Sophie Anderson

Un peu mitigée après la lecture de ce joli livre.

L'histoire est jolie, bien vue et bien menée même si elle amène à anticiper parfois très en avant les retournements. Au vu du public visé, 12 ans environ, je trouve le langage et certaines parties de l'intrigue un peu simpliste... et à la fois, ça rempli tout à fait sa fonction de conte justement : les personnages simples, caractérisés par un ou deux de traits de caractère au plus.

La lecture en est plaisante, c'est sûr et on est en haleine, même si la fin du récit est très convenue.

Un bel entre-deux qui tend plus vers le merveilleux que vers la mauvaise rencontre littéraire pour moi.

Yanka est une jeune fille qui grandit plus vite que les autres. Sa haute stature fait qu'elle est surnommée "Yanka l'ourse". Elle sait qu'elle a été adoptée et depuis quelques temps, elle se pose beaucoup de questions sur ses origines. De plus, elle est très attirée par la forêt, c'est comme un appel irrépressible, elle sent qu'elle n'aura de réponses à ses question que si elle s'y rend.

Yanka est à la croisée des chemins, à un tournant important de sa vie. Mais ce qu'elle est sur le point de découvrir, nul ne peut y être préparé.



UN ÉNORME COUP DE COEUR !!!



Je suis décidemment totalement fan de l'écriture et de l'univers de Sophie Anderson qui, telle les plus grands conteurs, nous propose un récit absolument fascinant.



Nous suivons l'histoire de Yanka sans voir défiler les pages. Son histoire est ponctuée de légendes dont la jeune fille ignore si elles sont totalement inventées ou bien si elles contiennent une part de l'histoire de ses origines. Peu à peu, les pièces s'imbriquent et la vérité éclate.

J'ai été totalement conquise et par le rythmes et par les différents éléments qui compose ce livre !

Je me suis délectée de chaque parties et ce petit pavé s'est révélé beaucoup trop court finalement tant j'étais bien dans cette histoire.

La cerise sur le gâteau est que l'on retrouve des personnages de La maison qui parcourait le monde dont je vous ai déjà parlé sur le blog et ça, c'est vraiment chouette tant je m'étais régalée. Rassurez-vous, vous pouvez lire les deux livres indépendamment.



L'objet livre est superbe, non seulement la couverture est magnifique, mais en plus l'intérieur du livre est très soigné. A chaque nouveau conte, une présentation particulière.

Il y a même des pages noires avec du texte en blanc. J'ai trouvé cela magnifique.

Vous l'aurez compris, je SUR-recommande cette lecture !


Lien : http://parfumsdelivres.blogs..

Dans cette réécriture du conte de Baba Yaga, fortement teinté de culture russe, on découvre tout un univers de maisons sur pattes de poulet, et de Yaga, des passeuses d'âmes qui élisent domicile temporairement pour aider les âmes égarées à trouver le repos.



Dans ce contexte, l'héroïne Marinka s'ennuie et aspire à un autre destin que celui de Yaga, comme sa grand-mère. Bravant les interdits, elle va essayer de se faire des amis chez les vivants et les morts, refuser d'aider Baba dans le passage des âmes ou renier ses origines.



Sophie Anderson nous propose un roman d'apprentissage classique autour du thème du deuil et de la recherche d'identité. Livrée à elle-même, l'héroïne va devoir apprendre à grandir et à trouver sa place dans le monde, tout en découvrant ses origines.



Avec Marinka, l'auteure abordera les thèmes de la transmission, de l'émancipation, de la maturité, des amours adolescentes mais aussi la discrimination, le racisme, l'acceptation de la différence.



Elle nous fera aussi voyager des steppes glacées de Russie, au désert du Sahara en passant par les îles tropicales ou ce qui semble être la Grande-Bretagne.



