Séverine Gauthier

une super BD plaine d' humour

Drôle de petite bande dessinée, avec Aliénor et son père Merlin l'enchanteur. Les dessins dont jolis et les personnages amusants. Merlin est un peu à l'ouest et sa fille semble avoir peut-être plus de pouvoirs que lui, en tout cas différents, et il a un peu de mal à l'accepter... c'est toujours une étape l'envol de nos enfants finalement, même pour un druide ^^

Pour des enfants en fin de primaire ou 6ème ?

Repérée lors d'un salon du livre, j'ai enfin commencé cette série pour le CDI !

Grande fan des légendes, cette BD ne m'a pas déçue.

Aliénor, fille de Merlin, suit plus ou moins consciencieusement ses enseignements pour devenir elle-même une grande druide. Curieuse, elle se laisse attirer par une plante qui semble lui parler. Il s'agit d'une mandragore, dont le premier cri tue sur le champ celui qui l'entend si elle est arrachée. Rassurée par Merlin qui lui dit qu'ils sont immunisés contre cet enchantement, Aliénor déterre la mandragore. Malheur !

Suite à une maladresse, Merlin décède. Il apparaît alors sous la forme d'un fantôme et tente de pousser Aliénor à trouver un remède afin de lui permettre de retourner à la vie.



Mais pour cela il lui faut arriver à s'immiscer dans l'antre de Morgane...



Une aventure dont la première page est un peu bavarde mais qui très vite nous entraîne dans l'aventure avec une héroïne pétillante et un Merlin ronchon à souhait.



L'auteur s'amuse et nous aussi à revisiter le monde de la magie sous le signe de l'humour. A lire...

Dessins beaux et efficaces ; couleurs vives qui nous " prennent par la main " pour faire découvrir le monde d'Aliénor Mandragore ; un monde "dingue" et parfois hilarant ! Attention , ne ratez pas le début !!!

Une très belle découverte. De l'humour, de belles illustrations, une histoire bien menée. En résumé tout ce qu'il faut pour passer un bon moment de lecture.

Aliénor et son père Merlin vont étudier les champignons. Mais Aliénor trouve une plante étrange : une mandragore ! Que va-t-il se passer si elle la cueille ?



Une aventure au cœur de la forêt de Brocéliande. On retrouve tous les personnages arthuriens : la fée Morgane, Lancelot du Lac et Viviane la dame du Lac. Des aventures traitées avec beaucoup d’humour. Un joli dessin et une superbe colo pour parfaire le tout. Une lecture agréable.

Cette bande-dessinée m'a d'abord attirée par le jeu autour de la légende de Merlin l'Enchanteur. C'est ce qui m'a incité à le sélectionner pour Masse critique.



En l'ouvrant, j'ai découvert des graphismes très colorés, des dessins très expressifs. C'est frais, léger, pétillant. Le texte n'est d'ailleurs pas en reste. Il y a beaucoup d'humour dans ce premier tome, un humour fin et vraiment sympathique.



L'histoire en elle-même est amusante et entraînante. Les personnages sont atypiques bien qu'un peu caricaturaux. Mais, cela leur donne un charme fou.



De plus, j'ai aimé l'ajout final de "L’Écho de Brocéliande", le journal de la forêt, l'auteur a vraiment bien exploité son idée, son histoire.



Bien évidemment, je remercie Babelio et Rue de Sèvres de m'avoir fait profiter de ce premier tome. J'ai passé un très bon moment.

Aliénor est la fille de Merlin. Ce dernier meurt à cause du cri d'une mandragore. Cette série de BD jeunesse nous livre les aventures d'Aliénor qui tente de faire revenir à la vie son père. C'est un véritable plaisir de lire ces histoires. Je me suis vraiment régalée. J'ai ri, sourit et eu parfois une petite boule dans la gorge. Bref, cette lecture est rafraîchissante.



