sirènes provenant de cultures différentes.
C'est un voyage dans le temps, dans différents endroits du monde. On oscille entre le réel et le surnaturel avec subtilité et douceur.
Je conseille cet ouvrage d'autant plus que le prix est très correct pour la qualité du livre.
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Sirènes de légendes part déjà avec l'atout d'une couverture très réussie, où la graphiste Mathilde BONNET a su mettre en valeur la magnifique sirène au regard dédaigneux de Laura PEREZ, avec un titre où le "S" souligne les boucles de cheveux et un "N" suivant le bras... De plus, les inclusions dorées ressortent très bien sur le rendu mat et doux de la couverture. Ca promet!
Et le contenu ne déçoit pas : le livre est découpé en 10 chapitres de 4 pages, chacun consacré à une (ou plusieurs, comme dans le cas des sirènes d'Ulysse) sirène. Deux pages de texte, deux page d'illustrations... pleine page, eh oui. Les teintes sourdes (bleus, verts, gris, parfois réchauffés d'un peu d'ocre rouge ou jaune) des créatures languides de Laura PEREZ nous plongent dans un univers plutôt raffiné, à mille lieues des couleurs chatoyantes voire flashy qu'on associe d'ordinaire aux sirènes, surtout dans l'édition jeunesse!
Si les plus célèbres des sirènes figurent bien dans cet ouvrage - Les sirènes d'Ulysse, Mélusine, Lorelaï, la petite sirène d'Andersen - d'autres moins connues ont droit à leur chapitre : Sedna l'Inuite, Iara la Brésilienne, la Jiaoren chinoise, Mami wata l'Africaine, la Ningyo japonaise... et on a même droit, pour clore le livre, au chapitre sur les hommes-sirènes des Hébrides (archipel du nord-ouest de l'Ecosse)! Donc les messieurs ne sont pas oubliés.
La gamme réduite des teintes utilisées par Laura PEREZ donne une belle homogénéité graphique, mais les dessins sont suffisamment diversifiés pour qu'on ne s'ennuie pas: les sirènes sont parfois dessinées en pied - si je puis dire! - parfois en gros plan. Et toustes ont leur identité, correspondant bien à ce qu'on peut attendre de la culture qui leur a donné naissance, tout en portant l'empreinte de l'illustratrice.
L'écriture aussi est variée, souvent la narration est à la troisième personne, parfois à la première personne... On alterne aussi chapitres juste descriptifs, avec d'autres où des dialogues donnent plus de chair aux personnages. Et drames comme fins heureuses ont chacun leur part : si certaines histoires peuvent être empreintes de cruauté, comme pour la malheureuse Iara, celle de Jiaoren est bien plus tendre par exemple (mais moins riche d'aventure!).
J'ai été surprise par les choix des auteurices pour certaines sirènes: unetelle, souvent présentée ailleurs comme une simple victime, devient plus ou moins responsable de sa situation, alors qu'une autre, divinité ambivalente dont les maléfices sont d'ordinaire plus craints que ses dons ne sont réclamés, est ici une figure extrêmement bénéfique.
Elles sont toutes belles et fortes, antagonistes ou alliées des humains, tragiques ou douces, parfois les deux sur la même page! L'écriture de Rémi GIORDANO et Olivia GODAT est évocatrice, et si les chapitres peuvent paraître courts, c'est sans doute pour mieux laisser de l'espace à la rêverie, ou l'envie d'en savoir plus par soi-même... J'ai apprécié de découvrir les légendes de Iara ou Jiaoren que je ne connaissais pas.
Je regrette l'absence de sommaire, c'est dommage cependant le livre est suffisamment court - 48 pages - pour que ça ne soit pas un gros handicap. Il n'est pas non plus précisé sur la page de garde qui a écrit, qui a dessiné... Je n'aime pas quand les infos manquent! Enfin, justement je l'ai trouvé un peu court, mais ça, c'est peut-être mon côté boulimique de lecture ^^;;;
Bien que ce livre soit affiché comme album jeunesse, à partir de 6-8 ans (selon la délicatesse et le côté soigneux de l'enfant!), il jouit de bien des qualités: valorisés par une mise en page classique, sobre et élégante, ses dessins raffinés et son écriture subtile vaincraient les réticences du plus snob des adultes... Une édition à couverture entoilée me semblerait un écrin totalement approprié pour cet ouvrage! Je le classe dans les indispensables sirénologiques.
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Rêver de cinéma avec sa complice de vacances : c'était ça le programme. Malheureusement, leur projet de réaliser leur premier court métrage patine un peu... 😬
Alors quand ils apprennent qu'un film se tourne tout près de chez eux, c'est l'occasion d'en apprendre un peu plus ! D'autant qu'il semblerait que nos deux cinéphiles aient des histoires à oublier... 😏
C'était déjà bien plus excitant que tout ce qu'ils avaient prévu pour occuper leur été et fantasmer sur cet acteur si magnétique aurait pu suffire à notre héros. Et pourtant... 💙
Avec Apprivoisez L'Été, Les Premiers Plans forment un parfait diptyque des vacances d'été ! Ces vacances d'été qui précèdent l'entrée dans la "vie d'adulte" et garderont un goût doux-amer même des années plus tard. Celles qui nous font peur, mais qui semblent également pleines de possibilités nouvelles. 😌
Et si comme moi, vous avez passé l'âge des rêves d'ado, cela reste une belle lecture pleine de nostalgie et de bienveillance ! 😎
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