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3.44/5 (sur 9 notes)

Nationalité : Algérie
Biographie :

Salah Badis vit et travaille à Alger. C'est un ouvrier du langage, souvent un conteur-journaliste par le texte ou le son, parfois un poète ou un nouvelliste. Il a publié (dans ces deux genres) deux livres en arabe et a traduit du français vers l'arabe les auteurs Jean Sénac, Joseph Andras et Eric Vuillard.

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"Une très belle découverte ! Des nouvelles qui se suivent et racontent la lutte de "petits" personnages pour exister dans une Algérie bousculée par l'histoire. Des nouvelles qui vous font découvrir Alger en délicatesse et subtilité !" - Gérard Collard l'écrivain algérien Salah Badis dessine le portrait d'une ville - Alger et ses environs - et d'une galerie de personnages confrontés à la difficulté de vivre et d'aimer au quotidien dans une société sclérosée. Dans le décor décati et sublime de la ville d'Alger et de ses banlieues anonymes pleines de vie, Salah Badis exprime les sourdes contradictions de son pays par petites touches sensibles où se conjuguent conflit de génération, mal-être, incompréhensions, amours noires et quête de tendresse. À retrouver sur lagriffenoire.com https://lagriffenoire.com/des-choses-qui-arrivent.html Recevez votre actualité littéraire (façon La Griffe Noire) en vous abonnant à notre newsletter hebdomadaire : https://www.lactudulivre.fr/newsletter/

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Citations et extraits (6) Ajouter une citation
Dehors, la nuit avançait calmement dans les rues désertes. Personne ne veille sur la nuit à Alger. Ici, la nuit est assez grande pour veiller sur elle même, la nuit est adulte.

P.21
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Au moment où on repartait à travers les petites ruelles, après avoir laissé Ezzahi seul, une pluie fine s'est mise à tomber, il a fait tout à coup encore plus sombre, on aurait dit que quelqu'un avait emprunté le soleil pour une autre galaxie.

p.27
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Le nez est gardien du jardin du visage, dit un vieux poème.
p.140
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Vendredi et son ennui. Le calme funèbre de la ville, les rues vides et les haut-parleurs des mosquées comme des mouches géantes à l'horizon. Vendredi, tous les magasins sont fermés avant la prière, et après. Vendredi, les bus et les trains arrivent en retard.

p.69
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Il sent que l'histoire commence à lasser le jeune homme, ça se passe toujours ainsi quand il se lance dans des explications sur les mots ou les évènements, il perd le fil, ça crée des trous dans ses histoires, et des souvenirs se mettent à couler de ces trous, des souvenirs compacts et denses, qui charrient un trop-plein de choses, comme l'eau des caniveaux, alors il se noie entre la mémoire et le récit.

p.103
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Ce que la mer emporte est ramené par la vague.

P.15
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