La galerie de personnages qui nous est présentée fait également la force de ces BD. Chacun a sa propre personnalité, ses faiblesses et ses forces. C'est une véritable plongée dans l'univers de Brocéliande. 



Je n'ai malheureusement pu lire que les quatre premiers tomes. Je suis donc restée sur ma faim.



L'esthétique est très colorée, le dessin est poétique. Les personnages ont de grands regards. Il y a plein de détails. Les traits sont fins et en rondeur.
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Notre histoire se passe à Brocéliande. Merlin est le plus vieux druide de la forêt et il aimerait que sa fille Aliénor suive ses traces. Alors il l'emmène régulièrement avec lui sur le terrain pour lui donner des leçons de botanique qui ne la passionnent guère. Je vous la fais courte mais un jour, pendant une de ces leçons, Merlin meurt subitement. L'Ankou rapplique fissa pour l'emmener dans son royaume mais l'enchanteur, devenu un fantôme, refuse de le suivre et charge Aliénor de trouver une formule magique pour le ressusciter. Problème, la seule personne possédant cette formule est la Fée Morgane. Et Morgane déteste Merlin, c'est rien de le dire...



Merlin, Morgane, Lancelot et Viviane, la dame du lac. Les héros de la table ronde peuplent cet album à l'humour plutôt déjanté où les personnages cultivent roublardise et mauvaise foi. Les dialogues sont savoureux, chacun faisant souvent preuve d'une répartie cinglante.



Le dessin de Thomas Labourot, vif et souple, fourmillant de détails, soutient à merveille un récit sans temps mort. Les séquences s'enchaînent avec fluidité, portées par un découpage dynamique et des couleurs pétaradantes. Cerise sur le gâteau, le petit cahier bonus richement illustré en fin d'album permet d'approfondir de façon ludique l'univers de la série.



Un premier tome plein peps et d'humour. Quel plaisir de découvrir Merlin loin de l'image policée qui l'accompagne d'habitude. L'enchanteur est drôle, retord, manipulateur, prêt à tout pour parvenir à ses fins. La fée Morgane n'est pas non plus un modèle de sagesse et la confrontation entre ses deux personnages donne tout le sel à cette aventure.Une réussite à confirmer dès le second volume dont la publication est prévue avant l'été.


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Aliénor est la fille du célèbre druide de la forêt de Brocéliande, Merlin. Lors d’une leçon sur les champignons, son don lui est révélé : Aliénor sait dénicher les racines de mandragore. Lorsqu’elle l’arrache de terre à la demande express de son père, ce dernier tombe raide mort à cause du cri de cette racine. Seul son fantôme demeure auprès de la jeune fille. Il se croyait invincible, il n’aura de cesse de la pousser à trouver le filtre qui le fera revenir à la vie.



Une histoire qui revisite la légende de manière humoristique et plutôt caricaturale. L’ensemble est très décalé : le pauvre Merlin se retrouve affublé d’une barbe et d’une tignasse pleines de champignons, sa fille a les cheveux couleur de la feuille de mandragore, Lancelot n’est rien d’autre qu’un gamin trouillard…

C’est divertissant, très coloré, mais le graphisme parfois trop chargé à mon goût et j’apprécie moyennement les visages sauf celui d’Aliénor, expressif et qui se distingue nettement du reste.

J'ai découvert cette bande dessinée totalement par hasard sur la chaine youtube Fairy Neverland. J'ai aussitôt été attirée par le résumé qui promet une ambiance celtique à souhait. Je n'ai pas été déçue puisque dès les premières pages nous faisons la rencontre de Merlin et de sa fille Aliénor. Les rebondissements vont ensuite s'enchainer pour nous entrainer dans une intrigue au rythme soutenu. J'ai beaucoup aimé les dernières pages qui forment une sorte d'annexe sous le titre de « L'écho de Brocéliande », journal des nouvelles de cette contrée.

