Stan Silas

♫C'est dans dix ans je m'en irai

J'entends le loup et le renard chanter

J'entends le loup, le renard et la belette

J'entends le loup et le renard chanter

La jument de Michao et son petit poulain

A passé dans le pré et mangé tout le foin

L'hiver viendra les gars, l'hiver viendra

La jument de Michao, elle s'en repentira♫

- Tri Yann - 1976



Pour avoir la paix, on organise des Fest-Noz

chez les Bagadous, foutus de chez foutus

leur joueur de biniou, porté disparu

Au coucher du soleil, il rode, le Bugul-Noz....



Branle-bas de combat, les fées Morgane

BIGUDEN protej maji cout' ke cout'

Nippone échouée sur plage de mazout

Adopte la science des Korrigans



En 2CV , stop en forêt semble inadéquat

St Cyr-Coëtquidan, chapeau bas bicorne

les chevaux chez nous c'est des Licornes

Leur jument m'a fait Ni-Chao ni froid...

♫L'ankou est un tourbillon

Qui brille à l'horizon

Sans âme te dispersera

Au ciel, sur terre au delà



Il est là et pas là du tout

Il te chasse il te rend fou

Il sera au rendez-vous

Au rendez-vous

Au rendez-vous♫

L'Ankou- Nolwen Leroy - 2017



Silas, guerre des mille Binious n'a pas eu lieu

Carnage et alignements brillent de mille feux

-Pof-poum-Cruc-crac-clonk-Clic-

Voyez-le briller dans la nuit, l'Ankou Stic

sur les rives de Carnac, arrive le mi-grand

Coréen ou japonnais, mouette ou goeland ?

Mais l'Ankou lit, qui dit migrant, dit des sushis

Pate à crèpes et mélant Coulis

L'ANKOU rageant d'avoir à faire à une enfant

Quand Grand-Mam Ankou, l'enfant coud

Par'ents cou'pables, foi de Korrigans

l'Ankou's coud sied au firmament ...



Manga - Morbihan - Soleil le Vent !!!!

hihi, j'ai trouvé ça marrant, voire décoiffant ;-)

♫T'avais huit ans quand tu t'voyais

Et ce rêve-là on l'a tous fait

Dentelle première et premier chapeau

C'est pas toi qui y es

C'est pas toi qu'es beau

Tambour binaire et premier sabot

C'est pas toi qui y es

C'est pas toi qu'es beau

Dansant Quimper ou Landemau

C'est pas toi qui y es

C'est pas toi qu'es beau

Soufflant tonnerre dans du roseau

C'est pas toi qui y es

Dans le bagad de Lann Bihouë♫

Alain Souchon-1978



Tambour, biniou et/on bombarde à Bagdad !?

Le Drian aujourd'hui sert des mains, accolades !

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2019/01/14/97001-20190114FILWWW00081-le-drian-rencontre-les-dirigeants-irakiens-a-bagdad.php



Inquiétons-nous de nos misérables existences

Dahut, princesse endormie depuis très longtemps

Lady d'Ys, enfouie au fonds des Océans

Condamnée à l'oubli, fatale colère, BelligéRance

Lady sleep, les dix slips pour lady commandements

la cité engloutie , cité d'Ys soute à la mer

attraper une jaune Ys allant vert...

Elle ou Il est vilaine ?

Coréen ou corps et haine ?

regarde une page de Pub'Ys

et zieute à Lapin d'Ys....

Ce n'est qu'un au-revoir ma Biguden

C'est pas toi qui y es

C'est pas toi qu'es beau

Ô Kenavo , mon Jaune is be good End ;-)

Mignon tout plein !



Goulwen est un p’tit jeune franç… pardon, breton, qui habite une p’tite maison au bord de la falaise avec sa maman addict au smartphone et sa mémé addict au folklore. Un jour il part pêcher – et accessoirement taper la discute avec les mouettes – et tombe sur une épave de bateau abritant une petite… étrangère (peut-être d’aussi loin que les côtes d’Armor). Elle parle une drôle de langue qui s’écrit dans les bulles avec de drôles de traits. Et elle a des pupilles étonnamment énormes !!

La naufragée est bien accueillie dans la famille, sauf par mémé. Mémé veut la rejeter à la mer.

Car, voyez-vous, la petite « voit » les korrigans.



Quand le manga japonais rencontre la bédé du Finistère, cela donne Biguden. Choc des cultures ? Plutôt symbiose marrante quand Biguden (la p’tite fille du soleil levant) frappe les êtres fantastiques du folklore breton avec des techniques ninja, ou quand les korrigans évoluent en interlude tel Scrat dans « l’Age de Glace ».



