AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Sarah Koskievic (77)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Hazel

Cinglant, touchant, sombre mais jamais pesant.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
Commenter  J’apprécie          00
Hazel

Roman choral, centré sur une jeune femme « au prénom fabuleux » et prompte à déchainer les passions. En quête de séduction, elle hante les nuits parisiennes s’adonnant aux rencontres d’une nuit sur fond de drogue et d’alcool, au nom d’une liberté revendiquée et assumée. Mais lorsqu’elle rencontre Ian, la donne change. Elle devient l’otage de cette relation sulfureuse.



L’ambiance générale est glauque. Le milieu de la nuit et de tous ses excès est un décor sombre. L’écriture vient à l’unisson de ce cadre, elle relève plus d’un style oral, loin d’être un langage châtié.



Je suis peu adepte du genre et je ne suis pas parvenue à m’attacher à ces personnages trop superficiels. J’ai apprécié le dénouement un peu inattendu mais qui ne change pas mon impression globale.



181 pages La Martinière 25 Août 2023

#Hazel #NetGalleyFrance
Lien : https://kittylamouette.blogs..
Commenter  J’apprécie          331
La meute

je n'ai pas aimé ce petit roman contemporain "feel-good" ni la plume de l'auteure je dois avouer. C'est dommage car l'idée de base me faisait envie. J'ai trouvé les dialogues quelques fois grossiers et certaines phrases complètement inutiles qui n'amènent rien de plus à l'histoire. J'ai trouvé certains passages "brouillon". Bref, je ne recommande pas ce roman.
Commenter  J’apprécie          10
La meute

#Chronique : La meute de Sarah Koskievic - Éditions Plon



Un roman qui ne m'a pas du tout séduite. Dommage !



Mon avis : http://www.leslecturesdelily.com/2019/03/la-meute-ecrit-par-sarah-koskievic.html#more
Lien : http://www.leslecturesdelily..
Commenter  J’apprécie          20
La meute

Un livre dur, finalement, parce qu'il faut vraiment le lire jusqu'au bout.

Je me suis totalement perdue dans sa chronologie. Nous nous perdons sur une dizaine d'années, au fur et à mesure que les membres de cette meute se sont connues, sont devenues amies, avec Liv (diminutif d'Olivia, elle n'allait tout de même pas s'appeler Olive, comme l'épouse de Popeye). Je me suis aussi perdue avec ses nombreux personnages, toutes connaissant Paris sous le bout des doigts, détestant ma station de métro préférée (Cluny-Sorbonne !). Elles boivent, elles fument, elles se droguent, elles traversent la vie uniquement reliées par leur amitié, par le fait qu'elles espèrent pouvoir toujours s'appuyer les unes sur les autres en cas de coups durs, qui peuvent arriver, justement. Elles finissent par se ranger, parfois, avoir un enfant, par accident, un vrai métier, professeur des écoles, tout plaquer, tout recommencer ailleurs. Avec elles, on est dans un tourbillon, et parfois, franchement, je me suis désintéressée de leurs problèmes, de leurs états d'âme, de leur amour des fringues et du maquillage, du règne de l'apparence parce que le monde est dur, pour les femmes, plus dur aussi pour celles qui s'affirment et veulent vraiment mettre à exécution ce qu'elles veulent faire.

Un roman qui se lit à cent à l'heure, comme le rythme de l'écriture, et qui se referme, sonné.
Commenter  J’apprécie          60
La meute

Meute de louves ou de hyènes ? En tout cas six meufs que rien ne devrait relier et qui, par delà les années, les emmerdes, gardent toujours le cap de leur amitié.

Cent pour cent parisiennes (ou presque), plus acerbes que tendres, leur vie nous est donnée façon puzzle chronologique via la narratrice, Olivia.