Les dessins sont un régal à regarder. Sans être trop enfantin, ils nous transportent dans un monde de magie et de croyances. Les couleurs ne sont pas en reste. En effet, elles sont vives et s'adaptent en fonction des situations. L'ensemble est donc un vrai plaisir pour les yeux et nous plonge dans une ambiance maitrisée. Nous suivons la petite Aliénor dans ses pérégrinations. Elle va vite apprendre de ses erreurs mais sait également utiliser la ruse pour arriver à ses fins. L'humour n'est jamais loin entre comique de situation, de geste ou de langage.

Cette bande dessinée jeunesse est donc une belle surprise. Je n'y trouve aucun défaut. Elle ravira les plus jeunes comme les moins jeunes. J'espère que le second tome ne tardera pas à sortir car je suis curieuse de retrouver toute cette panoplie de personnages et cet univers.
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Bon, d’habitude je ne suis pas très bandes-dessinées. Et pourtant je n’ai pas vraiment réussi à résister devant celle-ci, tandis que je feuilletais le catalogue des futures parutions de La Rue de Sèvres. C’est donc avec un véritable plaisir que je l’ai réceptionnée cette semaine.



Car Aliénor Mandragore est un tome trois-en-un puisqu’il réunit trois points qui me sont essentiels dans mes choix littéraires, à savoir :



Une histoire unique en un seul tome

Une thématique qui me plait

Mais surtout des dessins superbes



Et j’ai été royalement servie sur ces trois points !



Je ne suis pas très fan des cliffhanger en BD. Je les subis assez régulièrement, que ce soit en livres ou en mangas, j’estime donc que c’est déjà bien assez. J’ai donc été agréablement surprise de constater que l’histoire était annoncée comme un tome unique. Il faut comprendre : ici il s’agit effectivement d’un premier tome, mais l’aventure est bel et bien complète à la fin de l’album. Un principe auquel j’adhère, sans surprise, et qui permet de se plonger à fond dans l’œuvre sans redouter de voir la dernière page arriver…



A côté de cela, j’ai été plus que séduite par la thématique merlinienne. J’adore ce mythe, et j’ai encore plus aimé la façon détournée dont Séverine Gauthier la met en place, avec humour et auto-dérision. Les dialogues sont drôles à souhaits, pleins de magie, et l’univers mis en place exprime lui aussi cette base mythologique. De la poésie, de l’humour, du mythe, il ne m’en fallait pas plus !



Enfin, à côté de ce scénario plus que réussi, je suis complètement tombée sous le charme des dessins de Thomas Labourot. Les décors sont superbes, exprimant eux aussi cette poésie mythologique, exactement ce à quoi je m’attendais quand on évoque la célèbre Brocéliande. Quant aux personnages, très expressifs, je suis là aussi conquise. Aliénor est d’ailleurs mon gros coup de cœur, j’ai adoré sa personnalité comme sa représentation, toute en douceur et en tendresse, avec cette touche caractérielle qui la rend des plus attachantes. Une héroïne mignonne à souhait !



Pour conclure : C’est simple, je suis complètement sous le charme du duo Gauthier-Labourot. Je ne suis certes pas une spécialiste de bande-dessinées, mais j’aime les belles histoires, et je sais quand même reconnaitre de beaux dessins. Aliénor Mandragore réunit tout cela. Ce premier tome m’a fait passer un excellent moment dans la forêt de Brocéliande, aux côtés d’Aliénor, de Merlin ou encore de Morgane. Il ne me reste qu’une seule question : à quand la suite ?
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Alienor,fille de merlin.Elle et son père vont comme tous les lundis à la champignonnière mais cette fois, Aliénor entend quelqu'un. Ce quelqu'un est un personnage majeur dans l'histoire malgré le fait qu'on le voit peu. Je trouve pour commencer que le personnage de Merlin est un personnage que j'ai toujours trouvé truculant et plein de mystère.En effet le fait de faire intervenir le personnage d'Aliénor est vraiment une SUPER idée , elle apporte un renouveau à l'histoire de Merlin