Un zeste de fantastique, une rencontre du folklore breton, une possibilité de japoniser le tout dans le futur, des personnages marrants et attachants, et beaucoup d’humour. Ajoutez le sucre et la crêpe est savoureuse. Hmmmm !

Club N°52 : BD non sélectionnée

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BD complètement barrée.



On retrouve bien l'univers de l'auteur de parasites et de la série chatons contre... (licornes, dinosaures).



Des orphelins, un crash d'avion des enfants poulets, des animaux sociaux et un humour noir.



Un cocktail qui fait mouche.



Sam

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BD à l'intrigue improbable.



De jeunes orphelins qui se retrouvent sur une île, après un crash d'avion, hors celle-ci est peuplée d'enfants/poulets qui les attaquent.



Cette bande va tout faire pour leur échapper et faire des rencontres plus invraisemblables les unes que les autres.



Mel

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Une bande dessinée qui m'a fait de l'oeil, dans ma quête de cadeaux de fin d'année.

Ma fibre bretonne a tout de suite sorti son sonar. Et je suis plutôt conquise par ma découverte.



Gast! Quelle drôle de bonne idée de mêler la culture "beurre salé" et le manga !

Une petite japonaise échouée sur une plage est recueillie par la famille de Goulwen, petit garçon discret, entouré d'une mère incapable de réussir une crêpe sur billig, et d'une grincheuse grand-mère bigoudène, qui ne cherche qu'à transmettre sa coiffe.



Telle une extraterrestre, elle va être initiée dans le monde mystérieux des légendes bretonnes, dans la peur de l'Ankou et des korrigans...(qui vont avoir fort à faire avec le caractère volcanique de la petite).



Une gentille histoire, pleine d'humour et de délires, qui sonne bien breton, parlant de mouettes, de fest noz, et de cidre. Le graphisme est tonique dans le trait et les couleurs.

A offrir à tout public au pied du sapin.

Biguden, cette drôle de petite fille japonaise échouée en Bretagne, commence à comprendre comment fonctionne le folklore breton, il y a autant de créatures mignonnes que d'autres flippantes. Des enfants disparaissent et il y a un certain Bugul-Noz derrière tout ça... Un épisode un peu plus flippant que le premier, avec les disparitions, cet être à tête de mouton aux yeux rouges... Je l'ai lu avec ma fille, j'ai eu peur que ça ne l'effraie trop mais elle a bien suivi, rigolé au moment plus drôles et détendus et laché un soupir de soulagement à la fin. On en apprend plus sur le passé de Biguden mais il reste encore des parts d'ombre. Que nous réserve le dernier tome ? Nous, mes enfants et moi, sommes impatients de le savoir. Bientôt, bientôt, le tome 3 nous attend sur le meuble de bibliothèque...

Pas de doute, l’arrivée de Biguden dans la région est favorable à la vie enchantée : les fées illuminent la forêt tandis que les Korrigans se font de plus en plus facétieux. On recroise même des licornes. Bref, ça surpeuple.

Revers de la médaille, les enchantés plutôt « méchants » reviennent aussi. D’abord les morganes à queue de poisson qui vous hypnotisent avec leur beauté puis tentent de vous noyer. Et aujourd’hui, surtout, le Bugul-Noz, ce ch’tit bonhomme à tête de mouton avec son chapeau trop grand et qui kidnappe les enfants. Et quand il s’attaque à Goulwen, le rouquin frérot d’adoption de Biguden, le sang de celle-ci ne fait qu’un tour. C’est vrai que la petite japonaise évadée d’un manga s’enflamme vite. Elle va employer sa batterie de cascades à faire rougir Naruto mais, face au Bugul-Noz c’est un peu juste. Va lui falloir de l’aide.



Curieusement j’ai dévoré cette BD mais à la fin j’ai eu l’impression qu’il m’avait manqué quelque chose ; et quelques jours après je ne sais toujours pas vraiment quoi. Le monde enchanté est très bien rendu, les personnages marrants et la petite Biguden qui s’exprime dans un français phonétique est adorable même quand elle est en colère et qu’elle fait valser les korrigans. Il y a même une scène très émouvante où la petiote rêve de son passé violent dont elle commence à se souvenir ; un passé digne de « Shogun ».



Alors quoi ? Qu’est-ce qui m’a manqué ? C’est le fait que l’effet nouveauté est passé ? Ou le manque de profondeur qu’on a sur Biguden, vu qu’elle ne pense pas en français ? Ou la petite historiette d’amour d’enfants ?

