je n'ai pas aimé ce petit roman contemporain "feel-good" ni la plume de l'auteure je dois avouer. C'est dommage car l'idée de base me faisait envie. J'ai trouvé les dialogues quelques fois grossiers et certaines phrases complètement inutiles qui n'amènent rien de plus à l'histoire. J'ai trouvé certains passages "brouillon". Bref, je ne recommande pas ce roman.
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Un livre dur, finalement, parce qu'il faut vraiment le lire jusqu'au bout.
Je me suis totalement perdue dans sa chronologie. Nous nous perdons sur une dizaine d'années, au fur et à mesure que les membres de cette meute se sont connues, sont devenues amies, avec Liv (diminutif d'Olivia, elle n'allait tout de même pas s'appeler Olive, comme l'épouse de Popeye). Je me suis aussi perdue avec ses nombreux personnages, toutes connaissant Paris sous le bout des doigts, détestant ma station de métro préférée (Cluny-Sorbonne !). Elles boivent, elles fument, elles se droguent, elles traversent la vie uniquement reliées par leur amitié, par le fait qu'elles espèrent pouvoir toujours s'appuyer les unes sur les autres en cas de coups durs, qui peuvent arriver, justement. Elles finissent par se ranger, parfois, avoir un enfant, par accident, un vrai métier, professeur des écoles, tout plaquer, tout recommencer ailleurs. Avec elles, on est dans un tourbillon, et parfois, franchement, je me suis désintéressée de leurs problèmes, de leurs états d'âme, de leur amour des fringues et du maquillage, du règne de l'apparence parce que le monde est dur, pour les femmes, plus dur aussi pour celles qui s'affirment et veulent vraiment mettre à exécution ce qu'elles veulent faire.
Un roman qui se lit à cent à l'heure, comme le rythme de l'écriture, et qui se referme, sonné.
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Meute de louves ou de hyènes ? En tout cas six meufs que rien ne devrait relier et qui, par delà les années, les emmerdes, gardent toujours le cap de leur amitié.
Cent pour cent parisiennes (ou presque), plus acerbes que tendres, leur vie nous est donnée façon puzzle chronologique via la narratrice, Olivia.
Si dans le premier tiers du roman, j'ai été séduite par l'énergie brute qui se dégage du texte, tout sauf joli, je me suis vite lassée de cette mécanique qui tourne trop souvent à vide (on se fiche un peu, beaucoup de leurs ennuis) et se termine de manière abrupte, mais sans réelle émotion. Oui, voilà bien le problème, je suis restée totalement extérieure à ce roman.
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Elles ont le verbe haut, et les idées larges. Leurs désirs en étendard, elles refoulent leur sentimentalisme et sortent vite les griffes. Elles ne sont pas toujours tendres entre elles, unies dans l’amour vache, mais savent où trouver une épaule si besoin est. Féministes à leur sauce, elles ont leurs entrées dans les bars à la mode de la Rive droite et ne se privent d’aucun plaisir interdit : drogues, alcool, aventures d’un soir, elles ne rendent ni ne demandent de comptes. Elles s’appellent Liv, Isadora, Elly, Romane, Louise, que doit rejoindre l’excessive Rosalie, qui n’a pas pointé le bout de ses talons depuis quelque temps.
Enfants, mari, carrière, les années passant, chacune a tenté de faire sa vie, se retirant parfois du groupe sans jamais s’en extraire totalement. Par et par-delà les emmerdes, la Meute est leur autre famille, celle qu’elles se sont choisie, celle auprès de qui Liv se réfugie quand son mec la quitte, un SMS en guise d’au revoir. C’est sur ce fond d’échec amoureux qu’à travers une décennie à la chronologie bousculée, par la voix de Liv, on revit les rencontres, la naissance des amitiés, des rivalités vite balayées. On remonte le cours de ces six existences mêlées dans une débauche décomplexée et qui, ensemble, ont toujours la force de surmonter.