Si dans le premier tiers du roman, j'ai été séduite par l'énergie brute qui se dégage du texte, tout sauf joli, je me suis vite lassée de cette mécanique qui tourne trop souvent à vide (on se fiche un peu, beaucoup de leurs ennuis) et se termine de manière abrupte, mais sans réelle émotion. Oui, voilà bien le problème, je suis restée totalement extérieure à ce roman.
Commenter  J’apprécie          100
La meute

Elles ont le verbe haut, et les idées larges. Leurs désirs en étendard, elles refoulent leur sentimentalisme et sortent vite les griffes. Elles ne sont pas toujours tendres entre elles, unies dans l’amour vache, mais savent où trouver une épaule si besoin est. Féministes à leur sauce, elles ont leurs entrées dans les bars à la mode de la Rive droite et ne se privent d’aucun plaisir interdit : drogues, alcool, aventures d’un soir, elles ne rendent ni ne demandent de comptes. Elles s’appellent Liv, Isadora, Elly, Romane, Louise, que doit rejoindre l’excessive Rosalie, qui n’a pas pointé le bout de ses talons depuis quelque temps.



Enfants, mari, carrière, les années passant, chacune a tenté de faire sa vie, se retirant parfois du groupe sans jamais s’en extraire totalement. Par et par-delà les emmerdes, la Meute est leur autre famille, celle qu’elles se sont choisie, celle auprès de qui Liv se réfugie quand son mec la quitte, un SMS en guise d’au revoir. C’est sur ce fond d’échec amoureux qu’à travers une décennie à la chronologie bousculée, par la voix de Liv, on revit les rencontres, la naissance des amitiés, des rivalités vite balayées. On remonte le cours de ces six existences mêlées dans une débauche décomplexée et qui, ensemble, ont toujours la force de surmonter.



Des personnages que n’aurait pas renié Jacqueline Susann, une insolence à la Lolita Pille, un désenchantement à la Ann Scott : j’ai adoré ce bouquin. Je l’ai lu d’une traite, entraînée par les états d’âme de la narratrice. Ces personnages amochés par la vie, fragiles et forts, réfugiés dans les bonheurs artificiels à défaut de rêves qui n’existent plus sitôt qu’on les a avoués, sont tellement intéressants, livrés par qui sait les dessiner. J’étais déjà conquise par le style, libre et libéré, puis la fin m’a laissée sans voix. Une claque sonnante. Sarah Koskievic signe là le portrait nécessaire d’une génération. Un roman réaliste comme il y en a trop peu – je ne l’ai que plus apprécié. À lire absolument.

Commenter  J’apprécie          60
La meute

Olivia, Isadora, Elly, Louise, Rosalie, Romane. Elle constitue ce qu’elles appellent « La Meute », une bande de filles d’âges, d’expériences, de vies, d’envies différents mais liées par un fil d’amitié invisible qu’elles seraient bien en peine d’expliquer.



Sarah Koskievic nous amène au cœur de cette bande, passant du présent au passé pour nous expliquer le lien qui les unit.



Autant le dire, je ne me suis attachée à aucune d’entre ces femmes, trop pleines d’aigreur et de rancoeur. Elles picolent, couchent, parfois se droguent. Ça se veut sans doute trash mais c’est surtout désespérant de solitude et les clichés ne sont jamais bien loin.



Au final pas tellement d’aspérités auxquelles se rattacher et pas beaucoup d’empathie ressentie au fil de ce court roman.



La fin, inattendue et violente, m’a laissée un peu démunie avec mon désintérêt pour ces 6 femmes. Je m’en voudrais presque de ne pas les avoir appréciées, car aussi insupportables soient-elles, elles ne méritent pas le sort cruel qui leur est réservé.

Quelqu’un le mérite-t-il d’ailleurs ? N’est-ce pas à ce questionnement final que souhaite nous amener Sarah Koskievic ?

Commenter  J’apprécie          30
La meute



Niaiserie insipide

Final indécent

Ne mérite pas davantage qu’un mépris certain au regard des grossièretés et des comportements mis en exergue : drogue, alcoolisme, etc.

Commenter  J’apprécie          130
La meute

Cette meute de filles déchaînées et enchaînées les unes aux autres par l'amitié (?) ne m'a pas touchée un instant. Elles sont endiablées et peu maîtresses d'elles-mêmes, alcool, sexe, nuits de fêtes. Il y a des passages qui m'ont échappé, d'autres franchement ennuyée. La fin est brutale, inattendue.
Commenter  J’apprécie          90
La meute

Je ne sais trop quoi penser de ce roman .. déjà je ne m’attendais pas à une histoire comme ça .. c’est quand même difficile de se dire que cette bande dit la Meute passe leur temps à boire, fumer et j’en passe ..

je ne me suis attachée à personne, trop de malheur dans leurs vie et les dialogues des fois entres elles ne sont pas sympa ..