Je sais vraiment pas vous dire.



Peut-être qu’après une relecture…

Une BD au scénario original qui met en scène l'arrivée explosive d'une petite japonaise dans une famille bretonne. Mystérieusement échouée avec son petit bateau, elle est sauvée par Goulwen, le jeune garçon de la famille.



Bien que de culture différente, le rapprochement va se faire entre la petite fille pleine de vie et la grand-mère bigoudène au caractère bien trempé. Elle reconnaît en elle sa fille véritable et aussi l'élue; celle qui portera l'héritage des contes et des légendes bretonnes et qui permettra au monde magique de ne pas sombrer dans l'oubli.



Biguden, la petite japonaise, est un phénomène drôle et attendrissant. La couverture est magnifique, elle fait rêver.. J'aimerais bien retrouver les aventures de Goulwen et de Biguden, accompagnés de la maman Soazig, des mouettes, et des korrigans.

Un univers fabuleux à suivre...

Ce 2ème volet de la série poursuit la même veine que le précédent. Je passe sur le dessin que je n’aime pas, trop artificiel à mon goût. Le scénario est en revanche plutôt réussi. Le mélange d’humour et de fantastique à la sauce bretonne fonctionne bien et le récit ose s’aventurer sur un registre plus sombre, ce qui n’est pas si courant dans la B.D jeunesse.



Cette B.D n’est pas un coup de cœur mais c’est une lecture sympathique. Je vais lire la suite avec plaisir.

C’est mon fils qui a emprunté ce titre à la bibliothèque mais j’ai été intriguée, par le titre et la couverture, et je l’ai donc lu à mon tour. « Biguden » s’avère plutôt une bonne surprise.



Je passerai vite sur le dessin qui ne me plait pas vraiment. Ici, je n’ai pas trouvé le mélange du style franco-belge et du style manga très harmonieux. J’ai plutôt eu une impression de manque de personnalité visuelle.



En revanche, le scénario est assez réussi. Si certains passages sont un peu confus, l’ensemble est original et ne manque pas de charme. L’intrigue est intéressante et permet d’aborder de jolie façon les thèmes de la transmission de la culture, de l’acceptation de l’autre. La galerie de personnages est plutôt très chouette. Mention spéciale à la vieille bigoudène, adorable mémé grincheuse avec un grand cœur.



Le folklore breton est bien mis en valeur dans cette histoire pleine de merveilleux, d’humour et qui réserve même quelques moments d’émotion.

J'avais découvert Stan Silas par certaines de ses bandes dessinées réalisées avec Davy Mourier. Comme j'apprécie son travail, j'avais envie de découvrir quelques unes de ses histoires écrites seules, comme Biguden.



Dans Biguden, nous suivons Goulwen, un petit garçon de huit ans qui vit dans un petit village, en Bretagne sud, avec sa mère et sa grand-mère. Sa grand-mère est une des dernière bigoudènes : elle et ses amies craignent que leurs traditions culturelles s'éteignent avec elles. Un beau jour, Goulwen, dit La Gouelle, va tomber sur une autre enfant qui a débarqué en Bretagne et semble perdue. Elle est japonaise et ne comprend pas le français. Renommée Biguden, elle va être prise sous l'aile de la grand-mère pour devenir à son tour une bigoudène. Celle-ci s'est en effet aperçue que, comme elle, Biguden peut voir les créatures magiques...



J'ai bien aimé suivre les aventures de La Gouelle et de Biguden. En tant que bretonne, cela m'a fait plaisir de lire cette bande dessinée qui nous plonge dans le folklore breton, d'autant plus que Stan Silas a su y ajouter sa touche personnelle.



J'ai beaucoup aimé les personnages : Biguden et son mauvais caractère (dont on apprendra quelque chose d'inattendu), Goulwen et ses amis, la grand-mère qui a un mauvais caractère mais aussi un grand cœur et aussi la mère (et ses crêpes qui n'ont pas l'air appétissantes, haha !).



Sans que cette histoire soit un coup de cœur, je l'ai vraiment appréciée. C'était plein d'humour, de légendes bretonnes avec un côté décalé. C'était amusant de voir des personnages (hauts en couleur) qui rappellent les mangas vivre des aventures en Bretagne !

Après avoir laissé le premier tome de cette saga trainer dans ma pile à lire pendant très longtemps, j'ai eu envie de le découvrir - enfin.



