Citations de SJ Kincaid (145)
« Elle se faisait alors rêveuse et optimiste, enthousiaste d’avoir obtenue des réponses aux mystère de l’univers. »
« Si des serpents se cachaient parmi eux, ils s’étaient déguisés si habilement que leurs crochets demeuraient invisibles, ou ils ne sécrétaient pas encore de venin. »
« Ce n’était que des enfants. Des enfants gâtés et frivoles, issus de familles puissantes, qui se glorifiaient de leur rang. »
« Je commençais à peine à déchiffrer les expressions faciales, mais j’avais reconnu celle-là sans difficulté : il s’agissait du dégoût absolu. »
« Évidemment que j’étais prête à donner ma vie pour Sidonia. Je n’avais qu’elle au monde. Je n’aimais qu’elle et n’accordais de valeur qu’à sa vie. Sans elle, je n’avais aucune raison d’être.
Comparée à son absence, la mort serait une délivrance. »
« Les Diabolics ne sont pas humains.
Nous leur ressemblions, certes. Nous possédions le même ADN, mais nous étions des êtres tout à faits différents : des créatures façonnées pour être impitoyables et fidèles envers une seules personnes. Pour elle, et uniquement pour elle, nous pouvions tuer sans la moindre hésitation. »
« C’est ainsi que les Diabolics se comportent à ce stade de leur développement. Ils nous ressemblent mais ne sont pas humains. Ce sont des prédateurs. Ils n’éprouvent ni empathie ni bienveillance. Ils n’en sont tout bêtement pas capables. »
« L’amour. Le confort. J’ignorais de quoi il s’agissait, mais je les voulais. »
« Depuis que j’avais vu le jour, ma vie n’était que violence : je devais repousser des agresseurs, tuer pour éviter la mort, tuer pour ne pas être tuée. »
« Le même mécanisme se répétait chaque fois : j’étais terrifiée, puis tout à coup la peur s’évaporait. Une violente colère emportait tout sur son passage. »
« Terrorisée, j’avais du mal à respirer. Je ne voulais pas faire ce qu’on attendait de moi. Je refusais de faire couler le sang. »
« Il m’était interdit d’être effrayer. »
Nous sommes tous des descendants de fanatiques. La foi peut inspirer de grands accomplissements, mais certains s’en servent parfois pour justifier des abominations incroyables.
À l’état naturel, l’intelligence humaine a des limites.
– On ne se crispe pas pour encaisser un coup de poing. On accompagne le mouvement.
- Je viens de me rappeler que je suis très en colère contre toi, lui dis-je d'un ton paresseux.
- Elle m'a l'air bien paisible, ta colère.
Jusqu’à présent, Tyrus avait réfléchi à chaque acte de son règne avec le plus grand soin, car il était dans sa nature d'anticiper dix décisions avant d'en prendre une seule.
-Ton nez, déclara-t-elle. Il faut que tu en fasses ton trait caractéristique. Ne le répare pas. C'est ce qui te rend unique.
Je touchai ma petite bosse, cette marque singulière de la violence de mon passé.
-Comment la Grandeé Sidonia Empyrée aurait-elle pu finir avec un nez pareil ? Elle m'adressa un sourire triste.
-Tu es une menteuse habile, Némésis. Invente une histoire.
" Dans la vie, reprit-elle, les gens s'aiment, les gens meurent, les gens voient disparaître ceux qu'ils aiment de tout leur cœur. ça arrive tout le temps, les gens passent à autre chose Némésis."
" Oser se mettre en danger pour empêcher un acte immoral, c'est la qualité la plus rare qui soit."