Et la fin .. complètement inattendue



Je suis sûrement passé à côté de cette histoire
Commenter  J’apprécie          40
La meute

Un premier roman qu'on pense d'abord "feel-good" ou "girly", mais qui se révèle plus sombre et profond que ça. A travers l'histoire d'une bande de copines longtemps inséparables qui vont se retrouver, Sarah Koskievic dresse le portrait de la génération qui atteint la trentaine dans les années 2010. Des filles qui veulent vivre librement, comme elles le veulent. Une fin qu'on prend en pleine figure.
Lien : https://appuyezsurlatouchele..
Commenter  J’apprécie          90
La meute

Elles ont quelques heures de vol au compteur mais se conduisent toujours comme des adolescentes décérébrées. Au lieu de construire leur plan de carrière, elles noient leurs soirées dans la vodka pour mieux la gerber dans des toilettes miteuses.



Ne leur parlez pas de gentil mari alors qu’elles n’ont qu’une envie : se faire sauter par un parfait inconnu qui aura le bon goût de le rester. Elles pourraient être élégantes en talons hauts, elles sont juste vulgaires perchées sur leurs 12 cm. Elles ne veulent pas être des femmes mais des meufs, de la trempe de celles qui ont du caractère et en imposent. Oubliez Sex and the city et la bande de copines romantiques, ici c’est sexe, drogue et rock’n roll et une meute déchaînée à la sauce Virginie Despentes.



Elly, Isadora, Olivia, Romane, Isa, Lou - et j’en oublie certainement - : ne me demandez pas qui est qui, je n’en sais fichtre rien tellement ces nanas sont inintéressantes et facilement interchangeables. Ça tient à peine debout, ça a trois mots de vocabulaire en dehors du « meuf » qui leur sert de ponctuation, ça a la joie de vivre et l’espoir en l’avenir d’un condamné à mort le jour de son exécution et ça se croit branché parce que ça vit dans une poignée de mètres carrés sur la bonne rive.



Heureusement les tribulations des bécasses se lisent très vite, en même temps avec de telles vies, il n’y a pas matière à nous pondre Le chant du bourreau non plus. Je ne compte pas le nombre de paires de gifles que j’aurais aimé distribuer à ces « meufs ». Mais aussi antipathiques qu’elles me soient apparues, pour rien au monde je leur aurais souhaité ce qui leur est arrivé. Personne ne mérite ça. Quel mal y a-t-il finalement à vouloir retenir le temps de toutes ses forces et refuser de vieillir et d’endosser le rôle que d’autres ont taillé pour nous ? Elles ont 20 ans dans leur tête et pas grand chose d'autre dedans. Et alors ? Pourquoi la vie ne pourrait pas être légèreté et insouciance après tout ?



Pour tout vous dire, je me sens un peu con en refermant ce livre. Je m'en veux d'avoir autant détesté ces personnages, de les avoir pris de haut et de m'être moquée de leur sens des priorités. J'aimerais finalement remonter le temps pour leur offrir encore quelques shoots de vodka et quelques coups d'un soir. J'aimerais leur offrir un supplément de vie. J'aimerais leur dire qu'elles ont mille fois raison de vivre avec légèreté et insouciance, que c'est elles qui ont raison de ne pas prendre la vie plus au sérieux qu'elle ne le mérite. Je ne les aime pas plus à la fin de ce roman mais je les comprends mieux et c'est déjà beaucoup.






Lien : https://www.lettres-et-carac..
Commenter  J’apprécie          00
La meute

Pour son premier livre, Sarah Koskievic nous livre ici l'histoire de Liv (Olivia) et sa meute.



Tout commence avec une joyeuse bande de copines déjantés, adeptes des excès en tout genres et fleurtant dangereusement avec la mort. Six meufs, six copines, six hyènes, six parisiennes sans langue de bois, constituent "la meute". Elles vont traverser les épreuves de la vie appuyées les unes sur les autres. Elles vont pleurer, elles vont rire, parfois même pleurer de rire ; mais aussi se disputer ou tout plaquer pour tout recommencer. Chacune avec ses névroses, ses faiblesses et ses doutes va se laisser embarquer dans le tourbillon de la vie et son lot d'emmerdes.