Dans cette histoire, nous faisons la rencontre d'Eva, une enfant qui, pour son anniversaire, a reçu trois adorables chatons par son père. Mais le lendemain, à son réveil, son père a disparu. En partant à sa recherche, Eva va se rendre compte que la ville de Saint-Malo est envahie de... dinosaures ! C'est la panique mais, heureusement, les trois chatons ne sont pas des animaux comme les autres et sont là pour protéger Eva...



Je ne me souvenais plus vraiment de l'intrigue, si bien que je m'étais fait une idée assez fausse de celle-ci, avec le temps. Si je m'attendais à une histoire déjantée, elle s'est avérée l'être encore plus que je le pensais ! Venant de Davy Mourier, au scénario, cela ne me surprend pas beaucoup.



J'ai beaucoup aimé le fait que l'histoire se déroule à Saint-Malo, ville où je me rends assez régulièrement et qui n'est pas très loin de chez moi. Cela rendait amusant d'essayer de repérer les lieux illustrés par Stan Silas, lui aussi breton. J'ai d'ailleurs aimé les dessins avec les grands yeux et le trait rond qui rappellent les mangas, ainsi que les couleurs.



C'est une bande dessinée assez amusante, avec beaucoup d'action et trois chatons trop mignons qui vont passer du statut d'adorables à ninjachats en un clin d'œil. L'histoire est simple mais efficace !

Troisième et dernier tome de cette série bretonne ! Tout le monde se prépare à dire au revoir à Biguden qui doit retourner dans son pays natal mais Goulwen appréhende ce départ... Un nouvelle créature du folkhore breton fait son apparition et elle n'a pas l'air très commode. Grosse surprise dans ce troisième tome ! En tout cas, l'histoire est sympa à lire même s'il y a moins d'originalité avec les cratures, le déroulement. Ca reste tout de même très drôle, nous avons bien ri à certains moments. Une trilogie bien marrante à découvrir, quelques éléments restent bien impressionnants pour les plus jeunes mais ça contrebalance bien avec les plaisanteries présentes tout le long de ces 3 tomes. Une belle découverte, je vais regarder ce que ce dessinateur a fait d'autre...

Goulwen vit avec sa mère et sa grand-mère non loin des côtes bretonnes. Un jour qu'il part pêcher, il fait la connaissance avec une petite fille qui a fait naufrage... Elle ne parle pas un mot de français mais sait très bien se défendre.

Le titre et l'image de couverture est assez marrante. On remarque d'ailleurs sous le titre des caractères en japonais (Biguden en japonais ?). Une histoire du folklore bretonne plein d'humour. Je l'ai lu avec ma fille et elle a beaucoup aimé les réparties de Biguden ("Batan", Atab !"). Ca manque un peu de clarté dans la lecture des dessins mais la réponse arrive parfois dans les pages suivantes. Les korrigans, l'Ankou, c'est une totale découverte des histoires bretonnes... à l'opposé de la culture japonaise de la petite fille ! Il reste des points mystérieux mais sans doute les réponses arriveront par la suite ! Une BD bien agréable à lire. A suivre...

Goulwen est un vrai petit breton. Pourtant il déçoit sa grand-mère, une bigoudène pure souche qui croit en l'Ankou et aux Korrigans.



Un jour alors qu'il était parti jouer sur la plage avec ses amis les mouettes, Goulwen découvre une petite japonaise de son âge, échouée sous la coque d'un bateau.



La petite fille va se révéler féroce mais aussi tenace et courageuse. Mémé va voir en elle une véritable bretonne digne de lui succéder !



Mais c'est l'heure de l'Ankou, et la passation doit se faire dans l'urgence...



Mélanger Bretagne et Magie n'est pas vraiment originale mais transformer une japonaise en bigoudène est déjà beaucoup plus fantasque.



L'auteur y ajoute des aventures de la vie quotidienne pour mieux mettre en valeur l'énergie phénoménale de la petite japonaise qui bouleverse tout autour d'elle et s'intègre par sa volonté mais aussi sa capacité à voir la magie autour d'elle.



J'ai beaucoup aimé la scène où les korrigans tentent de voler les biscuits au beurre.



Un coup de coeur pour cette bd parfois un peu brouillonne mais qui propose une relation improbable entre une grand-mère et une jeune inconnue, qui ne parle pas le français et qu'elle va adopter dans son coeur et lui transmettre son héritage...



Une seule hâte, lire la suite !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..

