Sheila Norton

Oliver fuit le pub de son maître George suite à un incendie qui a tout ravagé. Il trouve vite refuge chez Nicky et Daniel mais le jeune couple a peu de moyens. Oliver va alors se partager entre cette maison et celle de Martin et Sarah, les parents de deux petites filles dont Rose qui s'en veut beaucoup de n'avoir pas pu sauver leur précédent chat. Oliver est bien décidé à ramener le sourire sur le visage de Rose. Parallèlement, le facétieux chat va aider d'autres habitants du village en les rapprochant de façon inattendue, en leur donnant du travail alors qu'ils n'avaient plus d'espoir, en réjouissant tous les membres de Little Broomford même les plus hostiles de prime abord aux chats. Mais Oliver reste un félin et ce qu'il aime par-dessus tout, c'est une bonne sieste au coin du feu ou sur des genoux tendres, un repas appétissant ou discuter avec ses amis Charlie ou Tabby…



De temps en temps, j'aime bien lire des histoires de chats ou d'animaux pour me changer les idées car ce sont des livres faciles à lire et qui donnent le sourire. Aussi, en cette période de vacances, Oliver le petit chat au grand coeur était le bienvenu.

Sur le coup, j'ai été surprise par ce livre car ici, il s'agit d'un chat qui parle et raconte son histoire, c'est plutôt inhabituel et j'ai trouvé le procédé un peu gros. Personnellement, il me semble qu'on perd en réalisme.

L'histoire est légère, facile à lire, parfois même un peu superficielle à mon goût, pendant un long moment je trouvais ça même un peu lassant car il y a beaucoup de lieux communs puis, vers la fin du livre, l'histoire se teinte de plus d'émotions et devient vraiment touchante. Oliver réussit à nous émouvoir et à nous faire monter les larmes aux yeux, quel plaisir ! Mon appréciation a donc été plus enthousiaste dans la deuxième moitié du livre. Il y a aussi beaucoup d'humour dans l'histoire.

Concernant la couverture de mon édition, je regrette que l'image ne soit pas fidèle au chat de l'histoire roux et blanc, certes ce chat tigré est très mignon mais j'aurais préféré voir un chat qui a les mêmes couleurs que dans le livre. Ce n'est pas la première fois que je vois ce genre de choses dans les histoires d'animaux anglo-saxonnes, c'est dommage. Le titre du livre en anglais "Oliver the cat who saved Christmas" est intéressant aussi, avec la traduction française on perd un peu d'informations.

Pour terminer, je pense que cette lecture est plus destinée à un lectorat féminin, peut-être même un peu âgé.

Une histoire sans prétentions, qui met de bonne humeur. Pour l'apprécier, il me semble incontournable d'aimer les chats ! Miaou ;-)

Pas de la grande littérature mais c'est frais, amusant... Les péripéties pendant ses vacances qu'un chaton raconte à ses mais et voisins félins.

Nous sommes en septembre 2019 et je viens d’adopter une petite chatte Pepette... et voilà qu’une amie m’offre ce livre.... c’est tendre, mignon. Charlie va nous faire partager sa vie de chat à son rythme, avec ses peurs, ses joies, ses découvertes. Quant à moi, après la lecture de ce livre, Vais je arriver à partir en laissant mes chats à la maison ? Vais je arriver à l’emmener chez le veto ? Avons nous un chat domestique ou bien sommes nous les domestiques du chat ?

Quel bonheur ce livre, du début à la fin. Je soupçonne, moi aussi, que les chats captent nos sentiments et œuvrent pour nous faire du bien.

Je n’ai pas été déçu par cette belle histoire.

Je conseille aux amoureux de chats bien sur mais aussi a toutes les personnes qui aiment profondément les relations humaines.

Je regarderai mes chats Maine Coon, ils sont trois, différemment après cette lecture ça c’est sur.

Alors n’attendez pas et plongez dans le monde d’Oliver, Tabby, Suki, Nancy et Charlie. Vous les découvrirez tous ainsi que les humains.

Histoire plaisante, de détente non compliquée à lire. Livre à lire pour le plaisir, on se prend d'amitié pour Oliver, on suit ses aventures tout au long des pages ; il se partage entre 2 maisons suite à l'incendie du pub où il vivait et fait tout pour que les gens autour de lui soient heureux. Bien sûr, pour apprécier ce livre, il faut aimer les chats.

Ce petit roman est fait pour ceux qui aiment nos amis félins. Suite à l'incendie de sa maison, un chat est recueilli par deux familles. Il en résulte une entraide entre humains mais aussi un lien particulier avec Oliver. C'est un roman simple et tendre, qui parle d'amitié et de s'ouvrir aux autres.

Un roman divertissant à découvrir !



L'histoire part d'une base assez lourde : Caroline sort d'une leucémie et ses parents ne savent pas si elle fait une rechute ou non, les vacances annoncées n'enchantent personne, Laura a sur les bras un bébé qu'elle gère seule tandis que son mari travaille... Au milieu de tout ça, nous avons Charlie qui essaie d'attirer l'attention sur lui. Un démarrage en grande pompe ! Heureusement, au fil du roman, si la tension reste présente, des scènes redonnent le sourire. J'ai eu envie de découvrir la suite à chaque fin de chapitre et je ne me suis pas ennuyée à la lecture.



Les personnages sont attachants, même ceux à qui on ne pense pas au début. Charlie est mignon. C'est un chat courageux, un brin pédant tout de même. C'est assez rare dans les romans de chats pour le souligner. Et même si je n'ai pas aimé son côté crâneur, j'ai apprécié sa force de volonté, son attachement à sa maîtresse, sa façon de rebondir et de s'attacher à la vie. Caroline était compréhensible et moderne. Laura était à bout et il fallait le comprendre aussi. Chacun en soi à évoluer. Je n'ai pas du tout aimé le côté machiste du livre notamment du côté des pères à qui il faut un électrochoc pour aider.



Côté écriture, le livre est immersif, le vocabulaire riche, et les scènes d'actions toutes aussi bien écrites les unes que les autres.



En bref : j'ai passé un très bon moment.

L'incendie du pub où il vivait laisse le petit chat Oliver ou "Ollie" sans domicile fixe. Heureusement pour lui, les habitants de la ville décident de se relayer pour le nourrir et l'héberger. Oliver, qui est très doué pour comprendre les humains, décide de les remercier en créant les liens qui manquent entre retraités solitaires, travailleurs pauvres et enfants malheureux, pour que malgré la destruction des salles communales en même temps que le pub, tout le monde puisse se retrouver et passer le meilleur des Noëls. C'est une bonne chose d'avoir terminé en décembre cette histoire à la Paddington (mais avec un chat à la place de l'ourson), un conte de Noël à base de pur feel-good, sucré comme un bonbon anglais et qui fait du bien sans prétention.

Un livre agréable à lire au cours du mois de décembre. Une histoire toute simple dans un petit village. Un chat à l'écoute des humains.