Une bande dessinée qui revisite les personnages des légendes arthuriennes de manière très drôle ! Les caractères sont bien campés, entre le vieux Merlin qui refuse de mourir (son fantôme râleur est une pure réussite), l'ankou (la mort) qui rôde en attendant qu'il cède, la fillette un peu simplette à la coiffure verte comme le feuillage de sa plante « fétiche », la fée Morgane aussi (faussement) sirupeuse que le miel qu'elle produit, et j'en passe ! Le graphisme, tout comme l'histoire, sont agréables, même s'ils n'ont rien d'extraordinaire. C'est frais, c'est sympa, ça se lit bien !

Un premier tome intéressant. Merlin, père d'Aliénor décède par manque de précaution. Une histoire drôle avant des personnages tirés de la légende du Roi Arthur. Les dessins un peu enfantins, et les couleurs choisies sont agréables. J'ai hâte de lire la suite!

Voici une BD jeunesse (et pas que ! ;-) ) qui revisite la légende Arthurienne avec humour et pep's.

Merlin est mort ! si, si ... Le cri d'une mandragore aura été son chant du cygne. Feu Merlin féru de champignon est voué à errer de manière fantomatique dans la forêt de Brocéliande. Sa jeune fille, Aliénor tente de le ramener à la vie. Pour cela, elle fait appelle à fée Morgane, Dame du lac Viviane et au jeune Lancelot.



Chaque personnage est dépeint avec caricature et humour. Merlin apparaît comme une personne âgée et grincheuse. Dans ce tome, il s'oppose à fée Morgane. Ils se détestent, se querellent, se toisent mais dont l'adage "qui aime bien châtie bien" a été écrit pour eux.

Le dessin est rond, les couleurs sont vives, les personnages sont attachants et l'univers pétillant.



En fin d'album, un complément de 6 pages "L'écho de Brocéliande" (la gazette du coin). Elle apporte une originalité à la proposition et un complément d'informations sur l'intrigue abordée.



Un premier tome plutôt réussi et divertissant pour les petits et grands.

Aller aux champignons avec son vieux papa bougon et écouter d'une oreille distraite ses leçons de mycologie, ce sont des choses qui pourraient arriver à n'importe quelle petite fille.



Mais ensuite, tuer son vieux papa d'un cri de mandragore, et se retrouver harcelée par son fantôme pour trouver un sort de résurrection fissa avant que l'Ankou ne l'embarque définitivement, ça c'est nettement moins courant.



C'est pourtant ce qui attend Aliénor, fille de Merlin l'enchanteur (en personne et surtout en esprit pour la majeure partie de l'album), qui va devoir apprendre à faire sans son papounet et surtout en sorte que son papounet revienne parmi les vivants au plus vite. Une mission qui, on l'imagine bien, ne va pas s'avérer de tout repos.



Aliénor Mandragore éclaire sous un jour nouveau les mythes arthuriens et les légendes bretonnes en y insufflant un vent de fantaisie qui vient joyeusement ébouriffer tout le petit peuple de Brocéliande. Ici on craque pour cette héroïne et le récit de son apprentissage pas piqué des hannetons.
Lien : http://www.super-chouette.ne..

Dans la forêt de Brocéliande, Merlin est le druide le plus célèbre, même s’il est un peu passé de mode. Mais il croit à ses secrets ancestraux et tient à les transmettre à sa fille Aliénor. Le lundi, c’est sortie champignons ; le père montre à sa fille tout ce qu’elle doit savoir en la matière. Mais Aliénor n’est pas des plus intéressées. Un lundi, alors que Merlin déblatère son discours de mycologue, Aliénor s’éloigne. Elle se retrouve dans une clairière, face à une plante étrange. Alors qu’elle s’apprête à l’arracher, son père arrive et lui interdit de déterrer la Mandragore, plante dont le cri peut tuer (comme dans Harry Potter, ça vous rappelle des souvenirs ?). Finalement, se pensant insensible au pouvoir de la plante et se vantant d’avoir du sang de démon, Merlin tente l’expérience et demande à sa fille de déterrer la racine. Il meurt sur le coup… Aliénor se retrouve affublée du fantôme de son père, qui la harcèle pour trouver un remède et le ressusciter. Dans sa quête, la jeune fille va se découvrir un plus grand pouvoir qu’elle ne le soupçonne.