Des personnages que n’aurait pas renié Jacqueline Susann, une insolence à la Lolita Pille, un désenchantement à la Ann Scott : j’ai adoré ce bouquin. Je l’ai lu d’une traite, entraînée par les états d’âme de la narratrice. Ces personnages amochés par la vie, fragiles et forts, réfugiés dans les bonheurs artificiels à défaut de rêves qui n’existent plus sitôt qu’on les a avoués, sont tellement intéressants, livrés par qui sait les dessiner. J’étais déjà conquise par le style, libre et libéré, puis la fin m’a laissée sans voix. Une claque sonnante. Sarah Koskievic signe là le portrait nécessaire d’une génération. Un roman réaliste comme il y en a trop peu – je ne l’ai que plus apprécié. À lire absolument.
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Olivia, Isadora, Elly, Louise, Rosalie, Romane. Elle constitue ce qu’elles appellent « La Meute », une bande de filles d’âges, d’expériences, de vies, d’envies différents mais liées par un fil d’amitié invisible qu’elles seraient bien en peine d’expliquer.
Sarah Koskievic nous amène au cœur de cette bande, passant du présent au passé pour nous expliquer le lien qui les unit.
Autant le dire, je ne me suis attachée à aucune d’entre ces femmes, trop pleines d’aigreur et de rancoeur. Elles picolent, couchent, parfois se droguent. Ça se veut sans doute trash mais c’est surtout désespérant de solitude et les clichés ne sont jamais bien loin.
Au final pas tellement d’aspérités auxquelles se rattacher et pas beaucoup d’empathie ressentie au fil de ce court roman.
La fin, inattendue et violente, m’a laissée un peu démunie avec mon désintérêt pour ces 6 femmes. Je m’en voudrais presque de ne pas les avoir appréciées, car aussi insupportables soient-elles, elles ne méritent pas le sort cruel qui leur est réservé.
Quelqu’un le mérite-t-il d’ailleurs ? N’est-ce pas à ce questionnement final que souhaite nous amener Sarah Koskievic ?
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Niaiserie insipide
Final indécent
Ne mérite pas davantage qu’un mépris certain au regard des grossièretés et des comportements mis en exergue : drogue, alcoolisme, etc.
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Cette meute de filles déchaînées et enchaînées les unes aux autres par l'amitié (?) ne m'a pas touchée un instant. Elles sont endiablées et peu maîtresses d'elles-mêmes, alcool, sexe, nuits de fêtes. Il y a des passages qui m'ont échappé, d'autres franchement ennuyée. La fin est brutale, inattendue.
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Je ne sais trop quoi penser de ce roman .. déjà je ne m’attendais pas à une histoire comme ça .. c’est quand même difficile de se dire que cette bande dit la Meute passe leur temps à boire, fumer et j’en passe ..
je ne me suis attachée à personne, trop de malheur dans leurs vie et les dialogues des fois entres elles ne sont pas sympa ..
Et la fin .. complètement inattendue
Je suis sûrement passé à côté de cette histoire
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La meute de Sarah Koskievic est un roman obtenu en accès libre sur net galley grâce aux éditions Plon. Merci à eux même si là, je dois avouer que je ne sais pas trop quoi penser de ma lecture !
Nous découvrons Olivia, Romane, Elly, Isadora, Louise et Rosalie. Six femmes que vous allez aimer détester ! C'est ... LA MEUTE.
J'ai un souci, même si ce roman est court il m'a franchement ennuyé par moment ! Je me suis souvent perdue entre le présent et le passé car la chronologie n'est pas toujours claire.
Je n'ai pas réussi à m'attacher à l'une des six protagonistes, et finalement je m'en suis un peu voulu de ne pas avoir su les aimer !
C'est un roman cruel où les femmes boivent, fument, se droguent.. Je n'ai pas aimé leur comportement, je n'ai pas réussi à les comprendre et en fait je dirais que je suis passé à coté de ma lecture !
J'ignorais en le demandant que ce genre de roman n'est pas pour moi, dommage.
Mon avis est très très mitigé, je mets deux étoiles et demie.
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