Avec une chronologie alternant les retours en arrière et l'histoire d'aujourd'hui, le texte se veut brut et rythmé. Non, ce n'est pas qu'un roman feel good avec une bande copines fêtards, c'est bien plus sombre et plus profond. On y trouve le mal-être d'une jeunesse en proie aux excès, la difficulté d'être une femme totalement libre de ses choix, la dangerosité des addictions, mais aussi l'amitié plus forte que tout.



A lire jusqu'au bout avec une fin totalement inattendue.
Lien : https://www.facebook.com/Blo..
Commenter  J’apprécie          00
La meute

Nous découvrons des meufs aussi bien déjantées qu’imprévisibles tout en étant attachiantes, vivant seulement pour la devise “sex, drugs and rock’n roll”.

Elles sont six, mais pourtant elles n’ont rien en commun, à part cette amitié inimaginable qui les unit. Nous les suivons à travers leur rencontre, leur évolution, leur chute, leur désespoir, leur rupture, leur amitié, leur amour, leur vie quoi.





Je reste sur un avis mitigé car pour ma part, j’ai trouvé le roman assez compliqué à lire et à s’y retrouver dans les années que l’auteure souhaite décrire d’une façon chronologique. Mais j’ai trouvé cependant l’histoire intéressante (bien que parfois ennuyante avec des phrases longues et sans intérêt).





Je suis restée littéralement scotché par la fin, une chute tellement brutale, tellement vraie pour certaines personnes, que j’en ai eu des frissons.
Lien : https://feartheworld.blogspo..
Commenter  J’apprécie          10
La meute

Six femmes : Olivia, Romane, Elly, Isadora, Louise et Rosalie. Elles sont amies avec les hauts et les bas que cette amitié engendre. Très différentes, elles se jugent, se critiquent, s'acceptent, s'aiment. Elles forment La Meute.



La meute est moderne, rock, il décoiffe mais je suis resté en dehors, je n'ai eu ni sympathie ni antipathie pour ces femmes. Bon, ça arrive, tant pis. Plus qu'un échec, c'est un roman qui ne m'est pas destiné, mais il trouvera des lecteurs moins ronchons que moi. Rien à voir avec le fait qu'il n'y soit question que de femmes, juste, ce roman ne m'a pas intéressé.
Lien : http://www.lyvres.fr/
Commenter  J’apprécie          10
La meute

La meute de Sarah Koskievic est un roman obtenu en accès libre sur net galley grâce aux éditions Plon. Merci à eux même si là, je dois avouer que je ne sais pas trop quoi penser de ma lecture !

Nous découvrons Olivia, Romane, Elly, Isadora, Louise et Rosalie. Six femmes que vous allez aimer détester ! C'est ... LA MEUTE.

J'ai un souci, même si ce roman est court il m'a franchement ennuyé par moment ! Je me suis souvent perdue entre le présent et le passé car la chronologie n'est pas toujours claire.

Je n'ai pas réussi à m'attacher à l'une des six protagonistes, et finalement je m'en suis un peu voulu de ne pas avoir su les aimer !

C'est un roman cruel où les femmes boivent, fument, se droguent.. Je n'ai pas aimé leur comportement, je n'ai pas réussi à les comprendre et en fait je dirais que je suis passé à coté de ma lecture !

J'ignorais en le demandant que ce genre de roman n'est pas pour moi, dommage.

Mon avis est très très mitigé, je mets deux étoiles et demie.

Commenter  J’apprécie          230




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Sarah Koskievic (115)Voir plus

Quiz Voir plus

Qui suis-je ? Les auteurs en A

J'ai écrit Le grand Meaulnes. Je suis mort au Sud de Verdun durant la première guerre mondiale. Qui suis-je ?

Jean Anouilh
Alain-Fournier (de son vrai nom Henri-Alban Fournier)
Guillaume Apollinaire
Marguerite Audoux

7 questions
117 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}