Ce qui m’a séduite en premier lieu c’est, comme la plupart du temps avec moi, la couverture. Un jaune pep’s, tirant sur le vert, avec un résumé rigolo, une mise en page dynamique et les têtes des personnages irrésistibles. L’intérieur reste fidèle à cette ambiance et m’a emportée.



Le personnage principal est donc Aliénor, la fille de Merlin. Ce dernier est également bien présent, puisqu’il harcèle sa fille après sa mort. On retrouve aussi la fée Morgane à qui Aliénor fera appel pour trouver un remède à l’état de son père. Viviane sera peu présente, mais ses apparitions sont exquises. On apercevra également Lancelot du Lac, jeune enfant, apprenant tant bien que mal à devenir chevalier.



Chaque personnage est attachant. Aliénor, qui se découvre, essaie de se détacher de l’emprise de son père et est un peu naïve. Merlin, emmerdeur de première (désolé, je ne peux pas le dire autrement), au fort caractère, qui refuse de se laisser prendre par l’Ankou. Morgane, hautaine, mais fidèle à elle-même. Viviane, complètement décalée, avec un air bien idiot. Enfin, Lancelot, qu’on prend plaisir à découvrir enfant ; maladroit, pas si vaillant que cela au départ, il est craquant.



Chacun apporte sa touche d’humour et fait avancer le texte. On découvre les traits de caractère de chacun sous un autre jour et c’est un renouveau agréable. Les figures légendaires sont dépoussiérées tout en restant dans le folklore traditionnel. C’est très bien réalisé.



Les illustrations sont sympas, même si ce n’est pas ma tasse de thé à la base. J’ai un peu de mal avec les visages, très anguleux et sévères dans l’ensemble. Par contre, les paysages et maisons sont vraiment géniaux, on entre facilement dans l’histoire grâce à ça.



A la fin de la bande dessinée, quelques pages du journal L’écho de Brocéliande nous sont offertes. On y découvre une interview de Morgane qui fait des révélations après la mort de Merlin, des explications sur le Val sans retour, une recette de potion magique, des petites annonces… Quelques anecdotes qui sont les bienvenues et finalisent en beauté cet ouvrage. J’aime bien quand les genres se mélangent dans un même livre ou qu’on a des bonus.



Pour la critique complète, rendez-vous sur notre site !
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C’est avec une délicieuse envie que je me suis plongée dans cette bd qui reprend à son compte les légendes de la table ronde. Les noms des personnages et leurs caractéristiques semblent s’inspirer des légendes arthuriennes mais c’est seulement pour mieux les détourner et faire sourire les lecteurs.



Merlin est un papa vieux jeux qui essaie de transmettre tant bien que mal son savoir à sa descendance sans prendre en compte le moins du monde la personnalité de sa fille. Face à lui et à sa mort, il y a la terrible Morgane, ennemie jurée du druide, qui va prendre sous son aile la jeune orpheline (enfin, pas si seule que ça car son père est un fantôme qu'elle doit ressusciter). Une ambiance cour de récréation avec des dialogues bien sentis permettent d'apprécier au mieux les réparties de chacun. Et décidément Séverine Gauthier sait manier tous les styles...



Pour les dessins, Thomas Labourot enchante par des paysages luxuriants, un brin exotiques (ou tout du moins magiques) et des personnages aux personnalités visibles dès les premiers instants. J’avoue avoir eu un coup de cœur pour la chevelure vert de mousse de la jeune Alénor.



Une série comique à souhait qui séduira petits et grands par son thème universel.
Lien : http://boumabib.fr/2017/03/0..