J'ai beaucoup apprécié la manière dont l'auteure aborde le thème du deuil, qui n'est pas très facile à traiter en littérature de jeunesse. Le sujet est abordé toute en sensibilité et avec un peu de fantaisie, à travers la métaphore d'une porte qui s'ouvre pour aspirer les âmes décidées à trouver le repos. La description du repas de fête avec des plats typiques russes, l'écoute des âmes par la Yaga concernant leur vie passée pour les pousser à traverser le voile en toute quiétude, ... Dans cette histoire, la mort est vécue comme un moment doux et joyeux, accompagnée d'écoute et de compréhension.



J'ai aussi adoré la relation entre Marinka et sa maison qui se rapproche d'un lien filial. La maison est une entité qui ressent les choses comme les humains, avec son petit caractère mais aussi ses failles. Le fait d'en prendre soin au sens propre comme au figuré aide Marinka a trouver sa voie mais aussi d'y dénicher un refuge en fin d'ouvrage, alors qu'elle la considère comme une prison au début de l'histoire. C'est un peu comme quitter sa mère pour aller découvrir le vaste monde, pour mieux y revenir.



Si le roman comporte quelques longueurs associées aux interrogations de l'héroïne sur son avenir, les rebondissements finaux ont su me surprendre de manière agréable.



A noter qu'un lexique sur les mots russes utilisés par l'auteur est présent en fin d'ouvrage pour mieux comprendre de quoi il est question.



Un roman qui aurait tout à fait sa place pour un public adolescent de 12-14 ans si sa couverture, bien que jolie, était plus sérieuse. Un coup de coeur à découvrir absolument.

J'ai toujours été fascinée par la figure de Baba Yaga, alors quand je suis tombée sur cette sublime couverture montrant une maison à pattes de poulet, je savais que ce roman allait me plaire !! On suit la vie de la jeune Marinka qui vit avec sa grand-mère Yaga gardienne des Morts. Celle-ci guide les défunts dans l'au-delà. La maison voyageant tout le temps, Marinka n'a jamais le temps de tisser des liens avec un humain (vivant) et en souffre énormément. Cette réécriture de conte permet à l'autrice d'aborder, à travers le personnage de cette jeune fille, des thèmes comme le deuil, les affres de l'adolescence, l'amitié ou la solitude. C'est très doux et poétique. Juste un bémol, je l'ai lu en français et j'ai trouvé le style un peu plat, à voir si la version originale est mieux.

J'ai beaucoup aimé ce livre qui parle d'u, sujet lourd : la mort. Mais ceci avec une certaine légèreté. On continue de fêter les morts grâce aux vivants et en se les remémorant.

Et puis il est peu commun qu'une maison ait des pattes et qu'on puisse voyager n'importe où ! Si seulement cela serait bien pratique.

Cette histoire est touchante car elle évoque le déchirement que nous pouvons ressentir entre l'obligation du "devoir" et notre envie de liberté. Et ce à un moment critique de l'adolescence.

Le tout est magistralement bien fait car fait avec légèreté et originalité.

Bonjour à tous ! Je vais vous parler d’un très beau livre jeunesse. Il s’agit de La Maison qui parcourait le monde de Sophie Anderson publié chez L’école des Loisirs. Avant toute chose, je tiens à remercier de tout cœur Babelio pour l’opération « Masse Critique » qui m’a permis d’obtenir ce partenariat ainsi que l’Ecole des loisirs pour leur confiance et l’envoi de ce roman.



