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Citations de S.C. Rose (68)


Ta fille a trouvé un garçon formidable (si ça ce n'est pas de la lèche),dont le seul et unique défaut est d'être frouzien. Mais bon,comme je le dit toujours ,personne n'est parfait .
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En entendant qu'ils parlent du MMORPG de star wars, je prie pour que personne ne me demande ce que je pense, ou autre. Car premièrement, je ne savais même pas qu'il y en avait un, et deuxièmement, je n'ai vu aucun des films.
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" j'invoque le mauvais temps du mois de Mars, mais je fais pareil en juillet, arguant qu'avec la chaleur, le maquillage coule... En résumé, moins je me peinturlure, mieux je me porte !
Avec Alexandra, c'est 100% naturel !
Mon slogan.
Au moins, il n'y a pas tromperie sur la marchandise.
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Notre pays n’est-il donc pas assez grand pour que tu y trouves ton bonheur ? Étais-tu obligée d’aller voir si l’herbe était plus verte chez nos voisins ? Ils commencent par nous prendre notre travail, et voilà que maintenant ils viennent nous voler nos filles !
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Je suis une véritable fontaine, mouillant comme pas permis. Ma petite chatte avide crie famine, réclamant une attention que je ne lui accorde pas, mes sens étant entièrement focalisés sur le beau mâle qui me dévore des yeux, fixant mes seins comment un affamé.
Je crois que s’il pouvait plonger dans son écran pour ressortir du mien, il le ferait sans aucune hésitation. Puis, il se ruerait sur moi, tel un fauve en chasse attrapant enfin sa proie.
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Et c’est pas parce qu’on critique la façon de jouer d’une personne qu’on la critique elle. Il faut savoir faire la part des choses.
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Quand un garçon me plaît, je ne me demande pas le pourquoi du comment. Il me plaît, c’est tout. Pourquoi vouloir sans cesse tout analyser, trouver une raison pour chaque chose, mettre des mots sur tout ?
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— Alors, bébé, c’était comment ?
L’envie de lui clouer le bec, de lui répondre que c’était tout juste « passable » me démange affreusement. Oh, comme j’aimerais effacer ce sourire narquois et cette étincelle de supériorité qu’il affiche avec une telle arrogance ! Cela me plairait beaucoup, assurément.
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Il est un prédateur, mâle alpha jusqu’au bout des ongles. Pourtant, même les prédateurs les plus féroces savent qu’ils doivent, de temps à autre, s’incliner devant leurs femelles.
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L’angoisse ! Même si je les connais, virtuellement parlant, une peur panique m’envahit à l’idée de m’approcher. Mon cœur s’emballe, s’affole comme un cheval lancé au triple galop. Je me retrouve tétanisée, incapable de faire un pas de plus.
Oh. Mon. Dieu ! Je n’ose pas y aller…
Je n’ai qu’une envie, faire demi-tour, bondir dans ma bagnole et me tirer loin d’ici. Je pourrais toujours trouver une excuse plus tard et dire que mon avion a eu un problème.
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Le paradoxe fait toujours marrer les gens, car pour eux, le résultat est le même : je parle.
Peut-être, j’en sais rien… et je m’en fous. Je suis comme je suis, point.
Je ne vais pas changer pour plaire aux autres, car alors, je ne serais plus moi. Et je m’aime bien telle que je suis.
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En plus d’être une fille « en manque », qui ne sort quasiment jamais de chez elle, j’aurais droit à la magnifique étiquette d’asociale. Ce qui ne fera qu’empirer la situation actuelle, mes amies se croyant obligées de m’aider.
Le fait que je ne souhaite nullement l’être, étant parfaitement normale ne vous en déplaise, n’entre aucunement en ligne de compte. Les autres savent toujours mieux que vous ce qu’il vous faut, c’est bien connu.
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Bon, il est vrai que techniquement, en mars, on est plus vraiment en hiver, mais pour nous, l’hiver commence en novembre et se termine mi-avril.
C’est ça, d’habiter dans un pays de loups !
Quoique, comparée au Canada, la Suisse n’est pas vraiment à plaindre.
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À moi, on ne me l’a fait pas, celle-ci. Le vieux singe que je suis connaît toutes les grimaces, donc pour m’en apprendre une nouvelle, il faut se rhabiller et se lever de bonne heure. Ce n’est pas demain la veille que ça arrivera, c’est moi qui vous le dis !
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La chance semble être de mon côté. Personne.
Enfin !
Je lève un poing vers le ciel en signe de victoire.
Du coup, la fatigue disparaît comme par magie et je joue encore une heure en toute tranquillité. J’ai de la peine à y croire. Quand je me déconnecte pour de bon, j’ai le sourire aux lèvres. La soirée a été bonne finalement.
Bien meilleure que ce je pensais !
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On ne fait pas un personnage pour qu’il soit « beau ». Non, le but, c’est qu’il soit le plus optimisé possible, pour envoyer du lourd et être efficace.
Mais bon… moi je préfère qu’il soit tout ça en étant « joli ». Après tout, c’est moi qui passe des heures derrière mon PC, à le suivre constamment des yeux, alors autant qu’il soit agréable à regarder, merde !
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Je sais que je devrais essayer de discuter directement avec cet abruti profond, mais j’avoue ne pas l’avoir fait et n’en avoir aucune envie, car je sais que cela ne mènera à rien. Une personne qui n’a rien d’autre à foutre que de vous emmerder ne va pas arrêter parce que vous le lui demandez gentiment !
Au temps demander au soleil de se coucher à l’est !
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Généralement, quand une personne avait été blessée par une bête et qu’elle venait à survivre, ce qui relevait déjà du miracle en soit, elle devenait… une bête à part entière. Elle n’avait plus ni conscience, ni maîtrise. Elle était un monstre assoiffé de sang.
Mais pas elle.
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Leila était malade depuis trois jours, maintenant. La fièvre la tenait et ne semblait plus vouloir la lâcher, faisant craindre le pire à ses proches. Pourtant, ce qui les inquiétait le plus, c’était les excès de délire qui la prenaient. Ce qu’elle disait n’avait ni queue, ni tête, et ils crurent qu’elle était devenue folle.
Elle se débattait en hurlant à pleins poumons qu’elle était en feu. Au point qu’on avait finalement dû se résigner à l’attacher au lit, pour éviter qu’elle ne se fasse du mal. Elle se contorsionnait dans tous les sens en suppliant qu’on l’aide. Le feu la brûlait et il fallait l’éteindre. Il fallait l’éteindre à tout prix.
Leila était au cœur d’un brasier inépuisable et nul ne semblait pouvoir l’aider. Elle avait la sensation de brûler de l’intérieur. Elle sentait des laves de flammes brûlantes parcourir ses veines. Encore et encore. Elles ne s’arrêtaient jamais, ne lui laissant aucun répit.
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Leila se sentait affreusement gauche. Elle n’avait encore jamais proposé à un homme de rentrer chez ses parents. Encore moins en sachant qu’il n’y avait personne à demeure ! Une jeune fille de bonne famille n’aurait jamais dû faire une proposition aussi scandaleuse à un homme. Mais Leila était persuadée que si elle ne disait rien, il repartirait sans un mot. Et cela, elle ne pouvait l’envisager. Le revoir était pour elle inespéré et elle ne voulait surtout pas laisser passer sa chance. Sans doute la dernière qui lui soit accordée.
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