Goulwen est un petit garçon qui a perdu son père en mer. Il n’a pas beaucoup d’amis et il habite dans une maison à flanc de falaise avec sa mémé qui croit aux Korrigans. (C’est cool que quelqu’un pense à moi et aux autres Korrigans qui vivent dans les prairies, bien cachés, toujours près de la mer en Bretagne !)



Un jour que Goulwen pêche dans l’océan Atlantique, où les vagues sont secouées par les chants bretons, il découvre un petit bateau échoué, avec ses amis les mouettes. (Et oui, ses seuls meilleurs amis sont les mouettes, et plus précisément Michel !) Il pense qu’il n’y a personne dans le petit bateau, mais il découvre une petite fille japonaise. Il l’accueille chez lui, et la petite fille ne s’entend pas trop avec sa grand-mère, une bigoudène, qui, jour après jour, s’attache avec la jeune japonaise, et qui décide de la faire devenir bigoudène.



Elle lui apprend toutes les légendes bretonnes, des fées qui illuminent la forêt, des ondines, des elfes, des licornes… Les bigoudènes, elles, étaient fort nombreuses, et devaient protéger, coûte que coûte le territoire Breton. Non, elles ne devaient pas combattre des fées, ou de simples petits Korrigans, mais des dragons, des géants, des bestiaux gros comme des maisons ! Et puis, il y eu la bataille des mille binious. Ce fût un massacre. Après cette terrible bataille, les bigoudènes ne voulaient qu’une chose : se venger. Et puis les gens racontèrent de moins en moins les légendes bretonnes, et tous les monstres et les créatures magiques disparurent. Aux oubliettes. Les bigoudènes ne servaient plus à rien, des inutiles. C’est pour cela que, la grand-mère de Goulwen veut que quelqu’un s’en occupe, quelqu’un de plus jeune qu’elle qui puisse la remplacer. Et elle avait choisi cette petite japonaise, sortie de la mer, des torrents des fées des eaux, et de la magie bretonne.



Une BD vraiment SUPER, qui se lit vite et qui nous apprend beaucoup de choses sur la culture bretonne.

Allez les Korrigans !

Oh my !!!! Ce dernier tome est tout simplement génial ! Malheureusement on ne peut pas en dire grand chose sans vous divulgâcher toute l'intrigue, je serai donc brève. Les graphismes sont toujours à la hauteur et l'histoire avance à pas de géant. J'ai particulièrement aimé la double page journalistique, super originale !

De grosses révélations de prévues sur la nature profonde de Biguden et des sauts temporels ! Le dahut existe bel et bien mais il ne ressemble pas à ce que l'on s'imagine.

C'est une petite série que je conseille vraiment mais plutôt à des adolescents qu'à des enfants car certaines thématiques abordées dans ce dernier tome sont assez complexes et nécessitent un certain bagage émotionnel et culturel. Forte, émouvante et véritablement réussie !

Un second tome beaucoup plus sombre que le premier. Les créatures magiques ne sont pas toutes inoffensives et Biguden doit faire face au Bugul-Noz. Les autres bigudènes lui prêtent assistance pendant que La Gouelle essaie de se convaincre qu'il n'éprouve rien.

Toujours d'aussi jolies planches colorées, de l'imaginaire plein les yeux, beaucoup d'humour malgré le côté dramatique de certaines scènes. On en apprend davantage sur le passé de Biguden et sur son lien avec le surnaturel. Une fin encore une fois saisissante qui laisse planer le suspens pour le tome final. Une très bonne série fantastique jeunesse en BD.

Un début de série BD comico-horrifique où l'on suit la vie de Norman, 8 ans, dont le passe-temps est de tuer les gens. Accompagné d'un petit diablotin violet, il porte durant ses forfaits le masque du célèbre tueur de Vendredi 13, Jason, son idole et massacre ses victimes à coups de couteau. Entre des zombies chez lui, des camarades très archétypaux et une maîtresse alcoolique oscillant entre sadisme et dépression, le moins que l'on puisse c'est que l'on ne s'ennuie pas de ce premier tome.

La disparition de Garance va dévoiler un mystère bien plus complexe que quelques coups de couteau bien placés.

Beaucoup d'humour noir et un rendu graphique assez gore, cette BD lance une bonne intrigue glauque à souhait sur le thème de la manipulation génétique. Les psychopathes sont légion mais ne se ressemblent pas. Ames sensibles s'abstenir. Si vous goûtez les parodies de films d'horreur et l'hémoglobine humoristique, vous pourriez bien vous amuser à la lecture de premier tome. J'irai lire la suite par curiosité pour cette fin alléchante.