La Maison qui parcourait le monde est une histoire quelque peu… magique. Ici, nous suivons l’histoire de Marinka âgée de douze ans qui vit seule avec sa grand-mère nommée Baba et Jack, son choucas. Marinka mène une vie pour le moins hors du commun : entre sa maison aux pattes de poulet qui parcourt de monde et décide de la destination, de la clôture constituée d’os et de crânes humains, de son choucas, de sa grand-mère Yaga et des Morts qu’elle accueille chaque soir, l’adolescente ne s’ennuie pas une seconde. Les Yagas sont les Gardiennes des Portes qui permettent le passage entre le monde des Vivants et le monde des Morts. Marinka est, comme sa grand-mère, destinée à devenir une Yaga et à guider les Morts dans leur dernier voyage. Mais la jeune fille, ne rêve pourtant que d’une seule chose : une vie normale avec une maison normale et une famille normale. En bref, une vie de Vivant. Elle n’hésite pas pour cela à enfreindre toutes les règles sacrées des Yagas… quitte à en subir les conséquences dévastatrices. Toute la vie de Marinka se complique le jour où Baba disparait mystérieusement. La jeune fille est dès lors prête à tout pour sauver sa grand-mère.



En toute honnêteté, j’ai vraiment adoré ce roman jeunesse ! Sophie Anderson, nous plonge dans le mythe russe des sorcières Baba Yaga et nous offre un livre riche en émotions et un très beau récit initiatique. L’histoire de Marinka nous emmène dans un monde encore méconnu de tous : Le Monde des Morts. Au travers de ce mythe, la Mort ainsi que tout ses mystères nous sont dévoilés : de la cérémonie du Passage aux rituels des Yagas. C’est un thème qui m’a toujours fascinée et j’ai été ravie de découvrir une histoire à ce sujet. J’ai également beaucoup apprécié les personnages qui sont pour la plupart très attachants ! Marinka est une jeune fille adorable. Néanmoins, j’ai trouvé quelques longueurs dans le roman notamment lorsqu’elle exprime ses espoirs et ses déceptions mais cela reste un vrai plaisir de la voir évoluer au fil du récit. Mon personnage préféré de l’histoire reste tout de même la Maison. Elle est aussi vivante que les autres personnages et ressent de multiples émotions. C’est un membre à part entière de la famille. La Maison est touchante et adorable et est capable de tout pour protéger sa famille.

Au-delà de l’histoire, j’ai eu un énorme coup que cœur pour les magnifiques illustrations qui parsèment le récit. Ces dessins en noir et blanc nous plonge complètement dans l’Univers fantasque de Marinka et de sa famille et sont un réel plaisir pour les yeux. La première de couverture est, elle aussi, absolument superbe ! Sophie Anderson nous livre donc ici une histoire belle et poétique. Elle aborde les thèmes de la famille, de l’amitié, de l’héritage mais aussi et surtout les thèmes de la mort et de la vie. Je vous invite vivement à découvrir ce superbe livre, aussi magique à l’intérieur qu’à l’extérieur !


Lien : https://www.instagram.com/re..

J'ai passé un agréable moment aux côtés de Marinka, de sa grand-mère, de Jack, son choucas et de cette maison bien particulière. C'est le genre d'univers que j'aime beaucoup découvrir, un brin de fantaisie voire de magie et de la mythologie, slave ici.



Ce roman initiatique brasse tout un tas de thèmes intéressants néanmoins, ce qui m'a personnellement gênée, c'est que l'on sent qu'il s'adresse à un public jeunesse. J'ai parfois eu envie de secouer Marinka et ses réactions un peu enfantines mais bon, je ne suis pas le public cible.



Bref, un moment agréable, plein de fraîcheur et de fantaisie, si ce genre d'univers vous plaît.

Ce livre super nous montre que rien n'est perdu et qu'il faut continuer à avancer et continuer à lire cette histoire. Marinka ne veut pas devenir Yaga et évolue au fur et à mesure sur cet avis. Avec la maison aux pattes de poulet et la plume de Sophie Anderson, il y a de quoi faire une bonne lecture même si elle est beaucoup trop courte à mon goût.

Après « La maison qui parcourait le monde » que nous avions beaucoup aimé, nous avons plongé dans ce second roman signé Sophie Anderson qui tient incontestablement toutes ses promesses.



ஜ La fille qui parlait ours ஜ @sophieandersonauthor

@ecoledesloisirs 🎡Dès 10-11 ans, 2022



À douze ans, Yanka est plus grande et plus forte que tous les autres enfants du village, du moins en apparence. Trouvée devant une grotte d’ours quand elle était bébé, elle s’est toujours demandé d’où elle venait. À cette question, elle n’a eu pour toute réponse que des contes et des légendes.



Mais à présent, Yanka veut savoir qui elle est vraiment. Et elle part en forêt pour mener son enquête!



L’autrice nous emmène, ici encore, dans un univers où l’émerveillement envahit le lecteur presque immédiatement.



Au fil des pages, la jeune héroïne remonte la piste de son histoire familiale. Pas à pas, marchant vers son destin, elle va bien au-delà de tout ce qu’elle aurait pu imaginer.



Déroulant son chemin avec sensibilité, l’autrice nous berce d’incroyables histoires où se côtoient arbres ancestraux, ours, princesses et navires volants.



Des rivières de glace, des montagnes de feu, des animaux malicieux, des loups affamés. Des histoires magiques et des aventures en cascade. Il faut s’attendre à tout cela en lisant Sophie Anderson et bien plus encore.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Un roman d'aventure aux parfums russes, dans lequel les animaux, la neige, Baba Yaga et d'autres créatures magiques nous réservent bien des surprises.

Pour ma part, ce roman aux parfums de neige et de forêt me suivra longtemps.

Un petit bonheur de lecture, à ne pas manquer !

Pour commencer je sais que je ne suis pas la cible de ce roman qui est trop jeunesse pour moi.

J'ai donc essayé garder cela en tête lors de ma lecture et ne pas être trop exigeante avec le style d'écriture que j'aurais trouvé plutôt plat en temps normal.

Je n'ai pas été transportée dans l'univers mais j'ai quand même trouvé certains points positifs



LES POINTS POSITIFS :



- Utiliser la mythologie slave est très sympa et peu représenté en littérature jeunesse, c'était la première fois que j'entendais parler des Baba yagas.



- L'héroïne porte le nom de "Marinka" une ville en Ukraine, pour une jeune fille émerveillée par les villes et la civilisation j'ai trouvé ça pertinent



- J'imagine que je dois mettre cela dans les points positifs, Marinka semble en pleine crise existentielle, certaines personnes qui peuvent ressentir la même chose peuvent s'y retrouver



CEPENDANT :



- Marinka est vraiment trop soûlante 😭 J'ai passé ma lecture à désapprouver toutes ses pensées, je la trouve très égoïste et superficielle, elle ne se remet jamais en question et rejette sans cesse la faute sur les autres, ça ne donne pas vraiment envie de s'y identifier même si on est en crise d'adolescence, je trouve que ça ne communique pas spécialement de bonnes valeurs.



- Les autres personnages ne sont pas développés et on reste avec Marinka tout au long du roman ce qui est un peu lourd. Les seuls personnage que j'avais commencé à apprécier mais qu'on ne connaît pas vraiment sont Jack et la maison.



- L'histoire est vraiment décousue, il se passent certains événements qui n'ont pas vraiment de sens par rapport à ce qui a été dit avant



- J'ai également trouvé une faute de frappe (page 207). Rien de bien méchant mais à signaler quand même



- Il est des mots d'un jargon svale pour parler de plats et de spécialités culinaires, l'idée aurait ou être sympa s'il n'avait pas fallu aller voir chaque signification dans un glossaire en fin d'ouvrage, ça fait perdre du temps pour pas grand chose





POUR CONCLURE :



Je n'ai malheureusement pas été touchée par cette lecture tant par son écriture que par son histoire ou ses personnages.

Il doit sûrement avoir son publique cible mais je n'en fait pas partie 😅

Dans ce livre jeunesse nous suivons Marinka et baba Yaga sa grand mère, passeuse d'âme dans sa maison à pattes de poulet. Alors que la maison va de paysages en paysages, pour faire passer nombreux fantômes de l'autre côté, baba Yaga disparaît.

Sa petite fille partira à sa recherche, va t'elle pouvoir sauver sa grand mère ?



Pour être honnête en lisant le résumé au dos du livre, je me suis dit, que tout était dit de l'histoire, je m'attendais à un schéma classique, très attendu, sans surprise.

J'ai commencé ma lecture sans vraiment être dedans.

Et puis j'ai développé des émotions envers le personnage principal parfois de la colère parfois de la compassion. Et c'est la que le déclic est apparu. Je me suis plongée dans le livre, page après page le scénario que je m'imaginais et bien loin de la réalité.

J'ai refermé le bouquin avec une très bonne surprise, j'ai adoré le final.

Ce livre aborde des thèmes importants comme la disparition, la vie, la mort, beaucoup de messages sur la société, les humains et les regrets.

Je lirais sûrement d'autres livres de cette autrice qui a réussi à me charmer.

Alors si tu aimes voyager, avec les vivants comme les morts, ce livre est fait pour toi.

Avec ta maison à pattes de poulet, cours l'acheter !

C'est un super roman que je dévoré en moins de 24h !

Ce roman d'apprentissage se déroule sur fond de magie et de passeurs de mort. Les thématiques abordés grâce à cette jeune fille sont poignantes et très pertinentes dans apprentissage de la vie. L'autrice à fait preuve d'un très beau travail d'écriture qui rend le tout très fluide et addictif.

L'évolution du personnage est particulièrement incroyable et bien mené.

L'univers qu'elle a créé est fascinant et envoûtant. À tel point que j'aimerais beaucoup découvrir d'autres aventures dans cet univers.



En résumé j'ai adoré, et il convient parfaitement à la saison ! 🎃💀

Marinka est une jeune fille presque comme les autres dont on plus grand souhait est de se faire des amis. Sauf qu’elle vit dans une maison voyageuse aux pattes de poulet avec pour seule compagnie Jack son choucas, Benji son agneau et sa Baba Yaga. Mais dans ce livre, les baba yaga ne sont pas des sorcières effrayantes dévoreuses d’enfant. Ce sont seulement des femmes ou des hommes, gardien.ne.s de la Porte qui ramène les Morts vers les étoiles. Et les Yaga doivent donc éviter de frayer avec les Vivants.

J’ai adoré ce livre, plein de poésie et de magie sur la beauté de la vie (« peu importe sa longueur pourvu qu’elle soit douce ») et la difficulté à trouver sa place quand on est adolescent.

La maison qui parcourait le monde, c’est d’abord un livre-objet, avec des pages épaisses qui lui donnent un poids important, quelques illustrations oniriques, des pages plus sombres qui marquent le cours de l’histoire, un écrin parfait pour cette intrigue hors du temps.
Lien : http://sophielit.ca/critique..

Marinka vit dans une étrange maison, qui se déplace au gré de ses envies sur ses pattes de poulets, cernée par une clôture d'os. Elle qui aspire à une vie normale auprès des vivants n'est pas une jeune fille comme les autres : accompagnée par sa grand-mère, elle doit devenir gardienne des morts, les aider à quitter le monde des vivants pour franchir la porte vers les étoiles. Et se souvenir d'eux.



Un joli livre aux allures de conte sur le thème de la mort, sans tristesse ni larmes : elle est évoquée avec beaucoup de douceur et de poésie, comme la conclusion d'une vie dont on se rappelle pendant la cérémonie du passage. Un rite qui nous aide à voir le moment de la mort sans désespoir, mais comme un moment d'apaisement et de réconfort.

Roman sympathique dans son ensemble mais trop de moments ou je me suis ennuyée car j y ai trouvé un peu trop de redondance et pas assez d'action. Je n'ai pas accroché au personnage principal de la jeune fille de part son caractère quelque peu agaçant mais j ai bien aimé les personnages autour. Bref un roman qui traite de magie, de sorcellerie, de l'au-delà de manière tendre et chaleureuse.